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vendredi, 27 octobre 2017

Danger

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017 

maxresdefault.jpgL'homme qui est à la tête de la France, n'aime pas son pays. Au mieux, il fait semblant. Pour lui, la France est une nation dépassée. L'Europe seule compte dans son esprit. Il ne cesse de le dire. « Je suis venu vous parler d'Europe, a-t-il déclaré à la Sorbonne. Encore, diront certains. Ils devront s'habituer parce que je continuerai. Et parce que notre combat est bien là, c'est notre histoire, notre identité, notre horizon, ce qui nous protège et ce qui nous donne un avenir. »

Voilà ce que pense le président de la France. Et il suffit de l'écouter pour se rendre compte que déjà, dans sa conception, la France n'existe plus en tant que nation ; elle n'est plus qu'un legs du passé. Peu lui chaut que les industries françaises disparaissent. Pour lui l'échelle nationale est devenue obsolète et inefficace ; il n'y a plus rien à faire à ce niveau. C'est sa conviction profonde. « La bonne échelle, dit-il, c'est l'échelle européenne ». Tout est dit. Qu'importe qu'Alstom soit récupéré par Siemens. Au contraire ! Il n'y voit aucun inconvénient. Comprenons bien : l'histoire de France, c'est aussi bien l'histoire de l'Allemagne que l'histoire des autres peuples d'Europe. Le seul mal qui les a entachés, c'est le nationalisme. L'identité est commune, commun l'horizon. Tous les programmes qu'il définit à longueur de discours, n'ont de sens que dans ce cadre européen, voire mondial. Il ne conçoit de développement que dans cette vue. Pourquoi des réformes institutionnelles en France ? Pour mieux l'intégrer dans l'Europe, pardi ! Pourquoi des réformes institutionnelles en Europe ? Pour mieux la renforcer et la doter de toutes les prérogatives de la souveraineté !

Il se dit l'héritier des pères fondateurs. Il en a l'esprit, affirme-t-il ; il veut rompre avec les frilosités et les peurs. Il n'a qu'un ennemi multiforme et qu'il ose nommer : « nationalisme, identitarisme, protectionnisme, souverainisme de repli... ». Il se voit à la tête d'un grand mouvement libérateur ; il anticipe les prochaines élections européennes ; il donne des dates. Tout doit être achevé en 2024. La nouvelle gouvernance européenne sera en place, pense-t-il ; les grands projets, du numérique à la transition écologique, des nouvelles dispositions européennes sur l'enseignement aux techniques les plus avancées du travail, seront dans leur vitesse de croisière ; et la France se sera enfin mise à l'heure de l'Europe. Macron aura rempli son rôle. Il lui restera sans doute à assumer la suite : il n'est pas difficile de deviner de quoi il s'agit. Car il faut bien présider, n'est-ce pas ?

Le problème, c'est que rien ne se passe comme prévu. Macron aime se comparer à Napoléon. Et, en effet, il a le même défaut. Bainville écrit dans son remarquable Napoléon : « On voit l'idée naître, grandir, s'emparer de l'esprit de l'empereur jusqu'à ce que, selon un penchant qui s'aggrave chez lui, il regarde comme fait ce qui peut et doit se faire puisque sa raison l'a conçu ». Il s'agit de la campagne de Russie. Macron raisonne en politique de cette même façon et, lui, depuis le début ! Il s'obstinera, il le dit. C'est là le danger, le grand danger.

