mardi, 17 juillet 2018
LE CHAUVINISME D'UN SOIR EST LE PIRE ENNEMI DU NATIONALISME
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samedi, 30 septembre 2017
Pourquoi être nationaliste ?
Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2017
Je viens de vivre une expérience étonnante : j’ai été invité à manger par ma patronne. Sa famille est singulière car elle a six enfants de son conjoint (ils ne sont pas mariés) qui ont la double nationalité française et allemande. Petit histoire rapide de son compagnon, il est le descendant d’une famille influente de la république de Weimar. Son père engagé contre le nazisme a tout de même pris l’uniforme de la Wermacht pendant la guerre. Il a péri pendant ou après la tragique bataille de Roumanie qui vit des milliers de soldats allemands capturés mourir pendant la longue marche vers la Sibérie. Il n’a donc pas connu son père. Il est venu s’installer en France où il a rencontré sa compagne.
Une discussion lors du déjeuner nous a occupés : pourquoi ne pas soutenir une intégration complète des différents états dans une UE qui serait le pendant des USA. Des états unis d’Europe chers aux internationalistes de tous poils et repoussoir absolu des nationalistes. Ce serait simple, il suffirait de suspendre la souveraineté de la France et de chacun des états membres et le tour est joué. Je me suis à ce moment précis rendu compte que je ne vivais pas sur la même planète. Il n’y aurait à entendre ce discours aucune différence entre l’autonomie exercée par une région (Corse ou Bretagne), un pays (France ou Allemagne) dans une union respectant les droits individuels. Lorsque j’ai avancé que dans ce cas, on ouvrait la voie au gouvernement mondial il me fut répondu que ce serait aussi bien. Un français vaut un allemand !
Alors pourquoi garder la souveraineté ?
Parce que la suspension de la souveraineté entraîne nécessairement son transfert à quelqu’un d’autre. Si vous ne décidez pas chez vous, un autre le fera à votre place. Accessoirement on peut déjà voir que l’international peut s’imposer à vous (Guerre de Serbie ou du golfe, Venezuela, pacifications en tout genre et tout lieux, extraterritorialité du droit américain, …) par le biais des ONU, OTAN, OMS, OCDE, OMC, et des ONG. Pourquoi il serait dramatique de suspendre la souveraineté de la France ? Mais simplement parce que déjà que nos dirigeants ne luttent pas efficacement contre l’invasion migratoire, là ils seraient contraints de l’accepter. Le village mondial n’admettant plus de frontière, il sera préférable d’être miséreux à Montpellier plutôt qu’à Abidjan.
La conséquence de l’abandon de la souveraineté est la soumission à un ordre qui vous est plus éloigné. Contester ou soutenir l’action d’un élu local est aisé. Quid d’un commissaire européen ou d’un député fantôme ?
La conséquence sera la désertification des régions les plus pauvres ou les moins développées et son pendant la surpopulation dans les régions attractives. Pour prendre un exemple, l’Inde et la Belgique ont toutes deux des densités de populations semblables (380 et 371 Hab/ Km² selon wikipedia le 13/08/17). Pourtant la population accumulée des les villes de Belgique et d’Inde n’est pas comparable. Les villes indiennes s’étirent en des bidonvilles interminables de pauvreté et de crasse. L’urbanisme belge autorise tout de même un espace mieux alloué, plus raisonnablement répartit ce qu’on appelle une harmonie. Les villes surpeuplées du monde sont toutes hors du continent européen. Et pour ma part la ville de Paris par son accumulation populeuse (bien que limitée au regard de ce qui se fait ailleurs) ne me fait pas rêver beaucoup. On imagine alors les cavernes d’acier d’Isaac ASIMOV ou Chorus centre de George LUCAS.
La souveraineté est à la frontière ce que le droit de propriété est à la porte d’une maison légitimement acquise. Le territoire étant alors la maison. Mais plus grave est la conséquence sur la législation. Si vous êtes chez vous, vous maîtrisez votre mode de vie, votre projet de développement, de rénovation, d’agrandissement ou de décoration. Que cela peut-il devenir dans un monde ou le légalisme se ferait plus haut et plus loin ? Dans un monde unifié sous une même bannière, comment traiter la loi islamique, la ségrégation par les castes bhramaniques, les peuples restés primitifs ? C’est ainsi que par exemple l’UE en est venue à imposer sa normalisation à tous crins. Au sein d’une communauté de peuplements semblables (l’Europe) il faut encore s’interroger sur le volume des chasses d’eau !
