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lundi, 23 octobre 2017

Poutine: la manipulation génétique est « plus redoutable qu’une bombe atomique »

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017


Lors du 19ème Festival International de la Jeunesse à Sotchi, qui vient de se clore, Vladimir Poutine a fait une mise-en-garde explosive sur les manipulations génétiques qui seraient en mesure de transformer des hommes au gré des besoins d’autres hommes, par exemple d’une oligarchie. Vladimir Poutine déplore que les hommes puissent modifier la nature humaine voulue par Dieu. Ce qui est explosif dans cette mise-en-garde, c’est qu’elle a été faite par le chef d’une des plus grandes puissances militaires mondiales, la seconde après les USA :

« Les hommes peuvent modifier le code génétique, la nature voulue par Dieu. »

« On peut  imaginer qu’un homme puisse, en pratique, créer un homme selon des caractéristiques spécifiées. Il pourrait alors être un  mathématicien ou un brillant musicien, mais il pourrait également être un militaire capable de combattre sans peur, sans compassion, sans regret et sans douleur», a-t-il fait remarquer.

«Comprenez que l’humanité est à un tournant-clef de son évolution et, ce qui est le plus probable, c’est qu’elle entrera prochainement dans cette ère très complexe de son existence. Et ce que je viens de dire peut être plus effrayant qu’une bombe nucléaire», a-t-il souligné.

«Quand nous faisons quelque chose et quoi que nous fassions, nous ne devons jamais oublier les fondements moraux et éthiques de notre cause. Tout ce que nous faisons doit contribuer au renforcement de l’être humain et non à sa destruction,» a conclu le Président russe. »

Une déclaration qui recoupe les travaux du docteur Jean-Pierre Dickès, auteur de « l’ultime transgression » ou de « l’homme artificiel ».

Le chef de l’État russe a par ailleurs insisté sur son aspiration à un monde multipolaire:

« Le monde est divers, et il faut respecter cette diversité, estime le chef de l’État. Deuxièmement, il faut cesser de se voir comme des adversaires. J’ignore dans quelle mesure cela est possible entre États, mais il faut s’y employer. Nous devons aspirer à nous voir comme des partenaires. »

Cette aspiration à un monde multipolaire est le cheval de bataille de M. Poutine face au monde unipolaire dominé par les USA et responsable de la plupart des conflits qui ne cessent d’agiter le monde.

 

Source : medias-presse.info

Jacques Attali : « Tout pays doit se penser comme un hôtel. Il faut recevoir sans cesse des étrangers »

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017

Auteur : Pierrot

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Celui qui se vante d’avoir « repéré » et « inventer » Emmanuel Macron, donne la vision migratoire de sa clique de mondialistes. Le chiffre de 200 000 clandestins est évidement délirant. En 2015, l’Allemagne à reçu 1.1 millions demandes d’asile…

« Malheureusement, tous les pays européens sont d’accord pour contenir l’immigration, et même la réduire. Mais regardons les chiffres: nous sommes 600 millions d’habitants en Europe et nous parlons d’accueillir 200 000 migrants par an. En trois ans, cela ferait 600 000, soit 1 pour mille de la population de l’Europe. Vous vous rendez compte? 1 pour mille! Ce n’est pas assez. Nous sommes capables d’en accueillir bien plus. Le Liban doit se débrouiller avec 25% de migrants syriens. L’Europe est aussi confrontée à un effondrement démographique. Et l’accueil des réfugiés fait partie de ses valeurs. » (…)

« Tout pays doit se penser comme un hôtel et ses habitants comme des hôteliers. Recevoir sans cesse des étrangers. Etre accueillant. C’est ce qui rend la Suisse symboliquement maritime. »

 

Source : contre-info

La ratification fantôme

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017

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 Georges Feltin-Tracol

L’Accord économique et commercial global conclu entre le Canada et l’Union pseudo-européenne, plus connu sous ses initiales anglophones de CETA, est entré en vigueur le 21 septembre dernier alors que les parlements nationaux, voire les assemblées régionales, des États membres ne l’ont pas encore entériné. Le CETA s’appliquerait-il ainsi sans la moindre approbation légale ? La réponse est plus complexe dans les faits.

La ratification de ce traité de libre-échange s’effectue en réalité en deux temps. Le 15 février dernier, le Parlement européen le ratifiait par 408 voix (venus des bancs socialistes, libéraux, centristes et conservateurs) contre 254 et 33 abstentions. Adopté, le traité s’applique dès à présent uniquement en ce qui concerne les compétences exclusives de l’Union dite européenne. Ce n’est qu’une ratification partielle, car les clauses portant sur les compétences partagées entre Bruxelles et les États membres (ou même leurs régions autonomes ou fédérées) ne peuvent pour l’instant entrer en vigueur, faute d’approbation parlementaire.

Il y a un an, en octobre 2016, la région Wallonie alors dirigée par les socialistes s’élevait contre ce traité pendant une semaine ! Puis, fidèles à leur couardise, les socialistes wallons capitulèrent en rase campagne. La procédure de ratification a dès à présent commencé avec l’acceptation du Congrès des députés d’Espagne, de la Croatie et de la Lettonie. Elle va continuer sans trop de résistances parlementaires. En effet, sur ce point précis, les quatre États du fameux Groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, Tchéquie, Slovaquie) n’éprouvent aucune réticence à entériner ce document de 2 344 pages.

