Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 13 mars 2016

Une majorité de Français souhaite un référendum sur la sortie de la France de l’UE

Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2016

12 mars 2016 par Pierrot

Afficher l'image d'origineIl faut bien sûr se méfier des sondages mais cela traduit une tendance.

« Une majorité de Français (53 %) souhaite un référendum sur le maintien ou non de la France dans l’Union européenne (UE), à l’instar de celui prévu au Royaume-Uni le 23 juin. C’est l’une des révélations de l’enquête menée début février auprès de 8 000 électeurs dans six pays de l’Union (Allemagne, France, Pologne, Irlande, Espagne et Suède) par l’université d’Edimbourg et le cercle de réflexion allemand D/part. »

Cette étude, publiée jeudi 10 mars, est la première à rendre compte de l’état des opinions publiques européennes à l’égard du débat ouvert au Royaume-Uni. De tous les Européens interrogés, les Français sont les plus favorables à la sortie du Royaume-Uni de l’UE, et, en même temps, les plus enclins à réclamer des mesures anti-immigration.

D’ailleurs, les Français, comme les Suédois, seraient nombreux à estimer que l’économie britannique bénéficierait d’un Brexit. Tandis que les Allemands seraient 56 % à s’attendre à des effets négatifs pour les Britanniques, les Français ne seraient que 27 %.

32 % des Français seraient partisans de priver les étrangers européens de prestations sociales pendant les quatre premières années de leur séjour (23 % des Allemands et seulement 17 % des Suédois), tandis que 25 % des Français ou supposés tels défendraient le principe de droits sociaux immédiats.

source et détails

Une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d’aujourd’hui

Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2016

12 mars 2016 par Pierrot

Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. Tandis que, dans les pays développés, nos apports en calories augmentent, la plupart des aliments non transformés que nous consommons – fruits, légumes et céréales – deviennent des coquilles vides sur le plan nutritionnel.

Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et aujourd’hui, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments.

Ces travaux, résumés dans l’étude «  Still No Free Lunch  » [PDF] de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute, confirment l’essor de la «  calorie vide  »  : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé.

Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisés par deux, par 25, voire par 100, en un demi-siècle.

Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 50, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette  !

Vitamine C : une pomme hier = 100 pommes aujourd’hui

Lire la suite

19 mars : la commémoration de la honte

 

19mars1962« La mémoire n’est pas seulement un devoir, c’est aussi une quête » (Commandant Hélie de Saint-Marc –  » Les champs de braises « ).

Dans quelques jours, les ennemis de la France commémoreront dans la honte et le déshonneur, les « accords d’Evian » du 19 mars 1962. Pour eux, cette date funeste représente la « victoire » du FLN – leur allié d’alors – sur « l’odieux colonialiste »… sans la moindre pensée pour ces milliers de jeunes soldats, d’Européens et de musulmans assassinés tout au long de ces huit années de guerre.            

« Je consens que mon frère est mort ; c’est la loi commune. Ce qui me révolte, c’est l’arrogance de ses assassins », écrivait Christopher Marlowe dans « Edouard II ».

Ce qui me révolte, c’est cette arrogance despotique qu’affiche, depuis 60 ans, ce milieu gauchisant représentant l’anti-France, pour qui la colonisation française ne fut qu’« agression » et « souffrance » envers les « pauvres musulmans marchant à coups de trique » (sic). C’est proprement odieux !       Alors que les meilleurs soldats que la France ait jamais eus tombaient chaque jour dans cette sordide guerre et au moment même où leur sacrifice lui permettait de relever la tête et d’émerger d’une longue série de défaites, cette intelligentsia gauchiste – qui de tout temps a pris le parti de l’étranger – n’eut de cesse de soutenir la cause des écorcheurs du FLN. Ce sont ces mêmes souteneurs que l’on retrouve aujourd’hui sous la bannière NPA, PC, Verts, CGT, FNACA… flanqués de leurs satellites « humanistes » champions des « droits de l’homme ».

Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau, les enfants déchiquetés par les bombes, les femmes violées puis éventrées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises déjà en Indochine, ne révoltent pas les consciences contre les criminels, mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré »… Et si les survivants excédés ou terrorisés prennent les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulèvent contre eux l’unanimité des censeurs.

La honte ne se raconte pas : elle s’encaisse !

José CASTANO

Blagnac : un passager au profil inquiétant monte dans l'avion armé d'un couteau !

Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2016 

Le passager a été débarqué une première fois avant de l'être définitivement./Photo D.R
Le passager a été débarqué une première fois avant de l'être définitivement./Photo D.R

On ne sait toujours pas qu'elles étaient les intentions de ce passager anglais qui a réussi, vendredi soir, à l'aéroport de Blagnac, à embarquer avec un couteau à bord du vol Easyjet à destination de Bristol en Angleterre. Selon nos informations, cette arme blanche, de type Papillon, était dotée d'une lame longue de 6 à 7 cm. Les passagers ne sont pas près d'oublier ce vol, déjà commencé de manière peu rassurante. «Lorsque nous sommes montés dans l'avion, relate une passagère encore étonnée, on nous a expliqué que durant le vol l'un des moteurs ferait du bruit à cause d'un problème technique mais qu'il ne fallait pas nous inquiéter». Et, les choses n'ont pas tardé à se corser.

Sur le coup de 20 h 45, alors que l'avion devait décoller à 20 h 30, des agents de la police aux frontières font subitement irruption dans l'aéronef pour contrôler un passager d'une cinquantaine d'années qui avait pris place à l'avant de la cabine. «C'est là qu'ils ont trouvé le couteau dans son bagage à main, poursuit la voyageuse. Il a été invité à descendre de l'avion, ce qu'il a calmement accepté de faire, et nous sommes restés de longues minutes à attendre». Une demi-heure plus tard, les services de sécurité l'ont fait remonter à bord. «Comme la plupart des passagers, ajoute cette Tarnaise qui vit à Bristol, je me suis dit qu'on n'avait donc rien à lui reprocher, qu'il n'avait donc pas le profil de quelqu'un de dangereux, de suspect».

«Un problème de sécurité majeur», pour le commandant de bord

Comment les policiers ont-ils été informés de la présence de cette arme blanche dans sa valise ? Quelles étaient les intentions de ce passager ? Hier, la police, que la Dépêche du Midi a sollicitée, n'a pas souhaité s'exprimer «pour l'instant». Alors que tout le monde à bord pensait que l'avion allait pouvoir enfin partir, le chef de cabine a annoncé que le créneau horaire «étant dépassé» il fallait encore attendre quelques minutes avant de décoller.

«Peu après, relate un autre passager, une dame est allée voir l'hôtesse pour lui faire part que l'homme qui avait été débarqué quelques instants plus tôt avait tenu des propos très inquiétants dans l'aérogare». Selon cette femme, mais aussi une autre personne, il aurait dit «pouvoir faire tomber l'avion s'il le voulait». La police est alors de nouveau intervenue pour faire descendre définitivement ce «drôle» de passager.

Alors que l'inquiétude gagnait les voyageurs qui, jusque-là, avaient fait preuve d'un sang-froid remarquable, le commandant de bord a déclaré en anglais et depuis son cockpit, qu'«un problème de sécurité majeur venait de se produire et qu'un passager armé d'un couteau doté d'une lame de 6 à 7 cm avait dû être débarqué». C'est avec deux heures de retard que l'avion a finalement atterri en Angleterre. «Pour pas mal d'entre nous, ce fut un vol très angoissant» regrettent plusieurs usagers de la compagnie. Une enquête aurait été ouverte pour déterminer les raisons de ce dysfonctionnement sécuritaire et cerner la personnalité de ce passager au profil pour le moins trouble.


