Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 23 octobre 2017

Dans la Bibliothèque Michelle Obama, c’est un démon drag queen qui lit des histoires LGBT aux enfants

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 

MPI avait déjà signalé comment, aux Etats-Unis, des bibliothèques pour enfants organisent une propagande LGBTQI auprès des plus petits avec des journées de lectures publiques faites par des drag queens.

En Californie, le 14 octobre dernier, la Michelle Obama Neighborhood Library a dépassé tout ce qui s’est fait jusqu’à présent en la matière.

C’est un travesti qui se fait appeler Xochi Nochi et qui apparaît en démon drag queen qui est venu faire des lectures devant des petits enfants.

Cette « Drag Queen Story Hour » était suivie d’une heure d’art communautaire et d’un atelier chronologique de l’histoire LGBT, en partenariat avec le centre LGBTQ de Long Beach, le réseau GSA qui « combat l’homophobie et la transphobie dans les écoles » ainsi que la Cour Impériale de Long Beach qui organise les levées de fonds au profit des lobbies LGBT.

Question toute simple : mais qu’est-ce qui se passe dans la tête des parents qui amènent leurs enfants dans un tel endroit ?

Et l’Eglise de Satan ne s’y est pas trompée, elle. Par un tweet, cette secte sataniste s’est félicitée d’une telle initiative monstrueuse.

 

Source : medias-presse.info

 

samedi, 21 janvier 2017

Sur BFM TV, Evelyne Joslain estime qu’Obama « était plus musulman dans son cœur que chrétien », la chaîne précise qu’elle ne la réinvitera plus

 Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2017

 
Sur BFM TV, Evelyne Joslain estime qu’Obama « était plus musulman dans son cœur que chrétien », la chaîne précise qu’elle ne la réinvitera plus

Et la liberté d’expression ? Invitée de l’édition spéciale de BFM TV consacrée à l’investiture de Donald Trump, Evelyne Joslain, spécialiste des Etats-Unis, et particulièrement du mouvement conservateur, a déclaré en direct que « Barack Obama ...

Lire la suite

vendredi, 06 janvier 2017

OBAMA, MAUVAIS PERDANT, TENTE DE SAVONNER LA PLANCHE DE SON SUCCESSEUR !

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

 AP-Trump-Obama-Oval-jrl-161110_12x5_1600.jpg

Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La fin de l’année 2016 nous a apporté quelques satisfactions, à nous autres Français, avec l’élimination de Sarkozy et de Juppé, ainsi que le renoncement de François Hollande. Elle a été assombrie par le drame de Berlin, sorte de répétition de notre 14 juillet niçois, conséquence de la folle politique d’Angela Merkel, et par le décès de célébrités inoubliables, chacune au firmament de leur art, comme les actrices Michèle Morgan et Claude Gensac, ou l’académicien Michel Déon, le dernier des « Hussards ». Nous aurons également une pensée pour nos amis russes qui ont perdu l’essentiel de leur plus célèbre chorale dans un crash aérien en Mer Noire. Mais la politique a repris ses droits et, tandis que la misérable comédie des primaires socialistes encombre nos écrans de télévision et colonise les ondes, la géopolitique subit les effets d’une nouvelle tectonique des plaques qui semble redistribuer les cartes.

La Turquie change-t-elle de camp ?

