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mercredi, 08 novembre 2017

Métissage et Grand Remplacement

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2017

 
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Article publié le 07.11.2017

Il est toujours étonnant de revenir dans la région parisienne et en particulier dans Paris. Je passe beaucoup de temps en Province, dans le calme d’un village de campagne, et je reste stupéfait à mon retour, par la vitesse du « Grand Remplacement », et des marquages publicitaires racistes anti blancs, dit racisés.

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C’est plus frappant lorsque l’on prend le RER et que l’on débarque à la station Châtelet. Les blancs y deviennent minoritaires. Cette station refaite à neuf de carrelages muraux en verre, ne devrait pas tarder à connaître les joies du « StreetArt », les plaisirs du tambour et de la fumette à haute dose. Je n’y ai pas rencontré Hidalgo.

Métro ligne 4, je dois aller à Simplon. Nous sommes quelques rares Français de souche à voyager sur ce bout de ligne. Cela provoque une sorte de solidarité lorsque nos regards franchouillards se croisent. Des regards qui disent tous la même chose ! Où sommes-nous ?

En remontant à la surface, j’ai pu y voir un marché venu d’ailleurs. Des fripes, et des voilées qui inondaient les trottoirs, entendu des langues inconnues, constater des étals où les légumes n’ont pas été cultivés dans nos campagnes. Senti des regards qui en disaient long sur ma présence. Il est vrai que j’ai toujours mon drapeau national accroché à mon manteau, et mon chapeau de « youpin » sur la tête, comme un jour, deux gentilles « chances pour la France » me l’avaient fait remarquer !

Non seulement la population n’est plus celle que j’ai connue il y a seulement 15 ans, mais les boutiques de ce quartier parisien non plus. Entre Château Rouge et Porte de Clignancourt, c’est des multi-souks divers. J’ai même pu y voir une boutique de godasses d’occasion. Un amoncellement de godasses usées. De vieilles chaussures avachies, venues tout droit de nos poubelles. De vieux croquenots, des sandales crades sur des étagères entières, ni restaurées, cirées, nettoyées. Elles sont dans leur jus. Je jette un œil, et j’y vois une faune bigarrée, quelques blancs aussi. L’exemple de la misère ambiante.

En rentrant de mon périple, je vois sur mon Facebook, un appel aux dons de Médecins sans Frontière pour soutenir les Rohingyas. Je leur ai demandé de s’adresser à l’Arabie Saoudite qui a fomenté la révolte de cette minorité musulmane contre la Birmanie. En réponse, je me fais traiter d’abruti ! Où était Médecins Sans Frontière lorsque les Chrétiens se sont fait massacrer ? La dernière réponse est de: Maite Anchustegui si le grand remplacement remplace des gens comme toi, je ne vois pas d’inconvénients. Une amoureuse des animaux ! Elle ne peut pas être tout à fait idiote.
Quels sont les signes les plus évidents du grand remplacement ? La publicité d’abord qui est un vecteur puissant. Elle incite, mais culpabilise également.

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La publicité n’est pas innocente. Sa mission est double. Elle excite l’envie, la jalousie, le désir et incite à la vente. Mais elle a aussi la fonction de changer le regard des citoyens.

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Prenons aussi l’exemple d’IKEA qui scénarise une pub pour mieux faire passer son message « antiraciste », mais antiblanc.

IKEA nous explique que les femmes blanches partagent, échangent avec la diversité, et peut recevoir un voisin noir habitant l’étage en dessous. Qu’importe d’où il vient.

Décortiquons le scénario ! La femme blanche est bruyante, fait souvent la fête avec ses copines blanches, et sa musique est trop forte. Son voisin du dessous, un travailleur noir, aimerait bien dormir et lui fait savoir en sonnant à sa porte. Un soir, pour se faire excuser, elle l’invite à dîner ! Normal ?  Bien sûr que non, sauf pour une abrutie inconsciente.

De même pour des pubs bancaires où le mari noir et sa femme blanche sont ravis d’avoir obtenu un crédit. Leroy Merlin et Général d’optique.