Les Allemands ont voté ; l'Allemagne n'est plus la même. Macron rêve d'un traité de l'Élysée renforcé quand il n'y a déjà plus de couple franco-allemand. Macron s'imagine que l'Angleterre - il l'a dit - allait revenir dans l'Europe quand le Brexit va devenir définitif. Macron fustige les nations quand l'Espagne se bat pour survivre et que l'Europe attise les divisions. En un mot, Macron est en pleine utopie, comme tous ses prédécesseurs mais plus qu'eux encore, s'imaginant résoudre les impossibles problèmes de leur République en les projetant dans une Europe idéale qui n'a. jamais existé et qui existera de moins en moins. Terrible vérité politique : Macron, sentant la légitimité de son pouvoir déjà se dérober sous ses pieds, part en quête obsessionnelle d'une légitimité « autre », nouvelle, grandiose, imaginée dans un « ailleurs » qu'il façonne en idéal rationnel et enthousiasmant. Patatras ! Le revers sera cinglant. Fasse le ciel que le pire ne survienne pas !

À quand le chef de l'État dont la légitimité sera suffisante pour n'avoir à aimer, d'abord, que la France. Les autres aussi, mais après. ■

 

Source : lafautearousseau

Le communautarisme LGBT s’assume. L’inverse est interdit…

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 Exemple de communautarisme LGBT assumé. On notera au passage que LGBT rime avec politisé !

A l’inverse, un propriétaire qui refuserait de louer un bien immobilier à des gens LGBT se retrouverait devant le tribunal avec la certitude d’être condamné. Cherchez l’erreur…

 

Source : medias-presse.info

« Eurislam » : le rapport de l’UE sur les discriminations contre les musulmans et la lettre dhimmi du commissaire Timmermans

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017

Eurislam Timmermans UE discriminations musulmans

Frans Timmermans

L’agence de l’Union européenne pour les droits fondamentaux a publié en septembre une enquête sur la minorité musulmane et les discriminations dont cette minorité souffrirait en Europe. Comme on pouvait s’y attendre avec une étude réalisée depuis Bruxelles, ce rapport nous apprend que les musulmans cherchent bien à s’intégrer aux sociétés dans lesquelles ils vivent, mais qu’il y a encore beaucoup de travail à faire sur les autochtones pour mettre fin aux discriminations à l’encontre des disciples de Mahomet. Plus encore que ce rapport, c’est le message 100 % dhimmi adressé par le premier-vice président de la Commission européenne Frans Timmermans, chargé de l’Amélioration de la législation, des Relations inter-institutionnelles, de l’état de droit et de la Charte des droits fondamentaux, qui a de quoi faire rire ou pleurer, mais qui s’inscrit totalement dans le projet Eurislam de l’Union européenne.

 

Timmermans assure les musulmans que l’UE est leur amie face aux discriminations dont ils font l’objet dans les États membres

 
Publié sur son compte Twitter le 21 septembre à l’occasion de la « Journée d’action européenne contre le discours de haine à l’encontre des musulmans » (sic) et du nouvel an des musulmans « commémorant l’émigration du prophète de la Mecque à Médine – l’hégire – qui marque la naissance de l’islam en tant que communauté unie dans la foi » (re-sic), ce message souligne d’emblée que « la communauté musulmane, dans toute sa diversité, occupe une place importante dans le paysage européen ». Puis de continuer sur le fait qu’il faut renforcer le dialogue pour que les musulmans soient parties prenantes de la société européenne (au singulier dans le texte), et de les assurer que la Commission européenne est pour eux « un ami fidèle qui les aidera à pratiquer leur foi et leurs traditions en paix dans nos sociétés démocratiques ». Le paragraphe difficilement évitable sur les attentats terroristes des « dernières décennies » souligne que ces attentats visaient la société européenne dans son ensemble et qu’ils n’ont pas épargné « nos citoyens musulmans » (re-re-sic).
 
« Certaines attaques cherchaient à diviser encore plus notre société en visant spécifiquement nos citoyens juifs et la diversité qui est la force de l’Europe. » Et les chrétiens dans tout ça ? Pas un mot. L’égorgement du père Hamel et les projets d’attentats contre des églises ? Passés à la trappe. De fait, le mot « chrétien » n’apparaît pas dans la lettre de Timmermans, à croire qu’il n’y a que deux religions en Europe : la religion musulmane et la religion juive, et que les discriminations ne visent que les adeptes de la première (les attentats contre les juifs ne visant en fait qu’à diviser « notre » société).
 
