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samedi, 09 février 2019

Ce qu’il faut absolument faire comprendre aux jeunes filles

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2019

Auteur : Rédaction

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Source : contre-info

 

vendredi, 28 décembre 2018

Damas : des Syriennes demandent à l’Europe de renvoyer tous les migrants syriens chez eux pour qu’ils puissent reconstruire leur pays

Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2018

Par  le 27/12/2018

 

Les femmes syriennes se plaignent qu’il n’y a pas assez d’hommes pour reconstruire le pays, et certaines disent à l’Europe et aux autres pays occidentaux qui ont accueilli des hommes syriens de les « expulser » et de les renvoyer chez eux.

Johan-Mathias Sommarström, journaliste à la chaîne publique suédoise SVT, s’est rendu à Damas (Syrie) et s’est entretenu avec des étudiants de l’Université de Damas, dont 70 pour cent sont des femmes.

« Regardez autour de vous, vous ne voyez que des femmes. A l’université, dans la rue, dans les cafés, juste des femmes », témoignent les étudiantes Safaa et Sheima à Sommarström.

Pour résoudre le problème, une jeune étudiante a déclaré que le gouvernement syrien devrait accorder une amnistie aux hommes qui ont quitté le pays pour éviter le service militaire afin qu’ils puissent aider à reconstruire le pays, en montrant du doigt les nations occidentales qui ont accueilli tous les jeunes hommes syriens.

« La solution est de les expulser et de les renvoyer en Syrie où ils pourront commencer à reconstruire le pays », a déclaré Lina.

(…) Sverige Radio via fdesouche

mercredi, 05 septembre 2018

Festival de musique réservé aux femmes et transgenres mais interdit aux hommes

Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Suède – Le festival de musique Statement s’est tenu à Göteborg. Ce festival avait fait beaucoup parler de lui l’an dernier en raison du grand nombre d’agressions sexuelles qui y avaient été commises. La polémique avait pris d’autant plus d’ampleur qu’un grand nombre des agresseurs sexuels étaient décrits comme des immigrés. Dans un pays très accueillant envers les demandeurs d’asile, l’affaire avait créé un véritable traumatisme. D’autant plus que le phénomène s’était reproduit lors de plusieurs festivals. Notamment celui de Bravalla, le plus important de Suède, annulé cette année.

Et que croyez-vous qu’il est advenu ? Bien sûr, il ne fut pas question d’en tirer des leçons concernant l’immigration. Non, les féministes ont préféré prendre l’affaire en mains et tout simplement stigmatiser l’ensemble des hommes hétérosexuels.

La comédienne suédoise Emma Knyckare, fondatrice du festival, avait écrit sur Twitter :

 «Que penseriez-vous d’un festival génial où seules les non-hommes sont bienvenues jusqu’à ce que TOUS les hommes apprennent à bien se tenir».

Ainsi, les agressions sexuelles ont servi de prétexte pour mettre en place une nouvelle propagande féministo-LGBT.

Et les organisatrices du festival Statement ont réservé l’accès aux femmes… et aux transgenres nés hommes mais considérant être des femmes.

A la suite de plusieurs plaintes pour discrimination, l’agence gouvernementale pour l’égalité avait demandé au festival Statement de préciser ce qu’il entendait par «cis men». Il fut répondu qu’il s’agit des hommes se considérant des hommes et donc interdits de festival.

Ce monde est devenu fou !

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 26 novembre 2017

Une Europe d’hommes pleurnichards

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

Ecrit par Hristo Xiep

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Après l’enquête sur les violences domestiques et sur la place de la femme dans la société, troisième question posée à l’échelon européen et dont les résultats ont été rendus publics via twitter : « Est-il acceptable pour un homme de pleurer » ? La moyenne européenne est de 10 % de non et de 88 % de oui, 1 % d’indécis et 1 % de « ça dépend ».

« Boys don’t cry » (les garçons ne pleurent pas) chantait le groupe anglais The Cure en 1979. « Seules les filles pleurent » semblait répondre la chanteuse portugaise Vanda Maria Ribeiro Furtado Tavares de Vasconcelos, plus connue sous son nom de scène « Lio » en 1988. Il semblerait que ce ne soit plus de mode, à la grande joie des islamistes.  Où d’autres d’ailleurs. Dans un monde de lâcheté, quelle Aïcha al-Horra des temps modernes pourrait dire ce qu’elle dit à son fils Mohamed XII « Boabdil » à la chute de Grenade : « Pleure comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme ! » ?

Il est intéressant de noter qu’aucun pays n’a une majorité de non. Encore une fois, ce sont les pays de l’ancien bloc communiste qui obtiennent les meilleurs scores. Et ce pour une raison très simple : ils ont su ce que la lutte. Se battre pour renverser le régime le plus meurtrier de l’histoire humaine sans aide extérieure et avec les fréquentes trahisons des océaniens. Ils ont aussi su ce qu’étais la misère et la faim. Quand l’homme lutte pour son pain et sa survie, croyez-moi, il n’a pas le temps ni l’envie pour les tête-à-tête avec les kleenex.

Plus de 30 % de non: Trois pays ont moins de 65 % de oui, et, partant, plus de 30 % de non. Le pays qui a le plus de « non » est la catholique Lituanie avec 34 % de non pour 63 % de oui. La Bulgarie orthodoxe est le pays qui a le moins de « oui », 62 %, pour 32 % de non. Entre les deux, la Roumanie orthodoxe avec 33 % de non et 64 % de oui.

