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mardi, 28 août 2018

Et la pédophilie au sein de la communauté juive…

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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La pédophilie est un crime abominable qui doit être réprimé avec la plus grande sévérité, cela ne fait aucun doute et il ne doit y avoir à ce sujet aucune exception. Or, si les médias dominants occidentaux ne manquent pas une occasion de faire leurs gros titres au sujet d’affaires de pédophilie impliquant des clercs catholiques, quitte à entretenir une confusion des chiffres en mêlant des affaires vieilles de 70 ans avec des dossiers actuels, ces mêmes médias dominants se font particulièrement muets au sujet de l’ampleur des scandales de pédophilie au sein des communautés juives.

Pourtant, il existe un organisme juif, Amudim, dirigé par le rabbin Zvi Gluck, qui traite particulièrement le sujet des abus sexuels pédophiles au sein de la communauté juive ultra-orthodoxe.

Depuis sa création en 2014, l’association Amudim a pris en charge environ 5.000 cas.

Le siège principal d’Amudim se trouve à New York, mais des bureaux ont récemment été ouverts en Israël. Et le rabbin Gluck explique qu’Amudim reçoit quotidiennement des appels du monde entier.

Le rabbin Gluck s’est d’abord intéressé au problème de la toxicomanie au sein de la communauté juive ultra-orthodoxe. « J’ai réalisé que beaucoup de gens que j’étais amené à aider avaient été victimes de violences sexuelles dans l’enfance et qu’il n’y avait pas vraiment de choses mises en place pour les aider », explique-t-il. « J’ai fait mon premier discours public sur ce sujet, qui a fait beaucoup de bruit dans la communauté juive, au mois d’octobre 2010. » Des propos qui n’ont pas plu au sein de sa communauté. Mais il précise : « mon père étant très influent, mes détracteurs n’ont pas pu s’exprimer publiquement contre moi », contrairement à un grand nombre d’autres personnes qui se sont attaquées aux scandales pédophiles au sein de la communauté juive et qui ont été chassées de leurs villes et traînées dans la boue.

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Mais ce n’est que depuis 2015 que l’association Amudim organise des conférences sur le sujet et met le doigt sur le problème de la pédophilie au sein des écoles juives orthodoxes.

Le rabbin Gluck souligne que le budget annuel d’Amudim est passé de 380.000 dollars en 2014, à 3,9 millions de dollars en 2017. Selon le rabbin, Amudim a déjà géré 2.166 cas au cours des six premiers mois de 2018 et reçoit 40 à 50 nouveaux dossiers chaque semaine et environ 200 appels par jour. Avant de préciser : « Entre 35 et 40 % de nos clients ne sont pas pratiquants. Nous travaillons désormais avec deux programmes laïcs en Israël. Je dirais que c’est davantage juif que religieux. »

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Source : medias-presse.info

mercredi, 18 avril 2018

Justice ou harcèlement indécent ?

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2018

 

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 Bernard Plouvier

Il est évident pour tout observateur goy que la haine vengeresse de la communauté juive reste pleine et entière à propos de la Shoah. Cela peut se comprendre même si d’autres génocides n’ont bénéficié ni de la même publicité ni des mêmes réparations : on pense au génocide des peuples de l’antique Canaan, à celui des Allemands au cours de la Guerre de trente ans (1618-1648), à celui – tellement occulté en France - des « Vendéens », exterminés en 1793-94 etc.

L’Ancien Testament nous l’apprend : toute offense faite à la « race élue de Yahvé » doit se payer de flots de sang et sur le très long terme. Toutefois, nous autres Européens ne vivons pas au Moyen-Orient et ne sommes pas régis par le Code d’Hammourabi et sa resucée mosaïque. Il est une certaine décence à respecter.    

Que le génocide d’une partie des Juifs d’Europe ait été l’une de ces monstruosités historiques, au même titre que les abominables tueries de civils entraînées par toutes les guerres (lisez ou relisez L’Exode et le Livre de Josué, les descriptions hallucinantes des tueries des soudards ottomans à Constantinople et en terres danubiennes, de ceux de Napoléon Ier en Espagne, de ceux de Sherman et de Sheridan dans les États confédérés), nul ne le conteste, hormis quelques hallucinés.

