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vendredi, 26 octobre 2018

Deux migrants violent une jeune fille de 16 ans et s’endorment à leur procès : « On doit tenir compte de l’aspect culturel » selon le médecin légiste

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

Par  le 24/10/2018

 

Höhenkirchen-Siegertsbrunn – C’est un crime qui avait fait la une dans tout le pays en automne 2017 : deux réfugiés auraient violé ensemble une adolescente de 16 ans dans les environs de la gare à Höhenkirchen-Siegertsbrunn. Les deux violeurs présumés Walid P. et Farid A. (noms modifiés), qui doivent répondre de leurs actes devant le tribunal de Münich, risquent plusieurs années d’emprisonnement. Les deux jeunes hommes risquent donc gros.

Pourtant, à la reprise du procès jeudi, les accusés s’assoupissent plusieurs fois devant le tribunal. Le juge Stephan Kirchinger finit par perdre patience : « Si vous voulez dormir, nous devrons interrompre la séance » déclare-t-il avec colère à l’adresse de Walid P.

Après cet éclat, les deux accusés suivent enfin attentivement les déclarations de l’expert médical. Celui-ci explique d’abord que tant les deux réfugiés afghans que leur victime étaient en état d’ébriété. Farid A. (18 ans) aurait même eu au moment des faits un taux d’alcoolémie de 1.86 pourmille. Alors que l’expert considère Walid P. clairement pleinement responsable de ses actes, il voit Farid A. « à la limite d’un contrôle diminué ».

Le spécialiste en médecine légale n’évoque cependant pas que cette intoxication. Il faudrait « également tenir compte du fait qu’il vient d’une culture différente », déclare le médecin au sujet de Farid A. « Le taux d’alcoolémie élevé de Monsieur A. a induit une désinhibition qui l’a fait dépasser sa capacité de jugement. » La pondération est « complètement différente quand on grandit dans cette culture et pas dans une culture occidentale ».

Au sujet de l’Afghanistan, le médecin déclare : « Là-bas, une femme ne vaut rien et l’homme passe avant tout. » La socialisation a une influence sur la manière de se contrôler. Selon l’expert, il est cependant également clair que A. avait connaissance du droit local. Le juge précise rapidement que pour lui, seule la consommation d’alocool joue un rôle dans l’évaluation d’une éventuelle baisse de la capacité de discernement. Il dit au médecin ne pas très bien comprendre en quoi le manque de socialisation influence la capacité de discernement. Le processus continue.

Merkur.de via fdesouche

vendredi, 25 mai 2018

Albi (81) : Ouverture du procès de la buraliste qui exigeait que sa cliente retire son voile (MàJ : 3 mois de prison avec sursis et une amende requis)

Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2018

Par  le 24/05/2018

 

 
Pierre Sautarel@FrDesouche
 
 
 

3 mois avec sursis pour avoir demandé à une islamiste de retirer le haut de son déguisement afin de l'identifier pour lui remettre un colis... On nage en plein délire

https://twitter.com/ccif/status/999663257815343104 


Une Albigeoise vêtue d’un jibeb n’a pas pu retirer un colis dans un bureau de tabac. Elle a porté plainte pour discrimination religieuse. La gérante de l’établissement argue que les clients doivent se découvrir pour «motifs de sécurité».

(…)

Rien n’y fait. Un autre client retire finalement le colis à sa place, après un quart d’heure de palabres. Mais Anaïs R. ne compte pas en rester là. Elle porte plainte dans la foulée pour «discrimination en raison de la religion et refus d’un bien ou d’un service dans un lieu accueillant du public ou pour en interdire l’accès». Avec le soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), elle prend un avocat. Le Licra et le Mrap se sont portés parties civiles.

 

jeudi, 12 avril 2018

Le procès des agresseurs de Marin se déroulera à huis-clos

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2018

Le 11 novembre 2016, à la sortie de la gare de « La part-Dieu », à Lyon, Marin Sauvageon, qui venait de fêter ses vingt ans quatre jours plus tôt, s’était porté au secours d’un couple qui s’embrassait en public et était violemment agressé par un groupe de cinq jeunes maghrébins qui exigeaient que l’on respecte la « Police de la Charia ».