L’autre aspect dramatique de la pensée internationaliste est d’entraîner une cassure dans la transmission d’un héritage irremplaçable. Ces jeunes gens que j’ai rencontrés sont enfants de bonne famille, bien élevés, actifs et entreprenants. Pourtant je dis qu’ils ne sont pas des héritiers. Ou qu’ils n’ont pas conscience de leur héritage. Ouvert sur le monde et sur l’autre ils le sont par leur double nationalité. Certes cela est une part de leur héritage. Mais surtout ils sont français ET allemands. Pas patagons. Je crois que l’existence de la double nationalité trouble les cartes. Ils en seraient devenus NI français NI allemands, simplement citoyens de l’Europe avant d’être du monde.
Au final on nous fait des cours sur la beauté des arts primitifs, des cultures authentiques de peuples différents. Mais il faudrait tout de même faire la promotion de l’universelle humanité condamnée à se fondre en une masse indistincte dans le grand creuset du métissage.
Pourquoi suis-je nationaliste ? Parce que je veux voir dans l’autre un autre qui peut m’être un frère, un camarade ou un ennemi mais surtout un semblable, pas un fantôme. Et je veux que cela continue à travers les générations suivantes, même si cela doit engendrer quelques drames. Parce qu’héritier je suis venu au monde et légataire je le serai en le quittant.
Pour nos amis écologistes : pourquoi défendre une terre qui ne nous serait rien ?
Rédigé par Marc-Antoine Hennet
Le Parti de la France du Gers
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jeudi, 05 novembre 2015
Jean-Pierre Stirbois, militant nationaliste exemplaire...
Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2015
Par Robert Spieler
Article publié dans Rivarol
(n°3010, août 2011)
Après avoir consacré, il y a quelques semaines, un long article à François Duprat, Le Monde Magazine du 16 juillet réserve sa « une » à « Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik ». C’est le 11 septembre 1983 qu’une liste de rassemblement qui compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, emporte la mairie de Dreux. La foule scande : « Stirbois, fasciste, assassin ! Stirbois, salaud, le peuple aura ta peau ! ». Une semaine auparavant, avait eu lieu le« coup de tonnerre de Dreux », où la liste Stirbois obtenait près de 17% des suffrages au premier tour, obligeant les droites à fusionner avec le FN. L’aventure débuta à Dreux. Le Pen ne s’était pas déplacé pour soutenir Stirbois. Il était en vacances. Cette victoire fut celle de Stirbois…
Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier, né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes et participe en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. L’échec de Tixier va entraîner une lutte fratricide entre ce dernier et Le Pen. Stirbois choisit Tixier et va contribuer à créer le mouvement Jeune Révolution, mouvement « solidariste », dont l’idole est Pierre Sergent. L’Union solidariste adhérera en bloc, en 1977, au Front national, dont Stirbois prendra rapidement et efficacement la charge du secrétariat général. Près de 35 ans plus tard, cela suscite encore des rancoeurs chez ceux qui avaient été mis en touche, rancoeurs qui s’expriment aujourd’hui, dans un récent courrier des lecteurs à Rivarol, où Stirbois est accusé d’être un agent sioniste, son vrai nom étant Stirnbaum ! Notre ami David Veyssere m’a envoyé ce commentaire :« Voir dans le patronyme de Stirbois une origine juive, c’est de la billevesée pure. Cet anthroponyme est authentiquement un patronyme du Nord des Gaules, mélange de franc et de gallo-romain, qui signifie « taureau des bois », stir signifiant taureau dans les langues franques et germaniques. Le Monde reprend quelques assertions tout à fait mensongères et hautement fantaisistes en prétendant que Stirbois était pro-israélien et récusait toute connotation fascisante. Ayant été très proche de Jean-Pierre Stirbois, quand nous siégeâmes ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale, et ayant passé maintes soirées avec lui, je puis témoigner que ces accusations sont totalement absurdes. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, qui fut l'un de ses plus proches amis, en une période difficile de la vie privée de Stirbois, peut en témoigner amplement. Non, Jean-Pierre Stirbois n’était ni sioniste, ni au demeurant pro-arabe, il était nationaliste français, entouré de cadres radicaux, issus pour beaucoup du PFN (Parti des Forces Nouvelles), du GRECE, et bien sûr du mouvement solidariste. Voilà la vérité.
Stirbois, nationaliste populaire
Stirbois exécrait le bourgeoisisme et l’esprit de collaboration. Aux élections cantonales de 1985, il avait défendu l’idée que le Front n’appelle pas à voter pour la droite au second tour. En 1988, au second tour de l’élection présidentielle, où Le Pen avait obtenu 14% des voix, il prône le vote Mitterrand, suivant l’adage : « National au premier tour, socialiste au second ». Le Pen, qui voulait appeler à voter Chirac, finit par prôner l’abstention ou…le vote Chirac.
