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lundi, 25 juin 2018

Syrie: selon Assad, Daesh et al-Nosra reviendront avec l’aide des Occidentaux pour former un califat

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

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Dans une interview accordée à la chaîne russe NTV et diffusée le 24 juin, le président syrien Bachar el-Assad a estimé qu'il fallait craindre de voir renaître les groupes terroristes Daesh et al-Nosra. Selon Bachar el-Assad, ils n'auraient pas abandonné l'idée de créer un califat en vertu du soutien dont ils disposeraient de la part des pays Occidentaux.

«C'est une menace religieuse avec un soutien politique. Cela n'arrive pas de façon spontanée. Ils reviendront parce que les forces occidentales les utilisent encore et encore mais sous différents noms», a déclaré le président syrien.

Bachar el-Assad a poursuivi son raisonnement en dressant une comparaison avec les Moudjahidines qui ont combattu contre l'armée soviétique en Afghanistan et qui étaient qualifiés par le président américain de l'époque, Ronald Reagan, non pas de terroristes, mais de «combattants de la liberté».

«Maintenant, on les appelle des terroristes. Mais peut-être que dans 10 ans, ils seront utilisés ailleurs, sous un autre nom. C'est seulement du "rebranding", c'est un outil des Occidentaux», a soutenu Bachar el-Assad.

Et quand l'impact des terroristes n'est pas suffisant sur le terrain et qu'il sont repoussés militairement, les Occidentaux mettent en place des «histoires à dormir debout» sur de prétendues attaques chimiques, selon Bachar el-Assad. «Ces histoires sont utilisées lorsque leurs forces – les terroristes sous leur contrôle – sont vaincues dans une partie de la Syrie», a expliqué le président syrien.

«Ces histoires impliquant des armes chimiques sont un prétexte pour une intervention militaire directe et des attaques contre l'armée syrienne», a-t-il ajouté, rappelant que Damas avait détruit ses stocks d'armes chimiques en 2013.

Lire aussi : Syrie : Moscou dénonce l'enquête de l'OIAC et expose le matériel récupéré aux rebelles à Douma

 

Extrait de: Source et auteur

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mardi, 28 novembre 2017

Quand les Kurdes négocient avec Daesh

 Abou Kamal près de la frontière iraquienne, zone baignée par l'Euphrate

 

Par Antoine de Lacoste

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La prise de Raqqa (capitale de l'Etat islamique) a été saluée comme une grande victoire contre Daesh. Ce sont les FDS, cette coalition composée majoritairement de Kurdes et organisée par les Etats-Unis, qui ont fait le siège de la ville.

L'affaire a pris plusieurs mois. Les bombardements américains ont détruit 80% de la ville mais les forces kurdes ont longtemps piétiné devant les derniers réduits de Daesh, sans vraiment s'y attaquer.

Et puis soudainement, malgré l'absence d'offensive finale, les Américains ont triomphalement annoncé la reprise complète de la ville.

Un long cortège de civils s'est alors dirigé vers le nord, en direction de la frontière turque, fuyant une ville devenue inhabitable.

Mais très vite, des doutes sont apparus sur le sort des derniers combattants islamistes. Les Russes ont accusé les Américains de les avoir laissés s'en aller, mais personne ne les a écoutés. Des rumeurs faisaient état de départ négocié vers Deir ez-Zor que l'armée syrienne tentait de reprendre à Daesh, les Américains ont démenti.

Il a fallu une enquête de la BBC pour qu'une partie de la vérité apparaisse.

Il y a bien eu négociation entre les Kurdes et les derniers combattants de Daesh afin que ceux-ci puissent évacuer Raqqa avec leurs familles et leurs armes. Ils se sont massivement dirigés vers la Turquie et ont, pour la plupart, franchi la frontière.

Les Turcs n'ont évidemment pas été informés de la situation, ni par les Kurdes (c'est assez logique) ni par les Américains (ce qui ne va pas arranger leurs relations). Et c'est un peu par hasard que deux responsables importants de Daesh ont été arrêtés peu après en Turquie.

Les autres sont maintenant disséminés un peu partout...

Le Ministre des Affaires étrangères russe, Serguei Lavrov, a violemment dénoncé cette opération peu après, preuves à l'appui.