La bande des cinq jeunes l’avait poursuivi jusque dans le bus et l’un des agresseurs, un jeune de 17 ans, l’attaquait dans le dos, lui explosant littéralement le crâne à l’aide d’une béquille.

Laissé pour mort, Marin fut hospitalisé en quasi mort cérébrale, le pronostic vital engagé, à l’hôpital Edouard Herriot puis opéré à l’hôpital de neuro-cardiologie de Bron.

Après 5 semaines en réanimation, Marin est enfin sorti du coma près de deux mois plus tard et n’a survécu qu’après qu’on lui a ôté ¼ de la boîte crânienne. Il devra porter pour le reste de sa vie un casque protégeant son cerveau, désormais à nu.

Handicapé à vie, avec des séquelles très importantes sur le plan moteur et cognitif : perte du sens de l’équilibre, pertes de mémoire irréparables, Marin ne peut, dorénavant, que s’exprimer très difficilement, son débit est lent.

Il subira une nouvelle opération crânienne prochainement, après l’échec de la première intervention, infection et retrait d’une partie de l’os crânien et pose d’une prothèse définitive, un volet crânien en céramique. Il s’agira de sa quatrième trépanation en quinze mois.

Marin était un étudiant brillant, bachelier à 17 ans, avec mention « très bien », en troisième année de droit, il n’a pas reçu la visite de François Hollande, alors président de la République, qui s’était pourtant empressé de se rendre au chevet d’un Théo, ce soi-disant « empalé » par des policiers, un acte qui a bouleversé la France de toute la gauche, celle des artistes, des chanteurs, des politiciens, qui se mobilisent si promptement en fonction des origines et de la couleur (politique j’entends) pour soutenir les victimes, et même quelquefois, les accusés.

Marin, lui, n’a pas de chance. Il n’a bénéficié d’aucun soutien de cette France-là. Il est « blanc », français de souche, catholique, honnête, courageux, et ce n’est pas la police qui l’a agressé et laissé pour mort !

Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pourtant maire de Lyon à l’époque des faits, s’est souvenu de Marin Sauvageon un an plus tard. Fin novembre 2017 il lui a attribué la « Médaille d’Or » pour son acte de courage et de dévouement.

Le procès des agresseurs de Marin, notamment du jeune de 17 ans, connu des services de police pour de multiples infractions et faisant l’objet d’un suivi judiciaire depuis plusieurs années, est prévu du 2 au 4 Mai 2018. Il se déroulera à « huis-clos » devant la Cour d’assises des mineurs pour « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, avec usage d’une arme ».

Marin Sauvageon sera représenté par l’avocat pénaliste Jean-Félix Luciani. On attend de savoir qui sera le célèbre avocat qui assurera la défense de l’agresseur principal, aux côtés de son avocat actuel, Me Anne Guillemat !

Nous le suivrons de très près car celui qui s’est acharné sur Marin était mineur à l’époque de l’agression et l’on sait que les peines sont très réduites dans de tels cas !

Accompagné par le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, Marin Sauvageon sera reçu par le Pape ce 11 avril.

Il ne se passe pas une semaine sans que l’on déplore une agression, assassinat serait plus justifié, d’un innocent par une bande de jeunes : en mars, à Elbeuf (Seine-Maritime) c’est un handicapé de 60 ans, roué de coups pour lui voler… une cigarette. Il est mort quelques heures plus tard. Mardi 10 avril, en plein centre-ville de Metz, un couple attaqué, toujours par une bande de jeunes. L’homme, 40 ans, a été tué et la femme blessée. Pour quelles raisons ? Peu importe. Toujours ce mardi des policiers sont agressés à Besançon et le docteur Quynh Régent, urgentiste, roué de coups dans le Val de Marne, pour la huitième fois, et hospitalisé. A Saint-Brieuc, un  agent de la SNCF menacé de mort, à Sigean, c’est un collégien qui sort un couteau et crie« Allah Akbar ». Je pourrais poursuivre cette  liste non exhaustive car ne comptez pas sur les médias pour vous tenir informer, silence radio sur ordre.

