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jeudi, 17 mars 2016

ANTIRACISME ET BARBAROPHILIE (par Christian Leblanc)

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

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« Il faut que les gens S’INTÈGRENT ! »…


Voilà… le grand mot est lâché !

Mais s’intégrer ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
Savoir utiliser notre civilisation ne veut pas dire savoir la produire… loin de là !
Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, qu’on le veuille ou non, une civilisation est TOUJOURS le fait d’une race.
Les individus d’une même race ont TOUS, génétiquement, un « je-ne-sais-quoi », quelque chose d’à la fois imperceptible, fragile, délicat et permanent, un « je-ne-sais-quoi » qui fait que…
C’est presque indicible mais c’est bien réel et ce « quelque-chose-qui-fait-que » inhérent à chaque individu d’une même race et multiplié par des millions, automatiquement, va produire une civilisation particulière.
Civilisation qui va s’écrouler dès que la race s’éteindra. Egyptiens, grecs et romains en ont fait la triste expérience.
Leurs élites, tout comme la nôtre ont cru que…
Elles ont cru que les barbares, s’intégrant peu à peu allaient perpétuer leur civilisation.
Il n’en fut rien !

« S’intégrer » ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
On peut très bien apprendre à conduire une auto et l’utiliser parfaitement sans être du tout capable de la construire.
C’est malheureusement cela l’intégration : on singe les gestes, les idées, l’âme, et… sitôt que le modèle disparaît, tout s’écroule.

Il en est de même des civilisations. L’immense majorité des barbares qui s’« intègrent », aujourd’hui, chez nous, c’est-à-dire qui utilisent notre civilisation sont parfaitement incapables de la produire.
Ce ne sont même pas des paysans. Ils ne sont pas capables de nous faire manger. Par contre, manger, ça ils savent le faire.
Ils utilisent très bien, nos outils, nos machines, nos inventions, nos créations, nos découvertes, nos principes, nos lois, mais… mais-mais-mais… ce n’est pas ça… ils n’inventeront pas, ne créeront pas, n’innoveront pas, dans aucun domaine.
Ils se contenteront d’utiliser au mieux notre civilisation, de la faire fonctionner, sans rien y apporter de nouveau, sans même assurer sa maintenance, et elle se dégradera peu à peu, jusqu’à s’étioler et mourir.

Il y a de tout chez les Blancs. Des nuls, des bons-à-rien, des paresseux, des parasites, des voyous, comme des doués, des honnêtes gens, des travailleurs, des génies…
Mais il est une constante au plus profond de nous, quelque chose que nous possédons quasiment tous dans nos gènes à des degrés divers et qui fait notre particularité : LA PHILANTHROPIE.
Toutes nos inventions, toutes nos réalisations, matérielles, humaines, sociales sont frappées au coing de la philanthropie : outils, machines, véhicules, constructions, ouvrages d’arts…

Tout est dirigé, non pas comme autrefois, pour le plaisir et le bien-être d’un puissant ou d’un notable, mais pour le plaisir et le bien-être du groupe, des siens.
Tous les objets qui peuplent notre quotidien et toutes les lois qui régissent le groupe ont pour but de faciliter la vie de chacun et nous rendre plus heureux.
Tous nos efforts, toutes nos activités, même si la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, tendent à cela : rendre chacun plus heureux.
Le nazisme lui-même procédait de la philanthropie. Une philanthropie à sens unique bien sûr, mais philanthropie tout de même… rien ni personne n’est parfait.
La philanthropie est le trait dominant de notre race.
Jamais aucune race ne le fut plus que la nôtre, et… aucune, jusqu’à ce jour ne l’est plus.

Nous n’y sommes pour rien, nous n’avons aucun mérite particulier, mais c’est un fait, c’est la vie, c’est comme ça, c’est notre nature, un point c’est tout et vouloir métisser à tout prix notre race sous prétexte que certains singent parfaitement nos gestes et nos idées est une pure illusion, une illusion catastrophique.
On n’intègre pas des briques et des parpaings et des galets dans un mur de pierres sans être obligé de le briser ici et là, jusqu’à ce qu’il s’écroule.