La femme blanche convoitée, le ventre fécond de la mixité. C’est sur elle que l’on peut compter pour réussir le métissage ? Certes, il y a des femmes noires qui vivent le parfait amour avec un blanc. Mais c’est effacé des radars des antiracistes. Racisme anti blanc, mais à géométrie variable. Il ne va pas faire bon d’être un blanc dans cette société qui s’annonce. Surtout si vous voulez revendiquer vos origines de souche !

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Dans chaque pub, la sélection est faite à travers la couleur de peau.

Prenez la RATP, le fraudeur est blanc. Pire, c’est un homme aisé. La femme blanche n’est pas épargnée ! Fraudeur par la race ? Mettez-vous à un guichet, et vérifiez vous-même !

Si l’on pousse plus loin, on retrouve le même schéma dans les téléfilms. Les voyous sont de jeunes blancs. Ils  vivent dans des banlieues pavillonnaires, rarement dans les cités dites « défavorisées ». Le top étant un jeune bourgeois du 8ème ou du 16ème, plein de fric, bien pervers, et blond de préférence. Souvent, le flic est une femme blanche moralisante, sous les ordres d’un commissaire ou d’un juge noir, etc.

Madame Taubira disait qu’il ne fallait pas ajouter de la culpabilité à cette jeunesse qui pourtant règne dans les cités hors république. Là, où on brûle, on pille, on attaque les pompiers, les médecins, les policiers. Là où on y vend de la drogue, y fomente des attentats. Avec les excuses d’une gauche imbécile, au nom d’une rancune post coloniale comme nous l’explique le faux docteur, mais vraie Députée Danielle Obono. Post coloniale? Cela en dit long sur les origines de ces délinquants multirécidivistes qui encombrent nos tribunaux.

Les Français sont donc coincés dans un étau. Les pinces ? L’idée qu’ils sont des racistes de fait, et la culpabilité d’une histoire dont ils ne sont en rien, responsables.

Le Français est cuisiné chaque jour à la sauce poivre et sel, et chaque jour le poivre devient l’élément principal, et comme dirait l’autre, « ça pique » le blanc.

Bientôt, la grenouille Française de souche sera cuite. Elle sera présentée et agrémentée d’une sauce poivre au banquet de l’Union Européenne, avec du thé à la menthe pour les convives d’Arabie et du Qatar. Bon appétit.

Gérard Brazon, le 7 novembre 2017

 

Source : lesobservateurs

vendredi, 06 octobre 2017

Un ex-ministre québecois prévient : « Si on ne contrôle pas notre immigration, le Québec français disparaîtra »

 Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Article de Richard Le Hir, ancien député québecois et ministre déléguée à la Restructuration (1994-1995).

J’ai hésité avant de m’associer à la diffusion de la présente étude, très conscient qu’elle risquait de rappeler de mauvais souvenirs. Si je m’y suis résolu, c’est qu’elle contient des informations que les Québécois doivent absolument connaître car elles sont déterminantes pour leur avenir en tant que peuple et nation.

(…) Cette étude a comme premier mérite de dissiper comme une douche froide certains mythes sur la diversité des origines des Québécois. Son premier tableau révèle en effet que les Canadiens-Français du Québec sont à 89,8 originaires de France, à 5 % originaires de l’Acadie, 1,5 % originaires de Grande-Bretagne, 1,4 % d’origine autochtone, 1 % d’autres pays européens, 0,6 % d’origine irlandaise et 0,4 % d’origine allemande. Rares sont les pays dont la population est si homogène sur le plan de ses origines.

Malgré tout, la conclusion est implacable : « En résumé l’analyse démontre que le nombre des immigrants est si élevé que les CFQ (Canadiens-français du Québec), qui étaient très largement majoritaires il y a une génération, deviendront minoritaires dans moins d’une génération. » D’où l’urgence absolue d’obtenir le plus rapidement possible le plein contrôle, je répète, le plein contrôle, sur notre immigration.

