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vendredi, 26 janvier 2018

Les progrès fulgurants de la Ville de Paris

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2018

 

C’est aux petits détails qui s’accumulent qu’on voit le progrès s’épanouir en France.

Il y a, bien sûr, cette volonté affichée par toute la classe dirigeante de faire du pays le tremplin de toutes les innovations sociétales, de toutes les idées politico-économiques les plus formidables, depuis l’économie collaborative lourdement taxée jusqu’au revenu universel automatique de base pour toutezétousses, en passant par l’assurance santé, retraite ou chômage gratuite payée par les autres, deux fois.

Il y a aussi cette myriades d’initiatives colorées, vitaminées et résolument festives qui visent à dépenser sans compter l’argent pas encore récolté sur les générations futures pour des happenings géants aux retombées commerciales incertaines, depuis l’invraisemblable COP21 jusqu’aux prochains Jeux Olympiques dont la facture promet quelques grands moments de champagne pétillant pour le contribuable.

Il y a bien sûr ces expérimentations artistiques bigarrées à la subversion savamment calculée pour choquer le bourgeois qui permettent des progrès décisifs dans l’ouverture des chakras culturels de la population, à ses frais et sous ses plaintes pourtant nombreuses.

Il y a enfin cette adéquation quasi-magique entre ces bricolages sociétaux, ces dépenses pharaoniques sans encadrement et la gestion résolument progressiste des contingences terre-à-terre de la vie de tous les jours.

Car c’est aussi ça, le progrès : trouver des moyens innovants de ne pas traiter des problèmes courants, aussi aigus soient-ils. Or, en France en général et à Paris en particulier, plus qu’une idée à la mode, cette propension à innover aussi dans la non-gestion est devenue un art de vivre.

C’est peut-être pour cela que, de pistes prétendument cyclables en quartiers interlopes réinvestis par des foules alternatives, les grandes villes les plus rongées conscientisées à ce festivisme fébrile redécouvrent les joies oubliées des proliférations impromptues d’encombrants mammifères.

Ici, je ne parle pas des hipsters ou des politiciens dont la société, fort peu lucide, encourage la reproduction, mais plutôt des rats. Et si toutes les grandes villes doivent supporter des populations de parasites plus ou moins grandes, Paris montre une vitalité toute particulière dans l’entretien de son cheptel local.

Cela n’est pas neuf puisque, comme en témoigne un éboueur qui a réalisé une intéressante vidéo, cela fait plus d’un an que la situation est connue et qu’elle se dégrade pourtant avec rapidité.

Manifestement, la lutte contre les automobilistes, les travaux pharaoniques du Grand Paris, les commémorations diverses et la préparation des Jeux Olympiques occupent un peu trop l’actuelle équipe municipale qui n’a plus guère de temps pour ces banalités sanitaires. D’ailleurs, l’adjoint au maire à la propreté, le communiste Mao Peninou – le prénom n’a pas été changé – explique doctement que ces petits soucis sont essentiellement liés à d’obscurs changements de réglementation :

« C’est dû au changement de la réglementation sur les raticides et aux capacités de résistance biologique du rat. »

Méchante réglementation ultra-libérale ! Vilaine résistance biologique des rats-mutants turbocapitalistes ! Quand, en plus, les crues font rien qu’à les forcer à sortir de leurs trous, pas de doute, les éléments se liguent contre l’équipe municipale ! C’est vraiment trop injuste.

Oui, il faut bien comprendre que cette prolifération parasitaire à Paris n’a rien à voir avec la désinvolture de l’équipe en place face au problème de la crasse immonde qui s’est installée depuis plusieurs années. Cela n’a rien à voir avec la prolifération de bidons-villes à ciel ouvert dans certains quartiers. Cela n’a rien à voir avec le trou de plusieurs centaines de millions dans le budget parisien et les choix politiques qui consistent à continuer d’abonder malgré tout les lignes budgétaires « fêtes & petits fours » et pas celles concernées à l’entretien de l’infrastructure…

