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lundi, 06 août 2018

Ville-d’Avray (92) : l’ancien diplomate et ministre du Burundi soupçonné, en récidive, d’« esclavage sur un handicapé »

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2018

Par  le 05/08/2018

 
Gabriel M. est un ancien dignitaire burundais, âgé de 77 ans, également ex-ambassadeur auprès de l’Unesco. Il est suspecté d’avoir réduit en esclavage un homme qui vivait chez lui depuis dix ans.

[…] Le commissariat de Sèvres a constaté qu’un homme, qui présentait « des signes extérieurs de mauvais traitements », dormait sur un lit coincé entre une chaudière et du linge à sécher dans le sous-sol de l’habitation de cet ancien procureur général, ministre de la Justice puis de l’Économie au Burundi dans les années 1970.

Rapidement identifié, le propriétaire des lieux, Gabriel Mpozagara, 77 ans, est loin d’être un inconnu pour les policiers du secteur et le parquet de Nanterre. L’ancien ministre et diplomate avait déjà été poursuivi pour des faits identiques en 1998. […]

Le Point via fdesouche

mardi, 26 juin 2018

Esclavage en Libye : ce que cache l’Afrique du Nord

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Esclavage en Libye : ce que cache l’Afrique du Nord
25 JUIN 2018 | POLÉMIA

Par Gabriella Lima, journaliste ♦ Le trafic d’êtres humains est un sujet sensible mais peu discuté. Il est difficile à croire que cette pratique barbare n’a pas disparu. Le cas des réfugiés libyens a pour autant soulevé de nouveau cette question.
Le 7 juin, le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies a sanctionné six chefs de réseaux de trafiquants de migrants en Libye. Mais ce n’est qu’une goutte dans l’océan.


Une plaque tournante de trafic humain

Le réseau des trafiquants est composé de groupes armés, qui contrôlent les frontières sud et une partie de la côte du pays. Les marchés illicites se trouvent principalement à proximité de Tripoli. Des migrants, essentiellement des jeunes hommes, y sont vendus comme esclaves pour une somme allant de 300 à 500 dollars. Originaires surtout du Nigeria, du Sénégal et de Gambie, les migrants sont capturés alors qu’ils font route vers le nord de la Libye, d’où ils comptent gagner l’Europe en traversant la Méditerranée. Tout au long de ce voyage, ils sont capturés par de différentes milices opérant dans le pays. Les autorités libyennes, dont beaucoup tirent profit du trafic, font semblent de ne pas le savoir.

Un contexte politique très instable

En effet, le gouvernement de transition n’est pas capable d’arrêter ce business scandaleux et lucratif. La Libye est meurtrie par les luttes d’influence et les violences entre groupes armés rivaux depuis la chute du régime de Kadhafi en 2011.

La disparition de l’esclavage dans la deuxième moitié du XXe siècle fut liée à l’urbanisation et le développement industriel. Néanmoins, une reconfiguration économique après l’assassinat de Kadhafi, l’émergence des groupes armés contrôlant l’industrie pétrolière et le déclin des conditions de vie, tout cela a favorisé de nouveau ce commerce illicite.

Il est évident que pour régler le problème, il faut s’attaquer à ses racines. Le pays a besoin d’un ensemble des dispositions visant à mettre fin à l’instabilité et au chaos politique. Certains croient que la crise, à laquelle France a contribué à l’époque, devrait se résoudre avec le temps. Contrairement à tous les espoirs, elle risque de s’aggraver.

Les dirigeants libyens ne sont pas pour autant pressés à l’idée de stabiliser le pays alors que les leaders étrangers semblent ne pas pouvoir comprendre que le seul moyen d’arrêter l’afflux de migrants consiste au retour de la paix en Libye.

Gabriella Lima
25/06/2018

Source : Metamag

Crédit photo : Antoine Taveneaux [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

mardi, 10 avril 2018

Comment les islamistes de la Ghouta réduisaient la population civile en esclavage

La population se taisait par peur des représailles, l’ineffable OSDH (Observatoire syrien des Droits de l’Homme) n’était sans doute pas au courant, donc les médias non plus.

Et pourtant. Des milliers d’hommes ont été, pendant des années, réduits en esclavage par les islamistes pour construire leur arme de guerre favorite : les tunnels.

On sait que ces tunnels, qui peuvent s’étendre sur des dizaines de kilomètres, ont été largement utilisés par les islamistes depuis le début du conflit. Afin de parfaire leur technique, les dirigeants de Daesh avaient même fait venir en Syrie des spécialistes reconnus : des militants du Hamas palestinien qui avaient bâti un réseau remarquable dans la bande de Gaza.

Depuis, l’ensemble des groupes islamistes utilisaient cette méthode afin de se protéger des bombardements, de ravitailler des zones encerclées ou de monter des embuscades dans le dos de l’armée syrienne.

