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mercredi, 24 octobre 2018

Il y a 62 ans, Budapest se soulevait contre la dictature communiste

Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2018

 

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Lorsqu'il y a 62 ans, fin octobre 1956, les chars soviétiques écrasaient l'insurrection de Budapest, les nationalistes hongrois étaient sans doute loin d'imaginer que, 62 ans plus tard, leur pays serait le phare de la renaissance européenne... Comme quoi, il ne faut jamais douter, ni se laisser décourager.

Pour mieux comprendre la Hongrie :

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mercredi, 06 juin 2018

La dictature de la solidarité

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Lambert Christian

charité,dictature,idéologie socialo-communiste,immigrés,solidarité,

La solidarité a toujours existé. On l’appelait autrefois la charité. Toutes les religions l’ont pratiquée. C’était un devoir que d’aider le pauvre, le faible, le malheureux. Les évangiles en font foi. Sous la monarchie catholique existait déjà une sorte de sécurité sociale, non contraignante, administrée par le catholicisme aux multiples activités caritatives.

Le développement de l’idéologie socialo-communiste, à base marxiste, a fait passer la charité spontanée à la solidarité imposée et gérée par l’État, non plus dans un esprit de compassion, mais, au contraire, dans un esprit d’agressivité. Les pauvres sont produits par les riches, qui ne sont devenus riches qu’en exploitant les pauvres. Donc la solidarité n’est qu’une restitution partielle de ce qui a été volé. Autrement dit, c’est la « lutte des classes » qui régit tout dans nos sociétés faussement démocratiques. C’est la classe des pauvres qui doit reprendre ce qui lui a été enlevé par la classe des riches. Avec une telle idéologie, le climat est évidemment toujours très tendu. Ce n’est pas de la charité, c’est la guerre. Ce n’est pas l’amour, c’est la haine. Il reste que la redistribution coûte très cher à l’État, des milliards d’euros. C’est une politique de Gribouille au vinaigre. Les très nombreux fonctionnaires de l’administration fiscale, plus toute une administration de redistribution, surveillée et harcelée par les associations, les partis politiques et les syndicats, tout ce monde-là se paie au passage.

Dans cet esprit, il n’y en a jamais assez. Ceci s’ajoutant au reste, on augmente sans cesse la dépense publique. On creuse les déficits et on instaure une sorte de guerre civile larvée permanente. Ainsi la France pratique-t-elle la redistribution sociale la plus élevée de tous les pays du monde : la production de la France représente 3,7% de celle de la planète, alors qu’elle redistribue 15% des transferts sociaux mondiaux. Pour autant, vit-on en France mieux qu’ailleurs ?

Autrefois, il existait de grandes entreprises où l’emploi était assuré pour les parents et les enfants qui, après l’école, prenaient la relève. Des hôpitaux, appelés hôtels-Dieu, gérés souvent par des religieux, assuraient des soins à tous. Mais cette paix sociale ne plaisait pas aux marxistes. Les socialistes dénoncèrent cette forme de réussite comme étant du paternalisme. Ce n’était pas acceptable, le patron étant plus riche que ses salariés. Ce système disparut, remplacé par le chômage, l’anarchie et l’anxiété pour beaucoup.

C’est là l’un des aboutissements du socialisme, dont on a tout le loisir de contempler les résultats, que ce soit ceux du socialisme en devenir ou ceux du socialisme au pouvoir. Rappelons ce qu’a été l’URSS de Staline, la Chine de Mao, la Corée des Kim. L’idéologie socialiste apparaît comme étant avant tout fondée sur l’illusion. Entre les mains de politiciens qui finissent par se constituer en sorte de gangs de type mafieux qui, au pouvoir, s’en approprient les mille avantages. Ils en profitent largement et cherchent à les conserver à vie. Ils remercient les électeurs par des discours, des promesses et des rêves.

Chez les immigrés, c’est la même mentalité.

Selon eux, la France coloniale s’est enrichie en exploitant notamment les populations africaines. Il est donc juste et logique que ces populations reprennent ce qui leur a été enlevé, soit par l’aide au développement – des centaines de milliards –, soit en France par l’aide sociale. Le problème est que ce raisonnement est complètement faux. La colonisation n’a été en aucune façon un enrichissement, mais bien plutôt un appauvrissement et une série de problèmes et d’ennuis multiples, avec pertes humaines et financières. Des conséquences telles que la France est aujourd’hui menacée par une guerre ethnique résultant de l’invasion qu’elle subit de foules dépourvues de toute qualification.

