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jeudi, 11 octobre 2018

Terrorisme : le ministre de la sécurité britannique met en garde contre une attaque chimique ou biologique.

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Une attaque chimique ou biologique dans les rues du Royaume-Uni "se rapproche", prévient le ministre de la Sécurité publique alors que des terroristes "continuent d'explorer de nouvelles manières de nous tuer".

 

  • Ben Wallace a déclaré que la possibilité d'une attaque à l'arme chimique se rapprochait
  • Le ministre de la Sécurité a déclaré que 'les terroristes continuent d'explorer de nouvelles manières de nous tuer'
  • S'exprimant lors d'une conférence à Londres, il a déclaré que le Royaume-Uni devait être prêt
  • Le haut responsable britannique de la lutte contre le terrorisme, Neil Basu, s'est fait l'écho de l'avertissement de M. Wallace

 

Dans une évaluation critique, Ben Wallace a déclaré qu'il voyait des complots dans lesquels "la seule limite à l'ambition de nos adversaires est leur imagination". Il a déclaré lors d'une conférence à Londres mardi: «À l'heure où je parle, les terroristes continuent d'explorer de nouvelles façons de nous tuer dans nos rues.

"Ils ont développé et travaillé pour avoir un meilleur arsenal, et nous devons être prêts. Nos sociétés ouvertes, libérales et libres sont la proie facile de ceux qui craignent peu et s'en soucient encore moins."

Le plus haut responsable britannique de la lutte contre le terrorisme s'est fait l'écho de l'avertissement de M. Wallace selon lequel la menace doit être prise au sérieux.

S'exprimant également lors du Sommet sur la sécurité nationale, le commissaire adjoint de la police métropolitaine Neil Basu a déclaré : "Ces choses ont été utilisées sur le champ de bataille, et ce qui est utilisé sur le champ de bataille sera éventuellement adapté pour être utilisé sur le sol national. Je pense qu'il (M. Wallace) est aussi préoccupé que moi par le fait que c'est le genre de menaces que nous devons prendre très au sérieux et nous devons nous assurer d'avoir les bons préparatifs pour contrer réellement cette menace, si elle devait apparaître."

Bien que la probabilité que des terroristes réussissent une attaque chimique, biologique, radiologique ou nucléaire (CBRN) à grande échelle soit considérée comme " improbable ", l'appareil de sécurité britannique est conscient du danger.

(...)

Dailymail.co.uk

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

jeudi, 06 avril 2017

Damas accusé de l’ attaque chimique en Syrie : nouveau bobard de la bien-pensance ?

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

C’est un cœur unanime de la presse bien-pensante, des politiciens du système, du pape François lui-même, de la communauté internationale, pour dénoncer l’attaque chimique d’hier en Syrie, dans le village de Khan Cheikhoun, tuant 72 personnes, et pour en rendre responsable, sans aucunes preuves, le gouvernement de Damas. Et déculpabiliser ainsi les fameux rebelles syriens, vrais combattants islamistes, vrais djihadistes égorgeurs en habits de modérés, chouchous de la conscience morale universelle qui veut la mort au propre et au figuré de Bachar el-Assad.

Ce dernier refuse cette accusation. Le porte-parole de la défense russe a déclaré, peut-on lire sur RT France

«que l’aviation syrienne avait détruit un entrepôt où l’opposition dite «modérée» gardait des stocks d’armes chimiques dont certaines devaient être envoyées en Irak. (…) Face à ces accusations, la Défense russe s’est dite prête à présenter des preuves irréfutables que l’aviation syrienne avait en réalité visé un entrepôt où les rebelles stockaient des matériaux chimiques.

«D’après les données du contrôle russe de l’espace aérien en Syrie, le 4 avril de 11h30 à 12h30 [heure locale], l’aviation syrienne a frappé un entrepôt d’armes chimiques et d’équipement militaire des terroristes, situé dans l’est du village rebelle de Khan Cheikhoun», a déclaré le porte-parole de la Défense russe, Igor Konachenkov.

