samedi, 30 juillet 2016
Auschwitz, le silence du pape François et la satisfaction de la communauté juive
Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016
Il est des morts qu’on oublie, il est des morts qu’on « mémorise »!
En séjour en Pologne pour les JMJ, le pape François a fait une visite obligée au camp de concentration d’Auschwitz, hier, vendredi 29 juillet 2016. A la suite de Jean-Paul II et de Benoît XVI qui pareillement, lors de leur voyage apostolique en cette terre martyr de la barbarie communiste, s’étaient sentis dans l’obligation d’aller faire « leur devoir de mémoire », sous les caméras internationales, en ce lieu symbole de la deuxième Guerre Mondiale pour la communauté juive.
Dans un pays qui a connu jusqu’à récemment la terrible dictature communiste athée avec son cortège funèbre de martyrs, de morts, d’horreurs indicibles, cette monstrueuse idéologie messianique pour la régénérescence de l’humanité qui a fait de la Pologne et autres pays satellites de l’URSS de vastes camps de concentration à ciel ouvert, cette sélection mémorielle de la part des papes conciliaires laisse songeur. Y aurait-il des morts plus importants que d’autres, des lieux devenus sacrés pour l’éternité et des forêts de Katyn à oublier, une histoire, marxiste, à enterrer au nom de la paix, et une autre, fasciste, à raviver sans cesse au nom de cette même paix ?
Avant 1945, le sacrifice de la Croix, que l’on croyait ou non en Jésus-Christ Fils de Dieu incarné, était l’événement central de l’histoire humaine, le Drame unique qui a bouleversé le monde et manifesté un nouvel âge. Au cours du XXe siècle finissant, le monde s’est déporté du Calvaire à Auschwitz. L’holocauste juif a supplanté la Croix de Jésus-Christ. La Shoah, le dogme unique, se dresse sur l’humanité. Elle est l’axe autour duquel s’articule toute la vie politique, civile, religieuse des peuples et des nations, la colonne vertébrale sur laquelle repose toute la pensée post-moderne, historique, philosophique, théologique, le pilier auquel est lié, de façon indéfectible, le monde en décomposition. Elle édifie le New Age de la renaissance de l’Homme.
Quoi d’étonnant alors que la communauté juive mondiale ait exprimé, de diverses façons, sa vive satisfaction pour le déroulement silencieux de cette rencontre entre le pape François et ce que la pensée officielle retient comme l‘Indicible qui a jamais été commis dans les annales de l’humanité. Si la présidente de l’Union des communautés juives italiennes, Noémie De Segni, avait par avance salué « la sobriété » de la visite pontificale à Auschwitz, différentes personnalités juives ont choisi de la commenter le jour-même.
Ronald Lauder, le président du World Jewish Congress, a tenu à évoquer « un signal fort contre la haine ».
« Ne pas prononcer de discours, écrit-il dans une note diffusée par la presse, durant la visite s’est révélé un choix opportun, ainsi que de prier en silence avec qui aujourd’hui, en ces lieux, rendaient hommage à la mémoire de ces hommes, ces femmes et ces enfants tués dans le camp. Auschwitz est un avertissement permanent de ce qui peut arriver quand on consent à la haine de puissance, quand le monde reste en silence face au mal et regarde autre part quand des crimes indicibles sont commis à côté. »
Pour cette autorité juive morale mondiale, le pape François, nous dit-il est
« un des plus proches alliés que les juifs ont aujourd’hui dans la lutte contre l’anti-sémitisme, le fanatisme et la haine. Jamais au cours des derniers deux mille ans les relations entre nous n’ont été aussi étroites. Nous remercions le pape pour avoir été à Auschwitz. Sa visite envoie un signal important au monde pour que ce chapitre noir de l’histoire ne soit jamais oublié et la vérité sur ce qui est arrivé ne soit pas occultée. »
L’ex-président de l’Assemblée des Rabbins d’Italie, Elia Richetti, a témoigné également de son contentement. Il s’est dit frappé, outre par le silence qui a caractérisé la visite, par la décision du pape d’entrer et de sortir à pied du camp : « Ce sont des signes d’attention et de respect importants », convaincu par ailleurs que la sensibilité démontrée ait mis à l’abri cet événement « d’une quelconque forme d’instrumentalisation. »
« Cette visite a été une importante pro-mémoire pour le monde, sur combien profond peut être le manque d’humanité et sur la façon unique dont l’histoire juive témoigne de ce fait »
a expliqué de son côté, au Jérusalem Post, le rabbin David Rosen, le directeur pour les Affaires inter-religieuses de l’American Jewish Committee et le promoteur fervent de nombreuses initiatives de dialogue avec le Vatican.