(…)

♦ En 1971, 79% des Québécois appartenant au groupe ethnique canadien-français

♦ En 2014, le poids démographique des Canadiens français était de 64%

♦ Le poids démographique des Canadiens français à diminué de 0.5% par année au cours des dernières années

♦ Les projections supposent que les Canadiens français passeront sous la barre des 50% à l’horizon de 2035

♦ En considérant le taux d’immigration, la fécondité des natifs et des immigrés, les taux de mortalité, le taux de rétention des immigrants, le métissage et les migrations interprovinciales, on constate que le principal facteur causant la chute du poids démographique des Canadiens-français est de loin les niveaux élevés d’immigrants s’installant au Québec

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Source : fdesouche

jeudi, 17 mars 2016

ANTIRACISME ET BARBAROPHILIE (par Christian Leblanc)

Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2016

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« Il faut que les gens S’INTÈGRENT ! »…


Voilà… le grand mot est lâché !

Mais s’intégrer ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
Savoir utiliser notre civilisation ne veut pas dire savoir la produire… loin de là !
Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, qu’on le veuille ou non, une civilisation est TOUJOURS le fait d’une race.
Les individus d’une même race ont TOUS, génétiquement, un « je-ne-sais-quoi », quelque chose d’à la fois imperceptible, fragile, délicat et permanent, un « je-ne-sais-quoi » qui fait que…
C’est presque indicible mais c’est bien réel et ce « quelque-chose-qui-fait-que » inhérent à chaque individu d’une même race et multiplié par des millions, automatiquement, va produire une civilisation particulière.
Civilisation qui va s’écrouler dès que la race s’éteindra. Egyptiens, grecs et romains en ont fait la triste expérience.
Leurs élites, tout comme la nôtre ont cru que…
Elles ont cru que les barbares, s’intégrant peu à peu allaient perpétuer leur civilisation.
Il n’en fut rien !

« S’intégrer » ne veut pas dire « reprendre le flambeau ».
On peut très bien apprendre à conduire une auto et l’utiliser parfaitement sans être du tout capable de la construire.
C’est malheureusement cela l’intégration : on singe les gestes, les idées, l’âme, et… sitôt que le modèle disparaît, tout s’écroule.

Il en est de même des civilisations. L’immense majorité des barbares qui s’« intègrent », aujourd’hui, chez nous, c’est-à-dire qui utilisent notre civilisation sont parfaitement incapables de la produire.
Ce ne sont même pas des paysans. Ils ne sont pas capables de nous faire manger. Par contre, manger, ça ils savent le faire.
Ils utilisent très bien, nos outils, nos machines, nos inventions, nos créations, nos découvertes, nos principes, nos lois, mais… mais-mais-mais… ce n’est pas ça… ils n’inventeront pas, ne créeront pas, n’innoveront pas, dans aucun domaine.
Ils se contenteront d’utiliser au mieux notre civilisation, de la faire fonctionner, sans rien y apporter de nouveau, sans même assurer sa maintenance, et elle se dégradera peu à peu, jusqu’à s’étioler et mourir.

Il y a de tout chez les Blancs. Des nuls, des bons-à-rien, des paresseux, des parasites, des voyous, comme des doués, des honnêtes gens, des travailleurs, des génies…
Mais il est une constante au plus profond de nous, quelque chose que nous possédons quasiment tous dans nos gènes à des degrés divers et qui fait notre particularité : LA PHILANTHROPIE.
Toutes nos inventions, toutes nos réalisations, matérielles, humaines, sociales sont frappées au coing de la philanthropie : outils, machines, véhicules, constructions, ouvrages d’arts…

Tout est dirigé, non pas comme autrefois, pour le plaisir et le bien-être d’un puissant ou d’un notable, mais pour le plaisir et le bien-être du groupe, des siens.
Tous les objets qui peuplent notre quotidien et toutes les lois qui régissent le groupe ont pour but de faciliter la vie de chacun et nous rendre plus heureux.
Tous nos efforts, toutes nos activités, même si la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, tendent à cela : rendre chacun plus heureux.
Le nazisme lui-même procédait de la philanthropie. Une philanthropie à sens unique bien sûr, mais philanthropie tout de même… rien ni personne n’est parfait.
La philanthropie est le trait dominant de notre race.
Jamais aucune race ne le fut plus que la nôtre, et… aucune, jusqu’à ce jour ne l’est plus.

