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jeudi, 16 juin 2016

Bras d'honneur de Pogba : le mail de BeIN pour ne pas diffuser les images

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

Le milieur de terrain français Paul Pogba célèbre la victoire des siens après leur match contre l'Albanie, à Marseille, le 15 juin 2016.

(AFP/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT)
Le mail est tombé rapidement, peu de temps après la fin du match France-Albanie (2-0). A 00h04 exactement. Il émane de la direction de la chaîne et demande à tous les journalistes «de ne pas diffuser la "vilaine" image de Paul Pogba». Evoquant clairementle «bras d'honneur» du joueur après le but de Payet, la direction justifie une non-diffusion des images, que seul BeIN Sports détient, pour éviter de «provoquer des polémiques inutiles avec le staff et les joueurs de l'équipe». Le mail se termine par un «Allez les Bleus».

Interrogé par l'Equipe, Florent Houzot, le directeur de la rédaction de beIN Sports, dit assumer son choix, et ce mail. « J’ai pris la décision hier soir dans le feu de l’action de ne pas diffuser cette séquence dans notre magazine d’après-match. (...) Nous sommes supporters de l’équipe de France (...) Je préfère rester positif ». 

La capture d'écran du bras d'honneur de Paul Pogba est apparue tard mercredi soir sur les réseaux sociaux, postée par un journaliste qui a eu accès aux images d'une caméra isolée sur le joueur français. Ces dernières n'ont jamais été diffusées à l'antenne. Très vite retirée, la photo a continué à circuler sur les réseaux sociaux. 

 

 – DR

Contactée, la chaîne BeINSport n'était pas disponible pour répondre à nos questions. Même silence du côté du service de communication des Bleus, dont les joueurs, rappelons-le, sont soumis à une charte de bonne conduite. 

 

  Le Parisien

La Guerre de Libération nationale qui vient...

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

Photo tirée du compte Facebook non authentifié de Larossi Abballa, FACEBOOK / AFP 

par François Davin

Une réaction sur laquelle on pourra débattre

JBD Résolution 150.jpgAujourd'hui, en France, l'une de ces milliers de taupes, qui attendent le message (c'était « on y va » pour les assassins du 13 novembre) vient de passer à l'action, tuant à l'arme blanche un commandant de police et son épouse, travaillant elle-même dans la police : il s'agit de Larossi Abballa, et l'assassinat a été revendiqué par Daech.

On sait que cette horreur n'est pas la première : il y a eu Mohammed Merah, Sid Ahmed Glam, la décapitation de Saint Quentin Falavier, Mehdi Nemouche, les frères Kouachi, la bande du 13 novembre (Abaoud, les Abdeslam, Abrimi..) et d'autres encore.

Tous ont, à leur façon, obéi à Abou Mohamed al Adnani, le porte-parole de Daech, qui a appellé au meurtre de civils français et américains : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le...»

Mais, à chaque fois, on nous bassine avec des « c'est un Français », « ils sont tous Français », expression dans laquelle le crétinisme le plus pur le dispute au mépris le plus absolu du public : non, il ne s'agit pas de « Français », mais de « français de plastique », titulaires d'un petit rectangle plastifié, appelé CNI dans le jargon technocratique. Cette Carte Nationale d'Identité, le Système, dans sa haine insensée de notre passé (« du passé faisons table rase ! ») et dans sa volonté de défranciser la Nation, la distribue dans l'inconscience la plus stupéfiante, depuis les Décrets Chirac de regroupement familial de 1976 *.

