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jeudi, 03 janvier 2019

Le racisme anti-Blancs est systématiquement sous-traité

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

 

En cette fin d’année 2018, alors que la République française accepte le Diktat de Marrakech qui va accroître l’intensité de l’immigration exotique en Europe, le petit monde des journalistes à scandale retentit des cris d’orfraie de ces dames et des vociférations des messieurs, pour un motif jugé « très sérieux » : des manifestations hostiles auraient accueilli un joueur de football noir sur un terrain sportif de France !

Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers…


Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers…

Que ces messieurs-dames (et autres personnes de sexe-genre indéterminé) veuillent bien se documenter : c’est par milliers de cas que sont quotidiennement entendus sur le sol français des injures racistes anti-Blancs.

Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers. Mais il faut reconnaître que seules les rares insultes dirigées contre des Extra-Européens sont relevées par les maîtres de l’information, alors que le racisme anti-Blancs est systématiquement sous-traité, quand il n’est pas nié purement et simplement.

Il est important de constater qu’au moment où ce joueur d’origine africaine se faisait conspuer stupidement, des racailles exotiques ravageaient la ville de Joué-les-Tours, dans la plus profonde indifférence des médias bien-pensants et bien-disants.

Dans cette cité, où l’on observe l’une des plus fortes concentrations maghrébines du Centre de ce que l’on nommait autrefois la France, le maire, pourtant fort peu excité dans la répression des troubles, avait instauré un couvre-feu pour les mineurs d’âge, tant cette cité est devenue infréquentable de nuit. En guise de réponse, de merveilleux rejetons de l’immigration extra-européenne ont fait flamber voitures et poubelles en une nuit de fiesta du style : « Vivre ensemble, c’est réellement l’enfer ».

D’un côté, un footballeur noir fait un scandale public parce qu’on l’a insulté – pauvre chéri : si j’avais dû me révolter à chaque fois que l’on m’a traité, à Roubaix, Lille ou Douai, de « Face de craie », j’aurais usé vainement ma vie ! D’un autre côté, la racaille inutilement importée transforme une cité tourangelle en zone de guérilla urbaine.

Dans le premier cas, les médias hurlent à la mort. Dans le second, ils se font bénins, voire silencieux.

Bizarre, bizarre. Vous avez dit bizarre, Macroniens ? Comme c’est bizarre !

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

 

« Je suis devenu fou, je veux retourner au bled » : les migrants qui optent pour un retour volontaire

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

Par  le 02/01/2019

 

L’aide au retour volontaire a concerné en 2018 plus de 10 000 personnes, dont beaucoup d’Afghans.

« (…) Dans un hall de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, Noorislam Oriakhail vit ses derniers moments en France, fébrile. Il prend l’avion pour la première fois de sa vie. Au bout du voyage : l’Afghanistan. Comme 1 055 Afghans en 2018, des hommes majoritairement, Noorislam a choisi de rentrer. Ils étaient déjà 970 à avoir opté pour un « retour volontaire » depuis la France en 2017. »

« L’OFII assume une politique volontariste à leur endroit : « Nous les démarchons pour leur proposer l’aide au retour, d’autant que les retours forcés sont très difficiles ». Au premier semestre, avec 23 éloignements, le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français prononcées à l’encontre des Afghans atteignait 4 %. »

(…)

« Pour promouvoir le retour volontaire, l’OFII se déplace sur des campements, dans des centres d’hébergement du 115 ou des centres de demandeurs d’asile dans lesquels s’éternisent des déboutés. L’office tient même des stands dans des salons « diasporiques ». Le retour volontaire donne droit à un billet d’avion et à un « pécule » dont le montant varie. Les Afghans ont actuellement droit à 1 650 euros. Un programme européen permet aussi de financer un projet de réinsertion à hauteur de 3 500 euros. »

«Un Soudanais s’apprête aussi à embarquer. Salah Mohamed Yaya a 19 ans. Il dit que depuis des mois il n’a plus de traitement contre le VIH. Cela fait deux ans qu’il est en France, passé par Toulouse, Paris, Nantes, les foyers pour mineurs, la rue, l’hôpital. « Je suis devenu fou, dit-il. Je veux retourner au bled.»