Une anecdote : Au lendemain de notre élection, en 1986, à l’Assemblée nationale, Le Pen a une riche idée. Celle d’organiser une réception au pavillon d’Ermenonville, au Bois de Boulogne. Dans le registre somptueux, feux d’artifice, et tout le reste. Toutes les personnalités, tous les ambassadeurs y sont invités. Tenue de soirée, c'est-à-dire smoking, de rigueur. Cela nous scandalisa. Quoi ? Nous qui affirmions représenter la droite sociale et populaire auprès de nos électeurs, nous plier aux simagrées de la bourgeoisie bling-bling ? De ces parvenus ? Pas question ! Aucun ambassadeur, au demeurant, sauf celui d’Uruguay, proche de la secte Moon, ne fit une apparition. Il est vrai que Le Pen avait établi d’étroites relations avec la secte Moon, dont il fit élire le dirigeant français, Ceyrac, le neveu de l’ancien patron du patronat, à l’Assemblée nationale. Comme seule personnalité, le Bao Daï, l’antique empereur du Vietnam… Jean-Pierre Stirbois, ainsi que les députés de la sensibilité nationale et sociale refusèrent de s’y rendre. Pour ma part, jamais avare d’une provocation, je m’y rendis … en costume et non en smoking. J’étais le seul. Fureur de Le Pen qui m’envoya le lendemain un mot manuscrit : « Tu aurais du m’en parler ; il existe au groupe (parlementaire) une petite caisse pour députés nécessiteux ». Je lui répondis derechef : « Je suis désolé, mais ayant été élevé à la bière et à la choucroute en Alsace, je ne connais pas les mœurs de la bourgeoisie parisienne. »Ambiance…
Mégret et Stirbois
Le Pen ne pouvait pas tolérer un Etat dans l’Etat, un militant pur et dur, insensible au découragement, qui ralliait une grande partie des militants du FN. Stirbois était un remarquable organisateur, qui savait galvaniser ses fidèles, des fidèles prêts à le suivre jusqu’au bout. Ce n’était sans doute pas un chef de peuple, mais nous n’en étions pas là… Le Pen, qui voyait d’un mauvais œil son influence grandissante (Stirbois était sans doute le seul que Le Pen craignait), eut l’idée de créer la grande zizanie en nommant Bruno Mégret, délégué général chargé de sa campagne présidentielle. Bruno Mégret est un homme de grande valeur, excellent organisateur, avec une capacité conceptuelle que n’avait sans doute pas Stirbois. Les deux étaient faits pour se compléter. Ce ne fut pas le cas. Sous l’œil attendri de Le Pen, qui ne faisait évidemment rien pour arranger la situation, les tensions prirent de l’ampleur. Le Pen régnait, ou du moins voulait régner en maître… J’avais essayé, très naïvement, de rapprocher les deux hommes. Peine perdue. Stirbois m’en avait même tenu grief.
La mort de Stirbois
Stirbois s’était lancé à corps perdu dans la campagne pour le « non » au référendum sur le statut de la Nouvelle-Calédonie. A peine de retour d’un voyage éreintant, début novembre 1988, il tient un meeting à Dreux. Il déclare être prêt à retourner en Nouvelle-Calédonie « mettre sa peau au bout de ses idées. »Tard dans la nuit, il reprend la route dans sa Golf GTI et, s’étant sans doute endormi au volant, percute un arbre. Les complotistes y verront bien sûr un assassinat. Absurde. En tout cas, le lecteur me pardonnera de ne pas donner de détails, ce fut un honteux soulagement chez certains proches de Le Pen, qui sablèrent le champagne. Restait à décider rapidement qui serait le secrétaire général qui remplacerait Jean-Pierre Stirbois. Deux candidats étaient en lice : Bruno Gollnisch et Carl Lang. C’est dans les toilettes du funérarium que Le Pen annonça aux deux candidats potentiels son choix. C’était Carl Lang, qui était plus jeune, et dans son esprit plus malléable (la suite prouvera le contraire), Bruno Gollnisch étant considéré comme trop proche de Stirbois. Le Pen voulait tourner la page et éviter que se constitue au sein du FN un groupe de pression des amis de Stirbois…
Les obsèques eurent lieu à l’église Saint Augustin, en présence de tous ses fidèles, et de ceux qui ne l’étaient pas. Et de ceux et surtout celle qui trahirent honteusement sa mémoire. Mais ceci est une autre histoire… Les amis de Jean-Pierre Stirbois, dont Christian Baeckeroot, Jean-Pierre Revaud, Bernard Antony, voulaient porter son cercueil. Le Pen s’y opposa. Marie-France Stirbois se jeta en larmes aux pieds de le Pen pour le supplier d’accepter. Il finit par y consentir…
Le 27 novembre 1988, 20 jours après le décès de Stirbois,National Hebdo organisa une grande réunion en hommage à Jean-Pierre Stirbois, à la Mutualité. Les organisateurs en étaient Roland Gaucher, directeur de NH et Roland Hélie. Le Pen y était totalement opposé, et fit tout pour empêcher les militants de s’y rendre, interdisant aux permanents du FN de participer à cette manifestation. Roland Gaucher ne plia pas, de même qu’un nombre considérable de militants. La Mutualité était bondée. Une émotion indescriptible… Roger Holeindre salua celui qui a« chassé du FN les incapables et les voyous pour bâtir un parti pur et dur ». Le Pen n’y vint pas… Et les incapables et les voyous revinrent au Parti…
Et si Stirbois avait vécu ?