Il y avait des quartiers interdits en France, interdits aux forces de l’ordre, aux pompiers, aux médecins, etc. Aujourd’hui c’est la France qui devient interdite aux citoyens français, ils ne sont plus en sécurité nulle part ! Et ça ne fait que commencer…

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

lundi, 05 février 2018

Ouverture du procès du terroriste islamiste Salah Abdeslam en Belgique : « Je place ma confiance en Allah »

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

Par  le 05/02/2018

Le seul survivant des commandos djihadistes des attentats du 13 novembre a brisé son silence et invoqué l’islam lors de son procès lundi à Bruxelles.

Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos djihadistes qui ont attaqué Paris le 13 novembre 2015 et jugé lundi à Bruxelles dans un autre dossier, a refusé de répondre aux questions sur les faits qui lui sont reprochés, Mais il a toutefois pris la parole, dans un silence impressionnant, affirmant que ce silence ne faisait pas de lui « un criminel ».

« Mon silence ne fait pas de moi un criminel, c’est ma défense », a-t-il lancé au tribunal, avant d’évoquer Allah et à sa religion, l’islam. « C’est en mon Seigneur que je place ma confiance (…) Ce que je constate c’est que les musulmans sont jugés et traités de la pire des manières », a ajouté le Français d’origine marocaine. « Je n’ai pas peur de vous », a-t-il aussi déclaré. 

 

Europe 1 via fdesouche

vendredi, 10 novembre 2017

COMPTE-RENDU DU PROCÈS DE THOMAS JOLY À BEAUVAIS

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

Ce jeudi 9 novembre 2017 se tenait au tribunal correctionnel de Beauvais, le procès de Thomas Joly, accusé d’avoir mis en ligne sur son blog des photos « violentes » de nature à contrevenir à l’article 222-33-3 du Code Pénal qui sanctionne : « l’enregistrement et la diffusion d’images de violence portant atteinte volontaire à l’intégrité de la personne ».


Compte-rendu du procès de Thomas Joly à Beauvais

Il s’agissait en l’espèce des images de deux victimes du terrorisme islamique : James Wright Foley, décapité à Raqqa le 19 août 2014 et Hervé Cornara, décapité à Saint Quentin Fallavier en Isère le 26 juin 2015. 

Le président du Tribunal rappelle le chef d’accusation à l’encontre du prévenu puis donne la parole à Thomas Joly qui comparait libre, tout en ayant subi six heures de garde à vue le 19 février 2016 pour cette même affaire. 

Mais ce dernier n’a pas l’intention de se laisser intimider : il revendique haut et fort son engagement politique en qualité de secrétaire du Parti de la France (le PDF, parti créé par Carl Lang en 2009) auquel contribue son blog qui dénonce notamment le terrorisme islamique. Pour lui, toute cette procédure est le fruit du « politiquement correct ». Quant à la dénonciation à l’origine de la poursuite pénale, elle rappelle nous dit-il les heures les plus sombres de notre histoire… Ce à quoi le Président du Tribunal répond qu’on n’est pas ici dans le politiquement correct mais dans une salle d’audience, au pénal ! Ça commence très fort ! 

Thomas Joly précise que son blog n’est pas destiné aux mineurs et qu’il n’y a pas que les militants du Parti de la France, qui dénoncent le terrorisme islamique. Il évoque la diffusion massive de la photo du cadavre du petit Aylan Kurdi découvert sur une plage de Turquie le 2 septembre 2015 sans que personne ne saisisse les tribunaux en dépit du caractère émotionnel et violent de cette image, qui a fait le tour de la planète. 

« J’ai usé de ma liberté d’expression » dit-il, ce à quoi le juge répond que si la liberté d’expression est un droit fondamental, elle souffre aussi de certaines limites ! 

Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat de Thomas Joly et spécialiste de droit pénal, lui demande alors s’il a reçu une quelconque désapprobation de la part des familles des personnes décapitées, à propos de la diffusion de ces photos sur son blog. Réponse : « non, et si tel avait été le cas, j’aurais immédiatement réagi ! »

La parole est ensuite donnée au Procureur de la République. Il tente de prouver que l’infraction est constituée : pour lui, pas de doute sur la matérialité des faits, ni sur l’intention de diffuser des images violentes. Il y a bien volonté de choquer et de surcroît sur un site accessible à des mineurs ! Puis il ose opposer le travail d’information de Thomas Joly à celui de la « presse classique » qui elle « se conforme à la Loi » ! Quel euphémisme pour désigner les médias du système ! C’est oublier un peu vite ces vertueux journalistes qui n’ont pas hésité à passer en boucle les images du petit Aylan Kurdi dans le but de vendre à l’opinion publique européenne l’idée d’une ouverture totale des frontières et par voie de conséquence l’acceptation d’une immigration massive ! 

L’article de Loi 222-33-3 nous dit que « le présent article n’est pas applicable lorsque l’enregistrement ou la diffusion résulte de l’exercice normal d’une profession ayant pour objet d’informer le public ou est réalisé afin de servir de preuve en justice ». En clair, cela voudrait dire qu’il y aurait des « informateurs protégés »et d’autres qui ne le seraient pas, dans ce beau pays de France ! Bref, une liberté d’expression à géométrie variable que la Cour Européenne de Strasbourg n’apprécierait guère ! 

Le procureur demande deux mois de prison avec sursis et 4.000 € d’amende à Thomas Joly qui, selon lui, a « dépassé les limites ». Murmures dans la salle ! 

 
 

Maître Pierre-Marie Bonneau, du barreau de Toulouse commence alors sa plaidoirie. Pour lui, l’image à elle seule ne véhicule pas un « message » violent. L’image n’a été choisie que pour illustrer, par un banal « copier/coller » un article dont le contenu n’a curieusement jamais été évoqué au cours du procès. Il ne s’agit pas non plus d’un « enregistrement ». Un « message » selon Maître Bonneau est une construction intellectuelle qui ne se limite pas à la simple constatation de l’image. L’image n’est ici qu’une illustration destinée à parfaire une information. D’ailleurs ici l’image ne trahit pas le sens de l’article auquel elle est associée. 

Le blog, poursuit-il, s’adresse à des personnes qui s’intéressent à la politique. Il n’a pas vocation à attirer les mineurs. Ce n’est pas un blog de scoutisme destiné à la jeunesse ! De plus, les photos incriminées sont facilement accessibles au grand public et elles le sont encore aujourd’hui à l’heure du procès, ce que le lecteur pourra aisément vérifier, au moins en ce qui concerne celles d’Hervé Cornara (NDLC : j’ai recensé cinq sites en quelques clics permettant d’accéder à cette image). 

De plus, l’élément intentionnel n’est nullement démontré. Plusieurs arrêts de la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme), rappellent la nécessité, en matière de liberté d’expression, de prendre en compte la légitimité du but recherché : ici illustrer un article et non vouloir choquer en montrant du sang dégoulinant ! Faut-il préciser qu’aucune accusation d’incitation à la haine raciale n’a été engagée à l’encontre de M. Joly et que son casier judiciaire est parfaitement vide.
Pas de parties civiles à l’audience, ni de demandes de dommages et intérêts. On se demande alors bien qui sont les personnes lésées par les agissements de M. Joly ! 

En conclusion, Maître Bonneau invite les juges à ne pas se laisser aller dans ce genre de dérive consistant à détourner une procédure pour faire taire celui dont la parole ne plait pas. Il plaide donc la relaxe de son client. 

Thomas Joly reprend la parole en dernier, selon l’usage, pour expliquer que tous les partis politiques ont dit qu’on était en guerre contre le terrorisme et qu’il ne croyait pas avoir commis une infraction. 

Source : http://ripostelaique.com