Nous n’y sommes pour rien, nous n’avons aucun mérite particulier, mais c’est un fait, c’est la vie, c’est comme ça, c’est notre nature, un point c’est tout et vouloir métisser à tout prix notre race sous prétexte que certains singent parfaitement nos gestes et nos idées est une pure illusion, une illusion catastrophique.
On n’intègre pas des briques et des parpaings et des galets dans un mur de pierres sans être obligé de le briser ici et là, jusqu’à ce qu’il s’écroule.

Le pilote de ligne a beau être très fin, très intelligent, très compétent… ce n’est pas lui qui a construit l’avion. Quand il y aura plus de pilotes que de constructeurs d’avions il n’y aura plus aucun vol.
Je ne jette la pierre à personne. Les barbares sont les barbares et nous sommes ce que nous sommes, c’est ainsi et ni les uns ni les autres n’y peuvent rien.
Certains ex-barbares, les asiatiques, en nous copiant, sont arrivés à nous égaler et même à nous dépasser… mais CHEZ EUX, en restant « ENTRE EUX ».

Cessons de nous mentir à nous-mêmes… chacun sait très bien que le métissage a toujours été synonyme de chaos.

Je sais très bien ce qui va nous arriver si nous laissons les clefs de notre civilisation aux barbares… Nous le savons d’ailleurs TOUS très bien, même ceux qui font semblant de ne pas le savoir.

Je veux bien des savants, mais les miens !
Je veux bien des chercheurs, mais les miens !
Je veux bien des musiciens, mais les miens !
Je veux bien des artistes, mais les miens !
Je veux bien des paysans, mais les miens !
Je veux bien des ouvriers, mais les miens !
Je veux bien des techniciens, mais les miens !
Je veux bien des ingénieurs, mais les miens !
Je veux bien des docteurs, mais les miens !
Je veux bien des génies, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez nous qu’il serait bien dommage de nous métisser.

Je veux bien des nuls, mais les miens !
Je veux bien des paresseux, mais les miens !
Je veux bien des bons à rien, mais les miens !
Je veux bien des parasites, mais les miens !
Je veux bien des voyous, mais les miens !
Je veux bien des handicapés, mais les miens !
Je veux bien des cas-sociaux, mais les miens !
Je veux bien des mystiques azimutés, mais les miens !
Il y en a d’ailleurs une telle proportion chez les barbares qu’il serait bien dommage de nous métisser… c’est d’ailleurs pour cela qu’ils sont barbares.

L’intégration est un mirage !

Ils ont des gens exceptionnels… Bon, d’accord ! Eh bien qu’ils se les gardent, ils en ont bien besoin. Et qu’ils se bâtissent une civilisation bien à eux, sur LEUR territoire.
Grand bien leur fasse. Et qu’ils nous foutent la paix !
Il existe partout des gens doués pour faire de la musique, d’autres doués pour faire des maths, d’autres doués pour l’invention, d’autres pour l’entreprise, d’autres pour le sport, etc.
Il n’y a pas grand mérite à être doué. C’est comme ça, c’est la vie. On ne peut que s’incliner devant les faits.

Malheureusement il en est des peuples comme des gens.
Certains sont doués pour créer, fabriquer, produire, organiser, bâtir. C’est un fait. On ne peut que s’incliner devant cela.
Quand je vois ce que certains peuples ont fait chez eux, et quand je les vois accourir ventre à terre chez nous… C’EST PROPREMENT EFFRAYANT !
Aujourd’hui, toutes les races du monde accourent pour se métisser avec la nôtre.
C’est très gratifiant et honorant… pour sûr.

