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dimanche, 27 janvier 2019

La CEDH oblige la France à garder chez elle un terroriste algérien qui voulait s’en prendre à la Tour Eiffel

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2019

Publié le 25 janvier 2019 Auteur par Rédaction
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Il était reproché au charmant Ali Meguimi, une « chance pour la France », « d’avoir activement soutenu des responsables algériens d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qu’il comptait rejoindre et à qui il avait d’ailleurs envoyé de l’argent. Il avait en outre établi une liste de cibles, à l’instar de la tour Eiffel, pour un éventuel attentat en France. »

Cet Algérien condamné par le tribunal de Paris pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » à six ans de prison en septembre 2015 a bien sûr été libéré depuis…

Il avait également été tout de même interdit définitivement du territoire français à l’issue de son procès.

Mais finalement, il reste.

En effet, la France n’est plus actuellement un pays indépendant et la funeste « Cour européenne de droits de l’homme », que le terroriste de 33 ans a eu la bonne idée de saisir en mars 2018, s’est prononcée contre son expulsion car elle est « inquiète du possible recours à la torture de la part des services antiterroristes algériens » sur cet individu. Quelle délicatesse de la part de la CEDH.

Résultat : jusqu’à ce que cet organe supranational illégitime rende sa décision (d’ici 3 à 6 mois), Meguimi reste en France – ce pays qu’il hait -, assigné à résidence.

Source VA via contre-info

vendredi, 20 avril 2018

Yvelines : deux adolescentes enlevées, séquestrées et violées par un algérien et un marocain

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2018

Auteur : Pierrot

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Deux jeunes filles de 16 et 17 ans auraient été enlevées, séquestrées et violées par trois hommes dans la nuit du 18 au 19 avril, à Limay, dans les Yvelines, rapporte leparisien. Deux des suspects, âgés de 17 et 22 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Mantes-la-Jolie.

La police a été avertie vers 3h30 grâce à l’appel de la sœur d’une des victimes affirmant qu’elle et un ami venait d’échapper à un enlèvement. Mais sa sœur et sa cousine aurait été forcées, sous la menace d’une arme, à monter à bord d’une Renault Clio blanche avant d’être conduites dans un appartement. Connaissant l’adresse, elle l’aurait indiqué aux policiers. Ces derniers se rendent rapidement sur place et forcent la porte de l’appartement. Immédiatement, les trois suspects s’échappent par la fenêtre avant que deux d’entre eux soient rattrapés et interpellés. Il s’agit d’un Marocain et d’un Algérien sans domicile fixe.

Source : rtl via contre-info

mardi, 17 avril 2018

Sarreguemines (57) : un Algérien encaissait encore la pension de sa mère décédée en 1989

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2018

Par  le 16/04/2018 

Un ressortissant algérien de 75 ans, reparti dans son pays après avoir travaillé en France, a été poursuivi devant le tribunal correctionnel de Sarreguemines pour «escroquerie» au préjudice de la Caisse primaire d’assurance maladie de la Moselle.

Depuis 1948, suite au décès de son mari lors d’un accident du travail, la mère du prévenu, vivant en Algérie, touchait une rente. Cette pension était versée sur un compte ouvert à son nom dans une banque messine. Chaque année, l’organisme envoie au titulaire de la rente, un document appelé « certificat de vie » afin de vérifier qu’il est vivant.

En 2014, le certificat de vie renvoyé à la CPAM éveille des soupçons de fraude. Le document est signé par le fils et porte la mention « non décédée. » La CPAM fait des démarches auprès du service de l’état civil algérien et apprend que la maman est décédée… en 1989. Une plainte contre X est donc déposée et une instruction ouverte.

À aucun moment, le prévenu, Slimane Ghatout ne répond à une convocation des enquêteurs et du magistrat instructeur.

Le 21 septembre 2016, un mandat d’arrêt est délivré. L’examen du compte de la mère fait apparaître que la rente est versée sur le compte algérien du fils. Ce dernier affiche plus de 100 000 € au moment de l’instruction. (…..)

 

mardi, 21 février 2017

Un Algérien se revendiquant de Daech condamné à Saint Gaudens

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2017

D’après une information rapportée par La Gazette du Comminges, le 15 février dernier, un Algérien a été condamné à 9 mois de prison, dont 3 avec sursis et d’une amende de 150 euros pour avoir insulté, menacé violemment des policiers, tout en se revendiquant de Daech, alors qu’il dégradait des véhicules à Saint-Gaudens. 

Il dit ne se souvenir de rien, d’être « défoncé au moment des faits« , mais le tribunal lui a rappelé ce qui lui était reproché. Alors qu’il dégradait des voitures dans la commune de Saint-Gaudens, les forces de l’ordre ont tenté de l’interpeller. Sous l’emprise de l’alcool, l’homme d’origine Algérienne, insulte les policiers et les menace violemment, en particulier une agent de la même origine que le délinquant. Suite à ses menaces, il se revendique de Daech. Mais le portrait ne s’arrête pas là. L’enquête menée montre qu’il avait déjà décliné une fausse identité dans le passé pour échapper à la justice et est soupçonné d’être l’auteur d’un vol de téléphone portable.