Que les révisionnistes aient eu raison de contester les chiffres grotesques énoncés par l’accusation au Tribunal Militaire Interallié de Nuremberg, nul ne peut désormais le contester. Pour l’exemple d’Auschwitz, énorme complexe concentrationnaire, un accusateur made in USA évoquait « 4 millions de morts, dont au moins 2 millions de Juifs ». On sait maintenant que, fort heureusement, les chiffres, tout en étant considérables, effroyables, n’avaient pas cet ordre de grandeur hallucinant : on évoque 1 million de morts (plus ou moins 100 000, car il s’agit d’une estimation et nullement d’une certitude) de toutes nationalités et ethnies.

Que les années 1939-1945 n’aient pas été des années d’humanisme, mais bien au contraire une époque horrible de fer, de feu et de sang, tout le monde le sait. Mais les Allemands n’eurent en aucun cas le monopole du carnage et de l’horreur.

On aurait pu s’attendre à ce que durant la 2e décennie du XXIe siècle, des esprits mûrs, sensés, réfléchis évitent d’en « remettre une couche », puisqu’après tout nous sommes saturés de ce « devoir de mémoire » qui n’a nullement empêché de se produire une multitude de guerres et de génocides depuis 1945. Et d’autant moins que la communauté juive a été saturée de commémorations, de réparations pécuniaires, et de traitements de faveur par les media, au point que nul, en Occident, n’ose attaquer un Juif coupable de crapuleries sexuelles ou de canailleries financières et que l’État d’Israël est statutairement innocent de tout crime.

Et pourtant, l’année 2015, l’on a condamné à 4 ans de prison un aide-comptable d’Auschwitz : Oskar Gröning. Il est mort en mars 2018, à 96 ans, juste avant son incarcération. Calculons : s’il avait survécu au harcèlement judiciaire, il aurait été libéré pour ses Cent Ans !

Et l’on remet cela. L’on s’attaque à un ex-SS, qui avait 19 ans lorsqu’il servait comme garde à Auschwitz. Cet homme de 94 ans doit être prochainement traduit devant le Tribunal des mineurs de Mannheim - la majorité pénale était de 21 ans en Allemagne nazie.

Va-t-on enfin rendre à la Justice européenne un peu de décence ? Certes, les « crimes contre l’humanité » sont imprescriptibles, en vertu d’une loi à caractère rétroactif. Mais dans ce cas, citons devant une Cour internationale les mânes de messieurs Moïse et Josué, Gengis Khan et Tamerlan, et tous les assassins marxistes : « Lénine », « Trotski », « Staline », Kaganovitch, Mao Tsé-toung, « Pol Pot », Castro et on en oublie.

Il n’est nullement question d’oublier les génocides si nombreux de l’histoire d’Homo sapiens sapiens, l’assassin de l’Homo sapiens neandertalensis. Mais doit-on continuer à ridiculiser la « Justice » européenne ? C’est une bonne question.

 

Source : synthesenationale

samedi, 30 juillet 2016

Auschwitz, le silence du pape François et la satisfaction de la communauté juive

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016

papefrançois auschwitzIl est des morts qu’on oublie, il est des morts qu’on « mémorise »!

En séjour en Pologne pour les JMJ, le pape François a fait une visite obligée au camp de concentration d’Auschwitz, hier, vendredi 29 juillet 2016. A la suite de Jean-Paul II et de Benoît XVI qui pareillement, lors de leur voyage apostolique en cette terre martyr de la barbarie communiste, s’étaient sentis dans l’obligation d’aller faire « leur devoir de mémoire », sous les caméras internationales, en ce lieu symbole de la deuxième Guerre Mondiale pour la communauté juive.

Dans un pays qui a connu jusqu’à récemment la terrible dictature communiste athée avec son cortège funèbre de martyrs, de morts, d’horreurs indicibles, cette monstrueuse idéologie messianique pour la régénérescence de l’humanité qui a fait de la Pologne et autres pays satellites de l’URSS de vastes camps de concentration à ciel ouvert, cette sélection mémorielle de la part des papes conciliaires laisse songeur. Y aurait-il des morts plus importants que d’autres, des lieux devenus sacrés pour l’éternité et des forêts de Katyn à oublier, une histoire, marxiste, à enterrer au nom de la paix, et une autre, fasciste, à raviver sans cesse au nom de cette même paix ?