Français, ils ne l'ont jamais été, ils ne le sont pas et ne le seront jamais, d'abord, et tout simplement parce qu'ils ne veulent surtout pas l'être. Ce qu'ils veulent, c'est que le monde - en général - et la France - en particulier - deviennent musulmans. Ce qu'ils veulent, c'est étendre le « Dar el Islam » (le monde gouverné par l'Islam) dans tout le « Dar el Harb » (le reste du monde, l'ensemble des pays où la guerre contre les mécréants - koufars - est juste et nécessaire, afin de les faire devenir musulmans) : et, s'ils arrivent à leur but, ces bons apôtres de « la religion de paix et d'amour » (mon oeil ! lisez le Coran, vous serez servis en termes de haine et de violence...) nous feront vivre à "leur" façon.

Ces gens-là n'auraient jamais dû venir naître en France, et encore moins devenir - légalement, certes, mais pas légitimement - Français. Maintenant que le mal est fait, il faut le réparer. Mais, il ne faut pas se leurrer : ce n'est certes pas du Système, qui a créé ce problème, que viendra la solution. Au point où les choses en sont arrivées, les solutions classiques, qui sont connues**, ne suffiront même plus. Il faut avoir la lucidité et le courage de regarder les choses en face, et d'appeler les choses par leur nom : ce vers quoi nous nous dirigeons, c'est :

soit la prise du pouvoir lente, puis de plus en plus rapide (voir Houellebecq) du pouvoir, en France, par l'Islam. Alors ne nous resteront que les trois possibilitésoffertes (!) aux non-musulmans en pays d'Islam :

1. nous convertir à l'Islam,

2. ou être tués par les nouveaux maîtres,

3. ou devenir des « dhimmis », c'est-à-dire des citoyens de seconde zone, aux droits très fortement restreints, quand il leur en reste (à titre d'exemple, voyez le sort des Coptes, en Egypte...)

soit, enfin, une réaction décisive du peuple de France, une insurrection, en vue de reconquérir notre territoire, de le libérer de  ces populations allogènes dont nous n'avons jamais souhaité la présence chez nous et qui sont comme un corps étranger dans le pays.

Bref, ce sursaut, ce sera une guerre de Libération nationale; une guerre de Libération du territoire. Une de plus, dans notre Histoire déjà longue. Et peut-être pas la plus facile, mais il faut savoir ce que l'on veut et ce que l'on ne veut pas; ce que l'on veut devenir et ce que l'on ne veut pas devenir. Et agir en conséquence. Aujourd'hui, c'est clair, les choses ayant empiré pour en arriver au point de rupture où nous en sommes, nous devons nous préparer mentalement et moralement car ce ne sont pas des vacances au soleil qui nous attendent. 

 

* Le « regroupement familial » est une décision suicidaire prise par le Décret du 29 avril 1976 : à partir de ce jour-là, et de ce décret là, le regroupement familial fut rendu légal, et institutionnalisé. Dans les circonstances présentes, il est clair que le regroupement familial doit être suspendu.

** En vrac, quelques unes de ces « solutions classiques » :

• arrêter d'abord immédiatement toute arrivée nouvelle d'étrangers en provenance notamment d'Afrique du Nord ou subsaharienne (300.000 entrées par an à l'heure actuelle...);

• changer et durcir nos lois, afin de déchoir de la nationalité française tout individu ayant le moindre lien avec le terrorisme islamique, et l'expulser immédiatement du territoire national; et donc aussi vider nos prisons des 50, 60, 70 voire 80% d'étrangers ou de naturalisés - dans certaines - qui s'y trouvent pour acte(s) lié(s) de près ou de loin au terrorisme musulman...;

• examiner tous les dossiers de naturalisation depuis les scélérats "décrets Chirac" de 1976, et annuler tous ceux dans lesquels on trouvera le moindre vice de forme, déclaration insincère ou autre fausse information...

• déchoir aussi toute personne dont on saura qu'elle vit en dehors de nos lois (polygamie, excision...), comme on le sait par le genre de vidéo suivante, scandale révélé par David Pujadas au JT de France2, à 20heures : folies de la republique ideologique.wmv

 

Source : lafautearousseau

Retour à Maurras : « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague ... »

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

L’hospitalité 

Il s'agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n'y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu'aux humbles maisons de nos particuliers. Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d'un grand peuple civilisé. Avant d'hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n'existerons bientôt plus si nous continuons d'aller de ce train. (…) Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.