Lui-aussi s’est extasié devant le silence de François qui les a tous conquis :
« Les seules paroles publiques qui ont résonné ont été celles du psaumes 130 et le Kaddish, pour mettre bien en évidence l’importance proprement juive de ce lieux. Surtout, la prière silencieuse a été une expression éloquente de combien les paroles sont inutiles face à de tels événements. Le silence parle de manière encore plus puissante. »
Et il ajoute, en conclusion, cette considération intéressante mais aussi lourde de conséquences futures pour la liberté de l’Église :
« Dans la tradition juive une chose qui se répète trois fois est une chazakah (une coutume qui acquiert une valeur légale). Aujourd’hui, ce sont bien trois papes qui ont visité Auschwitz. Je crois donc que dorénavant cela deviendra un passage obligé de chaque itinéraire pontifical. »
Subtil avertissement aux futurs pontifes inéluctablement voués à se soumettre, par « devoir de mémoire », aux lois et coutumes juives ?
Insinuation indirecte à l’inféodation actuelle des papes conciliaires à la communauté juive mondiale ?
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Prêtre égorgé : Le fou rire de Bernard Cazeneuve et François Fillon pendant la messe pour le père Hamel enflamme les réseaux sociaux
Publié par Guy Jovelin le 30 juikllet 2016
François Fillon et Bernard Cazeneuve ont bien ri pendant la messe d’hommage au Père Jacques Hamel, égorgé par deux terroristes.
Le 26 juillet, il n’y avait pas eu de place pour tout le monde à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Beaucoup de catholiques avaient été refoulés à l’entrée par des policiers. La priorité allait aux VIP, personnalités politiques diverses venues prendre la pose devant caméras et photographes.
Mais une messe dure visiblement trop longtemps pour que certains conservent le minimum de dignité qui s’impose dans de telles circonstances.
Bernard Cazeneuve et François Fillon ont donc échangé quelques plaisanteries. Mais les photos ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux et nombreux ont laissé éclater leur colère devant cette attitude scandaleuse de ces deux politiciens. Cela a pris à ce point d’ampleur que plusieurs médias ont fini par signaler la chose. Avec souvent un certain étonnement, non pas vis-à-vis de l’attitude des deux compères, mais à l’égard des réactions vives de nombreux Français outrés.
On parie que si la victime dans le cercueil avait été un rabbin, tout cela serait bien différent…
Source : medias-presse.info
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30 juillet… 1940. Création des « Chantiers de Jeunesse »
Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016
Le service militaire ayant été aboli dans les clauses de l’armistice, l’Etat français, sous l’égide du Maréchal Pétain, lança cette initiative sous le commandement du général de la Porte du Theil.
Elle se proposait « de donner aux jeunes hommes de France, toutes classes confondues, un complément d’éducation morale et virile qui, des mieux doués fera des chefs et de tous des hommes sains, honnêtes, communiant dans la ferveur d’une même foi nationale ».
Dans un premier temps, les jeunes hommes de la zone libre et de l’Afrique du Nord française en âge (20 ans) d’accomplir leurs obligations militaires y étaient incorporés pour un stage de six mois.
Ils vivaient en camps près de la nature, à la manière du scoutisme et accomplissaient des travaux d’intérêt général, notamment forestiers. L’ambiance était paramilitaire, le sens de la hiérarchie et du respect des chefs très développé, et bien sûr les valeurs de la Révolution nationale imprégnaient cette œuvre participant à l’effort de redressement national.
Relativement coupés des influences politiques (de la « Résistance » comme des partis collaborationnistes), les Chantiers étaient aussi vus par certains à Vichy comme le fer de lance d’une future armée qui pourrait éventuellement servir à libérer le territoire de l’Occupant. Par la suite, ils fournirent d’ailleurs aux forces alliées de nombreux hommes (pour autant souvent restés maréchalistes).
Infos complémentaires ici
Source : T. de Chassey
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vendredi, 29 juillet 2016
Taire le nom des assassins musulmans : les médias obéissent à BHL !
Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2016
BFMTV et Le Monde ont décidé de ne plus publier les photos des auteurs d’attentats «pour éviter d’éventuels effets de glorification posthume». La Croixet Europe 1 ont annoncé leur intention de ne pas rendre publique l’identité des terroristes.