Le pilote de ligne a beau être très fin, très intelligent, très compétent… ce n’est pas lui qui a construit l’avion. Quand il y aura plus de pilotes que de constructeurs d’avions il n’y aura plus aucun vol.
Je ne jette la pierre à personne. Les barbares sont les barbares et nous sommes ce que nous sommes, c’est ainsi et ni les uns ni les autres n’y peuvent rien.
Certains ex-barbares, les asiatiques, en nous copiant, sont arrivés à nous égaler et même à nous dépasser… mais CHEZ EUX, en restant « ENTRE EUX ».

Cessons de nous mentir à nous-mêmes… chacun sait très bien que le métissage a toujours été synonyme de chaos.

Je sais très bien ce qui va nous arriver si nous laissons les clefs de notre civilisation aux barbares… Nous le savons d’ailleurs TOUS très bien, même ceux qui font semblant de ne pas le savoir.

Je veux bien des savants, mais les miens !
Je veux bien des chercheurs, mais les miens !
Je veux bien des musiciens, mais les miens !
Je veux bien des artistes, mais les miens !
Je veux bien des paysans, mais les miens !
Je veux bien des ouvriers, mais les miens !
Je veux bien des techniciens, mais les miens !
Je veux bien des ingénieurs, mais les miens !
Je veux bien des docteurs, mais les miens !
Je veux bien des génies, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez nous qu’il serait bien dommage de nous métisser.

Je veux bien des nuls, mais les miens !
Je veux bien des paresseux, mais les miens !
Je veux bien des bons à rien, mais les miens !
Je veux bien des parasites, mais les miens !
Je veux bien des voyous, mais les miens !
Je veux bien des handicapés, mais les miens !
Je veux bien des cas-sociaux, mais les miens !
Je veux bien des mystiques azimutés, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez les barbares qu’il serait bien dommage de nous métisser… c’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont barbares.

L’intégration est un mirage !

Ils ont des gens exceptionnels… Bon, d’accord ! Eh bien qu’ils se les gardent, ils en ont bien besoin. Et qu’ils se bâtissent une civilisation bien à eux, sur LEUR territoire.
Grand bien leur fasse. Et qu’ils nous foutent la paix !
Il existe partout des gens doués pour faire de la musique, d’autres doués pour faire des maths, d’autres doués pour l’invention, d’autres pour l’entreprise, d’autres pour le sport, etc.
Il n’y a pas grand mérite à être doué. C’est comme ça, c’est la vie. On ne peut que s’incliner devant les faits.

Malheureusement il en est des peuples comme des gens.
Certains sont doués pour créer, fabriquer, produire, organiser, bâtir. C’est un fait. On ne peut que s’incliner devant cela.
Quand je vois ce que certains peuples ont fait chez eux, et quand je les vois accourir ventre à terre chez nous… C’EST PROPREMENT EFFRAYANT !
Aujourd’hui, toutes les races du monde accourent pour se métisser avec la nôtre.
C’est très gratifiant et honorant… pour sûr.

Pour eux nous sommes « GRANDS »… ils ne cessent de nous le dire.
Malheureusement, CHEZ NOUS, des millions et des millions de « petits » en mal de grandeur, de stupides en mal d’intelligence, d’ordinaires en mal d’exceptionnel, d’éteints en mal de lumière, de pas-beaux ou de pas-belles en mal de beauté, ronronnent de plaisir et sont prêts à accueillir le monde entier avec la largesse, l’altruisme et la magnanimité qui sied à leur immense, incontestable et incontestée noblesse.
Ils ne peuvent résister au plaisir d’être… enfin… « GRANDS », et bien sûr, de nous toiser du haut de leur toute-petitesse.
La barbarophilie qui flatte l’ego des gens a pour effet de les élever soudain et comme par magie au-dessus de la masse.
Malheureusement pour tous ces doux rêveurs, ces dangereux doux rêveurs,« Tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute ! » et la barbarophilie ne les rend pas plus grands.
Ce n’est qu’un vulgaire tabouret que n’importe quel barbare, le jour venu, leur retirera d’un simple coup de pied…

Je ne sais pas ce qui est arrivé en Égypte du temps de sa grande décadence… du temps de ses pharaons sémites ou noirs…
La barbarophilie existait-elle ?  Sans doute… puisqu’elle a existé de façon flagrante et criante du temps de la décadence des grecs anciens et des latins.
Déjà vers les années 500 avant JC, le grec Hérodote, grand voyageur, inventeur de l’Histoire et pratiquement de l’ethnologie, fut le précurseur de la barbarophilie grecque.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il ne côtoyait réellement que l’élite barbare…
Il avait donc remarqué que les barbares n’étaient pas si stupides qu’on l’imaginait, et qu’il y avait des gens très fins et très bien dans leurs rangs.

