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samedi, 14 avril 2018

Son fils de 7 ans est en CP à Alès (30), voici sur quoi on le fait travailler

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2018

mardi, 05 décembre 2017

Migrants. « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

nantes
 Les interlocuteurs du Président de l'Université de Nantes ...
 

05/12/2017 – 07h10 Nantes (Breizh-info.com) –  40 chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voici les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.

Avec de surcroit, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le Tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation, et rêveries militantes …

L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le Crous seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement » peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans, on rentre en faculté, à moins d’être tous des surdoués …»

Ce dernier nous confie être dégouté : « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons nous encore le droit de vivre et d’être aidé dans notre propre pays ? ».

Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

Le Crous versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est à dire l’immigration illégale :

Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement … d’un différent familial et d’une volonté d’aller à l’école.

« Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa (1), venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université. « Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école. »

Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. « Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école », confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil.»

«Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous ...», remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

Photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

Source : breizh-info.com

dimanche, 03 décembre 2017

“Il est normal que vous battiez votre femme” : les écoles islamiques d’Europe encouragent la violence contre les femmes

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2017

 

 
 
Dans le dossier établi par les inspecteurs de l’Ofsted, organisme gouvernemental chargé de l’inspection scolaire, un ouvrage de bibliothèque encourage par exemple les femmes à être soumises et à ne jamais refuser un rapport sexuel à leurs maris. Un autre livre intitulé « Women who deserve to go to hell » (« Les femmes qui méritent d’aller ») estime que les femmes qui font preuve « d’ingratitude envers leurs maris » ou ont de « grandes ambitions » sont condamnables.
 

Selon l’inspection scolaire britannique, le matériel rassemblé est cependant en décalage profond avec la pensée musulmane dominante. En effet, les livres proviennent d’écoles privées, confessionnelles ou d’établissements non enregistrés. Sur 139 écoles islamiques indépendants britanniques inspectées depuis 2015, 57 % ont enregistré des mauvais résultats.

Amanda Spielman est déterminée à faire en sorte que les enfants des écoles religieuses reçoivent une éducation solide qui les forme à la vie moderne du Royaume-Uni. La responsable a d’ailleurs pris certaines mesures spéciales contre l’école islamique Al Hijrah de Birmingham car l’établissement ségréguait les filles et les garçons dès l’âge de neuf ans.

Obligation de porter le hijab dès l’âge de 4 ans

Un autre établissement contrôlé par l’Ofsted encourageait quant à lui la lecture de textes au sein desquels les « nobles femmes de l’Est » sont opposées aux « femmes tourmentées de l’Ouest ».Ces dernières sont accusées de pousser les hommes à délaisser leurs foyers pour aller errer sans but dans les cafés et les cinémas.

D’autres recueils estiment qu’au sein du mariage musulman, la « femme n’a pas le droit de refuser une relation sexuelle à son mari » ou de « quitter sans autorisation la demeure conjugale » . En outre, ce même ouvrage enseigne aux filles et aux garçons que « l’homme peut battre la femme en guise de punition ».

Outre l’usage de matériel inapproprié par les établissements religieux, les inspecteurs de l’Ofsted s’inquiètent également du fait que les écoles traditionnelles autorisent des formes extrêmes de l’Islam, croyant ainsi faire preuve d’inclusion.

Enfin, l’Ofsted s’inquiète également de l’existence d’écoles primaires qui autorisent le port du hijab aux filles dès l’âge de quatre ans. L’organisme entend ainsi interroger les filles qui arborent le hijab à l’école primaire afin de déterminer s’il s’agit d’un choix.

Au sein de l’enseignement musulman traditionnel, le port du hijab est réservé aux femmes qui ont passé le stade de la puberté.

« Malgré leur promesse d’œuvrer pour l’égalité, la tolérance et le respect au sein des écoles dans le cadre de la lutte contre l’extrémisme, les ministres, distraits par le Brexit, ferment les yeux lorsqu’il s’agit de l’argent des contribuables qui sert à promouvoir l’idée que les filles sont inférieures aux garçons », explique Rachel Sylvester dans The Times.

Pendant ce temps, sans beaucoup d’aide du gouvernement, l’Osted tente de faire face au problème croissant des écoles illégales non enregistrées qui, dans un cadre totalement non réglementé, dispense un enseignement qui n’est pas du tout réglementé à des milliers d’enfants.

 

Source : fr.express.live

mercredi, 28 septembre 2016

Enseignement : Elle veut le tuer, et nous nous disons « Vive le Latin ! »

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2016

Le latin : un trésor de la langue française.

Mur-bleu gds.jpgNajat Vallaud Belkacem veut supprimer de fait le latin, mais tout en disant qu'elle ne le fera pas et qu'elle veut au contraire le sauver, au moyen d'une de ces usines à gaz dont le Système a le secret. En gros, et pour « faire clair », elle annonce :

1. Un saupoudrage des cours de français avec « les éléments fondamentaux des apports du latin et du grec à la langue française »;

2. L’intégration du grec et du latin à « Langues et cultures de l’antiquité », l’un des huit enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI)... 

La véritable motivation - de fond - est de couper les petits Français de leurs racines (« du passé faisons table rase ...», c'est bien cela, le programme révolutionnaire, non ?). Et cette motivation tire argument d'un chiffre censé clore le débat : dénigré, maltraité (cours mal-placés), dévalorisé depuis des lustres, il n'est pas étonnant que le latin ne concerne plus que 18% des élèves : c'est même un exploit ! 
 
Najat-Vallaud-Belkacem.jpgMais, si elle supprime une langue ancienneancienne », et non pas « morte », la nuance est capitale...) au motif qu'elle ne concerne que 18% des élèves, que Mme le Ministre aille au bout de sa logique, et qu'elle demande, par exemple, la suppression du PS, qui ne concerne lui aussi - et en comptant large... - que 18% des électeurs !  
 

lundi, 17 février 2014

Peillon veut renforcer l’enseignement de l’arabe : « C’est l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France »

 

Peillon veut renforcer l’enseignement de l’arabe : « C’est l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France »
« L’enseignement de l’arabe était abandonné […] depuis des années, nous allons mettre les moyens nécessaires » à son renforcement, a déclaré à l’AFP le ministre français de l’Education, Vincent Peillon. Lire la suite