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samedi, 09 juin 2018

Dans Rivarol de cette semaine : un article sur le livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance"

Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2018

1a422e_a782e68f61494665ba2360dabd85d104~mv2.pngDans un livre d’entretiens avec Jean-François Touzé, Un chemin de résistance, Carl Lang raconte ces quarante années d’engagement politique, trente ans au Front national de Jean-Marie Le Pen (1978-2008) et près de dix ans à la tête du Parti de la France. Dans le cadre d’un dialogue sincère et à coeur ouvert, l’ancien secrétaire général du Front national expose le sens de son engagementet réaffirme saferme volonté de faire renaître avec d’autres une droite nationale, sociale et populaire authentique.

Carl Lang explique que s’il a rejoint le Front national, mouvement alors jeune et groupusculaire, tandis qu’il avait à peine vingt ans, c’était essentiellement par anticommunisme et par patriotisme, par rejet du marxisme si prégnant alors à l’école, à l’université, dans les esprits et par amour de la nation et des valeurs et principes de la droite authentique : le respect du sacré et des traditions, la défense de la famille, l’amour de la patrie, la promotion des libertés : liberté de l’esprit et libertés économiques, le sens des responsabilités.

Carl Lang raconte en détails, de manière vivante et passionnante, ses trente années d’engagement au FN, dont près de vingt à de très hautes responsabilités, au secrétariat général et à la délégation générale de 1988 à 1995, puis de 1998 à 2005. Il relate tous les combats mémorables menés au côté de Jean-Marie Le Pen, combats électoraux bien sûr, mais aussi prises de positions politiques lucides et courageuses contre la guerre du Golfe en 1990-1991, contre le traité de Maastricht en 1992 et contre la Constitution européenne en 2005.

Le président du Parti de la France évoque les tensions montantes avec Marine Le Pen à partir de son émergence médiatique en 2002. Il rappelle qu’en tant que directrice stratégique de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2007, elle avait imposé des choix aberrants comme le discours de Valmy et celui sur la dalle d’Argenteuil, ainsi que la Beurette en string sur une affiche. Et Carl Lang de préciser fort justement : « Cette orientation chevènementiste est bien antérieure à l’arrivée de Florian Philippot au Front national. […] Dans Le Figaro du 12 décembre 2006, Marine Le Pen n’hésitait pas à déclarer : “la candidature de rassemblement du peuple français, débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou mêmes politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen”. Voilà une phrase qui résume à elle seule ce que pense Madame Le Pen. […] Aujourd’hui je me demande dans quelle mesure elle ne souhaitait pas l’échec de son père. »

Carl Lang relaye également la façon dont il a été suspendu du FN en 2008 car il n’acceptait pas d’être numéro deux de la liste FN dans le Nord-Ouest pour les européennes de 2009 derrière Marine Le Pen car s’effacer derrière elle, c’était accepter son positionnement politique et stratégique et valider le fait qu’elle avait vocation à succéder à son père à la tête du FN. Sa suspension a conduit Lang et ses amis à fonder début 2009 le Parti de la France qui, bien que modeste, sans argent et sans relais médiatique, entend rester fidèleaux principes, aux valeurs et aux convictions de la droite nationale. L’infâme exclusion de Jean-Marie Le Pen, les purges successives, l’abandon du nom Front national et des fondamentaux prouvent que l’analyse de Carl Lang, comme d’ailleurs celle de RIVAROL, sur Marine Le Pen était pertinente.

Le calamiteux débat du second tour de la présidentielle de 2017 qui a fait honte à tous les nationaux n’ayant pas un QI d’huîtres et le septennat désastreux de liquidation du FN montrent la lucidité de tous les anti-marinistes historiques. Ils étaient relativement peu nombreux, ils ont été traînés dans la boue, traités de tous les noms, mais ils avaient vu juste.

