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mardi, 10 avril 2018

Comment les islamistes de la Ghouta réduisaient la population civile en esclavage

La population se taisait par peur des représailles, l’ineffable OSDH (Observatoire syrien des Droits de l’Homme) n’était sans doute pas au courant, donc les médias non plus.

Et pourtant. Des milliers d’hommes ont été, pendant des années, réduits en esclavage par les islamistes pour construire leur arme de guerre favorite : les tunnels.

On sait que ces tunnels, qui peuvent s’étendre sur des dizaines de kilomètres, ont été largement utilisés par les islamistes depuis le début du conflit. Afin de parfaire leur technique, les dirigeants de Daesh avaient même fait venir en Syrie des spécialistes reconnus : des militants du Hamas palestinien qui avaient bâti un réseau remarquable dans la bande de Gaza.

Depuis, l’ensemble des groupes islamistes utilisaient cette méthode afin de se protéger des bombardements, de ravitailler des zones encerclées ou de monter des embuscades dans le dos de l’armée syrienne.

Seulement, creuser des tunnels, c’est long et fatigant. Et puis les combattants ont mieux à faire. Alors quoi de mieux que de rafler les hommes en état de creuser, tout en assurant la subsistance de leurs familles, étroitement surveillées comme il se doit.

La main d’œuvre n’étant pas toujours suffisante, Jaych al-Islam, le groupe salafiste qui tenait Douma jusqu’à présent, s’est livré à de nombreux enlèvements en zone loyaliste. L’opération la plus spectaculaire a eu lieu en 2013 à Adra : des dizaines de fonctionnaires, et de civils pris au hasard ont été enlevés, certains avec leurs familles. Les prises les plus intéressantes ont été incarcérées, les autres envoyées dans les tunnels. On les a appelés « les kidnappés d’Adra ». La plupart sont alaouites, la confession de la famille Assad. Rappelons que cette incursion à Adra s’est accompagnée de massacres épouvantables, mais cela n’a pas beaucoup intéressé l’OSDH.

Plusieurs de ces esclaves ont disparu. Leurs familles n’ont aucune nouvelle et, depuis que la Ghouta est progressivement libérée, de nombreuses mères ou épouses font le guet. En effet, des dizaines de prisonniers ont déjà été libérés à la faveur des négociations menées par les Russes et chacun espère voir réapparaître les siens.

D’autres prisonniers ont été vus récemment : afin d’empêcher les bombardements, les islamistes les mettaient dans des cages qu’ils disposaient au milieu de la chaussée…

Les familles sont également sans nouvelles de plusieurs dizaines de femmes, et le pire est à craindre pour elles.

Tous ces prisonniers, dont on ignore le nombre exact, ont été au cœur des négociations de ces derniers jours qui vont aboutir à la libération totale de l’est de la Ghouta. 

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 06 avril 2017

Damas accusé de l’ attaque chimique en Syrie : nouveau bobard de la bien-pensance ?

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

C’est un cœur unanime de la presse bien-pensante, des politiciens du système, du pape François lui-même, de la communauté internationale, pour dénoncer l’attaque chimique d’hier en Syrie, dans le village de Khan Cheikhoun, tuant 72 personnes, et pour en rendre responsable, sans aucunes preuves, le gouvernement de Damas. Et déculpabiliser ainsi les fameux rebelles syriens, vrais combattants islamistes, vrais djihadistes égorgeurs en habits de modérés, chouchous de la conscience morale universelle qui veut la mort au propre et au figuré de Bachar el-Assad.

Ce dernier refuse cette accusation. Le porte-parole de la défense russe a déclaré, peut-on lire sur RT France

«que l’aviation syrienne avait détruit un entrepôt où l’opposition dite «modérée» gardait des stocks d’armes chimiques dont certaines devaient être envoyées en Irak. (…) Face à ces accusations, la Défense russe s’est dite prête à présenter des preuves irréfutables que l’aviation syrienne avait en réalité visé un entrepôt où les rebelles stockaient des matériaux chimiques.

«D’après les données du contrôle russe de l’espace aérien en Syrie, le 4 avril de 11h30 à 12h30 [heure locale], l’aviation syrienne a frappé un entrepôt d’armes chimiques et d’équipement militaire des terroristes, situé dans l’est du village rebelle de Khan Cheikhoun», a déclaré le porte-parole de la Défense russe, Igor Konachenkov.