Ce qui ressort du rapport de l’agence des droits fondamentaux de l’UE et qui est confirmé par le vice-président de la Commission européenne, c’est qu’il faut encore travailler sur les habitants non musulmans de l’Union européenne pour les aider à s’adapter à la présence musulmane toujours plus nombreuse, et que c’est ainsi qu’on mettra fin non seulement aux discriminations mais aussi au terrorisme islamique.
 

Projet Eurislam : une intégration à double sens pour créer un vaste melting-pot européen dont l’islam sera une composante essentielle

 
Ce projet de soumission dhimmi face aux nouveaux arrivants et à leurs descendants, mais aussi en réponse aux coups portés en Europe par les djihadistes, s’inscrit en fait dans la logique du projet Eurislam de l’Union européenne. Ce projet est décrit par ses auteurs comme visant à créer une société européenne multiculturelle sans frontières dans laquelle la population autochtone aurait à s’adapter elle aussi aux valeurs et traditions des nouveaux arrivants. Ceci avec le soutien du Parlement européen qui, dans sa résolution du 12 avril 2016 « Apprendre l’Union européenne à l’école », affirme à l’intention des Etats membres que « les enseignements et le matériel scolaires devraient inclure des informations sur la diversité au niveau de la religion ou des convictions, de l’origine ethnique, de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre » et qu’« une sensibilisation accrue aux avantages des politiques européennes, comme la libre circulation des personnes et des services dans l’Union et les programmes de mobilité de l’Union, peut contribuer à un sentiment d’appartenance à l’Union européenne, à un esprit de solidarité et à une acceptation des sociétés multiculturelles et multi-ethniques ».
 
Tel est encore le but poursuivi par l’exposition « L’islam, c’est aussi notre histoire » ouverte en septembre au Musée de l’Europe à Bruxelles, après un report de plusieurs mois pour cause de terrorisme islamique. « Nous voulons expliquer aux Européens que l’islam fait partie de la civilisation européenne, que ce n’est pas une importation récente mais qu’elle a des origines qui remontent 13 siècles auparavant », a confié à Associated Press (AP) Isabelle Benoit, l’historienne qui a conçu l’exposition.
 
La nouveauté de ce début du XXIe siècle par rapport aux siècles passés, ce ne serait finalement que cette volonté des « élites » européennes de se servir de l’immigration musulmane et de l’islam comme diluant des identités nationales et instrument de lutte contre les valeurs chrétiennes.
 

Olivier Bault

 

Source : reinformation.tv

INTOLÉRABLE : LA "JUSTICE" ORDONNE QU'UNE CROIX SURPLOMBANT UNE STATUE DE JEAN-PAUL II SOIT ENLEVÉE (en Bretagne)

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2017

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Le Conseil d'Etat vient d'ordonner au Maire de la petite commune de Ploërmel, en Bretagne, de retirer la croix surplombant la statue de Jean-Paul II.

Nous marchons sur la tête ! Cette statue est un cadeau offert à la ville par un artiste russe.

En France, en 2017, on détruit de vieilles églises, on débaptise des rues, on retire des croix, on interdit les crèches... En revanche, les musulmans occupent nos rues et les djihadistes tuent en toute impunité ! Cette situation est purement et simplement ahurissante !

La France a des racines chrétiennes, ce n'est pas une opinion, c'est une réalité. Il faut en être fier.

Honte à ces juges minables, petits collabos protégés par le Système mondialiste, qui méconnaissent totalement l'histoire de notre pays, et bafouent son héritage.