Le CETA aurait dû susciter en France l’indignation non seulement des élus de l’« Hexagone asservi » du camarade Mélenchon, mais aussi la colère d’un Front national en proie à de vives querelles internes. Pour la circonstance, « marinistes », « philippotistes », « marionistes » et « jean-maristes » auraient pu se retrouver contre un traité abject qui va ruiner l’agriculture européenne, polluer notre alimentation et favoriser les firmes transnationales. Mais pour cela, il eût fallu à ce parti politique une authentique fibre sociale-identitaire. Encore une occasion ratée !

Bonjour chez vous !

 

Source : synthesenationale

dimanche, 22 octobre 2017

Ne dites plus burqa, dites voile intégral

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

we-all-can-do-it-reformate

Dans notre quotidien, le vocabulaire politiquement correct s’infiltre partout. Récemment, Aymeric Caron s’est même insurgé contre le fait que l’on ait utilisé l’image d’un animal innocent, sans lui demander son avis, dans #balancetonporc.

https://twitter.com/CaronAymericoff/status/91948705708451...

Voici un petit dictionnaire du monde orwellien de la gauche :

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Politiquement correct: huit conseils de vocabulaire pour se mettre à la page

Par Natacha Hérault, publié le 11/10/2017

Vous qui souhaitez vous conformer au politiquement correct, voici les expressions excluantes et celles qu'il convient de privilégier.

Ne dites plus "politiquement correct", dites "inclusif"

Evite l'utilisation de certaines expressions ou mots qui pourraient être considérés comme excluant des groupes de personnes. Exemple: l'écriture inclusive vise à ne plus exclure les femmes de la langue française.

Ne dites plus "homme" ou "femme", dites "cisgenre"

Qualifie une personne dont l'identité de genre est en concordance avec son sexe déclaré à l'état civil. Exemple: je suis née femme, je me sens femme, je suis cisgenre et bien dans mes escarpins.

Ne dites plus "queer", dites "allosexuel" ou "altersexuel"

De mémoire d'humain, personne n'a su donner de définition compréhensible du mot "queer". Désigne toute personne n'étant pas hétérosexuelle.

Ne dites plus "Arabe", "Noir", ou "Asiatique", dites "personne racisée"

Désigne toute personne non blanche.

Ne dites plus "androgyne", dites "gender fluid"

Désigne une personne ne se reconnaissant pas dans la binarité qui oppose les deux sexes.

Ne dites pas "qui pense hors des assignations identitaires", dites "native informant"

C'est ainsi que sont désignées les personnes issues d'une minorité, mais qui développent un discours différent du politiquement correct. Native informant est le terme anglais et poli pour des insultes de type "beur(ette) de service", "caution couscous" et autres joyeusetés.

Ne dites plus "convergence des luttes", dites "intersectionnalité"

Désigne la situation de personnes subissant simultanément plusieurs formes de discrimination. Ainsi, le féminisme intersectionnel combat à la fois le machisme et le racisme.

Ne dites plus "anarchiste", dites "autonome"

Désigne un mouvement qui revendique son autonomie au capitalisme, à l'Etat, et aux syndicats.

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/politiquement-co...

Haute-Garonne : Ils appellent leur petit garçon... Jihad

Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2017

Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

 Le petit Jihad est né le 2 août. Photo d'illustration CC-By Fabrizio Salvetti

Le choix du prénom de leur petit garçon ne fait pas l'unanimité. En août, deux parents vivant à Léguevin, dans la banlieue de Toulouse, ont décidé d'appeler leur garçon... Jihad, comme le révèle Actu Toulouse.

Dans le contexte d'attentats terroristes que connaît actuellement la France, la mairie de Toulouse, où la maman a accouché, a décidé de signaler le prénom au procureur de la République. Ce dernier pourrait saisir un juge s'il estime que le prénom est contraire à la loi. Et les parents devront ainsi trouver un nouveau prénom à leur enfant.

Jihad ne signifie pas "guerre sainte"

Le site d'actualités locales précise cependant que Jihad, bien que rare et peu usité en France, n'est pas un prénom nouveau. Et que, contrairement aux idées reçues, il ne signifie pas, en arabe, "guerre sainte".

Il signifie en réalité "abnégation", "effort", ou "lutte". Dans le contexte actuel, on peut néanmoins s'interroger sur le bien-être de l'enfant, qui devrait porter et assumer un tel prénom.

L'ÉTAT CIVIL PEUT-IL REFUSER UN PRÉNOM?

La réponse est non. En revanche, l'administration, si elle estime que le prénom est contraire à la loi, peut saisir le procureur de la République. Il s'agit d'un contrôle a posteriori, et l'officier d'état civil doit enregistrer le ou les prénoms choisis par les parents.

Que dit la loi ? Comme le dispose l'article 57 du Code civil: "Lorsque ces prénoms ou l’un d’eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l’intérêt de l’enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur nom de famille, l’officier de l’état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales."

Le juge peut ensuite décider de supprimer le ou les prénoms contestés.

 

Source : ledauphine