Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 24 août 2018

Que nous importe ce qu'est Kamel Salhi, le tueur de Trappes ? Son origine est étrangère, il est venu porter la mort chez nous

Ceux qui les commettent proviennent toujours des mêmes régions du globe, professent une même religion, ressortent d'une ou plusieurs autres civilisations étrangères ou hostiles à la nôtre. Qu'ils soient, si l'on peut dire, sains de corps et d'esprit au service de la guerre qu'ils nous font, ou qu'ils souffrent de diverses pathologies, le résultat est le même. Peu nous chaut. Ils portent la violence et la mort sur un continent qui en a accueilli un nombre insensé. Voilà le fait.

Après Londres, Barcelone, Cornellà, Périgueux, c'est à Trappes, que le terrorisme a frappé hier. L'auteur se nomme Kamel Salhi. Comme le Soudanais qui a sévi l'autre jour à Londres s'appelait Salih Kater. Sainte transparence des prénoms et des patronymes ! Nous saurons demain, après-demain ou à peine un peu plus tard où un tel acte se renouvellera.

Un remarquable article d'Yves Michaud - auteur que nous ne connaîssons pas -  publié le 15 août dans Causeur a pour titre : « Attaques au couteau : la vérité de l’intention, c’est l’acte ».

Il précise en préambule : « Déséquilibrés, terroristes, djihadistes ? Les querelles sémantiques n’y changent rien : de plus en plus d’agressions, notamment au couteau, frappent les populations occidentales. Peu importe le motif invoqué par leurs auteurs, il faut qualifier les faits en s’interrogeant sur le modus operandi des coupables. »

couteau-attaque-islamogauchisme-1.jpgEt Yves Michaud ajoute ces réflexions qui auraient pu être les nôtres - mais n'ont pas été celles de Gérard Colomb et des médias :  

« Comme philosophe empiriste se réclamant de la philosophie analytique, j’ai en effet depuis toujours la plus grande défiance envers les explications par les intentions subjectives. Ce qui compte, ce ne sont pas les intentions mais les actes. Hegel, pourtant pas très philosophe analytique, disait que « la vérité de l’intention, c’est l’acte ».

« Or dès qu’il y a une attaque au couteau (et il y en a beaucoup – la dernière en date à Périgueux!)  non seulement les belles âmes islamo-gauchistes mais aussi les bonnes consciences des médias s’empressent d’invoquer l’absence d’intention terroriste avérée ou la pathologie mentale ou l’alcoolisme des agresseurs pour se rassurer : non ce n’est pas une action terroriste mais juste l’acte d’un déséquilibré. Et donc, circulez il n’y a rien à voir. »

Que dire de plus juste et de plus sérieux après Trappes ?  

Lire l'article d'Yves Michaud dans Causeur  ICI

 

Source : lafautearousseau

lundi, 05 mars 2018

Trappes (78) : la mairie PS finance les locaux d’une association musulmane abritant une école coranique ouverte aux enfants dès 3 ans

 Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2018

Dans cette ville des Yvelines, la mairie PS finance les locaux de la principale association musulmane, qui abritent une école coranique ouverte aux enfants dès 3 ans. L’opposition pointe une atteinte illégale au principe de laïcité, dans une agglomération où le communautarisme gagne du terrain.

Le vieux maire jette un œil sur la feuille devant lui. Il s’attendait à l’interpellation de son opposant. « La mairie respecte la loi de 1905. L ‘aide apportée à l’Union des musulmans de Trappes est autorisée par le Conseil d’Etat », assure Guy Malandain en oubliant de projeter sa voix dans le micro, si bien que ceux qui assistent au conseil municipal de ce mardi 6 février doivent tendre l’oreille pour saisir le propos de l’édile. Les élus de la majorité de gauche ont, eux, bien compris le message du maire PS aux 80 hivers : ils lèvent tous la main pour voter la mesure. Cette année encore, Trappes contribuera au financement de l’organisation religieuse, à hauteur d’un peu plus de 30 000 €. Et ce, alors même que les locaux subventionnés « abritent une école coranique », autrement dit un lieu d’apprentissage du Coran, comme l’a déclaré de but en blanc Guy Malandain, lors d’un précédent conseil municipal, le 18 décembre 2015.

Cette application a priori étonnante de la laïcité par la commune des Yvelines suscite l’indignation de l’opposition municipale.

