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mardi, 03 avril 2018

Le Pape ne lâche rien, sauf l’essentiel

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2018

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Le Pape sud-américain, acquis à certaines dérives gauchistes de là-bas, a déploré urbi et orbi le martyre des Syriens, il a même parlé de génocide syrien,

il a pleuré le sort des pauvres habitants de Gaza,

il a demandé que la paix du Christ guérisse «les blessures au Sud Soudan»,

il a demandé la paix pour l’Ukraine,

il a demandé de la consolation pour le Venezuela.

 

Mais pas un mot sur le génocide des Blancs en Afrique du Sud.

Et surtout, pas une parole claire sur les pires persécutés du monde entier, à savoir les chrétiens vivant dans des pays musulmans.

 

Le Pape a pleuré sur le sort des enfants qui «grandissent sans espérance, privés d’éducation et d’assistance sanitaire ; et aussi pour les aînés mis à l’écart par la culture égoïste, qui met de côté celui qui n’est pas productif». Cette référence aux non-productifs vient en droite ligne du marxisme dont il est imprégné, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. En effet, ici c’est de la destruction de la famille qu’il est question, à savoir le lien normal entre les parents et leurs enfants, cela tout au long de la vie.

Un  Pape digne représentant du Christ, et donc rempli de sagesse, aurait dû s’interroger sur l’avenir du monde : si les « capitalistes blancs » (c’est-à-dire les producteurs des biens nécessaires à la vie) venaient à disparaître, qui allait « nourrir le monde » ?

Certainement pas une Europe occidentale ruinée par l’arrivée massive de nuées de sauterelles dévastatrices, pardon, de nuées de migrants musulmans, trop souvent parasites et criminogènes (vols, viols, terrorisme, en passe de faire disparaître rapidement les systèmes sociaux créés par nos aïeux…).

Certainement pas le Venezuela (pays immensément riche en ressources pétrolières mais  ruiné par « le gauchisme »), ni les pays musulmans, riches en pétrole mais incapables de produire quoi que ce soit par eux-mêmes.

Ce Pape « bolchévique » sait culpabiliser « les riches », mais la production des biens nécessaires à la vie, il ne s’en préoccupe pas beaucoup, c’est quelque chose qui va se faire tout seul !

Cenator, 2 avril 2018

 

Source : lesobservateurs

lundi, 15 janvier 2018

Schéma mental d’un gauchiste

Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2018

Publié le 14 janvier 2018 Auteur par admin4

schema-mental-gauchiste.jpg

 

Source : contre-info

mercredi, 09 août 2017

Le gauchiste Cédric Herrou condamné à quatre mois de prison avec sursis

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2017

par   8 août 2017

Cédric Herrou est ce soi-disant agriculteur qui passe plus de temps à aider des immigrés clandestins à transiter en France qu’à s’occuper de sa ferme.

Ce militant gauchiste soutenu par José Bové  a aussi l’habitude de parader avec arrogance devant les caméras de télévision pour clamer qu’il continuera à agir en toute illégalité en faveur des immigrés.

Por cela, il a créé l’association d’aide et de défense des migrants Roya Citoyenne, près de Vintimille en Italie.

Mais ce mardi, il vient d’être condamné par la cour d’appel d’Aix-en-Provence à quatre mois de prison avec sursis pour aide à l’immigration clandestine. Notons que c’est une peine bien inférieure à celle infligée à différents patriotes français condamnés pour leur refus de se taire devant l’invasion migratoire.

« C’est une peine d’avertissement, si vous êtes à nouveau condamné vous courez le risque que cette peine soit mise à exécution« , a déclaré le président du tribunal.

En première instance, le tribunal l’avait condamné à 3.000 euros d’amende avec sursis pour avoir, en 2016, « pris en stop » des migrants côté italien.

Il avait par ailleurs été relaxé pour l’occupation illicite d’un bâtiment SNCF désaffecté où il avait installé un squat pour une cinquantaine d’Érythréens. Des faits pour lesquels la cour d’appel l’a reconnu coupable et condamné à 1.000 euros de dommages et intérêts.

 

Source : medias-presse.info

samedi, 07 juin 2014

Entre Bourvil et BHL, portrait-robot du djihadiste 2.0 (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

Alors comme ça, à l’étonnement médiatique général, il y aurait encore en France des esprits exaltés prêts à mettre leur peau au bout de leurs idées… Sans blague ! Et même que ça ferait des morts… Sandec !

Eh bien oui, c’est ainsi. Tout le monde ne rêve pas de finir trader à Wall Street ou de gagner au loto. Après, chacun selon ses rêves ou ses idéaux. Dans les années 60 du siècle dernier, les gosses de bourgeois appelaient révolution et lutte armée de leurs vœux. Pour des Serge July, des André Glucksmann, des Benny Lévy et autres révolutionnaires de Foire du Trône, la démocratie était tenue pour un « vice bourgeois », tandis que la révolution se trouvait au bout du canon.

Quel pastis ! Pour aller court, c’est toute l’histoire de Dominique Raimbourg, relatée par Libération de ce lundi dernier. Un député socialiste de Loire-Atlantique, magistrat vétilleux, ambiance Robespierre, qui se replonge dans ses souvenirs de djihadisme trotskiste, lorsque membre de l’AMR, Alliance marxiste révolutionnaire : « Ils avaient tous des pseudos de héros révolutionnaires. Je trouvais ça ridicule, alors j’ai choisi Zorbec le Gras. De toute façon, on ne s’en souvenait jamais. Au téléphone, ça donnait : Ici, le commandant Machin. Qui ? Ah, c’est toi Gérard ? » Au fait, le Dominique Raimbourg en question n’est autre que le fils d’André Raimbourg, plus connu sous le pseudonyme de Bourvil.

Cette génération aura donc joué à la révolution. Jusqu’au jour où tout bascule. Jeux olympiques de Munich, en 1972. Là, on ne rigole plus : prise d’otages d’athlètes israéliens par l’OLP, police allemande au premier rang et hommes du Mossad en embuscade. Il y a du sang sur le tarmac. Fin de récréation.

De ce jour, nos gauchistes d’opérette demandent l’asile politique au Café de Flore et feront ensuite carrière, qui dans la pub, qui au Monde, à Libération ou au Figaro. Les seuls qui iront jusqu’au bout ? Les desperados d’Action directe, qui persistent à penser que les lendemains du Grand Soir ne comptent pas que pour des prunes. Et aujourd’hui ? Les mêmes en version 2.0 ; mais issus du quart-monde immigré. Ils ne lisent ni Marx et encore moins Bakounine. N’ont du Coran qu’une connaissance issue du téléphone arabe. Se mélangent un brin les pinceaux entre Oumma et McDo, djihad et jeux vidéo. Et, surtout, ont pris pour argent comptant ce qu’ils voyaient à la télévision ou sur Internet : soit l’affreux Bachar el-Assad, que la France de François Hollande a manqué d’aller bombarder.

Ce sont des enfants perdus. Mais qui, au moins, à rebours d’un BHL faisant le beau au Festival de Cannes avec des « démocrates » libyens d’opérette, auront été jusqu’au bout de cette logique absurde. Absurde, quoique finalement logique. Mais guère plus que notre monde finissant, soit dit en passant.

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