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dimanche, 03 décembre 2017

“Il est normal que vous battiez votre femme” : les écoles islamiques d’Europe encouragent la violence contre les femmes

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2017

 

 
 
Dans le dossier établi par les inspecteurs de l’Ofsted, organisme gouvernemental chargé de l’inspection scolaire, un ouvrage de bibliothèque encourage par exemple les femmes à être soumises et à ne jamais refuser un rapport sexuel à leurs maris. Un autre livre intitulé « Women who deserve to go to hell » (« Les femmes qui méritent d’aller ») estime que les femmes qui font preuve « d’ingratitude envers leurs maris » ou ont de « grandes ambitions » sont condamnables.
 

Selon l’inspection scolaire britannique, le matériel rassemblé est cependant en décalage profond avec la pensée musulmane dominante. En effet, les livres proviennent d’écoles privées, confessionnelles ou d’établissements non enregistrés. Sur 139 écoles islamiques indépendants britanniques inspectées depuis 2015, 57 % ont enregistré des mauvais résultats.

Amanda Spielman est déterminée à faire en sorte que les enfants des écoles religieuses reçoivent une éducation solide qui les forme à la vie moderne du Royaume-Uni. La responsable a d’ailleurs pris certaines mesures spéciales contre l’école islamique Al Hijrah de Birmingham car l’établissement ségréguait les filles et les garçons dès l’âge de neuf ans.

Obligation de porter le hijab dès l’âge de 4 ans

Un autre établissement contrôlé par l’Ofsted encourageait quant à lui la lecture de textes au sein desquels les « nobles femmes de l’Est » sont opposées aux « femmes tourmentées de l’Ouest ».Ces dernières sont accusées de pousser les hommes à délaisser leurs foyers pour aller errer sans but dans les cafés et les cinémas.

D’autres recueils estiment qu’au sein du mariage musulman, la « femme n’a pas le droit de refuser une relation sexuelle à son mari » ou de « quitter sans autorisation la demeure conjugale » . En outre, ce même ouvrage enseigne aux filles et aux garçons que « l’homme peut battre la femme en guise de punition ».

Outre l’usage de matériel inapproprié par les établissements religieux, les inspecteurs de l’Ofsted s’inquiètent également du fait que les écoles traditionnelles autorisent des formes extrêmes de l’Islam, croyant ainsi faire preuve d’inclusion.

Enfin, l’Ofsted s’inquiète également de l’existence d’écoles primaires qui autorisent le port du hijab aux filles dès l’âge de quatre ans. L’organisme entend ainsi interroger les filles qui arborent le hijab à l’école primaire afin de déterminer s’il s’agit d’un choix.

Au sein de l’enseignement musulman traditionnel, le port du hijab est réservé aux femmes qui ont passé le stade de la puberté.

« Malgré leur promesse d’œuvrer pour l’égalité, la tolérance et le respect au sein des écoles dans le cadre de la lutte contre l’extrémisme, les ministres, distraits par le Brexit, ferment les yeux lorsqu’il s’agit de l’argent des contribuables qui sert à promouvoir l’idée que les filles sont inférieures aux garçons », explique Rachel Sylvester dans The Times.

Pendant ce temps, sans beaucoup d’aide du gouvernement, l’Osted tente de faire face au problème croissant des écoles illégales non enregistrées qui, dans un cadre totalement non réglementé, dispense un enseignement qui n’est pas du tout réglementé à des milliers d’enfants.

 

Source : fr.express.live

jeudi, 02 février 2017

Une plongée édifiante dans la France des écoles islamiques

Publié par Guy Jovelin le 2 février 2017

Ecoles islamiques

Une plongée édifiante dans la France des écoles islamiques

01/02/2017 – FRANCE (NOVOpress) : « Les écoles que vous allez découvrir n’ont rien à voir avec l’école publique. Elles sont hors contrat, parfois illégales, et même clandestines. On y enseigne à des enfants un islam souvent radical. » Ainsi début ce reportage de « L’Œil du 20 heures », rubrique d’enquête du 20 heures de France 2, diffusé hier sur la chaine publique.

France 2 s’est par exemple rendu au Mirail, à Toulouse, où se trouve une école primaire qui accueille une cinquantaine d’élèves. Elle est dirigée par Abdelfattah Rahhaoui, qui affirme que l’enseignement y est « classique ». Vraiment ? Dans le couloir, la caméra découvre une « assistante » entièrement voilée, comme si elle se trouvait en Arabie saoudite ! Et elle n’est pas la seule…

« Dans cette classe de CM1, à 9 ans, les fillettes elles aussi sont voilées. La religion prend beaucoup de place et les réponses semblent apprises par cœur. Nous interrogeons un élève : “Pourquoi vous êtes dans cette école ?“ “Parce c’est une école musulmane, et nous on est des musulmans et pour apprendre le Coran, le français, les maths et tout et tout et l’arabe aussi…“ Sur l’emploi du temps affiché en classe, huit heures et demie d’arabe, de Coran et d’éducation islamique par semaine, le matin et l’après-midi. »

A Saint-Denis, même topo ou presque. Là, l’école est clandestine. Déclarée nulle part ! « Nous nous faisons passer pour des parents qui cherchent à inscrire leur enfant. Nous abordons une enseignante. Elle nous explique la répartition des cours : “Le matin c’est les ateliers. Et l’après midi c’est tout ce qui est langue, arabe, Coran, anglais.“ »

« Quant aux parents, poursuit “L’Œil du 20 heures“, leurs motivations sont religieuses. Un parent nous dit :

Tu vois, ta fille elle rentre, elle récite une petite sourate, des invocations, elle parle un peu arabe, c’est d’la bombe. C’est bien le Père Noël ? Non, c’est pas bien. “ »

A voir dans son intégralité.

L’Oeil du 20h : 31/01/17

 

Source : novopress.info