On remarquera à ce propos que c’est dans ces foules que les partis et les syndicats recrutent désormais leurs troupes. Les manifestations sont souvent conduites par des porteurs de drapeaux rouges – on n’a jamais vu autant de drapeaux rouges – venus d’outre-mer. On notera aussi que ces colonisés d’hier sont considérés par Emmanuel Macron, le premier magistrat de France, comme les survivants d’un « crime contre l’humanité » commis par la colonisation française. Donc tous en repentance ! Que le socialisme veuille bien remettre les péchés que nous n’avons pas commis.

Bref, les Français seraient des criminels (Macron dixit) – on peut heureusement en discuter. Mais ce qui est sûr, c’est que les contribuables paient l’addition, ces très nombreux contribuables dont la vraie nature est indiquée de façon claire et définitive par la première syllabe de leur nom !

 

Source : les4verites

vendredi, 08 avril 2016

ZEMMOUR, BELGHOUL et BARJOT. VÉRITABLE "PAIN BÉNIT" POUR LA DICTATURE.

Publié par Guy Jovelin le 8 avril 2016

Photo de Jean Pierre Aussant.
Photo de Jean Pierre Aussant.
Photo de Jean Pierre Aussant.

ZEMMOUR, BELGHOUL et BARJOT. VÉRITABLE "PAIN BÉNIT" POUR LA DICTATURE.

(Extrait du livre "le complot inconscient") http://www.edilivre.com/le-complot-inconscient-jean-pierre-…

On ne peut qu'approuver le noble combat que mènent Éric Zemmour et Farida Belghoul contre la culture de mort. Cependant, que seul un juif et une musulmane soient autorisés par le système à dénoncer « médiatiquement et officiellement » les deux pierres angulaires de la culture satanique dominante (légalisation de l'avortement et du mariage gay), prouve en creux que tous les autres (c'est à dire les millions de Français catholiques) n'ont pas droit à la parole. Le phénomène « Zemmour-Belghoul » confirme au fond l'existence de l'effroyable dictature culturelle dans laquelle la France ne parvient pas à sortir et cela depuis la révolution. Qui eut cru, que la France, fille ainée de l’Église et avec son histoire chrétienne magnifique, se retrouve déchristianisée et dé-spiritualisée à un tel point qu’un juif et une musulmane viendraient un jour à sa rescousse ? Je ne doute pas de l’honnêteté de Zemmour et Belghoul mais je crois que sans le savoir, eux aussi, font le jeu du système. Eux aussi sont de simples marionnettes, de simples soupapes de sécurité. Laisser mener le combat par un juif et une musulmane est pour la dictature une moindre prise de risque en ce sens qu’ils ne seront jamais en mesure de rassembler le grand nombre. La France, étant, historiquement catholique, leur engagement, aussi noble soit-il, est condamné à rester une bulle. Dans cette même catégorie, bien que pour d’autres raisons, nous trouvons aussi madame Frigide Barjot. Certes cette personne est courageuse et son combat va dans le bon sens et j’espère qu’elle le continuera. Cependant n’est-il pas étrange qu’en France, le pays de René Girard, qui compte des intellectuels catholiques de la meilleure lignée, le combat médiatique contre le mariage gay et la théorie du genre soit menée par Madame Barjot ? Qui peut affirmer sérieusement que cela n’est pas voulu par le système ? Il est difficile de ne pas établir ici un parallélisme avec les « faux » débats concernant l’avortement des années 70 où le journaliste politiquement correct de service invitait des petites pointures pour venir condamner l’avortement et s’abstenait de faire intervenir de grands savants de sensibilité catholique, comme le professeur Lejeune, qui auraient pu clouer le bec à tout le monde.

 

Source : Jean Pierre Aussant à Monseigneur Louis XX et la Famille Royale de France

 

samedi, 05 mars 2016

Dictature: des élèves interrogés à la gendarmerie à propos du cours de leur professeur sur « la Russie » et « Vladimir Poutine »

Publié par Guy Jovelin le 5 mars 2016

La guillotine - Crédits : Etude Delorme - Collin du Bocage.

