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jeudi, 28 mai 2015

La télé-réalité : toujours plus loin, toujours plus crade, toujours plus bête ! (par Marie Delarue)

 

 Publié par Johanna

La téléréalité se veut aujourd’hui didactique. Elle pense – ou du moins fait-elle comme si – avoir une mission éducative envers les populations, et je ne parle pas là des pratiques du coït primal chez les Kevin et les Cindy face caméra. Non, la télé-réalité prétend enseigner aux populations les grands faits historiques « par imprégnation ». Un peu comme la prof de philo baba cool qui nous emmenait passer le cours au bistrot en face du lycée et écrivait dans le cahier de classe « Étude de milieu » (elle était prof principale).

On a ainsi appris hier qu’une chaîne de télévision belge venait de racheter les droits d’un « concept de télé-réalité australienne plaçant les candidats dans une position de réfugiés migrants ». L’émission porte un joli nom : « Go back to where you came from », c’est-à-dire « Retourne d’où tu viens », lancée au pays des kangourous en 2012. Un truc sympa où six candidats, migrant d’Australie vers le Kenya, la Somalie, l’Irak ou encore l’Afghanistan et peut-être la Libye, vivent « les mêmes déboires que les vrais réfugiés : traversée à bord de frêles embarcations, arrivée dans des camps de réfugiés sans argent, sans papiers ni téléphone. Les candidats vont à la rencontre des vrais réfugiés, partagent leur quotidien et affrontent les préjugés. L’exposition à des défis physiques et émotionnels semble être au cœur du concept. » Ah ben oui ! Avec 15 caméras pour les suivre, un staff médical et sans doute quelques agents des compagnies d’assurance auprès desquelles on n’aura pas manqué de les inscrire avant d’entreprendre cette grande aventure.

Aujourd’hui, on découvre que la chaîne publique TC, de la télévision tchèque, a lancé depuis samedi « Dovolená v Protektorátu » (« Vacances dans le protectorat »). Le concept : réunir trois générations d’une même famille, les engueniller comme à l’époque et leur faire revivre le délicieux temps de l’occupation nazie, en 1939. « La production a engagé des acteurs qui incarnent des soldats allemands ou des agents de la Gestapo chargés d’espionner et d’intimider sept candidats », nous explique-t-on. C’est vrai que revivre la persécution des Juifs et des Tziganes, c’est drôlement fun !

La productrice de l’émission, Zora Cejnkova, se défend toutefois de tout mauvais goût. Elle explique : « Nous sommes conscients qu’évoquer cette période de troubles est sujet à controverse. Mais nous pensons qu’il n’y a rien de mal à faire cette émission, sachant que nous faisons très attention à ce que certaines règles éthiques et la réalité historique soient respectées. » Comment dire, chère Madame, voyez-vous, cela n’est pas de nature à nous rassurer. En effet, si vous tenez à respecter la réalité historique à la lettre, il va aussi vous falloir rouvrir les camps et entraîner quelques comédiens zélés à pratiquer la torture !

La connerie et son corollaire l’appât du gain étant sans doute aussi vastes que l’insondable univers, l’actuelle télé-réalité est en voie de dépasser ce qu’on imaginait de pire dans les fictions d’hier. Demain, c’est sûr, on aura un concours de bourreaux, peut-être l’élection de Miss Gégène. Et le plus grave, c’est qu’il y aura toujours du monde pour regarder !

Source : http://www.bvoltaire.fr

mercredi, 27 mai 2015

Rapport sur la SNCF : plusieurs lignes de Midi-Pyrénées concernées

Publié par Guy Jovelin

Un rapport remis ce mardi au gouvernement sur l'avenir de trains de nuit et d'Intercité met sur la sellette certaines parties de lignes passant en Midi-Pyrénées. Certaines mais pas toutes. Premiers arbitrages du ministère des Transports attendus fin juin, décisions finales mi-2016.

© Eric Marlot / France 3 Midi-Pyrénées

© Eric Marlot / France 3 Midi-Pyrénées

Le rapport préconise de supprimer les Intercités, ou trains d'équilibre du territoire (TET) sur cinq tronçons de lignes, sur lesquelles il existe des dessertes TGV ou TER : pour Midi-Pyrénées sont concernés Toulouse-Cerbère, et Bordeaux-Toulouse. Dans le reste de la France Marseille-Nice et Saint-Quentin-Cambrai.

Ainsi :
- La liaison Bordeaux-Nice (via Toulouse) deviendrait un Toulouse-Marseille avec la disparition des tronçons Bordeaux-Toulouse et Marseille-Nice
- Le Quimper-Toulouse deviendrait un Nantes-Bordeaux avec là aussi la suppression des parties entre Quimper et Nantes et entre Bordeaux et Toulouse
- Le remplacement de la Toulouse-Hendaye par des autocars : cette liaison est également assurées par des TER. Ainsi, ces derniers conserveraient
les liaisons de cabotage, reliant les petites gares, tandis que les déplacements plus directs entre les deux grandes agglomérations se feraient sur route, grâce à la présence dans ces deux cas d'une "infrastructure autoroutière de très bonne qualité".

