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lundi, 13 août 2018

Elue, elle se suicide après avoir postée une vidéo racontant son viol par des musulmans

Publié par Guy Jovelin le 13 août 2018

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L'Europe meurt à petit feu : 

"Willie Dille, une élue municipale de La Haye de 53 ans s'est suicidée le 8 août, quelques heures à peine après avoir publié sur Facebook une vidéo dans laquelle elle affirmait avoir été victime d'un viol collectif par des musulmans.

Membre du Parti pour la liberté (PVV), qui défend des positions résolument anti-immigration, Willie Dille soutient dans sa vidéo que le drame se serait déroulé l'année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi dans le cadre d'une campagne d'intimidation. 

«Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j'ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», explique-t-elle, visiblement perturbée. «Après que cela est arrivé, je ne l'ai dit à personne, j'ai simplement été au débat le lendemain», poursuit-elle. Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort.»

Des attaques qui auront fini par venir à bout de sa volonté, Willie Dille s'inquiétant notamment pour la sécurité de ses enfants. «Je ne peux pas vivre avec ça [...] C'est pourquoi j'ai décidé d'arrêter [la politique].»

RIP

Lahire

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 22 novembre 2017

Suède : violée par un Syrien, Angelica se suicide après que le procureur a classé le dossier « faute de preuves »

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2017

 
 

Selon le journaliste d’investigation Joakim Magnus Lamotte, Angelica Wiktor, 30 ans, se serait suicidée suite au classement sans suite du viol qu’elle aurait subit par un réfugié syrien en mars dernier. La jeune femme aurait décidé de mettre fin à ses jours en absorbant une dose massive du médicament qu’elle prenait depuis son agression, sachant que son agresseur allait être libéré.

Le procureur, en charge du dossier, a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour condamner l’accusé de viol et l’a relâché.

Joakim Magnus Lamotte affirme que les autorités n’ont pas tenu compte des preuves manifestes. Adnan, le voisin d’Angelica, accompagné de son ami Samir s’étaient rendus ont allés chez elle un après-midi. Angelica prenait des somnifères, donc elle ne se souvenait pas de l’heure exacte, mais elle se rappelait que l’un d’eux l’avait poussée à tomber dans son lit et l’avait violée.

D’après son témoignage l’agression a été encore plus douloureuse, qu’Angelica avait ses règles à ce moment-là et qu’elle utilisait un tampon hygiénique.

L’enquête de Lamotte montre que la police et le procureur ont ignoré plusieurs éléments de preuve. Par exemple, ils n’ont pas analysé l’ADN retrouvé dans l’appartement de la victime, qui présentait également des « signes de viol et d’agression« .

Durant son interrogatoire par la police, Samir l’ami du violeur a reconnu qu’il se trouvait dans l’appartement d’Angelica, mais le procureur a tout de même décidé de classer l’affaire pour « manque de preuves ».

Casoaislado via fdesouche

samedi, 18 février 2017

France: Nelly, 78 ans, violée par Mamadou lors d’un cambriolage. Aucune manifestation, aucune émeute et nos médias n’en parleront pas.

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2017

chut
 
A Créteil, le procès pour le vol et le viol d’une retraitée à Ivry en août 2014 s’est ouvert à huis clos, vendredi matin, devant la cour d’assises du Val-de-Marne, à la demande de l’avocate de la partie civile Me Vélia Volland. Deux hommes, Mamadou K. et Phan-Eric L., comparaissent l’un pour avoir violé Nelly N. sous la menace d’une arme, le second pour non-assistance à personne en danger, et tous les deux pour vol en réunion.

Seul le second, un jeune homme de 24 ans aux cheveux mi-longs, comparaît libre. Mamadou K., 24 ans également, est arrivé dans le box des accusés avec une béquille.

La retraitée, âgée de 78 ans aujourd’hui, était présente au début de l’audience. Le 7 août 2014, cette petite dame aux cheveux courts, qui marche avec difficulté, avait été agressée chez elle dans la cité Gagarine par plusieurs personnes au visage dissimulé, peu avant 6 heures du matin.

