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jeudi, 22 juin 2017

La multinationale Starbucks annonce embaucher 2.500 réfugiés en Europe

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2017

21 juin 2017 par Pierrot

Starbucks est l’emblème de la multinationale mondialiste militante « made in USA ». Après la promotion du « mariage homosexuel », la suppression des références à la fête de Noël dans ses boutiques, la firme américaine explique vouloir offrir un point de chute aux clandestins. Soyons acteur de notre consommation , en évitant de donner notre argent à ce genre de fanatiques.

Mardi soir, l’enseigne fondée à Seattle a annoncé qu’elle allait embaucher 2.500 réfugiés en Europe pour travailler derrière ses comptoirs en France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Pays-Bas, Espagne et Grande-Bretagne.

A terme, 10.000 réfugiés travailleront pour Starbucks

Lire la suite : contre-info.com

vendredi, 05 mai 2017

Insertion par l'emploi pour mille réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2017

Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour

 

Mille réfugiés vont bénéficier d'ici février prochain d'un programme d'insertion associant accès au logement, apprentissage linguistique et formation professionnelle, aux termes d'un accord-cadre signé hier entre trois ministres et Pôle Emploi.

» Lire aussi - Le monde de l'entreprise continue de se mobiliser pour les réfugiés

Ce programme, inspiré d'une expérience menée en Ile-de-France et dans les Hauts-de-France sur 200 personnes, vise à "accompagner les réfugiés sur la voie de l'insertion" une fois qu'ils ont obtenu l'asile et à "faciliter leur sortie des dispositifs d'hébergement", selon un communiqué.

En effet, tant qu'ils sont demandeurs d'asile, les migrants trouvant une place dans les structures d'hébergement sont pris en charge avec logement et accompagnement social à la clé. Paradoxalement, le précieux statut de réfugié réduit cet encadrement en les faisant tomber dans le droit commun, avec pour ceux qui ont obtenu très vite le statut de réfugié des difficultés à trouver un travail, un logement... dans une langue qu'ils maîtrisent mal.

C'est pourquoi "le développement de parcours" d'insertion professionnelle "est indispensable", souligne l'accord cadre signé entre les ministres du Travail Myriam El Khomri, de l'Intérieur Matthias Fekl, du Logement Emmanuel Cosse, Pôle emploi, le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP) et l'Ofii (Office français d'immigration et d'intégration).

Outre l'hébergement et la restauration, les participants bénéficieront donc d'un apprentissage linguistique "intensif et tourné vers les métiers" (200 à 240 heures, comme tous les réfugiés), mais aussi d'un programme de construction d'un projet professionnel (400 heures environ) et pourront suivre une formation certifiante (450 heures minimum).

Étalé sur huit mois, le programme doit débuter en juin et les derniers bénéficiaires entreront dans le dispositif "avant la fin du mois de février 2018".

 

Source : lefigaro

vendredi, 21 avril 2017

Accor. 62 hôtels F1 vendus pour héberger des réfugiés

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2017

 

Le groupe AccorHotels s'apprête à céder 62 hôtels de sa chaîne F1 à une filiale de la Caisse des dépôts, afin de loger des sans-abris et des réfugiés. Les établissements de Brest, Quimper, Rennes et Nantes font partie de la liste.

D'un côté, AccorHotels, désireux de se séparer des hôtels vétustes et moins rentables de sa gamme hyper économique F1 pour réinjecter de l'argent dans la rénovation des établissements qu'il conserve. De l'autre, l'Etat, de plus en plus sollicité pour l'hébergement temporaire des publics en difficulté, et qui doit recourir de manière croissante à la réservation de nuitées hôtelières, avec des coûts qui explosent.

Ces deux besoins ont fini par se rejoindre. En mars dernier, la Caisse des dépôts a signé un accord avec le groupe hôtelier portant sur le rachat de 62 établissements en France, avec un potentiel de 6.000 places d'hébergement.

Les hôtels concernés seront affectés au Samu social via le groupe SNI, une filiale de la Caisse des dépôts qui regroupe plusieurs investisseurs. Moyennant quelques aménagements dont la réalisation de cuisines collectives, ils seront transformés en centres d'accueil social et d'hébergement d'urgence pour les sans-abris et les réfugiés. Leur gestion a été confiée à Adoma, opérateur historique des foyers de travailleurs migrants et filiale de la SNI.

 

Trois hôtels en Bretagne

Environ un tiers de ces hôtels sacrifiés par Accor sont situés en Ile-de-France. Le Grand Ouest, lui, perdra trois établissements en Bretagne, en périphérie des agglomérations de Brest (64 chambres à Kergaradec), Quimper (64 chambres à Gourvily), et Rennes, plus deux autres à Nantes et un au Mans.

La cession devrait être effective rapidement, et les nouveaux centres d'hébergement devraient être opérationnels progressivement à partir de la rentrée de septembre. Les négociations d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant les 393 emplois concernés ont démarré début avril, et doivent s'achever courant juin. Un plan de départs volontaires est ouvert et une cellule de reclassement a été mise en place au sein du groupe ainsi qu'en externe, chez Adoma.

Mais pour Gilles d'Arondel, le secrétaire général de FO Accor, le syndicat majoritaire au sein du groupe, cette dernière solution ne tient pas. « On n'est pas sur les mêmes métiers. Passer d'une activité commerciale à un travail social, quand on n'a pas la qualification, cela me paraît compliqué. C'est pourquoi notre priorité est la sauvegarde de l'emploi, avec des reclassements en interne dans d'autres établissements du groupe, à chaque fois que cela est possible ».

Salariés dans l'expectative

Pour l'heure, les principaux concernés avouent être dans l'expectative. « On n'a aucune date de fermeture, on ne sait quasiment rien », se désole ce salarié employé depuis huit ans dans l'hôtel F1 de Gourvily à Quimper, un établissement qui fonctionne avec sept salariés, comme celui de Brest où là aussi, les informations tardent à remonter.

 

Source : letelegramme

lundi, 17 avril 2017

La République tchèque n'a accueilli qu'une douzaine de réfugiés et n'en veut pas davantage

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2017

Des migrants
 

Prague refuse d’accueillir les 1 600 réfugiés définis par le quota de l’Union européenne et s'attend même à être visée par des sanctions de l’UE, a révélé le ministre tchèque de l’Intérieur.

La République tchèque n’a accueilli que 12 des 1 600 réfugiés définis par le quota qui lui a été alloué par Bruxelles et n’entend pas en accueillir plus, a déclaré le ministre tchèque de l’Intérieur, Milan Chovanec sur le site d’information Parlamentni listy. «Je pense qu’il n’est plus possible d'en accueillir», a-t-il déclaré.

Le ministre affirme être prêt à faire face à toutes les sanctions que peut imposer l’UE à son pays. «C’est au gouvernement d’évaluer si cela valait la peine d'être sanctionné ou non. A mon avis, c'est le cas. On ne peut pas laisser des gens entrer ici sans contrôle», a précisé Milan Chovanec.

En représailles, l’Union européenne pourra lancer des procédures à l’encontre la République tchèque en septembre, si le pays continue de refuser d’accueillir des réfugiés. La Hongrie et la Pologne risquent de faire face à des mesures similaires.

En mai 2016, la Commission européenne avait proposé de condamner les pays à une amende de 250 000 euros pour chaque migrant qu'ils refusent d'accueillir, contrevenant au quota qui leur a été alloué. Cette proposition a été dénoncée par la Hongrie qui l’a qualifiée d’«inacceptable».

Fervent opposant aux migrants

La République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie sont les pays qui s'opposent le plus aux quotas obligatoires de répartition des migrants établis par l’UE. En 2015, le président tchèque Milos Zeman avait décrit l’afflux de migrants venant d’Afrique et du Moyen-Orient comme «une invasion organisée».

L'année suivante, il avait déclaré que l’accueil des réfugiés exposerait son pays à risque d’un attentat. «Notre paysne peut pas se permettre de risquer des attaques terroristes comme celles qui ont été perpétrées en France et en Allemagne. Par l'accueil des migrants, nous créerions un bouillon de culture propice à des attaques terroristes sur le territoire de la République tchèque», avait-il annoncé.

Lire aussi : «L’intégration des communautés musulmanes en Europe est presqu’impossible», selon Milos Zeman

Le vice-Premier ministre tchèque, Andrej Babis, avait été encore plus franc en critiquant les quotas décidés par Bruxelles. «Après ce qui s’est passé en Europe, je dis clairement que je ne veux voir aucun réfugié en République tchèque, même temporairement», avait-il écrit dans un article publié sur le site www.expres.cz en 2016.

 

Source : francais.rt

samedi, 01 avril 2017

[Revue de presse] Les réfugiés : richesses pour l’Europe ?

Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2017

Paris Vox – 7 étudiantes de l’école européenne de droit de Toulouse ont décidé de réaliser une conférence le 1er avril prochain à Paris afin de « valoriser l’apport des réfugiés en Europe ».


Le programme de la soirée sera riche et constitué de deux parties.

  • 18h30 : Exposition du photographe NnoMan autour d’un Buffet convivial
    19h30 : Succession d’interventions ayant pour thème commun “les réfugiés, richesses pour l’Europe”.

Les intervenants seront :

  • Aref Sultani, membre du BAAM asso (bureaux d’aide aux migrants)
  • Vincent Fillola, membre d’Avocats Sans Frontières
  • Mr Touzeil-Divina, professeur agrégé de l’Université Toulouse Capitole

Afin de prouver l’apport et la richesse culturelle des migrants plusieurs intermèdes musicaux sont prévus avec des performances de rappeurs afghans et syriens. Une performance d’un violoniste aura lieu également.

Les étudiantes déplorent l’absence de femmes intervenantes pour intervenir sur la question des réfugiés, aussi nous leur conseillons une visite au centre de Migrants de La Chapelle dans le 18ème arrondissement de la capitale ou elles constateront que les femmes sont peu représentées dans les réfugiés à Paris. (Voir notre reportage : https://www.parisvox.info/2017/02/10/centre-daccueil-repo...)

A aucun moment, en revanche, les organisatrices ne déplorent l’absence de contradicteurs ou d’opposants à leur vision angélique de l’immigration.

Soulignons que cet événement a été financé par des internautes https://www.leetchi.com/c/projet-de-prenons-la-parole .

L’événement est présenté ici : https://www.facebook.com/RefugeesESL/

 

Source : infos-toulouse