Longtemps l’alliée la plus sûre et la plus fidèle de l’OTAN, la Turquie vient d’effectuer un virage à 180 degrés de sa politique étrangère. A deux doigts de s’affronter avec la Russie après que son aviation ait abattu un appareil russe dans le ciel turco-syrien, Recep Tayyip Erdogan vient de parrainer avec Moscou un accord de cesser le feu en Syrie ! Pragmatique, réaliste, le Président turc s’est rendu compte que l’objectif qui consistait à renverser Bachar Al Assad en soutenant les guérillas islamistes, était impossible à atteindre. D’autre part, la menace kurde est trop présente dans l’esprit des dirigeants d’Ankara pour accepter d’être pris en tenaille entre un PKK très actif dans l’Est anatolien et un PYD syrien, sécessionniste, sur toute sa frontière sud. Ça tombe bien, Damas ne veut pas entendre parler non plus de séparatisme kurde, ces Kurdes – « cocus » de l’histoire, nation sans Etat - soutenus par l’Occident… Le prix à payer de cette réévaluation de la diplomatie est lourd : les attentats se succèdent, tous plus meurtriers les uns que les autres. Le dernier en date commis lors de la Saint-Sylvestre - des dizaines de morts dans une boite de nuit d’Istanbul, sorte d’opération « Bataclan bis » - est-il comme une piqûre de rappel après l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie fin décembre ? Etrange….Etrange aussi ce putsch raté qui visait le Chef de l’Etat turc, lequel dit-on, n’aurait dû son salut qu’aux informations données par les services secrets russes : à un quart d’heure près, il devait être arrêté ou exécuté dans sa résidence sur les bords de la Mer Noire, avant que son avion ne l’emporte vers la capitale, escorté par des F-16 de l’armée de l’air, cette même arme qui attaquait au même moment le Parlement d’Ankara ! Tout n’a pas encore été dit sur ce mystérieux « golpe » qui aurait été ourdi, à en croire certains officiels turcs, par la CIA. Mais il est vrai que l’on ne prête qu’aux riches ! Une explication plausible en tout cas à défaut d’être vraie, au rapprochement des présidents Poutine et Erdogan.

A quelques jours de son effacement, OBAMA lâche son venin

Faute de peser sur les évènements, le Président sortant à Washington tente de savonner copieusement la planche de son successeur. C’est, tout d’abord, l’invraisemblable accusation contre la Fédération de Russie d’avoir manipulé l’élection présidentielle pour favoriser Donald Trump, dont on connait par ailleurs les idées à propos de la politique russe. C’est ensuite, l’expulsion de 35 diplomates vers Moscou en représailles d’une supposée cyber attaque, piège dans lequel Poutine ne tombe pas, sachant très bien que la situation sera rétablie le 20 janvier : « Nous n’allons pas tomber au niveau d’une diplomatie irresponsable », déclarait le Président russe. Pour sa part, le successeur d’Obama se fendait d’un tweet où il saluait la « belle réaction de Poutine ». «  J’ai toujours su qu’il est très intelligent », ajoutait-il. Comme si cela ne suffisait pas, à l’ultime terme de son mandat, le Président américain par l’intermédiaire de son secrétaire d’Etat John Kerry, se lançait dans une féroce – mais à notre humble avis, justifiée – critique de la politique israélienne de colonisation : « Si le choix est celui d’un seul Etat, Israël peut être juif OU démocratique, mais pas les deux ». Comme pour appuyer sa démonstration, son délégué aux Nations Unies laissait filer, par son abstention, le vote de la résolution 2334, texte condamnant les implantations juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, partie de la ville prévue pour accueillir les institutions d’une éventuelles Palestine indépendante (1) dans le cadre d’une solution « à deux Etats ». Si Benyamin Nentanyahou, Premier ministre israélien, accusait mal le coup, le futur locataire de la Maison Blanche y voyait une pierre lancée dans son jardin, lui qui veut transférer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, justement. (Mesure qui, soit-dit en passant, ne manquera pas de mettre le feu à la rue arabe…). Et même si l’Etat hébreu a besoin de l’aide militaire américaine, ses premiers avions furtifs F-35 – indétectables - viennent d’être livrés, il ne se prive pas de dialoguer avec les russes dont il s’est rapproché, ayant besoin de leurs garanties face à un Hezbollah « iranisé » sur leur frontière nord et sur le plateau du Golan, qu’Assad voudrait bien récupérer. On voit ici, une fois de plus, que « l’Orient compliqué » nous joue sa partition, qui n’est pas une petite musique de guinguette ! Et c’est sur ce fond de décor diplomatique que le « grand » François Hollande s’apprête à accueillir à Paris le 15 janvier, pas moins de 70 gouvernements, sauf le principal, celui d’Israël, pour parler du…Proche-Orient ! Totalement surréaliste, alors que Moscou comme la future administration américaine, sont partisans de négociations bilatérales, plutôt que d’une approche multilatérale. En tout cas, c’est au Kazakhstan, ex République soviétique, dans sa capitale Astana, que se dérouleront les prochaines conversations relatives à la situation syrienne, mais sans les Occidentaux. On voit se dessiner ici un complexe enchevêtrement d’alliances contre nature, qui fait la saveur de la géopolitique. Et la France hélas, avec ses petits poings, n’a pour l’instant aucun rôle à y jouer. Tournons vite la page de 2016 !