Un homme l’avait immobilisée et violée pendant que trois autres retournaient son appartement. Ils étaient repartis avec 70 €, des bijoux, une montre, ainsi que des affaires qui appartenaient à son mari décédé. Elle avait eu 15 jours d’ITT.

Ce sont les nombreuses traces d’ADN prélevées dans le logement et sur le corps de la retraitée qui avait mené les policiers du SDPJ 94 jusqu’à Mamadou K., dont le profil était enregistré au fichier national des empreintes génétiques (FNAEG). Ils étaient ensuite remontés jusqu’à Eric-Phan L., qui nie avoir assisté au viol. Le procès devrait se terminer mercredi.

Source

mardi, 06 décembre 2016

Violée et menacée d’une machette par un Ivoirien: « j’ai vu la mort en face »

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2016

5 décembre 2016 par Pierrot

 

Vu sur Fdesouche : Le violeur présumé d’une jeune femme a été interpellé la semaine dernière dans la commune de Romainville, en Seine-Saint-Denis. La Brigade départementale de protection de la famille (BDPF) a enfin réussi à mettre la main sur lui, presque un mois après une agression à Bordeaux.

Les faits remontent au 28 octobre. Ce jour-là, aux environs de 12h30, une jeune femme de 25 ans se fait accoster devant son domicile par un SDF (on apprendra par la suite qu’il est Ivoirien), dont les intentions apparaissent on ne peut plus claires : l’homme exhibe une machette et la contraint à une relation sexuelle. Terrorisée, la jeune femme croit que sa dernière heure est venue. Une fois le viol commis, elle se retrouve séquestrée puis violentée dans sa propre salle de bains. Le SDF quitte finalement les lieux en embarquant au passage le portable et l’ordinateur de sa victime.

Pétrifiée, la victime se réfugie ensuite chez une voisine. L’alerte est donnée. Les experts du service d’identité judiciaire et la BDPF sont sur le coup. Les objets volés sont découverts abandonnés sur une pelouse, comme la machette utilisée par l’agresseur pour menacer sa victime. Ces éléments plus les témoignages de voisins vont permettre de remonter le fil de l’agression et d’identifier le SDF. Une découverte facilitée par le fait que ce dernier était déjà connu des services de police. Le mandat de recherches diffusé a donc conduit à son arrestation la semaine dernière en région parisienne.

L’Ivoirien de 26 ans a été placé en garde à vue. Sa victime l’a formellement reconnu. Même s’il reste présumé innocent, il a été mis en examen pour viol aggravé et placé en détention provisoire.

 

Source : contre-info

vendredi, 16 septembre 2016

Paris : piégée sur Facebook, aguichée à Barbès et violée au Champ de Mars

Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2016

C’est un guet-apens par Internet. Et un viol collectif d’une sauvagerie sans nom dans l’un des plus beaux parcs du centre de Paris.

Une femme, jeune majeure, s’est fait violer par quatre hommes dans la nuit de dimanche à lundi, vers 5 heures du matin, en plein Champ de Mars (VIIe). Les policiers du 3e DPJ (District de police judiciaire), à qui le Parquet de Paris a confié l’enquête criminelle, sont dans une course contre-la-montre pour retrouver et interpeller ses auteurs qui envisageaient de partir le lendemain… en Allemagne.

Les faits ont eu lieu au niveau de l’avenue Charles Risler (VIIe), juste derrière la crèche de la Fondation de la Croix de Saint-Simon. Mais le drame se dessinait avant… La jeune fille, en différend familial, chassée de chez sa mère à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), s’est fait piéger deux jours avant par un prédateur, rencontré sur Facebook. Ils ont entamé une correspondance amicale. Il lui a donné rendez-vous dans la journée de dimanche à Barbes (XVIIIe). Ils ont finalement « fini la soirée sur le Champ de Mars » à « boire du coca, manger des fraises et des raisins ». Sauf que là, ils étaient cinq. Et le piège s’est refermé. Les quatre agresseurs, tous la vingtaine, certains connus des services de police, auraient, d’après les premiers éléments de l’enquête, prémédité le viol en positionnant avant des couvertures dans le bosquet…

Le Parisien

 

Source : lesobservateurs