JB

 

Source : synthesenationale

mardi, 01 mars 2016

65 ANS DE RIVAROL – BIENVENUE AU BANQUET

 

65 ANS DE RIVAROL – BIENVENUE AU BANQUET

 

65 ANS DE RIVAROL – BIENVENUE AU GRAND BANQUET

 

Scoop : Louis Aliot absent du grand banquet :-)

Que du beau monde ! Quand je regarde la vidéo et que je découvre les noms des «grosses pointures» de la Droite Nationale qui participeront à ce banquet, je ne peux m’empêcher de me remémorer les propos tenus, à l’automne 2015, à Montpellier, par  Louis Aliot auprès d’un journaliste du Midi Libre.
A travers ses propos qui nous ont été rapportés par le dit journaliste, « Loulou la Purge » menaçait de dénoncer publiquement certains colistiers de la liste Martinez aux dernières Elections Régionales, coupables à ses yeux d’être des «adorateurs de Rivarol» (sic) avec tous les sous-entendus que, dans sa bouche, cela pouvait signifier.

Un vice-président…..de rien, qui sans Marine n’est rien, et qui se permet de porter un jugement de mépris et de calomnie à l’égard des nationaux qui aiment lire «Rivarol». L’individu en question oublie que ces gens là, et particulièrement ceux cités dans la vidéo, ont individuellement bien plus de talent et de mérite qu’il n’en a jamais eu, et qu’il n’en aura jamais.

 

Source : http://www.lefanaldubarcares.com/

samedi, 21 juin 2014

La digestion de Marine Le Pen (par François-Xavier Rochette)

Publié par Guy Jovelin

Marine Le Pen est une petite cachotière ; elle nous lit en secret à Perpignan, à Montretout, à l’arrière de son bolide, sous serre horticole, ou dans sa chambre à coucher en compagnie de son Louis Aliot d’ascendance sépharade. Elle lit RIVAROL, elle n’en rate pas une ligne, parce qu’elle ne néglige aucune source argumentaire : non seulement elle veut apparaître comme la princesse du logos à l’instar de son pire ami Alain Soral qui travaille indirectement pour elle avec son association antiraciste Egalité et Réconciliation, mais elle veut surtout anticiper, avec une touchante abnégation, les attaques du gros média prêt à enclencher la phase 2 de l’opération Marine. Elle lit RIVAROL, elle nous lit, c’est son plus grand secret. Sa raideur soudaine face aux journalistes du Système découle en tout cas d’une croyance toute nouvelle qui pourrait bel et bien devenir réalité, comme nous le prévoyons depuis des années.  A quoi rime en effet cette blitzkrieg contre le microcosme journalistique qui l’a, hier pourtant, fait naître ?  Avec ce message laissant dégager une grande fébrilité dans le camp de Marine Le Pen : Ne venez pas nous chercher des noises, des poux dans la tête ou des morpions ailleurs ! La vie privée des cadres et militants frontistes n’intéresse  pas la presse, dégagez ! Ne jouez pas au plus malin avec nous, ou vous en subirez les conséquences ! Œil pour Œil, dent pour dent, comme dirait Jean-Richard Sulzer. Chaque journaliste traitant de la thématique frontiste, mariniste et marinière, sera ausculté à la loupe selon un article du Figaro qui relaie les propos très violents (à propos des journaleux) du chef de cabinet de Marine Le