 

Source : synthesenationale

jeudi, 26 octobre 2017

Une Europe des régions en marche

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2017

La Lombardie (Milan) et la Vénétie (Venise) organisaient un référendum dimanche 22 octobre dont la question était : souhaitez-vous que votre région dispose de « formes supplémentaires et conditions particulières d’autonomie ? »

 

Deux référendums ont eu lieu dimanche 22 octobre en Lombardie et en Vénétie, dans le nord de l'Italie actuelle où les électeurs…

Deux référendums ont eu lieu dimanche 22 octobre en Lombardie et en Vénétie, dans le nord de l’Italie actuelle…

Référendums seulement consultatifs, ils n’ont pas de valeur immédiate et concrète, mais donnent un pouvoir politique important aux deux Présidents de région de la Ligue du Nord, Roberto Maroni et Luca Zaia, pour négocier avec le pouvoir central romain une plus large autonomie de leurs régions. L’inconnue de cette élection était le taux de participation.

Pour la Lombardie on estimait qu’à moins de 35 % le résultat aurait peu d’impact. La participation fut de 40 %. Pour la Vénétie, il existe un quorum de 50 % pour valider le référendum : il y eut 57 % de participation. Le succès est donc large d’autant que le « oui » l’emporte respectivement avec 95 et 98 % des voix.

Avec 15 millions d’habitants, 550 milliards d’euros de PIB (plus de 30 % du PIB italien), ces deux régions pèsent très lourd dans l’économie italienne et l’autonomie plus large réclamée par la Ligue du Nord porte certes sur des questions financières, ces deux régions dégageant un excédent de 70 milliards dont elles souhaitent récupérer 50 % pour investir chez elles, mais aussi sur une volonté d’autonomie politique que leur poids économique leur confère en Italie et à l’échelle européenne.

La Lombardie pèse 380 milliards d’euros et la Vénétie 170 milliards. À titre de comparaison, la Catalogne a un PIB de 230 milliards, la plaçant entre les deux grandes régions italiennes et loin derrière la Lombardie.

Les commentateurs s’efforcent de minimiser ces succès de la Ligue du Nord en dissociant ces référendums de celui – illégal – de la Catalogne. Ici, c’est l’indépendance qui est en jeu et là un supplément d’autonomie. Querelle de mots. « Autonomie » signifie littéralement « se donner sa propre loi ». Il ne s’agit pas en effet d’indépendance politique souveraine, mais d’un degré immédiatement inférieur. D’autre part, les référendums lombard et vénétien ne porteraient que sur des questions financières. C’est ici nier qu’une autonomie économique et financière est toujours intimement liée à une autonomie politique.

On peut noter en revanche la différence de sérénité entre les deux situations. La Catalogne possède une longue tradition révolutionnaire largement marquée à gauche ou à l’extrême gauche, alors que la Lombardie et la Vénétie, si elles ont aussi une tradition identitaire forte, située dans une zone géopolitique longtemps troublée et incertaine, entre France, Autriche et Italie, sont loin des orientations politiques de la Catalogne. Enfin, leurs situations géographiques, à l’un des grands carrefours de l’Europe, en font des Eurorégions potentielles autour desquelles un vaste mouvement autonomiste peut se développer.

D’ailleurs, la presse aborde à nouveau, avec dégoût et railleries, la question des Eurorégions qui serait « un retour médiéval » (sic) de l’Europe ! L’Histoire n’étant qu’un éternel recommencement, on peut donc espérer, contre l’opinion dominante de nos élites, non pas un « retour » méprisable car passéiste, mais une réorganisation naturelle de la géographie et des peuples européens sur des fondements évidemment différents de ceux du Moyen-Âge !

L’Europe est en pleine déliquescence : Groupe de Viségrad, Brexit, Écosse, Autriche, Catalogne, Lombardie, Vénétie, autant de manifestations de natures par ailleurs très différentes, mais qui ont en point commun une remise en cause fondamentale d’une Europe dégradée, ainsi, et surtout, qu’une volonté de réorganisation positive et nouvelle de l’Europe.

Un réveil de l’Europe ?

 

Source : eurolibertes