«Dans cet entrepôt se trouvaient des ateliers pour la production de bombes chargées d’explosifs toxiques. Depuis ce grand atelier, les terroristes envoyaient des munitions contenant des substances chimiques en Irak. Leur utilisation a été prouvée maintes fois par les organisations internationales, ainsi que par les autorités irakiennes», a-t-il poursuivi. Ces mêmes munitions chimiques avaient été utilisées par des rebelles lors de l’attaque chimique d’Alep en 2016, a fait savoir le porte-parole de la Défense russe, qui avait participé à l’enquête de l’année dernière.  

Le gouvernement syrien de Damas réfute toute utilisation d’armes chimiques :

«Nous récusons totalement toute utilisation de matériau chimique ou toxique à Khan Cheikhoun. L’armée n’en a jamais utilisé et n’en utilisera nulle part», lit-on dans le communiqué de l’armée syrienne. » 

La Russie a fait savoir aujourd’hui qu’elle continuerait à coopérer avec la Syrie et qu’elle juge inacceptable le projet de résolution présenté par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni condamnant l’attaque chimique présumée en Syrie :

«Le texte présenté est catégoriquement inacceptable. Son défaut est d’anticiper les résultats de l’enquête et de désigner des coupables»,

a déclaré Maria Zakharova lors d’une conférence de presse, dénonçant un projet «anti-syrien» et de nature à aggraver encore la situation.

Pour le spécialiste en sécurité Charles Shoebridge, interrogé par RT France, la Syrie n’avait aucun intérêt stratégique et politique à conduire une telle attaque en l’état actuel du contexte et des relations diplomatiques plutôt favorables au régime de Damas.

« Aujourd’hui, il y a ce grand incident présumé, et une fois de plus – ce n’est probablement pas une coïncidence – demain commence une conférence très importante à Bruxelles entre l’ONU et l’UE. »

« Dans le contexte actuel, en dépit de toute évidence qui puisse apparaître, parfois susceptible de faire l’objet de manipulations, il faut se poser la question de la motivation de Bachar el-Assad à faire une chose pareille, à ce moment particulier quand il obtient des victoires à travers le pays. Quelle serait alors sa motivation pour provoquer la condamnation de la communauté internationale à ce moment précis ? »

Et de conclure raisonnablement  :

« Ceux qui ont vraiment profité de cette attaque ce sont les rebelles eux-mêmes, car ils ont obtenu un grand avantage géopolitique au moment où ils luttent de manière stratégique, comme de manière géopolitique. Néanmoins, seule une enquête indépendante établira les faits sur le terrain, qui permettrait de tirer une conclusion définitive. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 08 janvier 2017

Et si ça arrivait à Paris ? L’eau de Damas empoisonnée par les « rebelles » islamistes « modérés »

Punlié par Guy Jovelin le 08 janvier 2017

Cela fait 13 jours que le Front al-Nosra (Fatah-al-Cham) a empoisonné les sources d’alimentation en eau de la capitale syrienne. Un acte de terrorisme abominable envers plus de 5,5 millions de civils; acte dont les médias mainstream cachent l’origine par solidarité avec ces prétendus « rebelles » chers aux autorité françaises et occidentales, et pour au contraire accabler le gouvernement syrien dont ils ont tant de mal à digérer la victoire à Alep. 

Les Damascènes sont pour le treizième jour consécutif en quête d’eau potable dans la conjoncture où les terroristes du «Front al-Nosra» ont contaminé au diesel l’eau potable qui arrive à Damas depuis la région de Wadi Barada mais aussi d’Aïn al-Fijé, principale source d’eau de la capitale. Les Damascènes ont demandé à l’armée syrienne de mettre fin à cette situation difficile. (Source :alahed)

Wadi Barada est un secteur contrôlé par le «Front al-Nosra» où se trouvent les principales sources d’approvisionnement en eau potable de la capitale et de ses environs. De ce fait l’armée syrienne tente de libérer les lieux où les combats font rage.

Le «Front al-Nosra» a confirmé dans un communiqué la présence de ses terroristes à Wadi Barada. Il a également reconnu être à l’origine de la pollution de l’eau de Damas. Un communiqué qui devrait couper court aux accusations médiatiques occidentales contre la prétendue rupture de trêve de l’armée syrienne. Mais apparemment ce communiqué n’a pas été lu par les agences de presse.

