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vendredi, 18 mars 2016

Mœurs d’importation : plusieurs cas de chats torturés et brûlés à l’acide secouent Bagnolet

Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2016

17 mars 2016 par admin4

« Le dos à vif. Fin février, Maria, une habitante de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), découvre dans la rue, une chatte entre la vie et la mort. L’animal est brûlé jusqu’à l’os sur 50 % de son corps par ce qui ressemble à des jets d’acide, relate Le Parisien. Maria décide alors d’appeler une association de protection des animaux.
L’association de l’école des chats intervient et prend en charge la chatte. La première d’une longue série. La présidente de l’association va en effet devoir gérer de nombreux cas similaires, en l’espace de quinze jours.

Moustache, un mâle adulte tigré marron est aussi retrouvé par l’association, brûlé au 3e degré sur 40 % de la surface de son corps. Dans le même temps, la première chatte, ne s’en sort pas. Elle est euthanasiée. Moustache, lui, est encore en convalescence.
Selon les informations du Parisien, le 10 mars, un autre chaton femelle est retrouvé, pour les mêmes causes, avec 40 % de la surface de son corps brûlé au 3e degré. Deux autres animaux sont également retrouvés dans le même état. »

source 20minutes.fr via fds

Le PSG qatari menace de bétonner trois cents hectares de terres historiques

Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2016

17 mars 2016 par admin4

 

 

 

 

 

 

 

le propriétaire du PSG

Site d’une grande richesse géologique, le domaine de Grignon (Yvelines) est un lieu de recherche historique agronomique, poumon vert de bonnes terres. Mais l’Etat veut vendre le terrain, sans doute au club de football Paris-Saint-Germain. La résistance grandit contre ce nouveau gaspillage de terres.

Que vaut un château du XVIIe siècle face à la promesse d’un vestiaire pour stars du football ? Combien de fossiles du lutétien pour une place de parking où rivaliseront les grosses cylindrées ? À Thiverval-Grignon (Yvelines), la terre pourrait bientôt se changer en pelouses synthétiques, et les tubes à essai en crampons.

C’est sur ce site, en grande partie consacrée à l’enseignement agricole depuis la création de l’Institution royale agronomique en 1826, que le club de football Paris Saint-Germain (PSG) nourrirait son prochain rêve de grandeur : après avoir constitué l’une des meilleures équipes de football du monde, le Qatar, propriétaire du PSG depuis 2011, veut désormais investir dans un nouveau centre d’entraînement.

Source et suite

jeudi, 17 mars 2016

LE DESSIN DU JOUR !

leblogalupus

Quand Bécassine déradicalise

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

La planète socialo-bisou n’en finit plus de croire au père Noël.

La planète socialo-bisou n’en finit plus de croire au père Noël. Fidèle à son principe de théorie enchanteresse appliquée au réel, voici venir les centres de déradicalisation. Le principe en est simple. Étape 1 : le radicalisé arrive avec des idées de djihad plein la tête. Étape 2 : dans une pièce du centre, un spécialiste lui enlève ces mauvaises idées avec un tire-bouchon. Étape 3 : le sujet repart bien soulagé en chantant « la Marseillaise ».

Plus moderne, la formule « tunnel de lavage » sera employée pour les contaminés les plus récalcitrants. Le sujet entrera d’un côté puis ressortira à l’autre bout, propre comme un sous neuf, rasé de près et débarrassé de ses pulsion sanguinaires. Le soir, bon papa Hollande viendra lui expliquer que « c’est pas bien de se faire exploser dans la rue parce que ça en met partout et que après, Anne Hidalgo, elle a un mal de chien à tout ravoir ». Anne Hidalgo, présentée en « mère Denis » du terrorisme est une image qui marque l’islamiste débutant.

À quelle altitude de naïveté ou de bêtise faut-il planer pour croire à la faculté d’un simple « stage » à transformer de fond en comble le mental d’un individu ? Qui est venu à bout de la Scientologie et autres « Temple solaire » ?

Le sketch de la déradicalisation débutera vraiment lorsque les tenants du concept nous auront dévoilé la manière dont ils comptent s’y prendre. Lobotomie ? Projection d’images façon auto-école ? Photo d’une explosion : pas bien. Photo d’une femme sans niqab : bien. Photo d’égorgement : oh la la… pas bien ! Bécassine appuie sur le bouton du projecteur de diapos… Les pensionnaires se marrent. Nourris logés gratis par le gouvernement français. La niaiserie socialo atteint un sommet.

D’après un article de Libération, le nouveau centre de Bordeaux emploierait quatre personnes. Une coordinatrice juriste (?), une psychologue clinicienne (aux commandes du tire-bouchon), une autre psy, spécialisée dans l’emprise mentale et, bouquet final, une stagiaire. Allez, avouez… C’est une caméra cachée ! Quatre femmes, de surcroît ! Il fallait y penser. Et Bécassine, que fait-elle exactement ? Elle est directrice. OK. Dans ce cas, le concept est cohérent.

