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lundi, 27 août 2018

Hanovre (All.) : En mars, la jeune Vivianne avait été poignardée par un Syrien de 17 ans. Lors de son procès, il déclare que « son comportement est conforme à sa religion » (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 27 août 2018

Par  le 25/08/2018

 

(25/08/18)

Hanovre – Cinq mois après une terrible attaque au couteau, Vivianne apercevra au procès l’adolescent syrien qui l’a presque tuée pour rien. Elle est tendue, nerveuse, mais déterminée : « Je veux le regarder dans les yeux. »

L’attaque avait laissé la jeune femme de 24 ans avec des côtes cassées, des dommages au foie, à l’estomac, au rein, à l’intestin et au pancréas et elle était tombée dans le coma.

Au procès, Abdullah A. qui se présente comme un réfugié modèle, adhère à la déclaration écrite faite par son avocat avant le procès.

Extrait: « L’accusé le sait de par sa culture, les conflits se règlent au couteau. Il décrit les coutumes de chez lui ainsi. Si on se fait insulter, on peut poignarder. Dans les cas graves, on peut tuer. » Et: « il déclare que son comportement est conforme aux exigences religieuses et ne comprend pas pourquoi il doit être détenu. »

Bild

Merci à Jean Baptiste Moquelin


(29/03/18)

Elle a été brutalement poignardée devant un supermarché par un migrant syrien de 17 ans et placée dans un coma artificiel pendant des jours. La jeune Vivianne K. s’est réveillée – et ses parents veulent attirer l’attention sur cette terrible agression.

Les parents de Vivianne ont diffusé une photo montrant la jeune femme dans son lit à l’unité de soins intensifs, car bien qu’elle ait survécu à l’attaque, elle a encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir se remettre complètement.

Les parents ont commenté la photo : «Nous ne voulons rien de plus que le rétablissement de notre fille. Mais tout le monde devrait aussi voir ce qui lui est arrivé.»

TZ.de


(26/03/18)

Une femme de 24 ans est entre la vie et la mort après avoir été la victime d’un groupe de réfugiés syriens près de Hanovre, en Allemagne.

La femme et un ami avaient eu une altercation avec deux garçons, âgés de 13 et 14 ans, dans un supermarché de la petite ville de Burgwedel, près de Hanovre, samedi soir.

Sur le chemin du retour, la jeune femme et son ami sont de nouveau tombés sur ces jeunes qui ont été rejoints par un adolescent de 17 ans.

La jeune femme a été poignardée par le Syrien de 17 ans.

Les trois adolescents ont fui la scène, mais ils ont vite été attrapés par la police.

Le migrant de 17 ans a été mis en examen pour tentative de meurtre.

 

Daily Mail via fdesouche

mardi, 17 avril 2018

Trèbes : la « dissimulation islamique » (taqiya) en première ligne ?

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2018

Trèbes : la « dissimulation islamique » (taqiya) en première ligne ?

Trèbes : la « dissimulation islamique » (taqiya) en première ligne ?

Par Julius Muzart, ancien haut fonctionnaire (ER), enseignant en droit public, essayiste ♦ A Trèbes, comme partout où s’exprime l’islam, la pratique de la « dissimulation islamique »  (la taqiya) a tourné à plein régime ces derniers temps. Quelques jours après les attentats,  l’imam de la mosquée Essalam de Carcassonne, déclarait, en arabe : « il aurait fallu lui [Radouane Lakdim] enseigner les vraies valeurs de la religion, lui enseigner le coran. Il aurait fallu lui expliquer ce que signifie le djihad dans l’islam, le vrai, celui du messager de Dieu ».


L’islam, une religion de paix ?

Accordons à cet imam le bénéfice du doute, et supposons qu’il croie vraiment à ce qu’il dit. Dans ce cas, deux conclusions s’imposent.

D’abord, c’est que Monsieur l’imam devrait se replonger dans le coran : il semble avoir oublié une partie de ce qui s’y trouve. En toutes lettres et sans ambiguïté.
Ensuite, c’est que pour ce musulman pieux mais « de base », la Taqiya islamique est devenue une seconde nature. En quelque sorte, il pratique la dissimulation islamique comme il respire.

Il faudrait qu’enfin, nous autres, les infidèles, les cibles élues, nous prenions clairement conscience de la manipulation que nous subissons massivement à propos de l’Islam. Manipulation qui constitue, au-delà des actions meurtrières, l’autre moitié de l’arsenal guerrier de l’islam conquérant.

Et que nous rappelions, inlassablement les réalités :

  • Non, l’islam n’est pas, n’a jamais été une religion de paix. Il s’en défend, au contraire.
  • Non, la « guerre sainte n’est pas, n’a jamais été un combat spirituel, encore moins un combat du croyant contre lui-même.
  • Non, il ne s’agit pas (même pas !) d’une question d’interprétation, quoi qu’en disent les porte-voix de la Taqiya.

Ces réalités, elles ne sont pas extraites de sources exclusives ni des confidences rares d’un expert.  Elles sont à la disposition de tout un chacun sur la toile, pour peu qu’on veuille bien se reporter à un des innombrables sites de propagation de l’Islam.  Ceux qui s’adressent aux fidèles, et qui le font sans la fausse pudeur de nos media sidérés.

Toutes les informations ci-dessous sont puisées à ces « bonnes sources ». Le djihad, c’est bien la guerre armée contre les incroyants et les infidèles. C’est, en toutes lettres ce que dit le Coran. Nous allons y revenir.

Qu’est-ce que la « taqiya » ?

Mais d’abord, cette Taqiya, en quoi consiste-t-elle ?

Là encore il faut aller à la « bonne » source : le Livre saint lui-même.

Citations :

Sourate 3, verset 28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».

Sourate 13, verset 42 « la ruse appartient à Allah, en totalité »

Sourate 8, verset 30 : (Allah) « est le plus habile à fomenter un complot »

En d’autres termes, le livre saint lui-même, non seulement admet, mais préconise la dissimulation et la ruse aux musulmans qui se trouvent en situation hostile, c’est-à-dire sur le territoire des mécréants ( le dâr el harb, c’est-à-dire ni plus ni moins que « le « territoire de la guerre »).

Et au-delà du Livre saint, les prescriptions de recours à la Taqiya, émanant des  autorités de l’islam abondent.

La guerre sainte

Ceci étant posé, venons-en à ce que dit vraiment le Coran lorsqu’il aborde la guerre sainte et plus généralement le combat à mener contre les infidèles.

Une des escroqueries essentielles ( et ordinaires) de la propagande islamiste vise à faire croire que, quand l’islam parle de « guerre sainte », c’est d’un combat spirituel pour la propagation de la parole divine qu’il s’agit. Il n’y a rien de tel dans l’islam, et d’ailleurs les musulmans, en général, n’y croient pas.

Le djihad comme combat spirituel, c’est au départ une idée très minoritaire (et très persécutée !) au sein de l’islam, reprise notamment par les « soufis ». Cette idée a été instrumentalisée plus récemment par l’islam de combat (et ses collaborateurs occidentaux) comme blague à servir aux idiots utiles qui nous abreuvent.

Et les « intellectuels commentateurs » de s’en donner à cœur joie sur la question de l’interprétation du Coran. C’est à qui ferait le plus subtil.

Or, lorsqu’il s’agit de savoir ce que dit le Coran sur la guerre sainte, il n’est nul besoin d’interprétation, il suffit de lire.

Nous citerons donc mot à mot ( précisons pour les subtils qu’on peut faire le même exercice en arabe, mais ce n’est pas le sujet).

Sourate 2

Al-baqarah (La vache)

  1. Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n’aime pas les transgresseurs!
  2. Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association[1] est plus grave que le meurtre

Sourate 4

An-nisa (Les femmes)

  1. Ô les croyants! Prenez vos précautions et partez en expédition par détachements ou en masse.
  2. Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu’on les pousse vers l’Association, (l’idolâtrie) ils y retombent en masse. (Par conséquent,) s’ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors saisissez-les et tuez les où que vous les trouviez.

Sourate 5

Al-ma-idah (La table servie)

  1. 33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées[2],

Sourate 9

Al-tawbah (Le désaveu ou Le repentir)

  1. 5. Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade
  2. Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d’un châtiment douloureux[3] et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent .
  3. Légers ou lourds, lancez-vous au combat, et luttez avec vos biens et vos personnes[4]dans le sentier d’Allah . »

Fin de citation.

Il faut toute la rouerie de spécialistes de la Taqiya pour affirmer sans rire que ces versets soient sujets à interprétation ;  il faut toute la naïveté, et toute l’ignorance des journalistes occidentaux pour y croire.

Une interprétation salafiste et une interprétation douce ?

Allons un cran plus loin, et revenons sur « l’interprétation ».
Depuis quelques années, on farcit les têtes occidentales avec la distinction entre les « salafistes » et « les autres » Les salafistes d’où viendrait tout le mal parce qu’ils seraient les tenants de l’interprétation  littérale du Coran, celle des « anciens » (salàf).
On en a déduit que, face à ces salafistes bloqués, il y avait en quelque sorte des « libéraux »… Il faut quitter d’urgence cette illusion. Ceux qui se différencient des salàfs, qui sont désignés sous le vocable de « successeurs » (ou « khalàfs ») ne se distinguent des premiers que par des nuances.

Sur l’essentiel de la question d’interprétation, ils se rejoignent pour affirmer, en chœur, que le livre est écrit « dans une langue arabe très claire », et qu’il ne peut pas comporter de contradiction. S’il se trouve (par exception) des versets sujets à interprétation, ils doivent être interprétés par référence aux versets sans équivoque.

Bref : ne cherchez pas la difficulté, le Livre est clair. La lecture des sites de propagation est claire ; et il y a bien lieu de lire les versets cités plus haut dans toute leur clarté. Il est certain qu’un certain nombre de musulmans aimeraient beaucoup qu’il n’en aille pas ainsi. Qui aimeraient beaucoup ne pas vivre en permanence sous la menace d’être taxés d’impiété ou, pire encore, d’apostasie. D’exprimer, le cas échéant, leur désaveu des attentats. Pourquoi croit-on qu’aucune manifestation de ce désaveu ne se soit organisée en France ? Parce que, pour ceux qui n’approuvaient pas (il s’en trouve), pas question de le manifester publiquement, le risque était – réellement – trop grand. Bref de sortir, eux et leur famille, de la terreur que font régner les imams de l’ordre moral. Prompts à rappeler que les « prescriptions » qu’ils appliquent sont issues, clairement, de la parole de Dieu, éternelle et incréée

Et c’est ainsi que s’impose et s’étend, à Carcassonne comme partout, la taqiya.

Julius Muzart
14/04/2018

[1] « L’association », c’est le christianisme. Les chrétiens sont désignés comme « associateurs » parcequ’ils proclament le dogme de la Sainte Trinité. Pour les musulmans, c’est une hérésie grave car ils « associent » le Fils et le Saint Esprit à Dieu le père, alors « qu’il n’y a qu’un seul Dieu »

[2]  Pour une « guerre spirituelle », cette précision de détail est curieuse :  s’agissant des modalités de conduite de cette guerre, le Coran, descend assez loin dans le détail physique des châtiments à appliquer aux mécréants.

[3] Ici, la menace de châtiment contre ceux qui ne combattent pas se fait plus directe et plus générale : ne pas combattre n’est pas seulement être moindre en dignité : c’est un péché qui expose à, « un châtiment douloureux »

[4] Et une pierre de plus dans le jardin de l’interprétation pacifique : la parole de Dieu, éternelle et incréée ( c’est ainsi que les musulmans pieux considèrent le coran) est explicite : luttez avec vos biens et avec vos personnes. C’est d’un investissement physique qui est demandé. Et pourquoi préciser « légers ou lourds » s’il ne s’agissait pas d’une confrontation physique ?

Correspondance Polémia – 06/04/2018

Crédit photo : Prière dans une mosquée australienne – Par Dnalyensid [CC BY-SA 3.0]

 

Source : polemia

lundi, 23 octobre 2017

La religion est de plus en plus souvent source de conflits en entreprise

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2017

  

Si le fait religieux au travail progresse peu cette année, par rapport au boom enregistré entre 2012 et 2016, il est de plus en plus souvent source de vives tensions entre salariés. Le point en graphiques.

Demande d’absence pour cause de fête religieuse, port du voile, d’une kippa ou bien d’une croix, salariés qui prient pendant leur pause… En 2017, 65% des managers français ont observé des manifestations de religiosité en entreprise, dont un tiers de manière régulière.

Si le fait religieux au travail progresse peu cette année, par rapport au boom enregistré entre 2012 et 2016, il est de plus en plus souvent source de vives tensions entre salariés, puisqu’il gêne désormais 21% d’entre eux, contre 8% en 2015.

Source : L’Express via fdesouche

 

jeudi, 01 juin 2017

L’éducation nationale se plie en 4 pour les élèves musulmans

Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2017

1 juin 2017 par Lionel

L’éducation nationale, normalement laïque et indifférente aux religions se plie en réalité en 4 pour les étudiants musulmans. Pour preuve, ce courrier reçu par une mère d’élève dont le fils, pensionnaire, a demandé de pratiquer le jeûne du ramadan.

 

Source : contre-info

jeudi, 22 septembre 2016

La religion de plus en plus présente en entreprise

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

Par lefigaro.frMis à jour Publié

 

 

VIDÉO - Demande d'absence, aménagement du temps de travail, prières… Selon une étude, 65% des salariés disent avoir observé une progression du fait religieux dans l'entreprise.

La religion se fait une place de plus en plus grande au sein de l'entreprise. C'est ce qui ressort d'une enquête réalisée entre avril et juin 2016 par l'Institut Randstad et l'Observatoire du Fait religieux en entreprise (OFRE), dévoilée ce jeudi. Ainsi 65% des salariés disent avoir observé des manifestations du fait religieux dans l'entreprise, contre 50% en 2015.

Selon les auteurs de cette étude, cette nette progression témoigne du fait que «la présence du fait religieux s'affirme» et «se banalise» dans les entreprises, mais «la plupart du temps sans que cela pose problème». Même si l'Islam est souvent cité, toutes les religions sont concernées, assure l'étude. Dans 91% des cas, ces convictions religieuses s'expriment par des requêtes et pratiques personnelles comme les demandes d'absence pour une fête religieuse ou d'aménagement du temps de travail (planning, horaires), le port ostentatoire de signes religieux et les prières pendant les pauses. «C'est la majorité des cas et ils n'entravent pas le travail», explique Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l'OFRE.

En revanche, certains cas, minoritaires, sont conflictuels. L'étude chiffre ces cas à 9% du total des faits observés en 2016, contre 6% en 2015, 3% en 2014 et 2% en 2013. Parmi les situations sources de conflit figurent le prosélytisme, le refus de réaliser certaines tâches, de travailler avec une femme ou sous ses ordres ou encore la demande de ne travailler qu'avec des coreligionnaires… Ces cas seraient concentrés dans certains secteurs de l'économie à la main-d'œuvre peu qualifiée (équipementiers automobiles, BTP, traitement des déchets, grande distribution...) et dans les zones géographiques périurbaines.

Sur 48% des managers confrontés à la question de l'expression des convictions religieuses au travail, ils sont 14% à avoir dû faire face à un fait conflictuel en 2016, contre 12% en 2015, selon l'étude. Les encadrants de terrain semblent cependant mieux armés pour faire face aux situations ayant trait au fait religieux, avec notamment une meilleure connaissance du cadre légal. «Ils ont plus de repères, font bien la différence entre ce qui relève du radicalisme religieux et de demandes ayant trait à leur savoir managerial classique», explique l'universitaire.

«Les salariés se regroupent pour imposer leurs prières pendant le travail, ils s'approprient des lieux comme salles de prière, font pression sur le manager en l'accusant d'islamophobie... C'est à prendre très au sérieux car ce n'est plus une question de comportement, c'est une remise en cause de la loi républicaine et il faut être très ferme», assure Lionel Honoré. Pour lui, «l'entreprise a besoin d'actes forts politiques en amont».

Pour les salariés interrogés, pas question toutefois d'imposer une loi sur la religion au travail. Plus de 60% des répondants y sont opposés. Alors que la loi travail prévoit que le règlement intérieur des entreprises puisse «contenir des dispositions inscrivant le principe de neutralité et restreignant la manifestation des convictions des salariés» sous certaines conditions, 65% des personnes interrogées y sont opposées. Elles «ne souhaitent pas que l'entreprise impose à ses salariés la neutralité religieuse notamment par l'intermédiaire d'un règlement intérieur». «Les personnes interrogées sont ouvertes à des réponses pragmatiques aux demandes des salariés ayant une dimension religieuse, mais non à ce que l'entreprise s'organise en fonction des prescriptions religieuses», commentent les auteurs.

Par ailleurs, 80% des personnes interrogées «connaissent en général la religion de leurs collègues» et 82% n'en sont «pas gênées». Néanmoins, la «gêne est en nette hausse: 18% contre 8% en 2015», selon l'étude.

 

Source : lefigaro