Moins agressif au tribunal, l’auteur des faits prétend « regretter ses agissements et assure vouloir se calmer« . Il souhaite avant tout « rester en France et trouver un travail […] C’est vrai que j’ai donné des fausses identités, mais c’était pour qu’on ne me renvoie pas en Algérie« .

Mais pour le procureur, ses regrets interviennent un peu tard. « Vous crachiez la haine, Monsieur, vous menaciez d’égorger les gens. C’est insupportable, il faut un coup d’arrêt. D’après vos explications, on a tendance à croire que vous avez fait un enfant pour régulariser votre situation mais il en faut plus pour devenir Français. Il y a une enquête de moralité et vous en êtes loin. »

Malgré la plaidoirie de Maître Dureau, qui tentera d’atténuer les charges par l’influence de l’alcool, le tribunal a condamné l’intéressé à 9 mois de prison, dont 3 mois avec sursis, d’une obligation de soins, de 150€ d’amende pour fausse identité. Il devra aussi dédommager les fonctionnaires de police d’une somme de 600€ à chacun d’entre eux et rembourser les dégâts qu’il a lui-même causé : 649€ pour les véhicules et 200€ pour les propriétaires, à titre de préjudice moral.

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 24 avril 2015

De Daniel Cohn-Bendit à Sid-Ahmed Ghlam, pays en danger (par Gabriel Robin)

 

 

Une centaine de millions d’euros. Cette somme sera dépensée par l’État afin de « lutter contre le racisme et l’antisémitisme ». Voilà l’urgence ! Comme si nos impôts n’étaient déjà pas assez consacrés à ces batailles contre des moulins à vent… Ce « plan de lutte » sera totalement contre-productif, comme toujours il aura pour seul résultat le maintien sous respiration artificielle d’associations aux indignations borgnes qui n’arrivent pas à vivre des dons privés. En effet, a-t-on entendu les cris d’orfraie de SOS Racisme, golem sociétaliste des années 80, pour condamner les assassins de Jérémy Roze qui souhaitaient se « faire un yankee » ? Monsieur Manuel Valls avait-il haussé son menton pour s’attaquer aux raisons pouvant expliquer le viol collectif raciste d’une jeune fille dans son propre fief électoral d’Évry ? Non et non. D’ailleurs, ces associations ne vivaient que des subventions des élus locaux.

Les dernières déroutes électorales menacent l’écosystème socialiste dans son ensemble, et au premier chef sa clientèle d’associations politisées. Peut-être est-ce même la motivation derrière l’empressement du couple politique Valls/Belkacem à promouvoir ce plan.

C’est donc, sans la moindre surprise, que vous constaterez dans une brochure du « plan antiracisme », au chapitre« Protéger et soutenir les victimes », qu’une large majorité de Français ne sont pas considérés comme des victimes potentielles. Voici la phrase qui figure textuellement dans le document : « Garantir la sécurité des lieux de culte, des écoles et des points de rassemblements juifs et musulmans. » L’intention est louable, il est légitime que tous les lieux de culte soient protégés d’attaques éventuelles. Vous avez cependant sûrement noté l’absence stupéfiante de lieux de culte pourtant très présents sur le territoire national : les églises. Est-ce à dire que les majoritaires ne peuvent pas souffrir du racisme ou de la haine dans ce pays ? C’est bien pourtant une église catholique qui était la cible du terroriste algérien « fiché » et « dangereux », monsieur Sid Ahmed Ghlam ! Il comptait tuer des fidèles durant la messe et a eu le temps d’assassiner une victime innocente, Aurélie Châtelain, jeune maman d’une fillette de 5 ans. Il faudra un jour la remercier car elle est très probablement celle qui a blessé ce fanatique islamiste, l’empêchant de poursuivre son parcours sanguinaire.

Sid Ahmed Ghlam appartient au cœur de cible du dispositif à 100 millions d’euros. La République a été généreuse avec ce garçon – trop. L’étudiant algérien vivait dans une résidence étudiante ultra-moderne située dans le 13e arrondissement parisien (pour ceux qui connaissent des difficultés à se loger dans Paris, l’ironie est particulièrement cruelle). En outre, il a pu s’installer en France au bénéfice du regroupement familial et était titulaire d’une bourse. La France a vraiment été cruelle avec ce pauvre garçon, victime du racisme des « beaufs avinés » et autres« Bidochon », tels que sont décrits avec « humour » les Français du peuple par les participants des dîners mondains de Jacques Attali. Ces derniers ne pourront plus s’empêcher de penser qu’une jeune maman est morte parce qu’un terroriste algérien fiché par les services n’a pas été expulsé et, pire, qu’il était logé aux frais de nos impôts.

Puisque ce n’est pas assez, voici que les responsables de la catastrophe libyenne demandent la « légalisation de l’immigration » et tentent de tirer des larmes au bon peuple. Messieurs Daniel Cohn-Bendit et Bernard-Henri Lévy voudraient que la France accueille toujours plus de réfugiés. Tous les éléments du drame sont réunis : communautarisme, élites fanatiques de l’indifférenciation, islamisme, pouvoir absent. La boucle est bouclée.

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