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mardi, 04 juillet 2017

PS : les rats ont (presque) tous quitté le navire

Publié par Guy Jovelin

Rédigé par notre équipe le 03 juillet 2017.

« J’ai décidé de quitter le Parti socialiste » ! La poignée de gogos qui écoute les propos de l’ancien héraut PS de la présidentielle explose de joie. La scène est surréaliste – à l’image du programme d’Hamon – et laisse le Parti socialiste plus orphelin encore. Après le départ de Flamby 1er à Tulle, la démission de Cambadélis la magouille, la trahison de Valls la tremblote, voilà Hamon qui tourne le dos à son cher PS. Devenu un cadavre, le Parti socialiste voit tous ses parasites le fuir un par un.

C’est l’histoire de rats qui voyant le navire couler sur lequel ils s’étaient si longtemps engrossés, courent à toute vitesse pour passer sur le rafiot le plus proche. Il faut sauver sa peau et qu’importe le nouveau pavillon du moment qu’il donne l’espoir d’un avenir moins sombre. Le dernier fuyard en date s’appelle donc Benoît Hamon. Candidat à la présidentielle il y a encore deux mois sous les couleurs socialistes et qui doit trouver rapidement du travail, il a décidé lui aussi de se tirer. Une fuite physiquement aisée, l’homme n’a plus aucun mandat et n’est soutenu par personne. Mais le retournement de veste est un peu plus compliqué au niveau moral car non content d’avoir été le leader du PS pour la présidentielle, il a été nourri depuis sa sortie de l’université au socialisme. Apparatchik n’ayant jamais mis les pieds dans une entreprise sauf pour y faire campagne et grappiller quelques voix de personnes drogués à la télévision, Hamon est l’archétype du politicien détestable.

La fuite des zéros

Prêt à toutes les compromissions pour arriver au pouvoir, il flatte les mauvais instincts en proposant un revenu universel et l’usage de drogues. Mais la cure de shoot socialiste est terminée et le parti est vomi par des Français bien aidés en cela par cinq années de Hollandisme. Le capitaine de pédalo a cassé son jouet et même Hamon se tire sans crier gare même s’il affirme ne pas tourner le dos à ses idéaux. Pour mieux reconstruire la gauche, il quitte le PS. Traduction : pour mieux tenter un rebond, il quitte un parti en état de mort clinique. Si même Hamon n’essaie pas de reprendre cette citadelle bien facile à prendre, il faut comprendre que la cause est désespérée.

Avant lui, Hollande était parti content de son bilan (mais, bien vite rattrapé par la Cour des Comptes). Cambadélis avait démissionné après une défaite en rase campagne et Valls avait fait du Valls. Un Manu finalement récupéré par En Marche pour bien ajouter une dose de dégoût à ce qu’inspire déjà ce pauvre raté de la politique obligé de lécher les pieds d’un Macron qu’il osait encore tancer publiquement sur les bancs de l’Assemblée nationale il y a deux ans. Trois poids lourds aux abonnés absents et des seconds couteaux qui sont partis avec armes et bagages depuis plusieurs semaines déjà.

Le PS finira par se trouver une nouvelle tête d’affiche plus ou moins jeune et marquée par ses aînés. Le PS est mort et les socialistes crachent sur sa tombe empêchant les Français de le faire eux-mêmes. Mais attentions, les rats sont des animaux intelligents et doués d’aptitudes fortes pour survivre aux pires épreuves. La preuve, En Marche a déjà remplacé la rue de Solférino dans les cœurs (des journalistes) et à l’Assemblée nationale. Le temps est à la toute-puissance de l’argent et pour les professionnels de la politique, le chapitre des créations de parti et de mouvances est ouvert. Mais pour débusquer les agents de la décomposition française, il suffit de voir si le terme « progressiste » est usité. Ils sont nombreux à se revendiquer de cette ligne bien creuse qui fait le lit de l’idéologie du libéralisme-libertaire.