«Dans cet entrepôt se trouvaient des ateliers pour la production de bombes chargées d’explosifs toxiques. Depuis ce grand atelier, les terroristes envoyaient des munitions contenant des substances chimiques en Irak. Leur utilisation a été prouvée maintes fois par les organisations internationales, ainsi que par les autorités irakiennes», a-t-il poursuivi. Ces mêmes munitions chimiques avaient été utilisées par des rebelles lors de l’attaque chimique d’Alep en 2016, a fait savoir le porte-parole de la Défense russe, qui avait participé à l’enquête de l’année dernière.  

Le gouvernement syrien de Damas réfute toute utilisation d’armes chimiques :

«Nous récusons totalement toute utilisation de matériau chimique ou toxique à Khan Cheikhoun. L’armée n’en a jamais utilisé et n’en utilisera nulle part», lit-on dans le communiqué de l’armée syrienne. » 

La Russie a fait savoir aujourd’hui qu’elle continuerait à coopérer avec la Syrie et qu’elle juge inacceptable le projet de résolution présenté par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni condamnant l’attaque chimique présumée en Syrie :

«Le texte présenté est catégoriquement inacceptable. Son défaut est d’anticiper les résultats de l’enquête et de désigner des coupables»,

a déclaré Maria Zakharova lors d’une conférence de presse, dénonçant un projet «anti-syrien» et de nature à aggraver encore la situation.

Pour le spécialiste en sécurité Charles Shoebridge, interrogé par RT France, la Syrie n’avait aucun intérêt stratégique et politique à conduire une telle attaque en l’état actuel du contexte et des relations diplomatiques plutôt favorables au régime de Damas.

« Aujourd’hui, il y a ce grand incident présumé, et une fois de plus – ce n’est probablement pas une coïncidence – demain commence une conférence très importante à Bruxelles entre l’ONU et l’UE. »

« Dans le contexte actuel, en dépit de toute évidence qui puisse apparaître, parfois susceptible de faire l’objet de manipulations, il faut se poser la question de la motivation de Bachar el-Assad à faire une chose pareille, à ce moment particulier quand il obtient des victoires à travers le pays. Quelle serait alors sa motivation pour provoquer la condamnation de la communauté internationale à ce moment précis ? »

Et de conclure raisonnablement  :

« Ceux qui ont vraiment profité de cette attaque ce sont les rebelles eux-mêmes, car ils ont obtenu un grand avantage géopolitique au moment où ils luttent de manière stratégique, comme de manière géopolitique. Néanmoins, seule une enquête indépendante établira les faits sur le terrain, qui permettrait de tirer une conclusion définitive. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 09 octobre 2016

DAECH PROJETTE DE CONTAMINER L'EAU DES GRANDES VILLES DE L'UE ET DE LA CEI

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

Les djihadistes de l’État islamique (Daech) projettent une attaque chimique d’envergure dans les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI).

Le ministère russe de l'Intérieur a appris que les djihadistes de Daech envisagent de lancer une attaque chimique d'envergure contre les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI), lit-on dans un document dont la presse a obtenu copie.


Daech projette de contaminer l'eau des grandes villes de l'UE et de la CEI
 

Daech prépare la "prochaine génération" de djihadistes Les terroristes ont choisi pour cible le système central d'approvisionnement en eau et se proposent notamment de diluer de puissants médicaments dans l'eau qui alimente les immeubles afin d'empoisonner le plus de gens possible, apprennent les médias russes. « Les djihadistes entendent utiliser de puissants médicaments et des substances chimiques se trouvant en vente libre », dit le document évoqué. 

 

L'aviation syrienne élimine une centaine de djihadistes de Daech Pour exécuter ces actes de terrorisme, ils se proposent de faire appel à des « loups solitaires », personnes ayant déserté les zones d'hostilités et ayant regagné leurs pays d'origine. 

 

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/international/2016093010279909...