Non, décidément, cela n’a aucun rapport avec la saleté indigne de cette ville qui nous renvoie aux heures les plus sales de l’Histoire. C’est plus sûrement à cause du Réchauffement Climatique, de la fachosphère, des néo-réacs et des gros machos qu’il convient donc de combattre âprement avec des budgets conséquents. Au moins la politique municipale actuelle s’explique bien sous ce prisme…

En tout cas, la marche vers le progrès semble à présent encombrée par ces rongeurs qui noient la ville dans leurs miasmes infâmes. On attend avec impatience les fermes résolutions que ne manqueront pas de prendre les édiles pour nettoyer tout ça…

Peut-être pourrait-on résolument se tourner vers l’aven…pardon le passé, comme en 1901 où de grandes opérations furent lancées pour nettoyer la capitale ?

Sauf qu’avec le progrès, se lancer dans un raticide de grande ampleur peut être politiquement risqué.

Utiliser des poisons, c’est risquer des retours de flamme puissants de la part des écologistes qui ne supporteront certainement pas une pollution de la Nature, fût-elle parisienne. Utiliser de l’arsenic ? Ah mais vous n’y pensez pas, grand fou ! D’une part, Mao l’a dit : les rats ont muté et ne s’y laissent plus prendre. D’autre part, le problème ne provient pas de la mairie payée pour gérer les égouts et l’hygiène de la ville, mais des citoyens qui y vivent et dont l’incivilité régulière (en jetant de la nourriture dans des poubelles peu ou pas fermées) met en danger le vivrensemble de certains mammifères avec d’autres.

Et de toute façon, le progrès, là encore, a clairement fait comprendre à tous les Français que les animaux sont dorénavant des humains comme les autres, doués de sensibilité et très mignons, qu’on ne peut donc pas tout à fait éliminer par trouzaines grouillantes sans attirer à soi l’ire de certaines ligues.

S’ajoute bien évidemment tous les problèmes purement logistiques : lorsqu’on dératise d’un côté, les rats fuient de l’autre, et rapidement, tout est à refaire ! Sapristi, on dirait des contribuables fuyant l’impôt !

Quoi qu’il en soit, on peut de toute façon douter que la volonté affichée ou réelle de l’équipe soit suffisante pour venir à bout du fléau : comme je l’évoquais dans un précédent billet, on se souvient des réactions particulièrement sous-optimales et extrêmement mesurées de cette même équipe lorsque des quartiers entiers se retrouvent livrés à des camelots ambulants qui laissent derrière eux détritus et immondices par kilos. Difficile d’imaginer que pour des rats, la réaction sera plus forte.

En réalité, seule la menace d’une déroute électorale fera peut-être bouger les lignes ; rattraper des années de laxisme, de jmenfoutisme assez décontracté sera long et difficile.

En somme, les rats ont investi Paris et pour les Parisiens, il va falloir s’y habituer.

 

Source : ndf

mardi, 04 juillet 2017

PS : les rats ont (presque) tous quitté le navire

Publié par Guy Jovelin

Rédigé par notre équipe le 03 juillet 2017.

« J’ai décidé de quitter le Parti socialiste » ! La poignée de gogos qui écoute les propos de l’ancien héraut PS de la présidentielle explose de joie. La scène est surréaliste – à l’image du programme d’Hamon – et laisse le Parti socialiste plus orphelin encore. Après le départ de Flamby 1er à Tulle, la démission de Cambadélis la magouille, la trahison de Valls la tremblote, voilà Hamon qui tourne le dos à son cher PS. Devenu un cadavre, le Parti socialiste voit tous ses parasites le fuir un par un.

C’est l’histoire de rats qui voyant le navire couler sur lequel ils s’étaient si longtemps engrossés, courent à toute vitesse pour passer sur le rafiot le plus proche. Il faut sauver sa peau et qu’importe le nouveau pavillon du moment qu’il donne l’espoir d’un avenir moins sombre. Le dernier fuyard en date s’appelle donc Benoît Hamon. Candidat à la présidentielle il y a encore deux mois sous les couleurs socialistes et qui doit trouver rapidement du travail, il a décidé lui aussi de se tirer. Une fuite physiquement aisée, l’homme n’a plus aucun mandat et n’est soutenu par personne. Mais le retournement de veste est un peu plus compliqué au niveau moral car non content d’avoir été le leader du PS pour la présidentielle, il a été nourri depuis sa sortie de l’université au socialisme. Apparatchik n’ayant jamais mis les pieds dans une entreprise sauf pour y faire campagne et grappiller quelques voix de personnes drogués à la télévision, Hamon est l’archétype du politicien détestable.