 

Source : 24heuresactu

samedi, 04 février 2017

Trappes (78) : le fief de Benoît Hamon confronté au communautarisme islamique

Publié par Guy Jovelin le 4 février 2017 

Par le 04/02/2017 
Le communautarisme, qui frappe nos banlieues depuis de nombreuses années, s’est aggravé. Un récent rapport émanant des autorités judiciaires s’inquiète de l’évolution de Trappes, devenue un «pôle d’attraction pour les personnes étrangères à la ville à la recherche d’engagements religieux stricts». (…)

À 35 kilomètres de la capitale, au milieu du territoire privilégié de l’ouest parisien, Trappes dans les Yvelines ne dénote guère. Un vaste programme de réhabilitation en cours a rafraîchi cette ville de 30.000 habitants environ. Dotée de nombreux équipements publics, celle-ci offre un habitat moderne donnant sur de larges avenues.

Mais derrière cette façade avenante , la ville qui d’après un récent rapport, concentre une population majoritairement de confession musulmane, s’est enfoncée dans le repli communautaire. Commerces halal, associations imprégnées de religiosité, port du voile pour les femmes et du qamis pour les hommes en sont les signes visibles.

Cet ancien bastion communiste, dirigé désormais par un maire socialiste, n’est pourtant pas le seul concerné par cette évolution. D’autres secteurs dans ce département sont touchés par la montée du communautarisme. Parmi eux, ceux de La Verrière, de Mantes-la-Jolie ou encore des Mureaux notamment . Mais Trappes, plus que les autres communes, inquiète. C’est ce que signale un récent rapport confidentiel émanant des autorités judiciaires et déposé place Vendôme. Balayant tous les indicateurs qui témoignent de ce repli, celui-ci rappelle que c’est dans cette ville qu’éclatèrent les premières émeutes en France liées à une contestation religieuse. Après le contrôle d’identité d’une femme voilée, la cité s’était, en effet, embrasée en 2013 .

Au passage, ce même document aborde la radicalisation qui frappe la commune. Celle-ci a vu une cinquantaine de ses jeunes partir en Syrie. À travers ces quelques lignes sur l’islam radical, c’est alors un Trappes plus inquiétant encore qui se dessine: celui que les services de renseignement surnomment «Trappistan». Celui que d’autres appellent aussi «le Molenbeek français».

Ainsi estampillée, la ville vit depuis plusieurs années dans un concert d’accusations permanentes. Relayant les craintes de leur population, les élus voisins s’inquiètent de son évolution et redoutent aussi un effet de contagion. Au sein de la ville aussi, où la majorité de la population vit à l’écart de ces dérives, on s’inquiète aussi de cet affichage religieux excessif. Le voile ici est quasi permanent dans les rues. «Mais on le porte aussi parce qu’on est à Trappes. Celles qui l’adoptent n’y connaissent parfois rien en religion», signale exaspéré, Marwan*, un jeune musulman pratiquant.

Source : fdesouche via Le Figaro

mardi, 26 août 2014

Arnaud Montebourg et Benoît Hamon entrent en dissidence

Publié par Guy Jovelin

Dans un entretien au journal de gauche Le Monde, publié trois jours après celui de François Hollande, le ministre de l’Économie Arnaud Montebourg prend le contrepied de son président comme de son premier ministre.

« Il faut donner la priorité à la sortie de crise et faire passer au second plan la réduction dogmatique des déficits, qui nous conduit à l’austérité et au chômage » a-t-il déclaré réclamant une « évolution » des choix politiques de François Hollande et Manuel Valls, fortement critiqués.

« L’Allemagne est prise au piège de la politique austéritaire qu’elle a imposée à toute l’Europe. Quand je dis l’Allemagne, je veux parler de la droite allemande qui soutient Angela Merkel. La France n’a pas vocation à s’aligner sur les axiomes idéologiques de la droite allemande. Je ne peux que remercier Sigmar Gabriel, mon homologue socialiste à l’Économie, qui pousse dans le même sens que nous. » Lire la suite