Ne pouvant plus démentir, les Américains ont cette fois reconnu la réalité de la négociation, arguant du fait qu'il n'était pas possible de faire autrement.

Il n'est d'ailleurs pas certain qu'ils aient eu tout à fait leur mot à dire. En effet, les Kurdes étaient bien décidés à perdre un minimum d'hommes dans une bataille dont l'importance était plus symbolique que stratégique. Raqqa était totalement isolée, et la plupart des combattants avaient fui avant le début des combats vers Deir ez-Zor, Mayadin et Abou Kamal, dernière ville tenue par Daesh, près de la frontière iraquienne. C'est l'armée syrienne qui devra finir de reprendre cette zone baignée par l'Euphrate.

Les Américains voulaient une victoire de prestige à moindre frais et il serait assez naïf d'être surpris par une telle négociation. Les Kurdes, quant à eux, sont dans une logique de conquête territoriale préparant une négociation politique, et le combat anti-islamiste est tout à fait accessoire pour eux.

On évalue à 250 le nombre de combattants islamistes ainsi exfiltrés par les Kurdes. Si l 'on rajoute les familles, ce sont presque 2000 personnes qui ont été autorisées à partir.

Il ne faudra pas s'étonner d'en retrouver un jour en Europe...   

 

Source : lafautearousseau

lundi, 22 mai 2017

Un élève policier de Nîmes suspendu pour avoir diffusé une vidéo de Daesh

Publié par Guy Jovelin le 22 mai 2017

Par Zakaria Soullami

(Illustration) / © MAXPPP
(Illustration) / © MAXPPP

Des enquêtes de la PJ et de la police des polices ont rapidement été ouvertes après la diffusion d'une vidéo de l'Etat Islamique par un élève de l'école de police de Nîmes, dans le Gard. L'élève a été suspendu mais "il n'y a pas d'apologie du terrorisme" selon le procureur de la République à Nîmes.

Par Zakaria Soullami

"Il n'y a pas de prosélytisme ou d'apologie du terrorisme.", affirme Eric Maurel, procureur de la République à Nîmes, à France 3 Languedoc-Roussillon.

Un élève policier diffuse une vidéo de Daesh à Nîmes

Un élève de l'école de police de Nîmes, dans le Gard, avait une vidéo de propagande de Daesh sur son téléphone. Une vidéo qu'il a fait circuler à ses camarades au sein de l'école, comme l'ont révélé nos confrères de RTL. Le procureur de la République à Nîmes nous a confirmé l'information en assurant qu'"il n'y a pas d'affaire".

"Pas d'apologie du terrorisme"

"Il n'y a pas d'apologie du terrorisme, c'est même le contraire. L'élève voulait dire : "nous on est victimes de ces gens-là". Mais il l'a fait de manière inadaptée.", poursuit Eric Maurel qui précise qu'une enquête a été ouverte vendredi matin et arrêtée vendredi soir.

"Procédure classée"

"La procédure est classée car il n'y a pas d'infraction. Pour qu'il y ait infraction, il faut un acte matériel (en l'occurrence la vidéo), et un élément intentionnel.". Dans ce cas précis, il n'y a pas d'intention de faire du prosélytisme, assure le procureur de la République à Nîmes.

L'élève "immature" suspendu

Il n'y aura pas de poursuites judiciaires contre cet élève qui a tout de même été suspendu administrativement, a-t-on appris de source policière. Si cet élève "immature" est renvoyé de l'école de police, ce ne sera pas uniquement pour cette "affaire" mais pour une accumulation de "bêtises", précise cette source policière.
 
Source : france3-regions

mercredi, 03 mai 2017

Toulouse : aux urgences, il refuse d'être soigné par une femme et crie « Vive Daesh »

Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2017

Un homme a été interpellé aux urgences de la clinique Ambroise Paré lundi 1er mai 2017 à Toulouse. Il a refusé d'être pris en charge par une femme médecin, avant de faire scandale.

 L'homme interpellé par les services de police le 1er mai 2017 a couvert d'insultes les soignants avant de crier
L'homme interpellé par les services de police le 1er mai 2017 a couvert d'insultes les soignants avant de crier "Vive Daesh", aux urgences de la clinique Ambroise Paré. (Photo illustration DGPN)

Son séjour aux urgences s’est terminé en garde à vue au commissariat.