(…) La jeune France d'aujourd'hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l'ouvrier français, le savant, l'écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L'étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c'est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu'une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n'ayant aucun intérêt à nous diminuer par l'ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l'intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d'une histoire incomparable, d'un territoire sans rival, d'un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain. 

 

Charles Maurras  

L’Action française, 6 juillet 1912

 

Source : lafautearousseau

Vietnam : la police interrompt une messe et frappe les fidèles

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

police-vietnam

Dans la province vietnamienne de Lao Cai, au moins 30 agents du gouvernement ont pris d’assaut une maison faisant office d’église, frappant les fidèles et empêchant la célébration de la messe.
L’opération de police a eu lieu il y a deux jours dans le district de Mung Khuong. Le Père Van Thanh Nguyn officiait quand la police lui a ordonné de suspendre la célébration. Les agents ont expulsé les fidèles du lieu de culte, les battant et arrêtant deux personnes, dont un jeune de 14 ans.

Trn T.T, témoin, raconte : «Parmi les policiers qui ont pris d’assaut la place, il y avait Nguyn QUC Huong, vice-président du district, et deux vice-présidents d’organisations gouvernementales« . Selon Phan T.L, qui été aussi présent, c’était Huong « qui a ordonné à la police de venir à l’église. »

Les agents ont menacé les paroissiens et ont ordonné au Père Van Thành de se rendre au siège de la police pour y être « interrogé ».

Les autorités communistes de Lao Cai ont multiplié les menaces et les violences contre la minorité chrétienne. Elles ne permettent pas l’enregistrement de lieux de culte, considérant illégale toute célébration chrétienne qui a lieu. Certains paroissiens racontent que plusieurs fois, il a été demandé aux autorités locales la possibilité de construire une petite église, mais que cela a toujours été refusé. Par conséquent, ils louent des maisons pour y célébrer la messe.

La police affirme que le prêtre n’a pas le droit de célébrer une messe ni les paroissiens celui d’y participer. Quand elle trouve un lieu où se célèbre le culte, la police accuse le prêtre de troubler l’ordre public. 

Malgré ces persécutions, les fidèles des zones montagneuses du nord ne se résignent pas : «Nous espérons que le gouvernement va finir par accepter que nous ayons une église. Chaque jour, nous célébrons la messe et prions pour nos familles et la société « .

« Je suis catholique. Je l’ai signalé aux autorités, et j’ai dit que je voulais faire don de ma propriété pour la construction de l’église. On ne me le permet pas « , raconte Tm TT.

 

Source : medias-presse.info

Racisme à sens unique ? A une quinzaine contre deux, la photo qui parle

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

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Commentaire de la photo: « Karim Bensadia, alias le rappeur marseillais K-Rhyme le Roi, au centre avec un t-shirt bleu, crâne rasé.« 

Cette photo parue sur La Provence aujourd’hui  à 11h49 sous le titre: « Violences : K-Rhyme le Roi en garde à vue » avec ce commentaire :

« Selon nos informations exclusives, Karim Bensadia, alias le rappeur marseillais K-Rhyme le Roi, 46 ans, a été placé en garde à vue hier soir. Il lui est reproché d’avoir été impliqué dans la guerilla urbaine qui s’est déroulée sur le Vieux-Port, ce samedi à Marseille. Comme on peut le constater sur diverses photos de presse, il aurait à minima jeté des bouteilles de bières en verre. »

A qui appartiennent les deux corps blancs allongés inertes au milieu de cette horde joyeuse?  Dans quel état les victimes ont-elles été extirpées? Au moment de la photo ils étaient au moins quatre, sur la quinzaine, à leur administrer des coups de pied. Le reste de la bande a-t-il été arrêté?

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info