Pour eux nous sommes « GRANDS »… ils ne cessent de nous le dire.
Malheureusement, CHEZ NOUS, des millions et des millions de « petits » en mal de grandeur, de stupides en mal d’intelligence, d’ordinaires en mal d’exceptionnel, d’éteints en mal de lumière, de pas-beaux ou de pas-belles en mal de beauté, ronronnent de plaisir et sont prêts à accueillir le monde entier avec la largesse, l’altruisme et la magnanimité qui sied à leur immense, incontestable et incontestée noblesse.
Ils ne peuvent résister au plaisir d’être… enfin… « GRANDS », et bien sûr, de nous toiser du haut de leur toute-petitesse.
La barbarophilie qui flatte l’ego des gens a pour effet de les élever soudain et comme par magie au-dessus de la masse.
Malheureusement pour tous ces doux rêveurs, ces dangereux doux rêveurs,« Tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute ! » et la barbarophilie ne les rend pas plus grands.
Ce n’est qu’un vulgaire tabouret que n’importe quel barbare, le jour venu, leur retirera d’un simple coup de pied…

Je ne sais pas ce qui est arrivé en Égypte du temps de sa grande décadence… du temps de ses pharaons sémites ou noirs…
La barbarophilie existait-elle ?  Sans doute… puisqu’elle a existé de façon flagrante et criante du temps de la décadence des grecs anciens et des latins.
Déjà vers les années 500 avant JC, le grec Hérodote, grand voyageur, inventeur de l’Histoire et pratiquement de l’ethnologie, fut le précurseur de la barbarophilie grecque.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il ne côtoyait réellement que l’élite barbare…
Il avait donc remarqué que les barbares n’étaient pas si stupides qu’on l’imaginait, et qu’il y avait des gens très fins et très bien dans leurs rangs.

En fait, comme tout bon « intellectuel » qui se respecte, comme un bon BHL, il avait découvert l’eau chaude. Il avait découvert que dans un groupe réputé intelligent tout le monde n’était pas intelligent et que dans un groupe réputé con tout le monde n’était pas con.
La notion de proportion, en toute chose, n’était pas encore née : proportion de globules rouges ou blancs dans le sang, d’oxygène dans l’air, de sel dans un plat, d’intelligents ou de cons dans un groupe, etc., etc., etc.
Ses récits et œuvres furent donc tous empreints d’une certaine barbarophilie… barbarophilie qui s’hypertrophia tant et tant au cours des siècles qu’elle finit par étouffer tout amour-propre chez les Grecs jusqu’à Alexandre le Grand qui l’érigea en règle de vie, effaça son propre peuple et abattit sa propre civilisation du même coup.

Idem pour Rome.
À l’époque des grandes infiltrations barbares et de la grande décadence, il était de bon ton de s’habiller de peau d’ours comme les Gaulois ou les Germains, de porter une épée franque à la ceinture, de se décolorer les cheveux à l’eau de chaux, d’émailler son vocabulaire de quelques mots typiquement barbares et de promouvoir les barbares plutôt que les latins chaque fois qu’on le pouvait. Cela faisait tellement « classe » !
Sans compter le premier concept anti-race et anti-nation de l’histoire qui rongeait l’empire de l’intérieur. Concept fait pour l’infiltration et la domination des grands peuples par les juifs : le christianisme : « Nous sommes tous frères, donnez tout, soyez pauvres, si l’on vous attaque ne vous défendez pas…».

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Barbarophilie et christianisme…
Rome ne s’en relèvera pas.

Nous sommes dans le même cas de figure.

Barbarophilie galopante et antiracisme marxiste forcené et très “mode”, nous livrent pieds et poings liés à tous les charognards de l’humanité. Nous aussi sommes bons pour la décadence, l’écroulement et le pillage… décadence, écroulement et pillage, mais… TRÈS “CLASSE” bien entendu, comme tout le monde peut s’en douter.

RESISTERONS-NOUS ?

Oui, mais à une seule condition : nous devons prendre conscience de ce terrible cancer qui a tué et qui continue à tuer les grands peuples, TOUS les grands peuples : L’ANTIRACISME !