Il refuse d’être soigné par une femme

Les faits se sont déroulés le lundi 1er mai 2017, peu avant 15 heures, à la clinique Ambroise Paré, route de Saint-Simon, à Toulouse. Un homme âgé de 41 ans a refusé d’être pris en charge par l’un des médecins féminin du service des urgences dans lequel il s’était rendu.

Insultes à caractère sexuel

Hors de lui, il aurait alors insulté un médecin et craché sur une infirmière avant de déverser sur eux un flot d’insanités à caractère sexuel.

Pour ne rien arranger, il aurait également menacé de mort les soignants et fait l’apologie du terrorisme en criant « Vive Daesh ».

L’homme a été placé en garde à vue au commissariat central de Toulouse.

Lucie Fraisse

 

Source : actu.cotetoulouse

mercredi, 04 janvier 2017

Berlin : Joyeux Noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Berlin Eglise Du Souvenir

Berlin : Joyeux Noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble

Jean Bonnevey

♦ La compassion pleurnicharde et médiatique a atteint Berlin

Au lendemain d’une attaque à la niçoise contre un marché de Noël, on a assisté à un scénario bien rodé et assez répugnant. La compassion et la douleur sont matérialisées par des fleurs et des bougies.

Les médias recueillent le sentiment exclusif de ceux qui veulent continuer le vivre-ensemble et le « pas d’amalgame ».


Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour la désinformation. Il faut le dire clairement, nous ne voulons pas vivre avec les tueurs religieux de nos enfants ; nous voulons qu’ils meurent ou soient mis hors d’état de nuire définitivement. Ce sentiment de plus en plus partagé en Europe et aux Etats-Unis, c’est celui que les médias, collabos du terrorisme par antiracisme, veulent étouffer dans des reportages et des témoignages orientés ou bidons.

C’est Noël tout de même qu’ils veulent assassiner. Si ce n’est pas une guerre de religion, alors qu’est-ce que c’est ?

Noël est, pour les islamistes, un défi. En effet, c’est avant tout la fête des enfants et elle a été intégrée depuis longtemps par la population issue de l’immigration musulmane. Le sapin fait partie de tous les foyers, mais ses racines sont européennes, sinon chrétiennes, et cela les islamistes ne le supportent pas. Ils s’attaquent à nos traditions surtout celles partagées. L’objectif est clair. Et dans le même temps, au nom d’un laïcisme qui est un Cheval de Troie de l’antiracisme complice de l’islamisation, certains idiots utiles veulent interdire les crèches. On n’a pas besoin d’être chrétien pour apprécier la beauté des crèches ou l’enchantement de la messe de minuit.

L’Allemagne, frappée au cœur de sa principale tradition historique, ne va certainement pas se contenter de pleurer. Le sentiment anti-Merkel va croître au profit des partis qui défendent le peuple allemand. La madone des migrants persiste dans une ligne politique intenable qui se révèle de plus en plus comme une trahison au nom de « l’étranger au-dessus de tout » par antinazisme conformiste et alignement suspect sur les intérêts américains. Cette chancelière qui venait de l’Est et au passé assez flou pendant la période marxiste est tenue sinon par la CIA en tout cas par l’idéologie mondialiste dont elle est au cœur de l’Europe, pour la gouvernante la plus funeste. Hollande suit.

Cet attentat de Noël vient nous rappeler que des musulmans mènent une guerre de religion à notre civilisation et à ses racines. Tous les Européens sont concernés, où qu’ils soient dans le monde, de Washington à Sydney en passant par Paris et Berlin… et Moscou.

Nous devons faire la guerre et pas seulement en Irak et en Syrie mais sur nos territoires et si nos institutions démocratiques en sont incapables, il faut changer ces institutions.

« Le nationalisme c’est la guerre », disait Mitterrand qui s y connaissait dans sa jeunesse en nationalisme. Aujourd’hui, le mondialisme islamiste c’est la guerre et contre lui une seule arme efficace : le retour des nations armées et combattantes pour leurs peuples et leurs cultures.

Il ne faut pas, même à Noël, tendre la joue droite, mais sortir l’épée du fourreau.

Jean Bonnevey
23/12/2016

 

Source : polemia