Pen, Philippe Martel (qui n’est autre qu’un ancien collaborateur d’Alain Juppé, ce qui en dit long sur les fanfaronnades du bonhomme). Oublié Christophe Forcari de Libération qui évoquait constamment dans ses papiers la fille de JMLP au milieu des années 2000. La dédiabolisation de Marine par ci, la dédiabolisation de Marine par là, les restaurants et les coups avec icelle, les rencontres très professionnelles avec l’homme à la face de nain Bruno Bilde, tous ces vomis conjugués des mignons et des tâcherons contre la vieille extrême-droite homophobe au profit de la nouvelle génération, ouverte, plus encline à courber l’échine rapidement devant tout ce qui brille. Nous comprenons bien que, dans un premier temps, le Système avait tout intérêt à promouvoir les médiocres du parti lepéniste et les individus équivoques, les mous, les professionnels sans valeur, les libéraux, les sodomites liés dans une macédoine répugnante à une communauté pour qui la race et la nation n’ont pas plus d’importance qu’un préservatif usagé. Le Système a définitivement neutralisé le FN lorsqu’il a décidé d’épurer carrément ses membres par le biais de la Le Pen, de son nième compagnon Aliot, de Jean-Richard Sulzer, l’Israélite crépu du mouvement, de Briois, du bègue Bilde, puis de Philippot, l’homme à la vie privée si privée et ancien élève particulier de Paul-Marie Coûteaux. Le Système n’avait qu’à mettre en avant, incessamment, dans ses télés, dans ses radios, dans ses journaux, dans ses magazines, sur ses sites Internet, la nouvelle patronne de l’extrême-droite française pour la couronner de fait, et cela sans escompter sur la moindre contribution de son harem de mignons et de gitons.  Séquelle que l’Engeance exposa dans ses media après seulement la consécration de la benjamine des filles Le Pen. Comme si cette tribu devait contribuer par son existence même à la légitimation d’une certaine évolution sociétale. En quelques années, l’oligarchie est donc parvenue à diluer la doctrine nationaliste, à stariser celle qui en est la première responsable, à asseoir une nouvelle représentation de nationaux sans feu mais à l’esprit comptable, à valider l’immigration installée et l’avortement industriel derrière un programme patriotique minimaliste. Jérôme Bourbon l’écrivait la semaine dernière : « Disons-le franchement, si c’est pour maintenir l’enseignement de la Shoah à l’école, conserver les lois Pleven et Gayssot, l’avortement libre, le PACS et le mariage homosexuel, garder en France les millions d’immigrés qui occupent le pays, se soumettre aux desiderata du CRIF, conduire une politique résolument laïciste, maintenir un niveau insupportable de prélèvements obligatoires, ne pas réduire fortement la violence et le chômage, cela ne présente aucun intérêt. » Nous nous rendons également compte que l’évolution du discours tend chaque jour davantage vers cette normalisation systémique intégrale.  Le seul talent des commissaires politiques du FN était de « laisser faire », ou de dédramatiser au sein du parti le démantèlement idéologique de sa ligne programmatique.