Nous y voilà. Des journaux, des chaînes d’information en continu, des radios dont le métier est d’informer refusent donc maintenant d’informer le public sur ce qui se passe dans notre pays. Plus de portraits des salopards, plus d’identité avec ces prénoms tellement marqués outre-Méditerranée, plus de parcours (Syrie aller-retour, fiche S…)
Jusqu’où ira le déni de réalité?
Les manipulateurs de l’opinion publique veulent nous faire croire que leur stratégie de l’anonymat (rappelons-nous que Le Monde nommait ”Vladimir”, les artisans de la terreur quand ils portaient un prénom comme Souleymane) ralentira les vocations d’égorgeur, d’écraseur, de flingueurs. Ceux-ci ne pouvant plus s’identifier à des figures précises se contenteront certainement de partir à la chasse aux Pokémons dans les parcs et les rues de nos cités.
Comme le gouvernement refuse de lutter contre la terreur islamique au nom d’un Etat de droit flageolant –où est l’Etat de droit, quand je crains de me balader dans une rue, d’assister à un spectacle, de boire un café en terrasse parce que ma famille risque de passer au fil du couteau d’un Adel Kermiche, sous les roues d’un camion conduit par un Mohamed Lahouaiej Bouhlel, d’être balayée par les balles tirées par un Brahim Abdeslam?
Les médiacrates ont choisi de suivre le grand stratège Bernard-Henri Lévy.
Ne plus parler de la maladie pour la faire disparaître.
Cette ligne Maginot médiatique est vouée, grâce à Internet, à tenir bien moins longtemps que celle bétonnée de la fin des années 30.
Et nos penseurs du silence médiatique pensent-ils que les massacreurs musulmans de l’ouest à l’est de l’Afrique, que les saigneurs islamiques qui font couler des fleuves de sang et d’entrailles au Proche et au Moyen Orient, recherchent la Une des médias?
Peuvent-ils citer les noms, montrer les portraits de ceux qui se bousillent pour Boko Haram au Cameroun, au Niger, au Tchad, au Nigeria? Sont-ils capables d’identifier ceux qui s’éclatent à Nairobi, à Kaboul, à Bagdad?
Les djihadistes présents et futurs ne lisent pas Le Monde ou La Croix, n’écoutent pas Europe 1, ne regardent pas BFMTV, ils adulent leurs héros au sein de la “djihadosphère”. «Elle compte déjà de nombreux héros que le grand public ne connaît pas», dit très justement David Thomson, journaliste à RFI.
Une autre excuse pour cette autocensure est la protection du lecteur, du téléspectateur. Trop con pour voter correctement à un référendum, le voici trop con pour avoir la capacité de regarder les “Allahou akbar” à l’œuvre. Il pourrait faire le lien entre les tueurs et l’islam.
J’adore voir les irresponsables qui croient encore nous gouverner crever de trouille sur les écrans. Ils en appellent au ban et à l’arrière ban de la caste pour le bourrage de crâne quotidien sur le “Padamalgame”, le “Cèpaçalislam”, les vertus de l’amour et de la tolérance pour résister à la stratégie de la haine.
A travers eux, l’amour est en train de devenir un gros mot et la haine, un sentiment noble.
Ils courent de glas en glas sans demander pour qui il sonne. Parce qu’ils devinent qu’il sonne pour eux.
L’histoire de ce concordat politico-médiatique ne disant pas encore si ceux qui publieront les informations sur l’identité des assassins musulmans, les portraits de tueurs islamiques seront poursuivis par les tribunaux et leurs juges “mur des cons”, voici donc les portraits et les noms des deux dernières vermines (à ce jour) qui ont ensanglanté notre pays au nom d’Allah.
Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean
Marcus Graven
Source : ripostelaique
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Prêtre égorgé : le Pape appelle à accueillir plus d’immigrés et encourage les jeunes des JMJ à faire « du boucan » la nuit…
Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2016
Propos surréalistes du pape François à Cracovie : tout le monde est sous le choc en pensant au prêtre égorgé par deux djihadistes mais le pape demande d’accueillir encore plus d’immigrés et appelle les jeunes réunis pour les JMJ à faire « du boucan » toute la nuit.
Le pape invite les jeunes à faire du « boucan » aux JMJ
Source : medias-presse.info
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : cracovie, immigrés, pape françois, propos surréalistes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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