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samedi, 16 février 2019

Firminy (42): Condamné pour agression sexuelle, le maire communiste refuse de démissionner

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2019

 

[…]Marc Petit a dénoncé lors de la lecture d’une déclaration devant la presse, « une enquête partiale » menée par la police judiciaire et le parquet de Saint-Étienne. « La meilleure preuve, c’est qu’en deux ans de procédure, ils n’ont pas pu obtenir de documents du Centre des congrès d’Istanbul », lieu de l’agression dénoncée par une employée du conseil départemental du Puy-de-Dôme, a lancé le maire de la principale ville communiste de la Loire.

Le maire affirme détenir un document prouvant son innocence. « En 15 jours, j’ai pu obtenir un document très important, que j’ai là (…) qui m’innocente, qui montre que ces accusations sont mensongères. Et par la suite je le rendrai public », a-t-il poursuivi, en brandissant une feuille de papier. L’édile de 51 ans a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne à un mois de prison avec sursis pour agression sexuelle. La victime accusait le maire d’avoir tenté de l’embrasser lors d’un déplacement à Istanbul, le 17 juillet 2016. Marc Petit, qui n’avait pas encore décidé s’il ferait ou non appel, s’est dit « épuisé », aspirant à ce que « cette page se tourne vite ». « Je reste maire de Firminy…

[…]

Europe 1 via fdesouche

vendredi, 04 janvier 2019

Autriche : la victime d’une agression sexuelle poursuivie pour avoir cassé le nez de son agresseur afghan (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2019

Par  le 03/01/2019

fdesouche

03/01/2019

Vienne (Autriche) – Le fait que la jeune femme fasse l’objet d’une plainte alors qu’elle a vraisemblablement agi en état de légitime défense a déjà suscité de nombreux commentaires indignés sur les réseaux sociaux.

Maria Rösslhumer, avocate, voit là un mauvais signal envoyé aux femmes suite à ce fait divers : fondamentalement tout le monde a le droit de se défendre et les femmes ne devraient pas être découragées.

La police viennoise a dû porter plainte contre la touriste suisse parce qu’elle avait commis « une infraction officielle ».

La plupart du temps, cependant, une telle procédure prend fin pour l’accusé dans le « pire des cas » avec une amende de 150 euros.

Mais il est également possible – comme l’explique le collègue avocat Alfred Boran – que le ministère public mette l’affaire de côté et abandonne les poursuites.

Maria Rösslhumer espère que le juge rendra une décision équitable.

Kurier.at / Heute.at


02/01/2019

Victime d’une agression à Vienne durant la Saint-Sylvestre, une Genevoise s’est défendue et a cassé le nez de son agresseur.

Les faits se sont déroulés à Vienne en Autriche durant la nuit de la Saint-Sylvestre. Un Afghan de 20 ans avait déjà importuné plusieurs femmes à l’occasion du Réveillon dans la capitale autrichienne, a explique la police autrichienne.

C’est au moment où il agressait une Genevoise de 21 ans dans un groupe que cette dernière s’est défendue et a frappé l’Afghan. Elle lui a cassé le nez, nécessitant des soins dans un hôpital. Il fait désormais l’objet de poursuite pour soupçon d’agression sexuelle, explique le portail autrichien Heute.

La jeune femme de 21 ans devra également répondre de ses actes, étant accusée de lésion corporelle.

Le Matin

jeudi, 22 mars 2018

Toulouse (31) : vols, violences et agression sexuelle à la prairie des Filtres, 8 jeunes interpellés dans plusieurs quartiers dont celui du Mirail

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018

Par  le 22/03/2018 

Sept individus vont être déférés au parquet de Toulouse, jeudi 22 mars 2018, suite à des faits de vols avec violences et d’agression sexuelle, commis à la prairie des Filtres.

Les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale ont résolu une affaire de grande ampleur, ces derniers jours, à Toulouse. Huit individus ont été interpellés lundi 19 mars 2018, mardi 20 mars et mercredi 20 mars 2018. Sept s’apprêtent à être mis en examen pour des faits de vols et violences en réunion et agression sexuelle.

Les faits se sont déroulés dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 mars 2018, à la prairie des Filtres, à Toulouse. Cette nuit là, deux jeunes hommes et une jeune femme, âgés de 18 et 17 ans, se font accoster par un groupe de huit individus.

Un des huit mis en cause s’en prend alors aux deux hommes qui accompagnaient la jeune femme, en leur assénant de violents coups de poing et coups de pied. Les huit individus récupèrent alors le téléphone portable et le portefeuille des victimes.

L’affaire ne s’arrête pas là. La jeune femme, qui était présente avec son petit ami, demande à pouvoir récupérer son téléphone portable. L’un des jeunes hommes lui demande de lui faire une fellation en échange. Devant son refus, il commet alors une agression sexuelle sur la victime, en pratiquant des attouchements à son encontre.

Mardi 20 mars 2018, les policiers de la sûreté départementale, de la Bac et de l’antenne du Raid, ont procédé à l’interpellation, dans plusieurs quartiers de Toulouse, dont celui du Mirail, de six individus qui avaient participé à cette nuit de violences.

 

Actu.fr via fdesouche

dimanche, 04 mars 2018

Un « soixante-huitard » jugé à Rouen pour agression sexuelle sur une jeune femme : « Ça ne me choque pas »

Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2018

Par  le 03/03/2018
 

 

« Monsieur est resté bloqué dans les années 1970 », a constaté la procureure de la République vendredi 2 mars 2018. Elle détaillait les faits d’agression sexuelle et de harcèlement pour lesquels un habitant d’Arelaune-sur-Seine (Seine-Maritime) était jugé, à Rouen (Seine-Maritime). Âgé de 70 ans, il avait essayé d’obtenir les faveurs sexuelles d’une jeune femme de 19 ans, fille d’un couple d’amis, qu’il hébergeait pendant qu’elle travaillait dans une boulangerie. (…)

jeudi, 25 janvier 2018

Suède: Une féministe refuse de signaler l’agression sexuelle d’un migrant afghan sur sa fille de 12 ans: « Il pourrait être expulsé »

 Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2018

viol suède

Une féministe a refusé d'informer la police lorsque son petit ami, demandeur d'asile, a commis une agression sexuelle sur sa fille de 12 ans: « Je craignais qu'il ne soit renvoyé » , a expliqué la femmeElle va même ordonner à sa fille de « ne pas dire quoi que ce soit » au sujet de ce qui est arrivé.

La fille a refusé de vivre avec son agresseur et sa mère amoureuse - le lendemain de l'agression, elle a déménagé chez son père où l'histoire a été découverte.

(...)

 

 

-feminist vägrade anmäla när flyktingdejten sexöverföll hennes 12-åriga dotter: "Han kan ju utvisas" http://www.friatider.se/mamma-v-grade-anm-la-flyktingbarn-som-sexangrep-hennes-12-riga-dotter 

 

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

lesobservateurs