Cependant la comédie démocratique ne peut nourrir qu’un nombre limité d’acteurs professionnels. Il n’est donc pas sûr que les protagonistes des partis institutionnalisés acceptent sans combattre la venue de ces nouveaux fonctionnaires de notre indigénat. Et, malgré tout, la prise du pouvoir par Marine et ses gugusses nous apparaît bien improbable, et ce n’est pas ces 25% des votants aux dernières Européennes qui nous feront changer d’avis. Car, voilà, l’étape du Scandale ne fait que commencer.

Le désenchantement charismatique par le scandale

Nous l’avons maintes fois répété. Un « outsider » politique n’a pas fait le plus dur dans sa tentative d’accès au pouvoir tant qu’il n’a pas franchi victorieux la phase de scandales que lui concoctent ses opposants. A plusieurs reprises, nous avons en effet évoqué dans RIVAROL ce que nous appelons à propos l’expérience boulangiste, moment historique pendant lequel les forces républicaines ont atomisé l’image du général Boulanger qui avait profité jusque là d’une popularité formidable. C’est alors la première fois, en cette fin du dix-neuvième siècle, que l’oligarchie sous masque démocratique utilisait le scandale pour abattre un concurrent gênant. L’opération « Marine Le Pen » va-t-elle connaître prochainement sa phase 2, celle où le media écorchera jusqu’au sang l’image de l’héritière de la famille bretonne ? La une de Closer du 30 mai dernier évoquant un couple Le Pen-Aliot qui battrait de l’aile ( ?) et la réaction fulgurante des intéressés pratiquant (ce qu’on appelle) un selfie d’un flasque baiser pratiqué entre deux tas de terreau dans une serre horticole et balancé impudiquement sur le réseau social Twitter afin de couper court à l’indicible rumeur témoignent peut-être de l’avènement de l’étape numéro 2. Les journalistes affirment voir là l’indice d’une inévitable « pipolisation » de Marine Le Pen qui fait désormais partie de la famille politicienne française. Cette dernière sait bien, parce qu’elle nous a lu, que cet argument n’est que le prétexte à son étrillage médiatique qui vient. Elle est en alerte et prête à bondir sur tous les journalistes qui tenteraient de salir son image de femme rebelle et virile. Nous savons le gros media ingrat envers ses chouchous d’hier et d’aujourd’hui. Surtout lorsque leurs petites vedettes sont des acteurs du microcosme politique. Valorisées, glorifiées un temps au nom d’une stratégie hermétique pour le commun des mortels, les petites stars seront ensuite vilipendées  dans le respect de l’agenda de cette même stratégie. Mais cette sale histoire de couple qui sentirait le gaz constitue-t-elle vraiment l’amorce de la déflagration tant redoutée par Marine Le Pen ? Nous en sommes encore, de notre côté, au stade des conjectures tant le Système manie l’art de la diversion avec maestria.