En fait, comme tout bon « intellectuel » qui se respecte, comme un bon BHL, il avait découvert l’eau chaude. Il avait découvert que dans un groupe réputé intelligent tout le monde n’était pas intelligent et que dans un groupe réputé con tout le monde n’était pas con.
La notion de proportion, en toute chose, n’était pas encore née : proportion de globules rouges ou blancs dans le sang, d’oxygène dans l’air, de sel dans un plat, d’intelligents ou de cons dans un groupe, etc., etc., etc.
Ses récits et œuvres furent donc tous empreints d’une certaine barbarophilie… barbarophilie qui s’hypertrophia tant et tant au cours des siècles qu’elle finit par étouffer tout amour-propre chez les Grecs jusqu’à Alexandre le Grand qui l’érigea en règle de vie, effaça son propre peuple et abattit sa propre civilisation du même coup.

Idem pour Rome.
À l’époque des grandes infiltrations barbares et de la grande décadence, il était de bon ton de s’habiller de peau d’ours comme les Gaulois ou les Germains, de porter une épée franque à la ceinture, de se décolorer les cheveux à l’eau de chaux, d’émailler son vocabulaire de quelques mots typiquement barbares et de promouvoir les barbares plutôt que les latins chaque fois qu’on le pouvait. Cela faisait tellement « classe » !
Sans compter le premier concept anti-race et anti-nation de l’histoire qui rongeait l’empire de l’intérieur. Concept fait pour l’infiltration et la domination des grands peuples par les juifs : le christianisme : « Nous sommes tous frères, donnez tout, soyez pauvres, si l’on vous attaque ne vous défendez pas…».

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Barbarophilie et christianisme…
Rome ne s’en relèvera pas.

Nous sommes dans le même cas de figure.

Barbarophilie galopante et antiracisme marxiste forcené et très “mode”, nous livrent pieds et poings liés à tous les charognards de l’humanité. Nous aussi sommes bons pour la décadence, l’écroulement et le pillage… décadence, écroulement et pillage, mais… TRÈS “CLASSE” bien entendu, comme tout le monde peut s’en douter.

RESISTERONS-NOUS ?

Oui, mais à une seule condition : nous devons prendre conscience de ce terrible cancer qui a tué et qui continue à tuer les grands peuples, TOUS les grands peuples : L’ANTIRACISME !

 

N’oubliez pas, n’oubliez JAMAIS
ce que l’ANTIRACISME a fait de l’Égypte, de la Grèce et de Rome…

CHRISTIAN LEBLANC

Un conseiller départemental FN, opposant à Marine Le Pen, exclu du parti

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

L'utilisation des "kits de campagne"  a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017.
L'utilisation des "kits de campagne" a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017. PHOTO/AFP Patrick Kovarik

Le Front national du Var a annoncé mercredi l'exclusion définitive du parti d'extrême droite de Damien Guttierez, un conseiller départemental qui avait critiqué Marine Le Pen et le système de kits de campagne payants fournis aux candidats aux élections locales.

Le parti lui demande "de se démettre des mandats qui lui avaient été (...) confiés par les électeurs de notre mouvement", a déclaré le secrétaire départemental Frédéric Boccaletti dans un communiqué. M. Guittierez est élu au conseil municipal de la Seyne-sur-Mer et au conseil départemental du Var.

Dénonçant des propos "aussi ridicules qu'outranciers à l'encontre du Front national" tenus par M. Guttierez dans la presse, le responsable frontiste souligne qu'après avoir été suspendu pour deux ans, il n'avait "pas hésité à réitérer ses allégations sous la pression d'un ego qu'il ne contrôle manifestement plus".

Interrogé par l'AFP, M. Guttierez a affirmé qu'il ne démissionnerait pas de ses mandats : "je ne suis pas un salarié du FN" mais un élu, a-t-il souligné.