Plus de 25 % de non : deux pays dans ce cas, tous deux de feu le bloc de l’Est et tous deux catholiques, à savoir la Slovaquie (25 % de non, 68 % de oui) et le Croatie (25 % de non et 73 % de oui).

Plus de 20 % de non : quatre pays de l’ancien bloc de l’est, la Pologne catholique avec 23 % de non et 72 % de oui, la Hongrie catholique avec 77 % de oui et 21 % de non et la Lettonie protestante avec 20 % de non et 77 % de oui. On trouve également le premier pays non ex-communiste, la nation orthodoxe qu’est Chypre avec 20 % de non et 80 % de oui.

Plus de 15 % de non : quatre pays dans cette catégorie, avec la Grèce orthodoxe, 19 % de non et 80 % de oui, le premier pays occidental, à savoir la catholique Autriche avec 19 % de non et 79 % de oui, la protestante Tchéquie, 80 % de oui et 17 % de non et enfin la catholique Slovénie, avec 16 % de non et 82 % de oui.

Plus de 10 % de non : deux pays sont donc encore au-dessus de la moyenne européenne, la protestante Estonie avec 13 % de non pour 85 % de oui et l’Italie avec 12 % de non pour 85 % de oui.

Plus de 5 % de non :  cinq pays dans cette fourchette, tous d’Europe de l’ouest. La Belgique catholique, 9 % de non et 91 % de oui, Malte catholique avec 7 % de non et 91 % de oui, l’Irlande catholique avec 6 % de non et 94 % de oui, la France catholique avec 5 % de non et 94 % de oui, même score que la mixte Allemagne.

Moins de 5 % de non : L’Espagne catholique, 4 % de non et 94 % de oui (le pays des machos n’est plus ce qu_’il était…), le Portugal catholique, 3 % de non et 96 % de oui, même score que le Royaume-Uni et le Danemark protestants, 2 % de non et 97 % de oui pour le catholique Luxembourg, 2 % de non et 98 % de oui pour les protestantes Finlande et Pays-Bas et, tout en bas, la décadente Suède, 99 % de oui et 1 % de non. On comprend mieux cette vidéo où l’on voyait un Suédois tenter de parlementer avec un groupe de migrants qui harcelaient sexuellement sa compagne et qui, bien sûr, prit une bonne mandale dans la figure avant que les colons ne repartent avec leur butin… Rollon doit s’en retourber dans sa tombe.

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info

dimanche, 18 octobre 2015

Il y a de quoi poser tout haut les questions que la majorité se pose tout bas !! ??

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2015

 

La propagande culpabilisatrice nous le dit matin, midi et soir :

Ces hommes traumatisés fuient la guerre, et ont été confrontés à des scènes abominables. Et cela est naturellement notre devoir de les accueillir, et de leur ouvrir les bras.

On se rappelle, dans la vidéo de Calais, des propos de la fille de Nadine Guerlach, qui exprimait son scepticisme sur cette version, voyant plutôt des personnes qui faisaient la fête toute la journée, jouaient au football, et ne paraissaient pas éprouvés par les souffrances supposées auxquelles ils avaient pu être confrontés.

Il n’en reste pas moins que, si nos journalistes et politicards étaient un peu plus curieux, ils auraient pu s’interroger sur ce phénomène unique au monde.

En général, en cas de guerre, ce sont les hommes, les plus jeunes, qui défendent le pays et sa population. Ce sont eux qu’on envoie se battre contre les ennemis. On se rappelle de ce texte de Mireille Greschter, reprochant à un jeune réfugié syrien âgé de 20 ans de ne pas se battre, à son âge, pour son pays.

Ce que disait notre amie suisse est exact, mais c’est bien pire que cela.

Car si la version politico-médiatique qu’on nous sert est exacte, ces jeunes garçons sont non seulement des couards, mais les pires salopards. En effet, comment qualifier autrement un homme en âge de se battre qui, au lieu de protéger les plus faibles, ne pense qu’à lui, et sauve sa peau, en abandonnant femmes, enfants et vieillards aux terribles agresseurs (qu’on ne qualifie jamais) à cause de qui ils ont fui.

Il suffit de regarder les photos et vidéos de ces hordes de clandestins qui arrivent à Lampedusa et par la Grèce, et se répandent dans toute l’Europe, pour constater ce fait, qui inquiétait d’ailleurs, à juste titre, Alice Braitberg : ce ne sont que des hommes, jeunes et vigoureux, et par ailleurs particulièrement revendicatifs et belliqueux..!!!!!!



Pour comparer les choses, regardez qui était dans les boat-people, dans les années 1980. On n’y voit pas que des hommes jeunes, loin de là…

 

Regardez, lors de l’exode, en France, si les hommes abandonnaient femmes, enfants et vieillards…

Dans un autre registre, les réfugiés espagnols, en 1939, après la victoire de Franco…

Et regardez encore ces images de réfugiés belges, à la gare de Calais, en 1914…

 

Bref, en général, quand on fuit une guerre, comme le montrent ces images, les hommes jeunes et mûrs essaient de sauver femmes, enfants et vieillards, et restent à leurs côtés.

Sauf nos malheureux migrants, qui, eux, les abandonnent.

Conclusion : soit nous allons accueillir les pires salauds, soit on nous prend pour des cons… Peut-être les deux à la fois