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mercredi, 15 août 2018

Emmanuel Macron est-il un pervers ?

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

POSTÉ LE 14 AOÛT , 2018

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Plus le temps passe, et plus j’en viens à penser que le diagnostic posé par un psychiatre italien, Adriano Segatori, et énoncé dans une vidéo qui a beaucoup circulé, est pertinent.

Ce psychiatre n’a pas rencontré Emmanuel Macron – ce qui, en soi, pourrait susciter des réserves, dès lors que poser un diagnostic à distance risque d’être approximatif.

Mais il a analysé la vie, les propos et le comportement d’Emmanuel Macron, et ce qu’il a affirmé semble fondé.

Nul, en dehors des deux principaux intéressés, ne peut savoir exactement comment les choses se sont passées entre un adolescent de quinze ans et sa professeur de théâtre de trente-neuf ans.

Mais le fait est qu’il y a eu, de la part de la professeur de trente-neuf ans, la transgression d’un tabou, un piétinement de la déontologie de sa profession, une violation des règles éthiques les plus élémentaires et, légalement, un acte relevant du détournement de mineur.

Il y a également eu, de la part de l’adolescent de quinze ans, transgression d’un tabou et violation des règles éthiques.

Les choses étant survenues dans un établissement catholique et ayant, dans la ville de province concernée, fait scandale, et le scandale ayant été étouffé, Emmanuel Macron s’est dirigé vers sa vie d’adulte sur des bases particulières.

Ce qui s’est passé (et c’est, semble-t-il, le moins qu’on puisse dire), n’ayant pas plu à ses parents, il a, en outre, eu un comportement lui aussi particulier vis-à-vis de ses parents. Il a fait peu de cas de la famille qu’il a brisée et de l’immoralité de celle avec qui il a vécu depuis et qui, au vu de leur différence d’âge, n’a pu qu’être son initiatrice.

Le parcours ultérieur d’Emmanuel Macron est celui d’un arriviste sans scrupule, et son comportement pendant la présidence Hollande, pendant la campagne électorale, puis à l’Élysée, s’inscrit dans la continuité.

Il y a chez Emmanuel Macron les dimensions d’un être prêt à tout pour arriver à ses fins.

Le pire est que cela marche (tout au moins jusqu’à présent).

Il y a chez lui une volonté immature de séduire qui peut le conduire à des élans d’affection ridicules, mêlée à un cynisme qui le mène aisément à dire une chose et son contraire à une heure d’intervalle, et à mentir sans vergogne à tous ses interlocuteurs. À tel point que nul ne connaît sa pensée réelle, si tant est qu’il en ait une et qu’il sache ce qu’elle est.

Il y a aussi chez Emmanuel Ma­cron une arrogance qui peut le conduire à se penser très supérieur à ceux à qui il fait face, à les mépriser, et à les considérer comme tout juste utiles s’ils servent ses ambitions.

Il y a, en outre, chez lui une détestation de l’ordre établi (qui a pu lui faire dire que la culture française n’existait pas ou que la colonisation française avait été un crime contre l’humanité).

Cette détestation peut le con­duire à la provocation délibérée (la soirée « pédé » lors de la Fête de la musique, et la décision de faire jouer du Daft Punk à une fanfare militaire un 14 juillet se placent dans cette catégorie).

Cette détestation de l’ordre établi le conduit aussi à fréquenter des gens qui appartiennent davantage à la catégorie des voyous qu’à celle des gens que rencontre habituellement un Président respectueux de sa fonction.

Sa position fait que provocations et fréquentations douteuses restent impunies et conduisent facilement à d’autres provocations.

On peut citer dans ce registre la phrase demandant qu’on vienne le « chercher » dans un contexte où il sait pertinemment qu’il jouit de l’immunité.

Avoir imposé à l’Élysée un homme qui fait plutôt partie de ceux que policiers et gendarmes pourchassent, et avoir placé cet homme dans une position où il pouvait donner des ordres aux policiers et gendarmes a dû être pour lui, Macron, très jouissif.

Être parvenu à se faire élire Président en ayant les médias à ses pieds et en pouvant utiliser l’argent que des financiers ont mis à sa disposition pour détruire tous ses adversaires avait déjà été, sans doute, très jouissif.

Imposer sa volonté au peuple français dont il n’a que faire, et fréquenter la racaille en même temps que la jet-set peut lui donner l’impression d’être le roi du monde.

Vivre au vu de tous avec sa professeur et savoir qu’il n’aura pas d’enfant et pas de futur peut en faire un Néron des temps modernes. Où la France en sera-t-elle dans quatre ans ? Je laisse la question en suspens.

