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lundi, 20 août 2018

20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2018

Auteur : admin4
contre-info

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elhallia.jpgIl y a à peine soixante ans…

Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française et toujours au pouvoir en Algérie – avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.

Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

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Souvenons-nous aussi comme des voisins chaleureux et ceux que l’on croyait des « amis » se sont transformés du jour au lendemain.

Description puis témoignage :

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lundi, 04 décembre 2017

Quand le FLN massacrait les Algériens

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2017

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Emmanuel Macron se rend en Algérie, demain 6 décembre. 

Voici le texte d'un appel de son prédécesseur, le président de la république René Coty, à la suite du massacre, perpétré le 28 mai 1957 par l'ALN (bras armé du FLN), de plusieurs centaines d'habitants de Melouza, au sud de la Kabylie.

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Ce texte appelle deux commentaires :

  • en 1957, le président Bouteflika, que va rencontrer Emmanuel Macron, était déjà membre de l'ALN qui a perpétré ce massacre et essayé de le faire endosser par l'armée française. Il n'y a pas eu de repentance, côté FLN, de ce crime de guerre comparable à celui d'Oradour sur Glane.
  • le président Coty était de bonne foi lorsqu'il écrivait : "Je donne l'assurance solennelle que la France, qui veut leur garantir la sécurité et la justice, ne les abandonnera jamais". C'est un autre président de la république, Charles de Gaulle, successeur de René Coty, qui, cinq années plus tard, abandonnera aux couteaux du FLN des dizaines de milliers de musulmans et d'européens d'Algérie.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

dimanche, 12 novembre 2017

11 novembre, De Gaulle et ses guignols

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2017

 Patrick Parment

qNQE606I.jpgA chaque 11 novembre on nous sort la même soupe : le pèlerinage à Colombey-les-deux-Eglises qui est aux gaullistes ce que La Mecque est aux musulmans. Il y a un mythe gaulliste lié à une légende fabriquée de toute pièce et qui ne reflète que peu la réalité. L’homme du 18 juin n’y est pas pour grand-chose dans la victoire des Alliés sur les Allemands en 1944. En revanche, De Gaulle avait bien compris que les Américains étaient des envahisseurs autrement plus dangereux que les Allemands. Dans le grand cirque guerrier de 39-45, le rôle de la Résistance est marginal. Ce qui l’est moins, c’est l’attitude des communistes qui ont poussé les Allemands à prendre des otages suite à l’assassinat aveugle et gratuit de soldats allemands.  Ce qui l’est moins toujours, c’est l’attitude des communistes durant la grande braderie de l’Epuration où ils s’en donnèrent à cœur joie pour régler leurs petites affaires. Et sur cette période douloureuse de notre histoire, on n’a que le silence du camarade De Gaulle, intronisé, il est vrai, par Joseph Staline en 1941 qui lui sauva la mise à Londres auprès de Churchill.

Puis il y a le De Gaulle du coup d’Etat du 13 mai 1958 et surtout le De Gaulle qui va brader l’Algérie aux tueurs du FLN. Depuis cette date, tous les gouvernements se sont couchés devant les autorités algériennes pour le plus grand bonheur du patronat français.

La seule chose que l’on retiendra de De Gaulle est qu’il a agi et régné comme un monarque grâce à une constitution frisant le fascisme. Le reste, c’est de la posture, sans plus.

Alors De Gaulle….

Mais commémorer le 11 novembre 1918 est un devoir, car Il faut rendre hommage à nos poilus qui étaient pour la plupart de braves paysans que l’on a arraché à leur terre et à leur famille.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 01 novembre 2017

Les français assassinés le 1er novembre remercient Bagnolet qui fête les attentats terroristes du FLN

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

 
 

« Le 1er novembre 1954, le peuple algérien se soulève ». Faux. Il ne s’est pas soulevé ce jour-là, ni les semaines, les mois et les années suivantes, jusqu’à la date choisie par de Gaulle, le 19 mars 1962.

A l’initiative de la Bourse du Travail, Bagnolet « fête » ce soulèvement et commémore ainsi l’insurrection du peuple algérien en compagnie des « Amis de l’Humanité » et des PCF, PG, PRG, PS, CGT, etc.

Ceux qui sont morts ce 1er novembre 1954, assassinés par les terroristes du FLN, remercient Bagnolet et sa municipalité à titre posthume.

  • Le jeune instituteur Guy Monnerot (sa femme grièvement blessée survivra)
  • Le caïd de M’Chounèche, Ben Hadj Saddok
  • Laurent François, 22 ans, à peine libéré du service militaire.
  • Lieutenant Darnault plus deux spahis à Kenchela.
  • Le garde forestier Braun près de Saint-Denis du Sig.
  • Le Brigadier-chef Eugène Cohet.
  • Le soldat Pierre Audat, du 9ème régiment des Chasseurs d’Afrique.
  • Le policier Hamed Harouk de Dra-el-Mizan.

Le 1er novembre 1954 ne fut pas une journée très glorieuse pour les terroristes du FLN : dix morts à son actif et trois bombes qui explosent, sur les vingt posées, sans faire de gros dégâts ni de victimes…quel dommage !

⇒ Si les élus de Bagnolet souhaitent « fêter » des victoires du FLN, le choix est large, bien d’autres dates sont à sa disposition.

Voici quelques exemples, mais j’en ai bien d’autres à leur proposer :

  • EL HALIA, le 20 août 1955, 71 bébés, enfants, femmes, vieillards, violés, dépecés vivants, égorgés, écrasés contre les murs.
  • PALESTRO, le 18 mai 1956, 21 jeunes « appelés » du contingent, tous de la région parisienne, (peut-être même de Bagnolet, ce serait drôle, non ?), massacrés et retrouvés mutilés et les testicules dans la bouche.
  • MELOUZA, le 28 mai 1957, 301 Arabes assassinés parce qu’ils ne voulaient pas du FLN. Et, enfin, le 5 juillet 1962 à Oran, près de 3000 victimes au palmarès de l’ALN et du FLN.

Voilà de vraies dates de victoires à fêter par les ennemis de la France, celles qui faisaient plaisirs aux « porteurs de valises » du réseau Jeanson, à Jean-Paul Sartre, aux communistes, à l’extrême gauche et à tous ces « patriotes » français qui fabriquaient des bombes, fournissaient des armes, finançaient et jubilaient de voir se déverser le sang, surtout quand il était français, tous complices de la mort de milliers de vos enfants, de nos enfants.

Bonne fête du 1er novembre 1954 à Bagnolet !

 

 © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

dimanche, 26 mars 2017

26 mars 1962 : massacre de la rue d’Isly, par les gendarmes gaullistes

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2017

26 mars 2017 par admin4

Il y a cinquante ans environ, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly à Alger.

Une centaine d’entre eux furent abattus et des centaines furent blessés par les balles des gendarmes français. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

 

 

T. de Chassey

 

Source : contre-info