(1) A noter tout de même, qu’un « plan de partage » de la Palestine a déjà été voté aux Nations unies à la majorité de ses membres en… 1947 

RL JCR 1.jpg

 

Source : synthesenationale

=

mercredi, 26 novembre 2014

Obama, à deux doigts de la guerre contre la Russie, légalise 4 millions de clandestins ! (par Nicolas Bonnal)

 

Publié par Guy Jovelin

Obama a fait organiser par ses agences la subversion en Ukraine (actuellement entre les mains de gangs d’oligarques et de voyous) puis une mise au ban de la Russie. Comme on sait, cette mise au ban n’a abouti à rien d’autre qu’à renforcer le sentiment pro-russe en Crimée et à l’Est, à affaiblir notre Union européenne et à établir une formidable alliance stratégique entre Poutine et les Chinois. Mais les valets européens se battent pour cirer les bottes d’Obama.

Comme on sait aussi, Obama, qui vient de prendre sa énième claque au Sénat, a décidé de légaliser quatre millions de clandestins. L’Italie, quant à elle, rêve d’en découdre militairement avec la Russie ; et elle a laissé s’introduire 300.000 « clandestins » contre lesquels elle ne fait rien, sinon réquisitionner des hôtels et lever des impôts pour faciliter cette invasion pas comme les autres. Mais ne dramatisons pas. On se ferait accuser de raciste, de fasciste, de xénophobe par les Érinyes en place. Alors laissons-nous occuper.

Nous sommes à deux doigts de la guerre contre la Russie, qui en finirait (but recherché ?) avec la civilisation européenne (et sa population) ou ce qu’il en reste, au motif hallucinant qu’il y aurait quelques centaines de soldats russes dans l’est de l’Ukraine martyrisé par le gang affairiste au pouvoir. Et on laisse entrer quatre millions de clandestins en Amérique ! Tout heureux d’y retrouver le quidam kenyan élevé en Indonésie, les Mésoaméricains et autres Africains s’y précipitent.

La démocratie occidentale postmoderne est une maladie mentale. Elle n’a qu’une seule raison d’être maintenant, quel que soit le parti politique : son autodestruction. Autodestruction démographique, culturelle, religieuse, politique, économique (délocalisations) : appelez ce répugnant chaos libéralisme ousocialisme, comme vous voudrez. Plus l’islam dégénère en islamisme, plus le système le favorise ; plus l’Europe s’empêtre, plus on la construit ; moins l’immigration est utile, plus elle est favorisée par des guerres imbéciles et scandaleuses aux quatre coins du monde.

Et les Français ? Toujours aussi éclairés par leurs médias, ils disent au sondeur qu’ils vont voter Juppé qui incarne à la fois la guerre totale contre Kadhafi, l’Europe des fous de Bruxelles et la guerre fraîche et joyeuse contre le Russe. Juppé incarnera aussi la guerre totale contre le peuple français. Elle sera méritée.

Nous allons faire une guerre nucléaire à dix mille kilomètres de chez nous pour 300 soldats que l’on croit voir bouger, et nous laissons rentrer dix millions d’étrangers sans coup férir. C’est la logique du marché, comme on dit. Bon appétit à ceux qui votent.

D’après Thomas Alva Edison, l’homme qui inventa notre cadre de vie (nous n’inventons plus rien à part des gadgets à tuer le temps), il y a trois sortes d’hommes : les 5 % qui pensent, les 10 % qui croient penser (les jamais contents !) et les 85 % qui préfèrent mourir que penser.

Eh bien, en Occident, nous préférons mourir.

Source