 

N’oubliez pas, n’oubliez JAMAIS
ce que l’ANTIRACISME a fait de l’Égypte, de la Grèce et de Rome…

CHRISTIAN LEBLANC

lundi, 15 septembre 2014

Chocolat noir ou croquer la vie à pleine dent

Publié par Guy Jovelin

Le texte suivant n’a rien d’une chronique diététique.

La promotion du métissage est le produit de l’égalitarisme. L’enfer est dit-on pavé de bonnes intentions. Eh bien ! La route de l’égalitarisme mène à un enfer d’uniformisation.

Je m’affirme racialiste, sexué et hiérarchophile (du grec hiéros, sacré, et archos, chef). NON !

L’autre n’est pas inférieur, ni supérieur ni même égal. Il est différent. C’est dans la reconnaissance et l’acceptation de cette différence que s’accomplit la subtile alchimie qui

transforme un troupeau animal en société humaine. Vouloir pousser à tout prix cette idéologie funeste de considérer son prochain non comme un proche mais comme son égal produit le pire cauchemar de l’humanité. La régression à l’état animal, la marche vers le néant.

Vivre ensemble n’est pas vivre pareil. Un hôte accueille son invité en promouvant son art de vivre. L’exact contraire de ce métissage qui promeut l’indistinct mélange à la fierté ethnique, terreau de l’occlusion des origines et du déracinement. Si l’on s’interroge sur le

communautarisme musulman largement décrié, pas besoin de s’étonner ! Ceux-là ont compris le péril et protègent leur identité.

De la même manière, les masses sont infantilisées à coup de télévision et de publicité, de télé réalité et de sport dopé, de sensationnalisme et de « zapping », de propagande d’état et d’état de crise. Le résultat est une uniformisation des esprits, l’absence de toute pensée nouvelle, loin des prolifiques années de la fin du XIX et du début du XXème siècle. Les plus jeunes penseurs des temps modernes ont 50 ans minimum ! La théorie du genre veut l’indifférenciation des sexes. La lutte contre la dimension spirituelle renvoie par le laïcisme toutes les religions à un salmigondis syncrétique. L’abaissement culturel promeut la dénaturation du beau au profit de la culture « pipi-caca ». L’affaiblissement du pouvoir et de la loi conduit au laxisme, à la corruption et en matière de justice à la relativisation (agresseur = victime, policier = oppresseur, victime = quantité négligeable). La normalisation à outrance encouragée par Bruxelles produit le gaspillage. Le nivellement des classes est le facteur d’abstraction des spécificités des élites comme des prolétaires. Qui voudrait d’un président normal renonçant à l’élégance, à sa légitime supériorité et à son image sous prétexte que cela l’éloignerait du bas peuple. Lorsqu’untel se présente à son avantage dans le monde, son peuple entier est élevé avec lui. Lorsque ce même personnage s’abaisse, son peuple est lui-même abaissé. Non nous ne sommes pas égaux. Non les privilèges ne sont pas volés. François HOLLANDE peut compter sur sa position pour se prémunir d’une offense. L’arabe du coin comptera lui sur sa religion et sa droiture pour préserver en privé son cadre de vie. L’hériter d’une famille d’ancienne noblesse verra lui sa généalogie et les mérites accumulés par les siens dans les siècles légitimer sa prétention à diriger. Et le fils d’ouvrier qui a connu la dèche pour obtenir haut la main son diplôme d’ingénieur mérite la reconnaissance due à son titre et à sa valeur. La sueur et le mérite ont un prix non négociable. La trahison et la déchéance en ont un autre.

Plus que jamais nous ferons face à l’indistinct. Cet ennemi de l’Homme qui fait homme d’une femme, riche d’un pauvre, imbécile d’un érudit, criminel d’un sauveteur, bourreau d’un représentant de l’ordre et blanc d’un noir.

Quoique vous soyez, vivez votre vie en conscience, soyez ce que vous êtes et toisez fièrement votre avenir. L’identité nationale française est une Gloire. Je la porte en étendard et vous enjoint de faire de même. Quant aux misérables fossoyeurs de notre nation, qu’ils attendent le retour de bâton !

 

Marc-Antoine HENNET