Les experts la veulent enlisée

Elles sont pour le moins éloquentes ces multiples déclarations bienveillantes à l’égard du nouveau fn émises par des antinationalistes notoires. A l’instar du politologue spécialiste de l’Islam, Olivier Roy, qui se félicite de l’évolution doctrinale de la PME lepéniste qui s’inspirerait d’une sorte de nouvelle droite. « Elle cesse notamment d’être conservatrice sur les questions de famille et de sexualité. Le Front national compte aujourd’hui plus de partisans du mariage homosexuel parmi ses électeurs que l’UMP, si l’on en croit les derniers sondages », répond pour Le Monde  (30 mai) Olivier Roy à Nicolas Truong. Plus loin, cet expert en Mahométans et en immigration bienheureuse utilise un discours d’une incroyable ironie avant de conclure avec une pointe de mauvaise foi lorsqu’il évoque la nouvelle situation politique des banlieues. « Le passage à droite de la Seine-Saint-Denis et du quartier nord de Marseille est fascinant (sic). Il y a deux explications, osent notre cosmopolite de l’intérieur : ou ce sont les jeunes Blancs qui votent à droite, ce qui suppose qu’ils sont majoritaires dans les quartiers et qu’ils ne les ont pas quittés, ou bien ce sont des secondes générations d’immigrés qui votent Front national, ce qui prouverait que l’intégration fonctionne. » De qui se moque-t-il ce xénophile ? Il serait bien évidemment idiot de croire l’une ou l’autre des causes avancées par l’universitaire immigrationniste ! Pourquoi des jeunes maghrébins votent-ils en nombre pour Le Pen ? En premier lieu parce que le FN présente de plus en plus d’allogènes comme candidats frontistes pendant les élections (c’est le cas en Région parisienne), et les cousins votent pour les cousins. Mais la raison principale réside dans le fait que les beurs et enfants de beurs et beurettes se fichent comme de leur première boulette de shit des patriotes en carton pâte représentés par une famille de professionnels des projecteurs. Le vote FN d’origine maghrébine et black constitue en réalité une « grosse quenelle » adressée à toute la France, une quenelle signifiant que les peuplades immigrées ne craignent pas Marine Le Pen, pis que les bandes ethniques des cités rient d’elle et de son entourage d’invertis. Le message est clair, il est retentissant : Allez, viens, Narine, bouffonne, allez tiens, prends la batte, prends-la, tiens Narine, prends le gun, prends-le,  va-s-y Narine, on t’attend !  Voilà comment est considérée Marine Le Pen dans les quartiers. Et l’on ne voit pas très bien comment elle, la multi-divorcée qui ne s’oppose pas à l’avortement de masse, elle qui a fait du fn une pouponnière à sodomites, comment cette femme pourrait être différemment perçue par ceux prônant malgré tout certaines valeurs familiales. L’argument du patriotisme, de ce patriotisme de plus en plus répandu par le biais des Soral, des Dieudonné, des Camel Bechikh, est un autre bobard balancé par Olivier Roy. Un intellectuel dépassé qui doit certainement ignorer la signification réelle de ce terme puisqu’il explique la venue progressive des immigrés au FN par une première expérience ratée au Parti socialiste dont les cadres n’auraient pas donné suffisamment de places pour ces chances pour la France. Bref, le FN offrirait beaucoup d’opportunités pour les Arabes sérieux avides d’ascension sociale. Le discours d’Olivier Roy est assez amphigourique, mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que Le Pen ne constitue pas le Père Fouettard des banlieues. Aussi les concurrents du FN ne peuvent compter sur une prétendue angoisse communautaire ou sur une réaction d’importance des allogènes d’Hexagonie pour espérer un recul du parti. Olivier Roy mise, sans l’avouer, sur le scandale, sur les scandales, et plus généralement sur l’érosion  de l’image de marque du Front national, établi de plus en plus dans l’univers politicien et donc soumis à la routinisation d’une vie politique d’une très fade banalité et d’une croissante vulgarité. Notre politologue va cependant plus loin en « regrettant que le FN n’ait pas gagné plus de mairies, car, explique-t-il, c’est la vie municipale qui vous apprend la politique (sic) et vous forme… ou vous disqualifie » ! Le professeur Roy ne précise pas que la disqualification du politique résulte aussi, et surtout, de la mise en perspective de sa position et de ses actions par le media systémique ; un gros media qui a besoin de grains à moudre pour tailler un beau costard à sa cible. Franchement, la vie intime de Marine Le Pen ne nous intéresse absolument, et ne parlons pas de celles de Steeve Briois, Bruno Bilde, Florian Philippot et tant d’autres. Mais il est évident que les Closer et autres Voici du troisième millénaire vont se nourrir de ce que nous ne voulons surtout pas savoir.  Comme le disait Aristote, il y a des choses qu’il vaut mieux ne pas connaître. Et, disons-le, si cette étape de scandales intensifs, de ringardisation, de démonétisation d’un parti si dédiabolisé qu’il en a perdu toute substance, ne se produit pas, ce sera alors la dernière preuve de sa soumission absolue envers une oligarchie qui n’a pas l’habitude de s’incliner sans combattre férocement et sans aucune pitié.  En attendant le carnage médiatique, de véritables nationalistes organisés en petits moles de militants inaccessibles au découragement s’organisent à travers toute la France. A mille années lumière de la déconfiture doctrinale exigée de Marine Le Pen, de vaillants nationalistes, regroupés autour d’un petit mouvement appelé Lorraine Nationaliste, ont répondu, par exemple, le 30 mai, par leur présence, leur banderole, leurs fumigènes à une vague de sodomites paradant dans une sorte de marche de la fierté dans les rues de Nancy. Plus personne ne pensait que cela était encore possible, déblatérait un inverti emplumé dans un quotidien régional…

Source

samedi, 14 juin 2014

Chronique de la France asservie et résistante

Publié par Guy Jovelin

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3144 du 5 juin 2014

 

AUTREFOIS, Bethléem était une ville à 90 % chrétienne dans les années 1900. Aujourd’hui elle est à plus des deux tiers musulmane. Bethléem était encore à 60 % chrétienne en 1990 mais les chrétiens ont perdu leur majorité dans les années suivantes. En 2000, les chrétiens ne représentaient plus que 40 % de la population de Bethléem. D’après les chiffres récents, Bethléem aujourd’hui n’est plus qu’à 15 % chrétienne et mille Chrétiens quittent la ville chaque année. Lors de sa récente venue, Bergoglio y a célébré la (nouvelle) messe. Ou du moins a tenté de la célébrer.

 

BERGOGLIO À BETHLÉEM PENDANT LA MESSE, SOUS LES CRIS DE “ALLAH AKBAR”

 

L’appel à la prière musulmane de la mosquée d’Omar sur place de la Mangeoire à Bethléem a, en effet, interrompu la synaxe de François à l’extérieur de l’Eglise de la Nativité. Selon le reporter de la radio israélienne, Gal Berger, la foule a répondu avec des sifflets et des cris, et les chœurs ont essayé de couvrir l’appel du muezzin. La radio Galei Tsahal rapporte que les cris de « Vive le Pape » des assistants répondaient aux cris de « Allah Hou Akbar ». Pendant ce temps « Quelqu’un est entré dans l’église, est descendu à la crypte, s’est emparé d’un livre utilisé par les pèlerins et l’a amené dans une petite salle près de l’orgue où il a mis le feu au livre, brûlant des croix de bois », a affirmé le frère Nikodemus Schnabel, porte-parole de l’abbaye de la Dormition. Voilà comment cela se passe en ces terres si lointaines mais si proches. Cela n’empêche pas Bergoglio d’avoir publiquement conseillé de lire le Coran, un livre selon lui digne d’estime.

 

DES JUIFS NOUS DONNENT (À RAISON) DES LEÇONS

 

JB Grumberg, rédacteur du site sioniste Dreuz.info, écrit ces propos qui méritent d’être médités. Il évoque le « Grand Remplacement », concept “inventé” par Renaud Camus et il dit : « Renaud Camus dit le vrai. Comment le peuple européen est rapidement remplacé sous vos yeux par d’autres peuples venus d’ailleurs, turc en Allemagne, pakistanais en Grande- Bretagne, maghrébin ailleurs. Comment l’interdiction du débat public est assurée. Comment est insultée la démocratie puisque votre autorisation pour être remplacés, dépouillés de votre identité ne vous a pas été demandée. » Et il ajoute : « Les dirigeants européens, pour des raisons évoquées mille fois, niées mille fois, ont décidé de tuer leurs peuples, de les “suicider” ». Certes, poursuit-il « vous êtes encore majoritaires. Certes vous représentez encore 70 ou 80 % de la population de vos pays, mais avouez-le : vous êtes perdus. Vous n’avez pas, ni vous individuellement, ni vous collectivement, ni vous partis politiques les plus en pointe pour dénoncer le mélange multiculturel, la plus petite idée pour en sortir. Comment survivre, résister, sauver votre histoire, votre culture, vos racines, votre identité, face à cette invasion décidée, organisée, exécutée par vos élites ? » Etpourtant, dit-il, la solution contre le remplacement existe… Il invite à relire Mark Twain : « Les Egyptiens, les Babyloniens, les Perses se sont élevés, ont rempli la planète avec leur retentissement et leur splendeur, puis se sont évanouis dans un rêve. Les Grecs et les Romains suivirent, et firent beaucoup de bruit, et ils disparurent ; d’autres peuples ont vu le jour et ont tenu leur flambeau très haut pour un temps, mais il s’est éteint, et ils sont maintenant assis dans la pénombre, ou ont disparu. Le Juif les a tous vus, tous battus, et maintenant, il est ce qu’il a toujours été, ne présentant aucune décadence, aucune infirmité de l’âge, aucun affaiblissement de ses composantes, aucun ralentissement de ses énergies, aucun ternissement de son esprit alerte et combatif. Toutes les choses sont mortelles, sauf les Juifs ; toutes les autres forces passent, mais ils restent. Quel est le secret de son immortalité ? » Réponse en forme d’exhortation : « Vous, jeune peuple que déjà l’on éradique, si vous voulez survivre, prenez exemple sur les Juifs. Apprenez du peuple juif qui a survécu en gardant intactes sa sève, ses origines, ses traditions, sa substance et sa spécificité. »

 

NON, RIEN DE RIEN… MARINE LE PEN N’EST PAS LA BIENVENUE EN ISRAËL

 

« Marine Le Pen peut se rendre en Israël profiter du soleil comme n’importe quel touriste détenteur d’un passeport, mais elle ne peut pas prétendre obtenir des rendez-vous officiels si elle décidait de venir », a affirmé un responsable israélien qui a expliqué que Marine Le Pen n’a « toujours pas procédé à un aggiornamento de son parti en dénonçant les propos antisémites de son fondateur, qui se trouve être son père », Jean-Marie Le Pen. Mais que faut-il qu’elle fasse de plus pour être aimée d’Israël ? Ah si ! Tuer son père…

 

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TCHAO, PANTIN !

