Voilà… le grand mot est lâché !
Mais s’intégrer ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
Savoir utiliser notre civilisation ne veut pas dire savoir la produire… loin de là !
Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, qu’on le veuille ou non, une civilisation est TOUJOURS le fait d’une race.
Les individus d’une même race ont TOUS, génétiquement, un « je-ne-sais-quoi », quelque chose d’à la fois imperceptible, fragile, délicat et permanent, un « je-ne-sais-quoi » qui fait que…
C’est presque indicible mais c’est bien réel et ce « quelque-chose-qui-fait-que » inhérent à chaque individu d’une même race et multiplié par des millions, automatiquement, va produire une civilisation particulière.
Civilisation qui va s’écrouler dès que la race s’éteindra. Egyptiens, grecs et romains en ont fait la triste expérience.
Leurs élites, tout comme la nôtre ont cru que…
Elles ont cru que les barbares, s’intégrant peu à peu allaient perpétuer leur civilisation.
Il n’en fut rien !
« S’intégrer » ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
On peut très bien apprendre à conduire une auto et l’utiliser parfaitement sans être du tout capable de la construire.
C’est malheureusement cela l’intégration : on singe les gestes, les idées, l’âme, et… sitôt que le modèle disparaît, tout s’écroule.
Il en est de même des civilisations. L’immense majorité des barbares qui s’« intègrent », aujourd’hui, chez nous, c’est-à-dire qui utilisent notre civilisation sont parfaitement incapables de la produire.
Ce ne sont même pas des paysans. Ils ne sont pas capables de nous faire manger. Par contre, manger, ça ils savent le faire.
Ils utilisent très bien, nos outils, nos machines, nos inventions, nos créations, nos découvertes, nos principes, nos lois, mais… mais-mais-mais… ce n’est pas ça… ils n’inventeront pas, ne créeront pas, n’innoveront pas, dans aucun domaine.
Ils se contenteront d’utiliser au mieux notre civilisation, de la faire fonctionner, sans rien y apporter de nouveau, sans même assurer sa maintenance, et elle se dégradera peu à peu, jusqu’à s’étioler et mourir.
Il y a de tout chez les Blancs. Des nuls, des bons-à-rien, des paresseux, des parasites, des voyous, comme des doués, des honnêtes gens, des travailleurs, des génies…
Mais il est une constante au plus profond de nous, quelque chose que nous possédons quasiment tous dans nos gènes à des degrés divers et qui fait notre particularité : LA PHILANTHROPIE.
Toutes nos inventions, toutes nos réalisations, matérielles, humaines, sociales sont frappées au coing de la philanthropie : outils, machines, véhicules, constructions, ouvrages d’arts…
Tout est dirigé, non pas comme autrefois, pour le plaisir et le bien-être d’un puissant ou d’un notable, mais pour le plaisir et le bien-être du groupe, des siens.
Tous les objets qui peuplent notre quotidien et toutes les lois qui régissent le groupe ont pour but de faciliter la vie de chacun et nous rendre plus heureux.
Tous nos efforts, toutes nos activités, même si la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, tendent à cela : rendre chacun plus heureux.
Le nazisme lui-même procédait de la philanthropie. Une philanthropie à sens unique bien sûr, mais philanthropie tout de même… rien ni personne n’est parfait.
La philanthropie est le trait dominant de notre race.
Jamais aucune race ne le fut plus que la nôtre, et… aucune, jusqu’à ce jour ne l’est plus.
Nous n’y sommes pour rien, nous n’avons aucun mérite particulier, mais c’est un fait, c’est la vie, c’est comme ça, c’est notre nature, un point c’est tout et vouloir métisser à tout prix notre race sous prétexte que certains singent parfaitement nos gestes et nos idées est une pure illusion, une illusion catastrophique.
On n’intègre pas des briques et des parpaings et des galets dans un mur de pierres sans être obligé de le briser ici et là, jusqu’à ce qu’il s’écroule.
Le pilote de ligne a beau être très fin, très intelligent, très compétent… ce n’est pas lui qui a construit l’avion. Quand il y aura plus de pilotes que de constructeurs d’avions il n’y aura plus aucun vol.
Je ne jette la pierre à personne. Les barbares sont les barbares et nous sommes ce que nous sommes, c’est ainsi et ni les uns ni les autres n’y peuvent rien.
Certains ex-barbares, les asiatiques, en nous copiant, sont arrivés à nous égaler et même à nous dépasser… mais CHEZ EUX, en restant « ENTRE EUX ».
Cessons de nous mentir à nous-mêmes… chacun sait très bien que le métissage a toujours été synonyme de chaos.
Je sais très bien ce qui va nous arriver si nous laissons les clefs de notre civilisation aux barbares… Nous le savons d’ailleurs TOUS très bien, même ceux qui font semblant de ne pas le savoir.
Je veux bien des savants, mais les miens !
Je veux bien des chercheurs, mais les miens !
Je veux bien des musiciens, mais les miens !
Je veux bien des artistes, mais les miens !
Je veux bien des paysans, mais les miens !
Je veux bien des ouvriers, mais les miens !
Je veux bien des techniciens, mais les miens !
Je veux bien des ingénieurs, mais les miens !
Je veux bien des docteurs, mais les miens !
Je veux bien des génies, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez nous qu’il serait bien dommage de nous métisser.
Je veux bien des nuls, mais les miens !
Je veux bien des paresseux, mais les miens !
Je veux bien des bons à rien, mais les miens !
Je veux bien des parasites, mais les miens !
Je veux bien des voyous, mais les miens !
Je veux bien des handicapés, mais les miens !
