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mercredi, 03 octobre 2018

Le Québec élit un gouvernement nationaliste voulant réduire l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

 

INTERNATIONAL – Les Québécois ont porté pour la première fois au pouvoir lundi la Coalition Avenir Québec (CAQ), un parti nationaliste non indépendantiste qui souhaite réduire la taille de l’État et l’immigration, tournant la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu.

« Aujourd’hui on a marqué l’histoire, aujourd’hui il y a beaucoup de Québécois qui ont mis de côté un débat qui nous a divisés pendant 50 ans », soit la question de l’appartenance ou non du Québec au Canada, a lancé, triomphal, François Legault, Premier ministre désigné de la province, lors d’un discours à Québec.

Cet homme d’affaires multimillionnaire a promis « un esprit de rassemblement, pour gouverner pour tous les Québécois », et a dit vouloir « travailler pour un Québec fort au sein du Canada ».

La CAQ, formation créée en 2011 par Legault, disposera de la majorité absolue à l’Assemblée nationale québécoise, avec 74 députés sur 125 selon des résultats préliminaires. Dans le précédent Parlement, dissous fin août, elle ne comptait que 21 sièges.  (…)

La CAQ, qu’il a cofondée, promettait aux Québécois le « changement », la fermeté sur l’immigration, dont il veut réduire les seuils pour mieux intégrer les nouveaux arrivants, et une meilleure gestion des finances publiques.

Legault avait annoncé en campagne électorale vouloir, dès 2019, réduire de plus de 20% le nombre d’immigrants admis au Québec chaque année.

samedi, 21 octobre 2017

Québec – Vers le retrait du crucifix présent au Salon bleu de l’Assemblée nationale ?

Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2017

Ecrit parLéo Kersauzie

Le Journal du Québec nous apprend qu’après avoir adopté le projet de loi sur la neutralité religieuse, les élus de l’Assemblée nationale québécoise se questionnent maintenant sur le retrait du crucifix au Salon bleu.

Québec solidaire, un parti d’ayatollahs laïcistes, a présenté jeudi une motion proposant que «la question du déplacement du crucifix» soit débattue au Bureau de l’Assemblée nationale (BAN), sorte de conseil d’administration du parlement à Québec.

La proposition d’en débattre a reçu l’appui du Parti Québécois, de la Coalition Avenir Québec, ainsi que des députés indépendants Claude Surprenant et Martine Ouellet. Le gouvernement libéral n’a pas indiqué sa position, mais la motion reviendra sur le plancher du Salon bleu mardi prochain. 

Le sujet embarrasse les élus québécois. Ils savent que la population reste majoritairement attachée à la présence de ce crucifix. Du coup, certains parlent d’un «déplacement» du crucifix, qui serait exposé ailleurs pour son caractère… «patrimonial».

 

Source : medias-presse.info

lundi, 26 décembre 2016

Le Québec met sa diplomatie au service du lobby homosexuel et transgenre

Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2016

par 24 décembre 2016

Le Québec entend se distinguer sur le terrain diplomatique et annonce que sa « voix distincte » sera mise au service de la cause homosexuelle et transgenre !

Il y a un mois, au sommet de la Francophonie de Madagascar, Christine St-Pierre, ministre des Relations internationales du Québec, appelait ses homologues à s’attaquer à la « discrimination envers les personnes LGBT ».

Désormais, la défense des droits des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres fera officiellement partie intégrante de la politique étrangère québécoise et sera systématiquement évoquée lors des contacts diplomatiques malgré les tensions ou les malaises que cela suscite.

« Il y a des dossiers dans lesquels on veut avoir un leadership, et le dossier LGBT en est un. On va être proactifs», a déclaré la ministre, qui souhaite s’attaquer à la « résistance » de plusieurs États, notamment au sein de la Francophonie internationale, concernant l’inversion des normes en matière de mœurs.

« Il y a des pays qui vont nous dire qu’on se mêle de leurs politiques internes. C’est comme ça. Je n’ai pas peur de créer un malaise, on n’est pas agressifs, mais on l’affirme : nos valeurs démocratiques incluent les droits des LGBT. […] Ça va finir par rentrer. »

Contrairement à ce que l’on pourrait croire au vu du matraquage pro-LGBT des médias occidentaux, il existe encore une majorité de pays à travers le monde qui refusent le nouvel ordre sexuel mondial.

Et ces ingérences du Québec sont notamment très mal perçues par la plupart des pays africains qui considèrent l’homosexualité et la théorie du genre comme une « importation culturelle » de l’Occident.

« On se fait parfois répondre que, si on veut leur parler d’homosexualité, eux vont parler de polygamie et pourquoi pas d’excision », avoue un diplomate québécois.

Mais lors de la prochaine rencontre des ministres de la Francophonie, qui se déoulera en 2017 en Arménie, le Québec compte mener une véritable offensive de propagande pro-LGBT en s’entourant de « membres alliés », tels que la Belgique ou la France.

Par ailleurs, le gouvernement du Québec a décidé d’octroyer 300.000 $ aux organisateurs de Fierté Montréal (considérée comme la plus importante gay pride de la francophonie) afin de piloter la tenue d’une conférence internationale sur « la diversité sexuelle et la pluralité des genres dans la francophonie ».

L’impérialisme rime de plus en plus avec l’inversion des mœurs.

 

Source : medias-presse.info

lundi, 17 octobre 2016

Même au Québec, ils ne sont pas les bienvenus...

Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2016

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Des militants de la Fédération des Québécois de souche cliquez ici ont déployé des banderoles pour manifester leur hostilité à l'implantation de l'islam dans leur pays...

 

Source : synthesenationale