A Nantes, il transportait un arsenal

Il y a quatre jours, à l'aéroport de Nantes, un ancien militaire français radicalisé a pris l'avion pour Fes (Maroc) avec un véritable arsenal dans son bagage placé en soute. Au Maroc, la police a découvert : une machette, quatre couteaux, deux canifs, une matraque rétractable, une cagoule noire et plus étonnant encore… une bonbonne de gaz. A priori, rien d'illégal selon la préfecture de Loire-Atlantique, qui affirme que les détecteurs électroniques de bagages en soute ont bien fonctionné au départ. De quoi, malgré tout, quand même s'inquiéter.

samedi, 12 mars 2016

Ce que cache la loi El Khomri ? La réponse est vers la Mecque

Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2016

cheval-de-troie

Sous ses airs bonasses, son visage placide et sa démarche chaloupée, Myriam El Khomri cache quelque-chose…

Prise en défaut d’incompétence au micro de Jean-Jacques Bourdin le 10 novembre 2015, – moue hésitante et réponses embrouillées, battements de paupières sur un regard vacant – elle reste malgré tout sereine.

Le poste qu’elle occupe la surpasse, mais à 16 mois des présidentielles, sa position ne peut être remise en cause. C’est une bosseuse, des dossiers l’attendent aux fins de mettre en place une loi révolutionnaire, « ma loi » comme elle dit.

Elle n’est pas là pour réciter le code du travail au demeurant illisible, puisqu’elle est là pour le changer, radicalement.

Et d’ailleurs, pour échapper définitivement à toute critique, l’après-midi, dans la cours de l’Elysée, toujours face au micro de BFMTV, elle se cabre et tacle l’ancien président Sarkozy de ne pas avoir fait la différence entre les chiites et les sunnites…. Ca évidemment, c’est grave….

Au fil des jours et des semaines, face aux caméras et micros, cette apprentie ministre prouve qu’elle finit par apprendre quelques bribes du métier.

Elle préside d’interminables réunions préparatoires de « ma loi » qu’elle fera passer éventuellement en force avec le 49 -3, sans consulter les principaux intéressés qui d’ailleurs se retrouvent aujourd’hui dans la rue….

Mais elle ne se démonte pas : « C’est une loi essentielle pour notre pays, pour mon pays ». Mon pays, notre pays…évidemment. Autrefois présidents et ministres disaient : « C’est une loi essentielle pour la France » ou « essentielle pour ce pays».

L’économie française est à la traîne, les patrons hésitent à recruter, il faut davantage de souplesse, les entreprises toutes tailles confondues, les startups et la droite la veulent cette loi.

Une odeur nauséabonde traîne dans les couloirs du palais : Hollande se terre, il est au chevet de Bruxelles, la légion d’Honneur remise au prince salafiste est dénoncée, la loi El Khomri n’est même pas parue, qu’elle est déjà rejetée en bloc. Les français sont dans la rue dans l’attente que « ça explose », la SNCF fait grève le jour du concours de l’agrégation, les parents d’élèves et leurs enfants vivent la décadence quotidienne que leur a concoctée ‘Pimprenelle’ alias Najat Vallaud Belkacem, qui vient de faire une sortie peu élégante sur les ‘bruits de chiottes’ d’une improbable démission de Valls si la loi de réforme du Code du travail n’est pas approuvée – par les députés de gauche s’entend – car la droite elle, est prête à la voter et l’attend de pied ferme.

Pour soutenir Dreuz financièrement, cliquez sur Paypal.Dreuz et choisissez le montant de votre don.

le projet de loi travail dit El Khomri, pose comme principe essentiel le respect des convictions religieuses

Malika Sorel aurait très certainement fait une brillante ministre de l’Education nationale et probablement une ministre du travail compétente.

Dans un article paru hier dans le FigaroVox, elle vient nous éclairer sur un point passé inaperçu de la future loi El Khomri : Dans son préambule, le projet de loi travail dit El Khomri, pose comme principe essentiel le respect des convictions religieuses.