Je veux bien des cas-sociaux, mais les miens !
Je veux bien des mystiques azimutés, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez les barbares qu’il serait bien dommage de nous métisser… c’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont barbares.
L’intégration est un mirage !
Ils ont des gens exceptionnels… Bon, d’accord ! Eh bien qu’ils se les gardent, ils en ont bien besoin. Et qu’ils se bâtissent une civilisation bien à eux, sur LEUR territoire.
Grand bien leur fasse. Et qu’ils nous foutent la paix !
Il existe partout des gens doués pour faire de la musique, d’autres doués pour faire des maths, d’autres doués pour l’invention, d’autres pour l’entreprise, d’autres pour le sport, etc.
Il n’y a pas grand mérite à être doué. C’est comme ça, c’est la vie. On ne peut que s’incliner devant les faits.
Malheureusement il en est des peuples comme des gens.
Certains sont doués pour créer, fabriquer, produire, organiser, bâtir. C’est un fait. On ne peut que s’incliner devant cela.
Quand je vois ce que certains peuples ont fait chez eux, et quand je les vois accourir ventre à terre chez nous… C’EST PROPREMENT EFFRAYANT !
Aujourd’hui, toutes les races du monde accourent pour se métisser avec la nôtre.
C’est très gratifiant et honorant… pour sûr.
Pour eux nous sommes « GRANDS »… ils ne cessent de nous le dire.
Malheureusement, CHEZ NOUS, des millions et des millions de « petits » en mal de grandeur, de stupides en mal d’intelligence, d’ordinaires en mal d’exceptionnel, d’éteints en mal de lumière, de pas-beaux ou de pas-belles en mal de beauté, ronronnent de plaisir et sont prêts à accueillir le monde entier avec la largesse, l’altruisme et la magnanimité qui sied à leur immense, incontestable et incontestée noblesse.
Ils ne peuvent résister au plaisir d’être… enfin… « GRANDS », et bien sûr, de nous toiser du haut de leur toute-petitesse.
La barbarophilie qui flatte l’ego des gens a pour effet de les élever soudain et comme par magie au-dessus de la masse.
Malheureusement pour tous ces doux rêveurs, ces dangereux doux rêveurs,« Tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute ! » et la barbarophilie ne les rend pas plus grands.
Ce n’est qu’un vulgaire tabouret que n’importe quel barbare, le jour venu, leur retirera d’un simple coup de pied…
Je ne sais pas ce qui est arrivé en Égypte du temps de sa grande décadence… du temps de ses pharaons sémites ou noirs…
La barbarophilie existait-elle ? Sans doute… puisqu’elle a existé de façon flagrante et criante du temps de la décadence des grecs anciens et des latins.
Déjà vers les années 500 avant JC, le grec Hérodote, grand voyageur, inventeur de l’Histoire et pratiquement de l’ethnologie, fut le précurseur de la barbarophilie grecque.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il ne côtoyait réellement que l’élite barbare…
Il avait donc remarqué que les barbares n’étaient pas si stupides qu’on l’imaginait, et qu’il y avait des gens très fins et très bien dans leurs rangs.
En fait, comme tout bon « intellectuel » qui se respecte, comme un bon BHL, il avait découvert l’eau chaude. Il avait découvert que dans un groupe réputé intelligent tout le monde n’était pas intelligent et que dans un groupe réputé con tout le monde n’était pas con.
La notion de proportion, en toute chose, n’était pas encore née : proportion de globules rouges ou blancs dans le sang, d’oxygène dans l’air, de sel dans un plat, d’intelligents ou de cons dans un groupe, etc., etc., etc.
Ses récits et œuvres furent donc tous empreints d’une certaine barbarophilie… barbarophilie qui s’hypertrophia tant et tant au cours des siècles qu’elle finit par étouffer tout amour-propre chez les Grecs jusqu’à Alexandre le Grand qui l’érigea en règle de vie, effaça son propre peuple et abattit sa propre civilisation du même coup.
Idem pour Rome.
À l’époque des grandes infiltrations barbares et de la grande décadence, il était de bon ton de s’habiller de peau d’ours comme les Gaulois ou les Germains, de porter une épée franque à la ceinture, de se décolorer les cheveux à l’eau de chaux, d’émailler son vocabulaire de quelques mots typiquement barbares et de promouvoir les barbares plutôt que les latins chaque fois qu’on le pouvait. Cela faisait tellement « classe » !
Sans compter le premier concept anti-race et anti-nation de l’histoire qui rongeait l’empire de l’intérieur. Concept fait pour l’infiltration et la domination des grands peuples par les juifs : le christianisme : « Nous sommes tous frères, donnez tout, soyez pauvres, si l’on vous attaque ne vous défendez pas…».
Barbarophilie et christianisme…
Rome ne s’en relèvera pas.
Nous sommes dans le même cas de figure.
Barbarophilie galopante et antiracisme marxiste forcené et très “mode”, nous livrent pieds et poings liés à tous les charognards de l’humanité. Nous aussi sommes bons pour la décadence, l’écroulement et le pillage… décadence, écroulement et pillage, mais… TRÈS “CLASSE” bien entendu, comme tout le monde peut s’en douter.
RESISTERONS-NOUS ?
Oui, mais à une seule condition : nous devons prendre conscience de ce terrible cancer qui a tué et qui continue à tuer les grands peuples, TOUS les grands peuples : L’ANTIRACISME !
N’oubliez pas, n’oubliez JAMAIS
ce que l’ANTIRACISME a fait de l’Égypte, de la Grèce et de Rome…
CHRISTIAN LEBLANC