La fuite des zéros

Prêt à toutes les compromissions pour arriver au pouvoir, il flatte les mauvais instincts en proposant un revenu universel et l’usage de drogues. Mais la cure de shoot socialiste est terminée et le parti est vomi par des Français bien aidés en cela par cinq années de Hollandisme. Le capitaine de pédalo a cassé son jouet et même Hamon se tire sans crier gare même s’il affirme ne pas tourner le dos à ses idéaux. Pour mieux reconstruire la gauche, il quitte le PS. Traduction : pour mieux tenter un rebond, il quitte un parti en état de mort clinique. Si même Hamon n’essaie pas de reprendre cette citadelle bien facile à prendre, il faut comprendre que la cause est désespérée.

Avant lui, Hollande était parti content de son bilan (mais, bien vite rattrapé par la Cour des Comptes). Cambadélis avait démissionné après une défaite en rase campagne et Valls avait fait du Valls. Un Manu finalement récupéré par En Marche pour bien ajouter une dose de dégoût à ce qu’inspire déjà ce pauvre raté de la politique obligé de lécher les pieds d’un Macron qu’il osait encore tancer publiquement sur les bancs de l’Assemblée nationale il y a deux ans. Trois poids lourds aux abonnés absents et des seconds couteaux qui sont partis avec armes et bagages depuis plusieurs semaines déjà.

Le PS finira par se trouver une nouvelle tête d’affiche plus ou moins jeune et marquée par ses aînés. Le PS est mort et les socialistes crachent sur sa tombe empêchant les Français de le faire eux-mêmes. Mais attentions, les rats sont des animaux intelligents et doués d’aptitudes fortes pour survivre aux pires épreuves. La preuve, En Marche a déjà remplacé la rue de Solférino dans les cœurs (des journalistes) et à l’Assemblée nationale. Le temps est à la toute-puissance de l’argent et pour les professionnels de la politique, le chapitre des créations de parti et de mouvances est ouvert. Mais pour débusquer les agents de la décomposition française, il suffit de voir si le terme « progressiste » est usité. Ils sont nombreux à se revendiquer de cette ligne bien creuse qui fait le lit de l’idéologie du libéralisme-libertaire.

 

Source : 24heuresactu

samedi, 14 janvier 2017

Le retour au Moyen Âge

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

POSTÉ LE 10 JANVIER , 2017

décadence d' l'occident chrétien,dîme saladine,france,invasions,moyen âge,ratsLa France, au cours de son histoire, a subi plusieurs invasions – la dernière d’entre elles étant celle des rats. Les rats sont partout. La presse nous informe qu’à Paris, les rats sont si nombreux que plusieurs jardins publics ont été fermés. Même constat à Marseille. Comment a-t-on pu en arriver là , en 2016 ?

C’est qu’en raison des changements de populations, les règles d’hygiène sont de moins en moins respectées. À Paris, dans ce qu’on appelle les « beaux quartiers », vous ne pouvez pas sortir sans voir sur les trottoirs des poubelles renversées dont le contenu fait le bonheur des rats, des matelas usagés, des cuvettes de toilettes cassées. Dans les quartiers « moins beaux », c’est évidemment la même chose.

Le problème, c’est que les rats sont les vecteurs du virus de la peste. Au Moyen Âge, ils ont provoqué des épidémies dramatiques, comme la peste noire qui fit 25 millions de victimes en Europe, alors beaucoup moins peuplée qu’aujourd’hui. La peste, qui reste endémique en Asie, pourrait donc réapparaître en France, où elle s’ajouterait à ces maladies que l’on croyait éradiquées et qui sont de retour, notamment la tuberculose, en raison de l’afflux de migrants venus du Tiers-monde.

Le Sida est, lui aussi, un cadeau de la décolonisation. Son virus était localisé en Afrique centrale, mais s’est répandu sur la terre entière avec l’immigration des populations africaines, en Europe et surtout en France.