Seulement, creuser des tunnels, c’est long et fatigant. Et puis les combattants ont mieux à faire. Alors quoi de mieux que de rafler les hommes en état de creuser, tout en assurant la subsistance de leurs familles, étroitement surveillées comme il se doit.

La main d’œuvre n’étant pas toujours suffisante, Jaych al-Islam, le groupe salafiste qui tenait Douma jusqu’à présent, s’est livré à de nombreux enlèvements en zone loyaliste. L’opération la plus spectaculaire a eu lieu en 2013 à Adra : des dizaines de fonctionnaires, et de civils pris au hasard ont été enlevés, certains avec leurs familles. Les prises les plus intéressantes ont été incarcérées, les autres envoyées dans les tunnels. On les a appelés « les kidnappés d’Adra ». La plupart sont alaouites, la confession de la famille Assad. Rappelons que cette incursion à Adra s’est accompagnée de massacres épouvantables, mais cela n’a pas beaucoup intéressé l’OSDH.

Plusieurs de ces esclaves ont disparu. Leurs familles n’ont aucune nouvelle et, depuis que la Ghouta est progressivement libérée, de nombreuses mères ou épouses font le guet. En effet, des dizaines de prisonniers ont déjà été libérés à la faveur des négociations menées par les Russes et chacun espère voir réapparaître les siens.

D’autres prisonniers ont été vus récemment : afin d’empêcher les bombardements, les islamistes les mettaient dans des cages qu’ils disposaient au milieu de la chaussée…

Les familles sont également sans nouvelles de plusieurs dizaines de femmes, et le pire est à craindre pour elles.

Tous ces prisonniers, dont on ignore le nombre exact, ont été au cœur des négociations de ces derniers jours qui vont aboutir à la libération totale de l’est de la Ghouta. 

 

Source : lafautearousseau

dimanche, 31 décembre 2017

Italie: Les Africains mettaient en esclavage des femmes pour les soumettre à la prostitution.

Publié par Guy Jovelin le 31 décembre 2017

Italie police italienne

Les gentils Africains démontrent encore une fois qu'ils sont loin d'être les derniers à utiliser l'esclavagisme. C'est curieux, les instances humanitaires et les journaux n'en parlent jamais.

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Menacées par des rites Vaudou.

Un Italien et six Nigérians ont été arrêtés. Ils sont accusés de faire partie d'une organisation qui fait venir clandestinement en Italie de jeunes Nigériennes en les contraignant par la violence et les menaces de rituels magiques noirs "Vaudou / Juju" à se prostituer pour rembourser la dette de 30'000 euros contractée lors du voyage.

Les personnes arrêtées font l'objet d'enquêtes pour association de malfaiteurs visant la traite de personnes, l'achat et la vente d'esclaves, l'immigration clandestine, l'esclavage et l'exploitation de la prostitution. Les enquêtes, qui ont débuté en janvier 2017 après la plainte de l'une des victimes, ont permis aux inspecteurs d'identifier un groupe criminel structuré et dangereux, opérant dans différentes parties du territoire italien et avec des ramifications au Nigeria et en Libye. (...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

mercredi, 10 août 2016

Polémique Jeux Olympiques : il faut dissoudre le Cran

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2016

par

CranTinNous allons parler du Cran (Conseil représentatif des associations noires) – à noter qu’ils n’ont pas cru bon d’ajouter « de France », celle-ci ayant tellement peu d’importance à leurs yeux !

En 2014, cette association ayant saisi le CSA à la suite d’une chronique d’Eric Zemmour sur RTL, ce dernier avait ainsi répondu à la provocation : « Le Cran regroupe toutes ces associations qui vivent grassement des subventions publiques et que Manuel Valls, qui est à la recherche d’économies, ferait bien de supprimer. J’estime ça scandaleux qu’ils vivent avec nos impôts mais ça fait des décennies et ce ne sont pas les seuls. » On ne peut qu’acquiescer !

Eh bien le Cran vient d’en rajouter une louche ! Cette fois, c’est au tour des commentateurs français de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Rio de se retrouver dans le collimateur de ces redresseurs de tort. Car il semblerait que : « La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques a donné lieu à un véritable festival d’erreurs, d’inepties et de propos colonialistes qui ont été tenus par Daniel Bilalian [directeur des sports de France Télévisions] et Alexandre Boyon, [sur France 2, ndlr]. » (Libération).