Le rapport recommande également de ne conserver que quatre lignes de trains Intercités de nuit - au départ de Paris et à destination de Rodez, Toulouse, Briançon et Latour-de-Carol - soulignant que ces liaisons sont coûteuses et peuvent être substituées par des offres alternatives et parfois plus rapides (train ou avion le jour, ou autocar la nuit).

A l'inverse, elle préconise "un renforcement de l'offre ferroviaire (...) associé à une meilleure utilisation du matériel roulant", sur "les lignes dont le résultat
économique est aujourd'hui en-deçà de leur potentiel réel"
, entre autres Paris-Clermont-Ferrand, Paris-Amiens, Nantes-Lyon, Paris-Limoges, Paris-Caen ou encore Bordeaux-Marseille.


Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies a indiqué que le gouvernement prendrait de premières décisions avant la fin du mois de juin avant des décisions "complètes et cohérentes" mi-2016.

Toulouse. Sans permis, il percute une voiture de policiers et tente de les écraser

Publié par Guy Jovelin

Refusant un contrôle, un conducteur s'est lancé dans une course-poursuite avec la police, mercredi 27 mai, à Toulouse. Les fonctionnaires ont dû faire usage de leur Flash-Ball.

Dernière mise à jour : 27/05/2015 à 14:54

police nationaleLes policiers ont arrêter un conducteur qui tentait de les écraser (Photo Flickr/CC/Police)

L’histoire qui s’est déroulée dans la nuit du mardi 26 au mercredi 27 mai 2015 aurait pu très mal finir. Il était 4 h 20 du matin, dans le quartier de la Faourette, à l’angle de la rue de Mayenne et de la rue de la Sarthe, à Toulouse, quand des policiers ont voulu procéder au contrôle d’un véhicule.

Ce dernier refuse d’obtempérer et part à toute vitesse, poursuivi par la police. Dans l”équipée, la voiture percute intentionnellement et à plusieurs reprises le véhicule de police avant de sortir de la route et de finir dans le bas-côté.

Tirs de Flash-Ball

Les fonctionnaires décident alors de sortir pour appréhender le fuyard. Mais au moment où ils s’approchent de la voiture accidentée, son conducteur tente une marche arrière pour les écraser. Les policiers esquivent de justesse la voiture et ripostent immédiatement par des tirs de Flash-Ball.

Peut-être impressionné par les tirs, le conducteur immobilise alors sa voiture, pendant que le passager de la banquette arrière prend la fuite. 
Âgé de 18 ans, le conducteur n’avait pas de permis et a été interpellé avec un autre passager. Il a été placé en garde à vue. 
Bilan : pas de blessés mais une course-poursuite qui aurait pu très mal tourner.

Rue de la Mayenne, 31100 Toulouse, France

 

Photo de Xavier  Lalu

Xavier Lalu

Journaliste, chef de projet à Côté Toulouse

"Ça suffit ! 1935/2015 : 80 ans de mensonges et de calomnies", le nouveau livre de Roger Holeindre

 Publié par Johanna

Avec ce livre se révèle un « géant » de la littérature patriotique, écrivain à la plume alerte et féconde, au talent reconnu, ancien « grand reporter », ancien et glorieux combattant de toutes les dernières guerres (Libération, Indochine, Algérie) qui n’hésite pas à dénoncer avec vigueur tous les maux dont souffre ce beau pays qu’est la France, depuis quatre-vingt ans.

« Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire » dit un vieux proverbe français… Certes, mais ce n’est pas le sentiment de l’auteur qui, pour sa part, se refuse à pratiquer « la langue de bois », car animé d’une foi patriotique intransigeante.

À un moment donné, en effet, il faut savoir choisir ! Soit, on se réfugie dans le silence prudent des « pusillanimes », qui se confond souvent avec la lâcheté, soit on assume le franc-parler des hommes de conviction, synonime de courage, voire d’abnégation et de sacrifice, devant les censeurs du « politiquement correct », délibéremment hostiles à une France française…

Roger Holeindre passe ainsi en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingt ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu’emporter, sinon un enthousiasme légitime, du moins la franche adhésion des lecteurs du présent ouvrage.

Il a été en 1944, un des plus jeunes Résistants de France

Parti en Indochine à 17 ans, il a servi à la 1ère Division Navale d’Assaut.

Puis en 2e séjour, au 5e Bataillon de Commandos Parachutistes Coloniaux.

Puis en 3e séjour, volontaire pour Dien Bien Phu au 7e Bataillon de paras coloniaux…

Volontaire pour l’Algérie, il a servi au commando du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine.

Il est titulaire de la Médaille Militaire, de la Croix de Guerre TOE avec trois citations, de la Croix de la Valeur Militaire avec deux citations, d’une citation exceptionnelle pour son action envers la jeunesse musulmane.

Il a été blessé deux fois au combat, notamment dans un corps à corps après avoir infiltré une katiba rebelle avec quatre hommes.

• Éditions d’Héligoland - 2015 ISBN : 978-2-36611-008-1, 1 volume 16 x 24, 600 pages. Édition normale : 25,00 € (vente par correspondance : 29 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou. cliquez ici

LA DESTRUCTION DU MARIAGE ET LE SUICIDE DE L’OCCIDENT

Publié par Johanna 

La destruction du mariage et le suicide de l’Occident
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