L’insécurité, aussi, est partout, comme au Moyen Âge, au temps des « grandes compagnies ». S’agissant de la France, on compte 13 000 vols, 2 000 agressions physiques, et 200 viols par jour. En réalité, plus encore, car beaucoup de ces agressions ne sont pas déclarées. Cette délinquance s’est considérablement renforcée avec le terrorisme, arme de l’islam. La presse en parle jour et nuit, invitant les Français à être vigilants.

Mais comment être vigilant en face d’un immigré qui cherche à vous égorger pour vous voler votre portefeuille et vous punir d’être chrétien ? Prendre une arme et abattre l’agresseur peut vous vouloir 10 ans de prison. En un mot, sortir de chez soi, c’est maintenant prendre des risques. Il n’y a plus de châteaux forts où se réfugier.

Le Moyen Âge est aussi de retour pour ce qui est des tracas de la vie quotidienne. Autrefois, sous la double férule du seigneur local et de la règle religieuse, on payait la dîme et on effectuait des corvées. Il faut dire que cette dîme était parfois tout à fait justifiée, comme le fut la dîme saladine, créée par Henri II en 1188 pour financer la 3e croisade contre les musulmans dirigés alors par Saladin, le calife à Bagdad. C’était un Kurde entouré de Turcs et de Syriens. On pourrait donc recréer une dîme, non plus saladine, mais pour une croisade toujours dirigée contre le calife de Bagdad, maître de l’État islamique.

En ce domaine, le Moyen Âge est toujours là. Il s’est même aggravé, car aujourd’hui, les seigneurs au pouvoir, c’est-à-dire la nomenklatura démocratique et socialiste, ont perfectionné la dîme du Moyen Âge en la multipliant par 5, s’emparant de la moitié du revenu des sujets. De façon générale, cette nomenklatura fait preuve d’une imagination fiscale sans limite, faisant regretter le Moyen Âge. N’a-t-elle pas mis au point un loyer à payer à l’État, même si vous êtes propriétaire de votre logement ? Les grands prêtres de la nomenklatura socialiste vous disent : « Si vous n’étiez pas propriétaire, vous devriez payer un loyer pour vous loger. Eh bien, ce loyer, vous allez le verser à l’État. » Par exemple, M. X est propriétaire de son pavillon qu’il a acquis après plusieurs décennies d’économies pour être tranquille et ne pas verser de loyer. Il pourrait louer ce pavillon 2 000 euros par mois. L’État socialiste exigera de lui qu’il lui remette le montant de ce loyer théorique ou, tout au moins, une partie de ce loyer. C’est un projet que la nomenklatura devrait mettre à exécution si, en 2017, le peuple lui renouvelait sa confiance, ce qui, fort heureusement, est assez peu probable, les serfs et les manants commençant à comprendre ce qu’est le socialo-communisme, c’est-à-dire un système qui exploite le peuple et le trompe en permanence.

On voit donc que cette situation est pire qu’au Moyen Âge, où il n’y avait tout de même pas 10 500 lois, 127 000 décrets et un nombre incalculable d’arrêtés en vigueur qui font que vous êtes emm… tous les jours par les nouveaux seigneurs républicains et socialistes. Même la belle de Cordoue, qui règne à Paris, a fait, quant à elle, tant et si bien que l’on ne peut plus circuler en voiture dans la capitale. Au Moyen Âge, à cheval, on allait beaucoup plus vite !

Pour terminer, une observation : Noël est la fête la plus importante, en tout  cas la plus populaire, de la chrétienté. C’était une fête placée à l’origine sous le signe de la pauvreté et de l’espérance. Aujourd’hui, c’est un festival de surconsommation, sous le signe du foie gras, des huîtres et du poulet de Bresse. C’est là un détournement, une perversion de Noël, qui souligne la décadence de l’Occident chrétien où, le paganisme étant de retour, on dirait que tous les consommateurs célèbrent non pas Noël, mais le solstice d’hiver. Jésus de Nazareth n’est pas né dans une brasserie, que je sache !

 

Source : les4verites