Le conflit entre le FN et l'élu varois avait débuté en novembre, lorsque M. Guttierez avait évoqué notamment les "kits Jeanne", ces kits électoraux proposés aux candidats FN lors des dernières élections locales. M. Guttierez soutenait avoir été "obligé" d'acheter ces kits pour obtenir l'investiture du parti, soit un investissement selon lui de 15.000 euros aux municipales puis 8.000 euros aux départementales.

L'utilisation de ces kits de campagne par le Front national lors des législatives de 2012 est l'un des principaux éléments d'une enquête judiciaire sur le financement des campagnes électorales du parti. Close en janvier, elle a valu à Marine Le Pen un placement sous le statut de témoin assisté et fait peser sur le FN la menace d'un renvoi en procès avant la présidentielle de 2017. M. Guttierez avait également annoncé vouloir se présenter en 2017 à la présidence du Front national contre Marine Le Pen.

 

Source : http://www.lindependant.fr/

mercredi, 16 mars 2016

Syrie : Qué pasa, Vladimir ?

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2016

Qué pasa, Vladimir ?

15 Mars 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus Chroniques du Grand Jeu

En annonçant le retrait d’une partie des forces russes de Syrie, Poutine vient encore de prendre tout le monde par surprise. Et déjà affleurent les commentaires étonnés, médusés ou cyniques.

Certains de se demander « pourquoi et pourquoi maintenant ? », alors que la Russie et ses alliés sont en plein momentum comme on dirait en rugby, en plein élan victorieux. Certes, l’intervention russe a considérablement changé la donne sur et autour du terrain, et rarement autant aura été achevé avec aussi peu (moins de 50 avions, une broutille). Mais tout de même, pourquoi s’arrêter en si bon chemin, pourquoi ne pas en remettre une petite couche supplémentaire ?

Il est vrai que l’explication officielle – « les objectifs ont été globalement remplis » et cela « stimulera le processus de paix » – ne convainc qu’à moitié.

Passons sur les « La Russie est ruinée » ou « Poutine abandonne Assad » qui prêtent à sourire. Plus intéressantes sont les tentatives d’explication faisant état d’un accord avec les Etats-Unis chargés, en contrepartie, de mettre leur véto à toute velléité d’intervention turque ou saoudienne. Voire un accord secret avec Riyad : J’arrête de bombarder tes rebelles, tu diminues ta production de pétrole pour faire remonter les prix. Mais là encore, le doute subsiste : les Saoudo-turcs ne pouvaient de toute façon pas intervenir sous peine d’une guerre ouverte avec la Russie qui aurait très mal tourné pour eux.

Au-delà de placer la Russie au centre des négociations de paix, il y a peut-être (mais allez savoir avec ce diable d’homme) une explication beaucoup plus simple à la décision de Poutine. Le choix des mots est à étudier ici avec soin : « le retrait de la majeure partie des forces russes de Syrie » + « les bases navales et aériennes russes près de Lattaquié et à Tartous continueront à opérer normalement ».

Numériquement, le gros des troupes est constitué du bataillon d’infanterie qui protège la base aérienne ainsi que des conseillers militaires et sans doute des forces spéciales russes présentes sur le terrain. Toutes tâches qui peuvent, maintenant que la situation militaire s’est retournée et que la province de Lattaquié a été sécurisée, être assurées par l’armée syrienne ou les milices alliées. Mais les avions, les navires et les systèmes de défense anti-aérienne resteront, ce qui est évidemment la seule chose qui compte sur le plan militaire. L’annonce du président russe serait donc un non-événement, destiné à l’opinion russe mais ne changeant rien à l’état des forces sur le terrain.

 

Leblogalupus

Il y a 1392 ans, l’islam commençait son expansion par la violence

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2016

invasionde safouan

15/03/2016 – MONDE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

En effet, le 15 mars 624, l’islam, alors âgé de seulement deux ans remportait son premier succès militaire avec l’invasion victorieuse de Safouan.
Cette conquête personnelle de Mahomet marque le début des grandes conquêtes musulmanes, par lesquelles l’islam parviendra à asseoir sa domination en moins d’un siècle.
En 635, les guerriers d’Allah envahissent la Syrie.
En 639, ils prennent l’Arménie et l’Égypte.
En 651, c’est toute la Perse qui tombe aux mains des musulmans, suivie en 709 par l’Asie du Sud et l’Afrique du Nord et en 718 par la péninsule Ibérique.
La France échappe à l’invasion musulmane par la Grâce de Charles Martel, qui arrête les Arabes à Poitiers en 732.