Le plus drôle serait que le phénomène s’inverse et que tout ce joli monde parte en Syrie conquis par le discours pro-Daech des pensionnaires. Mais n’anticipons pas, la rigolade ne fait que commencer.

Libération va plus loin et dévoile le gag final qui confirme l’errance du projet : pas question de révéler où ces personnes travaillent. L’adresse des locaux mis à disposition par la Communauté urbaine ne doit pas être divulguée. Et les membres de l’association… ne veulent pas dévoiler en détail les méthodes qu’ils emploient. Tu parles ! L’enfumage serait trop voyant. Que peuvent-ils raconter, à part s’emmêler les pinceaux dans un discours au bout duquel, comme disait Coluche, l’interviewer ne comprendrait même plus la question qu’il a posée ? Bécassine, tu as du pain sur la planche.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Pédophilie : la presse de gauche amnésique ?

Publié par Guyb Jovelin le 17 mars 2016

Il y a de quoi rester pantois devant l’impunité d’une certaine caste d’intouchables, celle des intellectuels de gauche.

Libération publiait, mardi, un article au vitriol dénonçant, à juste titre, les actes pédophiles ô combien honteux d’une minorité de prêtres catholiques et la non moins honteuse couverture qui leur aurait été offerte – la justice n’a pas statué – par le cardinal Barbarin.

À la lecture de cet article, on est néanmoins en droit de se demander si les journalistes, et en particulier ceux de la presse subventionnée aux ordres du Parti socialiste, souffrent d’amnésie ou se moquent ostensiblement de leurs lecteurs toujours moins nombreux.

En effet, il y a de quoi rester pantois devant l’impunité d’une certaine caste d’intouchables, celle des intellectuels de gauche. Spécifiquement face au crime terrible qu’est la pédophilie, peut-être le pire d’entre tous. Nombre d’entre eux ont, par le passé, franchi la ligne rouge en assouvissant et en assumant ouvertement leurs plus abjectes pulsions sans jamais être inquiétés par la justice ni freinés dans leurs carrières respectives.

Revenons sur les faits, au hasard de ma connaissance, qui bien entendu est loin, très loin d’être exhaustive.

En 1977, trois inculpés pour attentat à la pudeur sur mineur de moins de 15 ans (excusez du peu) croupissent à la place qui est la leur, à savoir en prison, et ce depuis trois ans. Un certain nombre de personnages, parmi lesquels Guy Hocquenghem, Patrice Chéreau, Philippe Sollers et Gabriel Matzneff, de grands penseurs français, mais aussi Jack Lang, Bernard Kouchner, ex-ministres de la République, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, deux philosophes portés au pinacle pour leurs combats ainsi que leurs écrits, signent une tribune de soutien dans Le Monde, parue le 26 janvier 1977 sous le titre « Trois ans de prison pour des caresses et un baiser, ça suffit ! »

Quelques temps plus tard, Libération publie un long papier titré « Apprenons l’amour à nos enfants », à l’illustration tristement non équivoque. Je me garderai bien de la publier ici, mais grâce à notre ami Google, elle demeure assez simple à retrouver pour ceux qui auraient la curiosité et le courage de chercher.

On verra aussi, au début des années 80, le même journal Libération donner la parole à un certain Jacques Dugué, pédophile notoire arrêté un peu plus tard dans le cadre d’une affaire de viol et de pornographie enfantine (là encore, excusez du peu), et militer ouvertement pour la sexualisation des enfants à travers des articles de son fondateur Serge July, qui défendait l’idée que l’on puisse aimer des enfants physiquement. Bien entendu, quiconque se permettra d’émettre la moindre critique quant à la morale douteuse de telles pratiques sera aussitôt accusé d’être réactionnaire. Déjà, à l’époque, les vieilles méthodes de terrorisme intellectuel étaient utilisées.

Évidemment, il ne faudrait pas omettre l’inénarrable Daniel Cohn-Bendit, dit Dany le rouge, chef de file des Verts et député européen, qui se vante à travers son livre Le Grand Bazar se faire ouvrir la braguette et chatouiller par des enfants, et d’en être tout excité.

Tout cela est passé de mode vers la seconde moitié des années 80. Probablement le monde n’était-il pas prêt, que voulez-vous : les « réacs » et les « bourgeois » avaient triomphé pour cette fois. Néanmoins, le mal était fait. Et comme je le disais plus haut, aucun de ces individus n’a été inquiété. Pire encore : tous ont été érigés en « grands » de leur époque et ont occupé, voire occupent encore, les plus hautes fonctions politico-médiatiques et dispensent à tout va leurs vérités absolues et autres leçons de morale comme si de rien n’était.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/