Quelles sont-elles ces erreurs ? D’abord, Christophe Colomb n’aurait pas découvert l’Amérique en 1492. Là-dessus, on ne peut que leur donner raison. En effet, des recherches ont démontré que ce continent avait été visité quelques siècles auparavant, notamment par les Vikings. Mais ce n’est pas là que voulait en venir le Cran en déclarant que : « l’Amérique était déjà peuplée depuis des millénaires par quantité de peuples très nombreux. » Derrière cette remarque transparaît évidemment le refus de s’inscrire dans l’histoire d’un continent, celle de l’Europe blanche ! Saluons aussi le pléonasme « quantité de peuples très nombreux », qui montre la parfaite maîtrise de la langue française de ces individus !

Cependant, nous autres Européens savons quelle importance revêt cette date de 1492 – une date honnie par l’islam, au passage, puisqu’elle marque la fin de la Reconquista en Espagne ! En effet, à partir de cette « découverte », notre perception du monde se transforme considérablement. C’est une date clé de notre histoire, laquelle déplaît fortement à certains ennemis intérieurs qui voudraient la réécrire. Et pour aller jusqu’au bout de son idéologie antieuropéenne – voire anti-Blancs ! –, le Cran devrait cesser de parler d’Amérique, nom créé à partir de celui d’un navigateur florentin : Amerigo Vespucci.

Le Cran enchaîne sur une autre « erreur », à savoir que les commentateurs ont évoqué les Incas et que : « jusqu’à preuve du contraire […], les Incas n’ont jamais vécu au Brésil, mais plutôt dans la cordillère des Andes. » Pas tout à fait exact, chers pourfendeurs de Tintin au Congo et autre Banania ! Si leur empire s’étalait effectivement autour de la cordillère des Andes, ils ont fait des incursions sur le territoire de l’actuel Brésil : « à l’est, ses armées ont pénétré dans le Piémont amazonien jusqu’au territoire do Acre, situé aujourd’hui dans les confins du Brésil, bravant ainsi un habitat hostile pour des montagnards habitués aux grandes altitudes. » (http://www.scienceshumaines.com/les-incas-l-empire-des-qu...) On a même retrouvé des objets incas dans la partie atlantique du Brésil (Wikipedia).

Alors quand le Cran « demande aux présentateurs de France 2 de ne pas insulter les téléspectateurs en supposant a priori que ceux-ci seraient aussi ignares que ceux-là », je me marre gentiment et je serais curieux de savoir quel est leur degré de connaissance de l’histoire de France, par exemple, ce pays qui les gave de subventions et qu’ils sont si prompts à calomnier !

Venons-en au plat principal maintenant, qui occasionne le courroux de ces chevaliers noirs : « Le trafic d’esclaves [qui] a été nécessaire ici pour le développement industriel […] Un esclavage qui a duré jusqu’à la fin du XVIIIe siècle […] Le Brésil a utilisé les services de ces esclaves africains qui venaient de l’ensemble du continent africain. » A quoi le Cran a répondu : «Affirmer que le trafic a été « nécessaire », et qu’on utilisait « les services » des esclaves constitue une présentation maladroite, pour ne pas dire équivoque, qui tend à minimiser, voire à justifier l’esclavage, qui fut un crime contre l’humanité, rappelons-le. »

Voici la preuve par neuf de la malhonnêteté de telles associations ! Le présentateur, maladroit certes, ne justifie absolument pas l’esclavage. Le Petit Robert donne, entre autres, cette définition du mot « nécessaire » : « Dont l’existence, la présence est requise pour répondre au besoin (de quelqu’un), au fonctionnement (de quelque chose). » Oui, à l’époque, l’esclavage a servi des desseins économiques particuliers : il était donc nécessaire, ce qui ne veut pas dire qu’il était moral. De plus, il s’agissait d’un direct et l’on sait que, dans ces cas-là, les journalistes se sentent obligés de meubler avec des phrases creuses. Toutefois, il est plus commode d’accabler un journaliste français plutôt qu’un esclavagiste musulman du golfe Persique ! « Ne pas culpabiliser nos frères opprimés ! » se dit sûrement le Cran, auquel il manque un « o » pour être parfaitement raccord ! Christiane Taubira n’avait-elle pas jadis exprimé cette idée avec sa loi relative à la traite des Noirs, qui omettait le rôle prépondérant de l’islam dans ce commerce, et qui perdure dans certains pays musulmans ?

Quid des injures et agressions indiscutablement racistes de la part de Noirs à l’encontre des Blancs et Blanches de notre pays, ou de ces rappeurs noirs qui menacent et insultent la France ? Le Cran s’en moque ! Mais si nous sommes à ce point racistes, voire des esclavagistes nostalgiques, pourquoi demeurer plus longtemps sur notre sol ? Marre de cette repentance à sens unique, et je parle au nom de millions de Français ! Le Cran et toutes ces associations parasites qui mordent la main qui les nourrit n’ont pas vocation à exister sur le territoire national.

Il est temps de faire mentir cette maxime de Chamfort : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. »

Charles Demassieux

 

Source : ripostelaique