 

Source : les4verites

jeudi, 15 mars 2018

Déclarée irresponsable, Rachida qui a tué l’enseignante d’Albi ne sera pas jugée

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2018

Par  le 15/03/2018

 

 

La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse vient de rejeter la demande de la famille de Fabienne Terral-Novés, tuée d’un coup de couteau par la mère d’une de ses élèves de maternelle, le 4 juillet 2014 à Albi.

La chambre estime que la nouvelle demande d’expertise qui avait été formulée par Me Gil au nom de la famille de l’institutrice n’est pas nécessaire et a déclaré cette femme de 51 ans définitivement irresponsable. Cette décision s’accompagne d’une demande d’hospitalisation d’office qui doit être formulée par le préfet et de trois interdictions pour l’auteur du coup mortel : celle de se rendre dans le Tarn, celle de rencontrer la famille de la victime et enfin, l’interdiction de porter une arme.

Ces trois interdictions sont imposée par la chambre pour 20 ans. « C’est l’épilogue logique d’une affaire terrible. La décision ne surprendra personne puisque quatre collèges d’experts psychiatres s’étaient prononcés pour l’irresponsabilité pénale de cette mère en plein délire paranoïaque lors de faits », souligne Me Alexandre Martin qui défendait la mère de famille avec Me Pauline Godet. « Enfin cette femme va pouvoir quitter la prison d’arrêt pour être prise en charge et soignée dans une unité spécialisée ce qui est plus que nécessaire. »

vendredi, 14 octobre 2016

L'incroyable pactole du trafic de faux certificats médicaux

Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2016

Stéphane Sellami|13 octobre 2016, 

Paris (XIe), hier. La médecin a été interpellée lundi à son domicile du boulevard Voltaire, qui lui servait également de cabinet. LP/PHILIPPE DE POULPIQUET

Une psychiatre a vendu pendant des années des faux certificats médicaux à des sans-papiers. Un trafic qui aurait généré des millions d'euros.

Pour s'assurer un confortable train de vie et assouvir sa passion du jeu, une médecin-psychiatre est soupçonnée d'avoir monnayé pendant plusieurs années des certificats attestant des troubles psychiatriques à des étrangers sans papiers, leur permettant ainsi d'obtenir un titre de séjour provisoire pour raison médicale.

La praticienne peu scrupuleuse a été interpellée, lundi, au domicile qui lui sert aussi de cabinet, boulevard Voltaire dans le XIe arrondissement de Paris. Deux responsables d'association humanitaire ont également été arrêtés à Villejuif (Val-de-Marne) et Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par les enquêteurs de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Hier soir, les auditions des trois suspects étaient toujours en cours.

Plus de 100 patients par jour

Les policiers de la DRPP ont été mis sur sa piste au deuxième semestre 2015, après une dénonciation de l'agence régionale de santé (ARS). Selon nos informations, le docteur P., 68 ans, aurait été démarchée en 2012 par un président d'association d'aide aux étrangers, qui lui aurait proposé de délivrer des « certificats médicaux de complaisance », garantissant l'obtention d'un titre de séjour. « Il apparaît dans cette affaire que la psychiatre semble avoir été prise en main par ce président d'association, confie une source proche du dossier. Ce dernier est clairement suspecté de lui avoir ensuite envoyé des dizaines de ressortissants étrangers, sans papier. » La docteur recevait plus de 100 « patients » par jour, et chaque consultation était facturée près de 200 €. Les investigations ont établi que la psychiatre avait parfois déclaré jusqu'à 200 patients par jour alors qu'elle ne se trouvait même pas à son cabinet...

« Elle avait tellement de patients, venus de toute l'Ile-de-France, qu'ils faisaient la queue dans le hall de son immeuble, poursuit la même source. La question se pose de savoir comment les autorités médicales ne se sont pas aperçues plus tôt d'un dysfonctionnement. » Entendue, la sexagénaire a d'abord avancé des « erreurs d'enregistrement » provenant de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM), avant de reconnaître une partie des faits reprochés.

« Elle a quand même soutenu avoir agi dans un but humanitaire et non par appât du gain, révèle un proche de l'affaire. Elle a engrangé plusieurs millions d'euros et, surtout, creusé un peu plus le trou de la sécurité sociale. Plusieurs centaines d'étrangers sans titre ont ainsi pu obtenir des papiers provisoires après s'être vu délivrer des certificats de syndrome post-traumatique lié à un conflit armé, par exemple. »

Le docteur P. est soupçonnée d'avoir écoulé une partie de ses importants revenus en jouant au casino et en achetant des biens immobiliers. Plusieurs d'entre eux pourraient désormais faire l'objet d'une saisie par la plate-forme d'identification des avoirs criminels (Piac).

Source : leparisien