L’uchronie, c'est-à-dire la tentation de refaire l’histoire, est évidemment une tentation absurde. Mais tellement tentante…Que se serait-il passé si Stirbois avait vécu ? Je fais le pari qu’il y aurait eu une guerre, instrumentalisée par Le Pen, entre lui et Mégret. Quel que soit celui qui l’aurait emporté, les conséquences auraient été les mêmes. Si Stirbois l’avait emporté, il aurait fini par subir les mêmes humiliations, les mêmes avanies que celles que Bruno Mégret eut à subir. Et il aurait réagi de la même façon. Jacques Doriot avait écrit un livre dont le titre est Nous ne sommes pas un peuple d’esclaves. Stirbois n’avait pas un tempérament d’esclave. Et ceux qui le suivaient, pas davantage. Jamais Stirbois n’aurait accepté cet épouvantable népotisme, cette ambiance monégasque, décadente, orientale dans laquelle se complait Le Pen. Et pourtant, quel talent d’orateur, quel charisme, quel courage ! Quel dommage ! Il est vrai qu’il est rare qu’un chef de peuple apparaisse. Peut-être tous les siècles, ou tous les deux siècles ? Un chef de peuple milliardaire, cela n’existe au demeurant pas. Lorsqu’il fut officiellement l’héritier de Lambert, qui lui léguait sa fortune pour poursuivre et amplifier le combat nationaliste, des cadres de son mouvement, heureux, lui proposèrent diverses actions de propagande et de militantisme. Un des dirigeants présents me l’a raconté. Le Pen répondit, pointant les index de ses deux mains sur sa poitrine : « Cet argent est à moi, à moi… »
J’avais suivi avec une grande attention la révolte des militants qui suivaient Bruno Mégret. Pouvait-il réussir ? Avait-il raison de se lancer dans cette aventure ? Jean-Pierre Stirbois, si cela avait été lui, aurait sans doute subi les mêmes conséquences. Première étape : Elimination des fidèles au sein du Mouvement. Les salariés fidèles au futur « traître » sont virés. Que faire ? L’accepter, c’est passer pour un salaud et un lâche qui ne défend pas ses hommes. Alors ? Tenter de prendre le contrôle d’un parti statutairement ultra verrouillé ? Cà ne marche pas. Et puis, se soumettre, et se retrouver en douzième place, celle de Judas, sur la liste européenne ? Ridicule. Seconde solution : quitter avec les meilleurs, les plus déterminés, les plus combatifs, les plus nombreux le mouvement, mais, l’expérience l’a prouvé, cela ne marche pas davantage, car la marque prime le talent. Bruno Mégret n’avait le choix qu’entre deux décisions désastreuses. Ce fut le talent de Le Pen de le pousser ainsi à une faute impossible à éviter. Jean-Pierre Stirbois, nonobstant son talent, se fût retrouvé dans la même nasse…
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jeudi, 02 juillet 2015
Les jeunes nationalistes aident le PdF dans l'Ariège.
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lundi, 18 mai 2015
Alexandre Simonnot, élu FN évincé du parti pour fidélité envers Jean-Marie Le Pen
Publié par Johanna
Alexandre Simonnot s’est vu retiré le 4 mai dernier sa fonction de secrétaire départemental du Val d’Oise par la direction du FN. Cela se passait le même...
Lire la suite : http://www.medias-presse.info/alexandre-simonnot-elu-fn-e...
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