 

Source : http://fr.novopress.info/

mardi, 15 mars 2016

Askolovitch se prend pour le pape et demande la démission de Barbarin

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2016

Un "éditorialiste" peut-il excommunier un chrétien ?

Pour ceux qui ne connaissent pas encore « Asko », rappelons son époustouflant parcours médiatique, tous médias confondus : Radio Shalom, Sciences et Vie, RFO, Le Matin de Paris, Le Sport, Europe 1, L’Evènement du jeudi, Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Journal du Dimanche,Le Point, I-Télé, France 2, RTL, La Chaîne Parlementaire, Arte (28 Minutes), Bein Sports (Le Club). Il ne manque plus que les Chtis à Miami sur NRJ12 et Le Journal de la santé sur France 5, avec Michel Cymes et la fille Carrère d’Encausse. Il se peut même qu’un jour, vu la fuite des cerveaux qui touche actuellement TPMP (Touche pas à mon poste), Asko trouve un siège à la droite du Fils (Hanouna).

À chaque fois qu’on lit, regarde ou entend Asko, c’est le grand art du journaliste qui a son avis sur tout porté à son point le plus haut. Maître des contre-pieds à l’idéologie dominante qui retombe toujours sur ses pattes sionistes, ce fan de foot ne loupe pas une occasion de se frayer une place sous la lumière médiatique. Il peut parler de Benzema, des attentats, de DSK (un pote), de Nabilla ou d’Obama avec la faconde d’un pilier de bistrot qui vient de gagner à un jeu de grattage devant tous ses potes après une troisième tournée générale.

 

 

La complexité pour les nuls

En fait, vous l’aurez compris, le sujet il s’en fout, du moment qu’il peut tchatcher et vendre sa camelote – c’est-à-dire lui-même – en direct. Le produit, c’est « Asko », le reste n’est qu’un prétexte. Pour être précis, Asko vend de l’intelligence des choses, une vision du monde, mais ramenée au niveau des téléspectateurs compulsifs. Comprenons par là des gens qui s’emmerdent mais qui ne veulent pas s’emmerder avec de la complexité anxiogène.

Comparativement à Haziza, Asko est posé, intelligent, rationnel et honnête. En même temps, Haziza cumule tellement de défauts et de manquements professionnels qu’il est facile de glorifier Asko à côté. Cette semaine, Asko s’en prend à Mgr Barbarin, l’archevêque de Lyon, le primat des Gaules, et pilier de la France catholique. Il a notamment jumelé l’archidiocèse de Lyon avec le diocèse de Mossoul, pour montrer son attachement aux chrétiens persécutés en Orient. Malgré la stature morale de l’homme, Asko exécute Barbarin en trois coups de cuiller à pot, écoutez ça :

« C’est un intellectuel c’est un homme engagé, il s’engage pour toutes les thématiques de l’église, il s’était engagé il était au premier rang des manifestations contre le mariage pour tous par exemple, en 2013, il en disait même parfois des bêtises »

Le présentateur d’I-Télé en plateau surenchérit, et demande à Asko-qui-sait-tout :

« Et ça veut dire que l’église doit couper des têtes pour se sauver elle-même ? »

 

Étant farouchement attachés à la liberté d’expression, nous ne demanderons ni la tête (nous ne sommes pas des barbares) ni la démission d’Asko (nous ne sommes pas des inquisiteurs), seulement de s’occuper de ses affaires, par exemple du retour de Benzema dans l’équipe de France, à trois mois de l’Euro.
Un revirement louche qui sent encore une fois le désastre : vu le pedigree du maître-chanteur à la sex-tape, il ne nous étonnerait pas que les Bleus, sur une telle base morale, se fassent exploser en France. Attention, il ne s’agit pas d’explosion terroriste, malgré les risques, que nos dirigeants nous rappellent chaque jour entre deux décisions liberticides, uniquement d’explosion sportive. Le ménage reste à faire chez les dirigeants des Bleus, et accessoirement, chez les dirigeants des Français.

 

Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr/