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vendredi, 30 mars 2018

Et si on repensait au bagne de Guyane ?

Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2018

bagne de guyane,fichés s,radicalisésLa tuerie de Trèbes, survenant après de multiples attentats islamistes, n’est que la suite logique dû au laxisme entretenu par tous les gouvernements depuis Giscard d’Estaing. L’islamisme a tué, l’islamisme tue, l’islamisme tuera. Et lorsque l’on se rappelle les terribles paroles de Fehrat Mehenni, président du Gouvernement Kabyle en exil, on peut se demander combien de fois nos présidents s’inclineront sur les cercueils de nos martyrs. « L’islamisme, c’est l’islam en mouvement. L’islam, c’est l’islamisme au repos ! ».

Le beau et émouvant discours d’Emmanuel Macron dans la cour des Invalides, devant le cercueil de cet héroïque colonel de la gendarmerie n’est, pour l’instant qu’un discours. Même si les éditorialistes de Bvoltaire l’ont applaudi ce ne sont que de belles paroles. Avec un oubli majeur, cependant : celui d’avoir évité de parler de sa Foi en Jésus-Christ, sans doute l’une des raisons de son sacrifice si l’on en croit son épouse.

Que dire aussi de ce ministre de l’Éducation Nationale encensé dans ces colonnes à de multiples reprises et qui n’aura pas eu le courage d’exiger, lors de cet hommage national, une minute de silence de la part de ses élèves. M. Blanquer aurait-il eu peur de déclencher dans certaines classes des appels au djihad comme le rappelait ici même Christine Célérié ?

Alors, nous devons poser la question à M. Macron. Que compte-il faire des quelque 20 000 radicalisés qui vivent sur notre territoire parmi lesquels, on compterait 4 000 fichés S dont il sait qu’ils peuvent intervenir, voiture, couteau, ou arme à feu à la main, à tout instant pour assassiner du fransaoui mécréant !

Dans La Dépêche du Midi, Frédéric Abela n’hésite pas à faire un dramatique calcul : « Sachant qu’il faudrait 20 fonctionnaires pour surveiller 24h/24 un fiché S jugé dangereux, l’équation vire au casse-tête infernal à l’échelle de l’Hexagone. Le nom de ces individus alimente le fameux fichier de signalement pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Cet outil créé en 2015 sert de baromètre. 20 000 radicalisés en France sont inscrits sur ce fichier dont 4 000 considérés comme étant sur le haut du spectre ».

Il est évident que si l’état de droit interdit de prendre les mesures nécessaires, nous sommes perdus.

Et puis ce chiffre de 20 000 fichés S n’inclut pas tous ceux qui considèrent la charia comme devant être au dessus de nos lois. Un sondage datant de 2016 nous lance un cri d’alarme : 29% des musulmans de France pensent que la charia doit régler la vie de la République Française ! Sans être islamophobe, mais simplement réaliste, on peut et on doit se demander combien de jeunes, parmi ces 29%, sont prêts à passer à l’acte, sans avoir été au préalable fichés S.

Alors, plutôt que de construire 1 500 places de prison destinés aux prisonniers les plus radicalisés qui, eux, tant qu’ils sont derrière des barreaux, ne risquent pas de nous terroriser, construisons un camp derrière des barbelés au cœur de la forêt guyanaise, pour y enfermer ceux que la police a identifié comme potentiellement dangereux. A titre de précaution. Comme l’ont fait les Américains avec les Japonais vivant aux États-Unis au moment où le Japon est entré en guerre. Il y aura, bien sûr, des innocents, mais au moins, aurons-nous limité le risque d’attentats à répétition. Et dans un tout premier temps, ne laissons surtout pas entrer ceux qui ont choisi de combattre aux côtes des barbares de Daech comme l’a suggéré bêtement, et criminellement, le pauvre Castaner.

 

Nous sommes en guerre, et les dommages collatéraux font partie d’un état de guerre.

Floris de Bonneville

 

Source : ndf

jeudi, 29 mars 2018

LE GRAIN DE SEL DE JEAN CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2018

« FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT ! Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse.


On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature,plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens. 

Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité  

D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects.Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte. 

Roosevelt n’avait pas fait dans le détail ! 

Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest.Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple ! 

Un héros français 

Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïqueofficier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste. 

Islamophobie ? 

Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est  devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux  trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour,  à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où leterrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ».En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire ! 

Jean-Claude ROLINAT 

mercredi, 28 mars 2018

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S Et la moitié par des personnes déjà condamnées, selon LCI

Publié par Guy Jovelin le 28 mars2018

 

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S  

 
 

Lundi 26 mars, Jennifer Knock, dans sa chronique "Les indispensables" diffusée dans 24h Pujadas sur LCI, est revenue sur la réalité autour des personnes "fichées S" pour radicalisation. Si on prend les plus grosses attaques terroristes commises en France depuis 2012, sur les 31 terroristes impliqués, 20 étaient fichés S, soit les deux tiers, a-t-elle expliqué. Parmi ces djihadistes, on trouve : Mohammed Merah, qui a perpétré les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban ; Amedy Coulibaly, prôneur d'otages de hyper cacher en 2015 ; Larossi Abballa, qui a assassiné des policiers à Magnanville, en juin 2016.

Les autres terroristes n'étaient pas fichés S, mais étaient connus des services de renseignement, a indiqué Jennifer Knock. C'est notamment le cas de Salah Abdeslam, qui n'était pas fiché en France mais en Belgique. En outre, selon la jeune femme, la majorité de ces terroristes a déjà eu affaire à la police. Plus de la moitié d'entre eux avait un casier judiciaire, souvent pour des délits de droit commun.

 

Source : atlantico

samedi, 18 novembre 2017

Lagny-sur-Marne (77) : assignés à résidence pour terrorisme, ils entraînaient l’équipe de foot (Màj)

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2017

 
À Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), deux hommes fichés « S » entraînaient depuis cet été le club de football de la ville. Problème : la municipalité n’était pas au courant. Elle réclame aujourd’hui des comptes.

Mauvaise surprise pour la mairie de Lagny-sur-Marne. Il y a quelques jours, elle a découvert que Nabil Aissaoui et Keita Gaoussou coachaient depuis le mois de septembre les équipes seniors du club de football de l’US Lagny Messagers. Les deux hommes étaient aussi assignés à résidence depuis plusieurs mois pour des faits en lien avec le terrorisme. L’un d’entre eux enseignait même dans une classe de CM2 dans une commune voisine.

Nabil Aissaoui, mis en examen cet été pour association de malfaiteurs terroriste et placé sous contrôle judiciaire, a notamment été condamné en juin dernier à douze mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve pendant deux ans par le tribunal correctionnel de Meaux pour avoir organisé une école coranique à son domicile.

Le Parisien via fdesouche

dimanche, 29 octobre 2017

La Police Nationale recrute des islamistes fichés S mais vire des patriotes

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

 

L’information a été révélée par RTL : un individu anciennement dans les radars des services de renseignement en vertu de ses liens avec des islamistes, ayant fait l’objet d’une fiche S, a depuis 2012 intégré l’armée, puis a été recruté en tant qu’Adjoint de Sécurité dans les rangs de la Police nationale, avant de réussir le concours interne de Gardien de la Paix.

La police recrute… Tout et n’importe quoi !

C’est donc le plus naturellement du monde que j’ai fait le lien avec ma situation personnelle, moi qui étais Brigadier-Chef OPJ dans la police nationale, ai été suspendu, puis révoqué, condamné par la justice, empêché de trouver un emploi dans le domaine de la sécurité, fiché S, ayant dû m’exiler pour échapper à l’emprisonnement, tout cela pour avoir pris anonymement position contre l’islam et les assassins d’Hervé Gourdel sur Facebook…

J’éprouve une grande colère, que je tente tant bien que mal de canaliser, en pensant au profil de cet individu qui est une bombe à retardement et qui va bientôt pouvoir faire « carrière » dans les rangs de la police nationale, dont certains dirigeants ont estimé qu’il fallait me virer comme un malpropre malgré mes états de service et, pire encore, me ficher S depuis 2015.

Je songe à tous les infiltrés qui, comme lui, pourront exercer un chantage à l’islamophobie en interne, recueillir et transmettre des informations à l’ennemi, voire peut-être dérober du matériel sensible comme ce fut le cas encore récemment à la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, où plusieurs armes et chargeurs ont mystérieusement disparu de l’armoire forte.

Comment ne pas anticiper l’attitude de cette nouvelle recrue, si elle devait par exemple exécuter l’ordre de disperser la foule des musulmans priant illégalement sur les voies de circulation devant la mairie de Clichy-La-Garenne ? Nul doute qu’il refusera de « malmener » ses « frères », en espérant au mieux qu’il ne s’interposera pas.

Rappelons que sur la seule Préfecture de Police à Paris, ce sont 17 policiers « islamistes radicaux » qui ont été identifiés entre 2012 et 2015, que plus récemment au Kremlin-Bicêtre, c’est une Juge d’Instruction qui a informé les autorités de la sympathie d’un Gardien de la Paix pour l’État islamique, et que vous ne serez jamais informés de la réalité et de l’ampleur du phénomène. En effet, cela ferait un peu « tache » pour l’image de l’institution que de révéler que le recrutement s’effectue sans aucune enquête de moralité, contrairement à l’époque où j’ai moi-même intégré ses rangs.

Je me dis que nous, les flics intègres qui avons embrassé cette carrière par choix, celui de protéger nos concitoyens et de contribuer à la neutralisation des criminels et des délinquants, n’avons plus lieu d’être. Puis je me ravise, en considérant qu’il reste encore un espoir, comme le prouve la révélation de cette information à des journalistes qui ont fait leur travail en la relayant.

En effet, comment ont-ils pu être informés si ce n’est par une source interne ?

Gageons que ces policiers, qui ont de leur fonction une vision suffisamment haute pour ne pas tolérer ce genre d’aberration, continueront à défendre les intérêts de cette institution que les politiques successives n’auront fait que malmener, encore et toujours, dans le seul intérêt d’acheter une hypothétique « paix sociale » en obtenant exactement l’effet inverse. »

Sébastien Jallamion

 

Source : reseaulibre