Avant 1945, le sacrifice de la Croix, que l’on croyait ou non en Jésus-Christ Fils de Dieu incarné, était l’événement central de l’histoire humaine, le Drame unique qui a bouleversé le monde et manifesté un nouvel âge. Au cours du XXe siècle finissant, le monde s’est déporté du Calvaire à Auschwitz. L’holocauste juif a supplanté la Croix de Jésus-Christ. La Shoah, le dogme unique, se dresse sur l’humanité. Elle est l’axe autour duquel s’articule toute la vie politique, civile, religieuse des peuples et des nations, la colonne vertébrale sur laquelle repose toute la pensée post-moderne, historique, philosophique, théologique, le pilier auquel est lié, de façon indéfectible, le monde en décomposition. Elle édifie le New Age de la renaissance de l’Homme.

Quoi d’étonnant alors que la communauté juive mondiale ait exprimé, de diverses façons, sa vive satisfaction pour le déroulement silencieux de cette rencontre entre le pape François et ce que la pensée officielle retient comme l‘Indicible qui a jamais été commis dans les annales de l’humanité. Si la présidente de l’Union des communautés juives italiennes, Noémie De Segni, avait par avance salué « la sobriété » de la visite pontificale à Auschwitz, différentes personnalités juives ont choisi de la commenter le jour-même.

Ronald Lauder, le président du World Jewish Congress, a tenu à évoquer « un signal fort contre la haine ».

« Ne pas prononcer de discours, écrit-il dans une note diffusée par la presse, durant la visite s’est révélé un choix opportun, ainsi que de prier en silence avec qui aujourd’hui, en ces lieux, rendaient hommage à la mémoire de ces hommes, ces femmes et ces enfants tués dans le camp. Auschwitz est un avertissement permanent de ce qui peut arriver quand on consent à la haine de puissance, quand le monde reste en silence face au mal et regarde autre part quand des crimes indicibles sont commis à côté. »

Pour cette autorité juive morale mondiale, le pape François, nous dit-il est

« un des plus proches alliés que les juifs ont aujourd’hui dans la lutte contre l’anti-sémitisme, le fanatisme et la haine. Jamais au cours des derniers deux mille ans les relations entre nous n’ont été aussi étroites. Nous remercions le pape pour avoir été à Auschwitz. Sa visite envoie un signal important au monde pour que ce chapitre noir de l’histoire ne soit jamais oublié et la vérité sur ce qui est arrivé ne soit pas occultée. »

L’ex-président de l’Assemblée des Rabbins d’Italie, Elia Richetti, a témoigné également de son contentement. Il s’est dit frappé, outre par le silence qui a caractérisé la visite, par la décision du pape d’entrer et de sortir à pied du camp : « Ce sont des signes d’attention et de respect importants », convaincu par ailleurs que la sensibilité démontrée ait mis à l’abri cet événement « d’une quelconque forme d’instrumentalisation. »

« Cette visite a été une importante pro-mémoire pour le monde, sur combien profond peut être le manque d’humanité et sur la façon unique dont l’histoire juive témoigne de ce fait »

a expliqué de son côté, au Jérusalem Post, le rabbin David Rosen, le directeur pour les Affaires inter-religieuses de l’American Jewish Committee et le promoteur fervent de nombreuses initiatives de dialogue avec le Vatican.

Lui-aussi s’est extasié devant le silence de François qui les a tous conquis :

« Les seules paroles publiques qui ont résonné ont été celles du psaumes 130 et le Kaddish, pour mettre bien en évidence l’importance proprement juive de ce lieux. Surtout, la prière silencieuse a été une expression éloquente de combien les paroles sont inutiles face à de tels événements. Le silence parle de manière encore plus puissante. »

Et il ajoute, en conclusion, cette considération intéressante mais aussi lourde de conséquences futures pour la liberté de l’Église :

« Dans la tradition juive une chose qui se répète trois fois est une chazakah (une coutume qui acquiert une valeur légale). Aujourd’hui, ce sont bien trois papes qui ont visité Auschwitz. Je crois donc que dorénavant cela deviendra un passage obligé de chaque itinéraire pontifical. »

Subtil avertissement aux futurs pontifes inéluctablement voués à se soumettre, par « devoir de mémoire », aux lois et coutumes juives ?

Insinuation indirecte à l’inféodation actuelle des papes conciliaires à la communauté juive mondiale ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info