En Bretagne des élèves de troisième de l’Ecole Sainte-Anne à Auray ont été convoqués à la gendarmerie et  interrogés sur la teneur du cours de leur professeur d’histoire et de langue bretonne sur “l’introduction à la géopolitique contemporaine” concernant la Russie, conformément aux programmes scolaires.

Le professeur aurait-il été politiquement incorrect ? C’est en tout cas le lourd soupçon qui pèse sur lui. Et ce n’est pas fini: après les élèves, le professeur de retour de congés est à son tour convoqué. Il ne s’agit plus de la Shoah, de racisme ou antisémitisme, de l’esclavage noir, d’Hitler et des nazis, ni du gender, de l’homosexualité ou de l’avortement lorsqu’on ne prend pas une position claire en sa faveur,  sujets (j’en oublie sans doute!) dont certains sont bien encadrés par les lois liberticides, mais dont certains autres ne relèvent que de la police de la pensée ordinaire. Personne n’avait encore songé que Vladimir Poutine était désormais à ranger parmi les sujets qui tombent sous le coup de la police de la pensée… 

Non, mais quel abject cafard, parent d’élève (?) ranci de haine, a-t-il osé « rapporter » à la police sans se faire éjecter ? Quelle administration dictatoriale a-t-elle osé mettre cette « affaire » entre les mains d’une police de plus en plus politique ? Au nom de quelle loi ? S’agit-il d’un règlement de compte personnel ? Contre l’école catholique ? Pour le moment mystère!

Les exemples dictatoriaux en cet état d’urgence qui se prolonge, relèvent de plus en plus d’une politique terroriste, comme au bon vieux temps de la Terreur révolutionnaire. Les voyous et les clandestins ont tous les droits, tandis que les honnêtes citoyens sont pourchassés. La seule question qui reste : à quand le retour de la guillotine ? 

Le professeur,  Pascal G., abasourdi d’apprendre que ses élèves avaient été interrogés à la gendarmerie sur la teneur de son cours d’Histoire, explique: 

“J’ai d’abord fait un état des lieux de la Russie après la fin du communisme. J’ai expliqué les grandes lignes de la politique du président russe, Vladimir Poutine. Une politique qui a consisté à constituer une classe moyenne en Russie tout en s’appuyant sur le sentiment patriotique, après les années de crise de la présidence de Boris Eltsine” détaille le professeur dans un email.

“Je suis revenu sur les alliances entre la France et la Russie au XXème siècle, en 1914 mais aussi entre 1940 et 1945” poursuit-il.

“J’ai traité l’engagement russe en Syrie et en Irak contre Daech aux côtés des forces armées françaises” précise t-il.

“J’aborde l’histoire sur la base des faits, j’essaie d’expliquer la complexité des rapports géopolitiques afin de développer l’esprit critique des élèves. Je ne me prononce pas sur le bien-fondé ou non des actions menées par une diplomatie” conclut-il. (Source)

Le professeur fortifié par le soutien de ses élèves, ira donc justifier de son cours à des gendarmes, chargés du service d’ordre, qui n’ont aucune aptitude pour en juger…

Respecté par ses pairs, la hiérarchie du professeur n’a pas été davantage alertée de l’enquête. Signe de ce qu’aucune procédure disciplinaire interne n’a été entreprise.  (Source)

Il est de plus en plus évident que l’état d’urgence a des visées politiques contre les dissidents, plutôt que contre le terrorisme islamiste qui arrange bien, en fin de compte, le régime. On peut également s’interroger sur ce cours de géopolitique contemporaine, qui ne devrait pas exister sauf à vouloir faire un lavage de cerveaux systématique. La place de professeur d’Histoire devrait être réservée aux membres du parti socialiste, cela ôterait toute ambiguïté!

Photo: Guillotine révolutionnaire des Armées de la République (Armée dont fait partie la gendarmerie) qui a été vendu à l’hôtel Drouot à Paris en 2011 pour 223 056 €. Son heureux (?) nouveau propriétaire devait lui faire quitter le territoire national, sans doute pour illustrer les bienfaits de la Révolution française, de la République et de la Déclaration des Droits de l’Homme…  


Source : http://www.medias-presse.info/