Et pourtant, comment l’armée syrienne pourrait-elle restée l’arme au pied tandis que des barbares tentent d’empoisonner et d’assoiffer son peuple ? 

D’une part la trêve ne concerne pas les terroristes qui sont listés par l’ONU, ce qui est le cas d’Al-qaïda en Syrie (al-Nosra), et d’autre part ce sont les islamistes soi-disant « modérés » qui ont commis ce « crime de guerre » dénoncé comme tel, jeudi, par l’ONU:

«Le sabotage et la privation d’eau sont évidemment un crime de guerre, car ce sont les civils qui la boivent et ce sont des civils qui seront touchés par des maladies si elle n’est pas rétablie», a affirmé à Genève, Jan Egeland, chef du groupe de travail de l’ONU sur l’aide humanitaire en Syrie. 

Depuis lundi, les Nations Unies qui reconnaissent le crime de guerre, ont commencé à ravitailler par camions citernes 50 écoles classées prioritaires ainsi que certaines zones rurales de Damas. 

Mais cela n’empêche nullement les médias occidentaux d’interpréter l’empoisonnement de l’eau de Damas à leur manière:

Deux correspondants de l’AFP à Damas ont confirmé que l’eau était toujours coupée dimanche, après avoir été rétablie durant quelques heures seulement dans leur quartier respectif.

L’incident intervient alors que «le régime bombarde depuis plusieurs jours les régions de Wadi Barada et Aïn al-Fijé pour faire pression sur les factions islamistes et les djihadistes du front Fateh al-Cham (ex-branche syrienne d’Al-Qaïda) et leur imposer un accord de réconciliation», a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme. (Source: 20 Minutes)

Cet extrait d’un article de « 20 minutes » qui fait référence à l’Observatoire des droits de l’Homme en Syrie, ment éhontément pour deux raisons au moins:

  • Al-Nosra/al-Cham fait partie de la liste des groupement terroristes condamnés par l’ONU et de ce fait, en aucun cas le gouvernement syrien ne tente de lui « imposer un accord de réconciliation », ainsi qu’il est clairement stipulé dans les accords de trêve qui ont été parrainés par la Russie et la Turquie.
  • D’autre part si l’armée syrienne se bat contre les terroristes c’est pour rétablir la distribution d’eau potable pour la population.

Tant que ce sont les Syriens qui souffrent cela n’émeut pas l’Occident, pourtant un tel scénario guette chaque ville de France, chaque ville d’Occident. Tant que les musulmans de France partaient pour terroriser les populations chrétiennes et autres de Syrie, Laurent fabius estimait que le Front al-Nosra faisait du bon boulot et Bernard Cazeneuve disait que « ce n’est pas un délit de prôner le djihad ». Mais lorsque leurs copains de Charlie hebdo se sont fait assassiner comme des syriens lambda, d’un seul coup la chanson a changé de musique. Faudra-t-il en arriver là pour des attentats contre l’eau potable aussi ?

Conséquence du manque d’eau durement ressenti par la population à Damas, les prix de l’eau minérale ont flambé. En une semaine le prix d’un pack de six bouteilles d’eau d’1,5 litre a quasiment doublé passant de 650 livres syriennes (1,3 USD) à 1.000 livres (2 USD). (Source : alahed)

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

samedi, 17 décembre 2016

L’horreur à Damas : les terroristes font exploser une fillette de 8 ans

Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2016

Les gentils djihadistes « rebelles » au gouvernement syrien ont des méthodes tout-à-fait « humaines » pour se faire entendre ! Maintenant ils se servent des enfants pour faire des attentats et les transforment en kamikazes en Syrie.

Dans l’attentat qui est survenu à Damas il y a deux jours, les terroristes ont utilisé une petite fille de 8 ans avec une ceinture d’explosifs sur elle. Selon l’agence du gouvernement syrien, les islamistes ont fait entrer la fillette, qui aurait demandé à aller aux toilettes, dans un commissariat de police dans le quartier de Midan et ont actionné à distance la charge explosive à distance.

Bilan de cet horrible attentat : l’enfant est mort et un policier a été blessé légèrement !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info