Le nouveau Code du travail affirmerait en effet «la liberté pour le salarié de manifester ses convictions y compris religieuses ».

Selon Malika Sorel :

« On se retrouve avec un outil de ‘déstabilisation massive’, ‘une insécurité juridique aussi bien pour les entreprises que pour les salariés’.« 

Elle cite l’exemple bien connue de la RATP, devenue une entreprise communautaire islamique, et les constats faits en avril 2015 par l’Observatoire du fait religieux en entreprise et l’Institut Randstad : les conflits religieux se sont multipliés dans les entreprises.

C’est ainsi que l’article 6 de la dite loi stipule que :

« la liberté du salarié de manifester ses convictions, y compris religieuses, ne peut connaître de restrictions que si elles sont justifiées par l’exercice d’autres libertés et droits fondamentaux ou par les nécessités du bon fonctionnement de l’entreprise et si elles sont proportionnées au but recherché. »

Cet article 6 risque bien de créer un trouble majeur au sein des entreprises d’un pays qui en connaît déjà suffisamment. Le gouvernement aura là encore manqué une belle occasion d’affirmer et de défendre le principe de la laïcité. Mais le veut-il encore ?

On vient d’apprendre que dans les rangs de la police française se trouvent des islamistes qui prônent la Charia, exigent des temps de prières, manifestent leur admiration pour l’Etat Islamique refusent certaines missions comme la protection d’une synagogue ou l’intervention dans certaines manifestations, mais ils portent des armes…. Même chose dans l’armée française. Pas de quoi rassurer les Français.

Dans les hôpitaux d’état, voilà des années que la Charia fait la loi… et que le personnel est tenu de respecter les diktats des patients « intransigeants ».

S’il restait encore un lieu où l’islam se devait d’être tenu à l’écart, c’est bien l’entreprise privée. Mais avec cette loi – si personne ne la conteste – la boîte de Pandore sera définitivement ouverte et les patrons auront perdu encore un peu plus de contrôle de leurs entreprises.

Pourtant, 76% des Français, selon une enquête IFOP de décembre 2015, se déclarent favorables à l’interdiction du port de signes religieux ostensibles dans les entreprises privées.

Il suffisait au projet de loi El Khomri d’afficher une neutralité souveraine sur cette question, puisque nous sommes un état laïque et de droit et que la religion reste un choix privé, et«laisser au besoin le soin aux entreprises de se doter d’un règlement intérieur qui leur permette de se protéger, comme ont su le faire aussi bien l’entreprise Paprec que la crèche Baby Loup», souligne Malika Sorel, qui signale d’autres points de litige dans la future loi : les contrats de CDI qui tendent à précariser le salarié qui deviendrait ‘jetable’, et de conclure :

« Pour l’emploi, la réponse serait la loi El Khomri, et pour l’Europe, l’enterrement des nations qu’appellent de leurs vœux tant de dirigeants européens qui, dans un remake des Bourgeois de Calais, abandonnent les clés de nos frontières à la Turquie tout en déposant à ses pieds, en guise d’offrande, quelques milliards d’euros et la suppression des visas pour ses 75 millions de ressortissants.»

La nouvelle loi, si elle tend à alléger les entreprises d’une partie des charges et du fardeau des contrats de salariés, risque bien de plomber leur travail avec des pressions et des tensions communautaristes, et à renforcer au niveau national la tendance à asseoir les bases d’une république religieuse islamo-compatible. On ne peut le nier, ces tendances sont en train de naître en France, et aussi à n’en pas douter dans toute l’Europe.

Cet aspect de la loi n’a pour l’instant pas soulevé de contestations notables au niveau des syndicats, dont les islamistes représentent une part non négligeable de la clientèle, du patronat qui se terre et n’a pas accès aux médias et des journalistes, qui sont islamophiles et immigrationnistes jusqu’au suicide.

Myriam El Khomri, sous ses airs bonasses, fait-elle entrer ‘le Cheval de Troie’ ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Nancy Verdier pour Dreuz.info.