 

30 000 euros alloués par la mairie à l'Union des musulmans de Trappes pour dispenser des cours de religion à des enfants de 3 à 12 ans. Entre autres activités "culturelles" https://twitter.com/MarianneleMag/status/969470570361511936 

mardi, 02 janvier 2018

Trappes (78) : l’arabe enseigné dès la 5e dans les trois collèges de la ville, une « section orientale » pourrait bientôt ouvrir au lycée

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2018

Par  le 01/01/2018

Depuis cette année, l’arabe est enseigné en langue vivante 2 à partir de la 5e dans les trois collèges de Trappes. Une trentaine d’élèves ont choisi de suivre les cours.

C’était la fête de la langue arabe jeudi dernier au collège Gustave-Courbet de Trappes. Atelier de calligraphie, buffet de plats orientaux… A l’occasion de la journée mondiale de la langue arabe, il s’agissait de célébrer l’arrivée de l’arabe en langue vivante 2 dans les trois collèges de la ville, Gustave-Courbet, Youri-Gagarine et Le Village.

Depuis le début de l’année scolaire, ce sont ainsi une trentaine d’élèves de 5e qui apprennent les bases de cette langue à raison de 3h par semaine.

Roumaïssa, 12 ans, en 5e à Courbet, a choisi l’arabe « pour pouvoir m’en servir avec ma mère dans la vie de tous les jours, raconte la jeune fille, originaire d’Algérie et du Maroc. Je vais pouvoir comprendre les conversations. »

Dans cette dynamique, une section orientale pourrait ouvrir au lycée de la Plaine-de-Neauphle dans les années à venir.

 

Actu.fr via fdesouche

samedi, 04 février 2017

Trappes (78) : le fief de Benoît Hamon confronté au communautarisme islamique

Publié par Guy Jovelin le 4 février 2017 

Par le 04/02/2017 
Le communautarisme, qui frappe nos banlieues depuis de nombreuses années, s’est aggravé. Un récent rapport émanant des autorités judiciaires s’inquiète de l’évolution de Trappes, devenue un «pôle d’attraction pour les personnes étrangères à la ville à la recherche d’engagements religieux stricts». (…)

À 35 kilomètres de la capitale, au milieu du territoire privilégié de l’ouest parisien, Trappes dans les Yvelines ne dénote guère. Un vaste programme de réhabilitation en cours a rafraîchi cette ville de 30.000 habitants environ. Dotée de nombreux équipements publics, celle-ci offre un habitat moderne donnant sur de larges avenues.

Mais derrière cette façade avenante , la ville qui d’après un récent rapport, concentre une population majoritairement de confession musulmane, s’est enfoncée dans le repli communautaire. Commerces halal, associations imprégnées de religiosité, port du voile pour les femmes et du qamis pour les hommes en sont les signes visibles.

Cet ancien bastion communiste, dirigé désormais par un maire socialiste, n’est pourtant pas le seul concerné par cette évolution. D’autres secteurs dans ce département sont touchés par la montée du communautarisme. Parmi eux, ceux de La Verrière, de Mantes-la-Jolie ou encore des Mureaux notamment . Mais Trappes, plus que les autres communes, inquiète. C’est ce que signale un récent rapport confidentiel émanant des autorités judiciaires et déposé place Vendôme. Balayant tous les indicateurs qui témoignent de ce repli, celui-ci rappelle que c’est dans cette ville qu’éclatèrent les premières émeutes en France liées à une contestation religieuse. Après le contrôle d’identité d’une femme voilée, la cité s’était, en effet, embrasée en 2013 .

Au passage, ce même document aborde la radicalisation qui frappe la commune. Celle-ci a vu une cinquantaine de ses jeunes partir en Syrie. À travers ces quelques lignes sur l’islam radical, c’est alors un Trappes plus inquiétant encore qui se dessine: celui que les services de renseignement surnomment «Trappistan». Celui que d’autres appellent aussi «le Molenbeek français».

Ainsi estampillée, la ville vit depuis plusieurs années dans un concert d’accusations permanentes. Relayant les craintes de leur population, les élus voisins s’inquiètent de son évolution et redoutent aussi un effet de contagion. Au sein de la ville aussi, où la majorité de la population vit à l’écart de ces dérives, on s’inquiète aussi de cet affichage religieux excessif. Le voile ici est quasi permanent dans les rues. «Mais on le porte aussi parce qu’on est à Trappes. Celles qui l’adoptent n’y connaissent parfois rien en religion», signale exaspéré, Marwan*, un jeune musulman pratiquant.

Source : fdesouche via Le Figaro