(…) Le Monde via fdesouche

Mérignac (33): un nonagénaire agressé à son domicile par 3 migrants « mineurs non accompagnés »

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2018

Par  le 03/01/2019 

Les trois adolescents de 16 ans,  » (MNA), qui ont agressé un Mérignacais de 90 ans à son domicile dans la nuit de dimanche à lundi, ont été placés en détention provisoire. Les faits se sont déroulés vers 3 heures du matin au domicile du nonagénaire, allée du Pont-de-Madame.

Entrés par effraction, ils ont surpris le retraité qui dormait, sous assistance respiratoire. Rudoyé, menacé avec une hachette, le retraité a été ligoté sur son lit par ses agresseurs

[…]

Sud Ouest via fdesouche

Déjeuner militant à Castres (81)

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

Affiche_Réunion Castres.png

 

Églises transformées en restaurants pour les pauvres, une mode à la Judas

Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2019

Signes de temps déchristianisés et apostats : les églises se vident du mystère eucharistique et de fidèles adorant leur Dieu dans l’humble hostie pour se remplir de bruits et d’agitation mondaine lors de déjeuners solidaires !

Le pape François a mis à la mode les repas pour les pauvres à l’intérieur des églises. Partout dans le monde, de New-York à Manille en passant par Rome et Ouagadougou,des édifices religieux sont transformés en grands restaurants où s’agite la jet-set ecclésiastique reconvertie en serveur de café sous les flashs des journalistes.

Dernièrement, c’est le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, qui, en calotte et tablier rouge, officiait en l’église Saint-Bonaventure de son diocèse lyonnais, lors d’un repas offert un dimanche midi à 700 convives dont 300 accompagnants sociaux. Pour un coût de 25 000 euros !

Pour la fête prochaine de l’Épiphanie, nombreuses seront les églises en Italie et ailleurs qui se consacreront, avec l’excuse d’aider l’humanité souffrante, à des repas festifs qui se croient sacrés quand ils ne sont qu’inappropriés, insultants et condamnables à tout point de vue.

Uniquement une nécessité extrême, telle une guerre ou une catastrophe naturelle, peut justifier l’utilisation de l’église comme refuge pour les populations. D’ailleurs les édifices publics et culturels, maisons des jeunes et autres salles polyvalentes, ne manquent pas pour ce genre de festivités sans qu’il soit nécessaire de transformer les églises en restaurants.

L’église est un édifice sacré, construite souvent avec l’apport et les sacrifices des riches comme des pauvres, qui témoigne de la présence de Dieu parmi les hommes. Abaisser cet édifice religieux à un usage profane est bien une profanation, une dégradation d’un lieu de culte, mais aussi une trahison du peuple chrétien et de ses pauvres : ces derniers ne sont plus des fidèles, riches ou pauvres qu’importe, venus cherchés l’amitié et la miséricorde du Seigneur mais sont ravalés au rang de simples hôtes occasionnels d’un curé, d’un évêque ou d‘un pape en recherche d’applaudissements mondains, nouveaux Judas de Nos Temps modernes.

Leur façon de mettre en avant les pauvres est tellement analogue à l’attitude de l’Iscariote : lui-aussi mettait en avant les pauvres pour s’approprier le parfum que Marie-Madeleine répandait sur les pieds du Seigneur, et ce afin de le vendre pour trois cent deniers. Et puis il vendit le Christ pour à peine un dixième !

Cette désacralisation des édifices religieux qui se revêt d’une fausse idée de la vertu de charité d’où la notion de culte et de révérence voués à Dieu en tout premier a totalement disparu n’est somme toute qu’un autre fruit funeste de la désacralisation de la liturgie accomplie par l’Église conciliaire : de l’autel tourné vers Dieu, on est passé lors de la révolution liturgique de Paul VI à la table eucharistique anthropocentrée. Aujourd’hui il ne reste plus que la simple table en plastique des repas solidairesLogique d’une déchéance annoncée par une apostasie qui n’est guère silencieuse…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info