 

Tchao Pantin est un film français écrit et réalisé par Claude Berri, en 1983, qui fut un des films les plus primés aux Césars. Il raconte l’histoire d’un pompiste alcoolique et maussade (Coluche) qui décide de venger la mort d’un jeune dealer (Richard Anconina) avec lequel il s’est lié d’amitié en éliminant les responsables du meurtre. Rien à voir avec ce qui suit, si ce n’est le titre du film. Le soir des élections européennes, on a écouté sur France 2 les puissantes réflexions de Jacques Weber, un écrivain, et Marc Lévy, un écrivain aussi, qui commentaient la victoire du Front national. On se demandait ce qu’ils faisaient là, mais c’est ainsi que cela se passe à la télé. On a appris lors de l’émission la déclaration, trois jours plus tôt, de Yannick Noah : « C’est simple, si le FN arrive en tête aux élections européennes, je quitte la France. » Enfin une bonne nouvelle. Qu’il disparaisse ! Tchao pantin !

 

BIENTÔT UNE “AFFAIRE DES FICHES” AU FRONT NATIONAL” ?

 

On se souvient de l’« affaire des fiches » où, dans les années 1900, le pouvoir franc-maçon prétendait ficher les officiers catholiques, ce qui avait fait scandale. Et voici que cela recommence pour notre plus grand bonheur. Le Point rapporte que le chef de cabinet de Marine Le Pen, Philippe Martel, prépare des fiches sur le parcours des journalistes qui couvrent le parti. Cité par l’hebdomadaire, ce dernier déclare vouloir passer au crible la vie privée des journalistes qui couvrent son actualité. Et ce dans le but de « les écraser » et de leur « marcher dessus ». « On va vous rentrer dans le lard », a expliqué à une journaliste de l’hebdomadaire cet ancien collaborateur d’Alain Juppé passé au Front national. Dans son viseur : « Tous ces connards de journalistes institutionnels ». « De toute façon, les Français vous détestent. Notre plan media, c’est de vous attaquer à mort. La presse nous est défavorable, pourquoi continuer à collaborer avec elle ? » et Philippe Martel, humaniste en diable, d’ajouter : « Il faut dire les études que vous faites, les appartements que vous habitez. » Adresses, numéros de téléphone, prénoms des maîtresses et des gitons, et tutti quanti… Et il ajoute : « Ce n’est rien, ce n’est que le début ». Eh bien, dites donc… Si Marine Le Pen arrive au pouvoir, j’ai intérêt à passer la nuit même le Rhin à la nage…

 

ALERTE ! BERNARD-HENRI LÉVY PENSE ET PARLE !

 

Bernard-Henri Lévy a des choses à dire, suite à l’écrasante victoire du FN aux Européennes. Et il les dit, courageusement. « La France est en péril. Un quart de nos compatriotes ont voté pour le pire. Ils ont choisi le parti, non seulement de l’anti-Europe, mais de l’anti-France. Ils ont fait le pari, non d’une autre politique, mais du nihilisme, de la haine, et de la destruction méthodique de ce qui fait lien entre les Français. » Il ajoute, souffrant tout plein : « Mme le Pen, on ne le rappellera jamais assez, est l’héritière d’une longue tradition de défaitistes, de traîtres à notre histoire, d’admirateurs et alliés des dictateurs, qui ont fait le malheur de la France. Hier soir encore, en ce funeste 25 mai qui restera dans les annales comme un jour de chagrin et de pitié, elle et ses acolytes cachaient mal leur impatience de mettre à bas notre Constitution, nos institutions, nos traités ainsi que tout l’appareillage d’usages et de lois qui fondent la solidarité entre les Français. » Il n’évoque pas l’extermination des Juifs, mais, chaque lecteur de RIVAROL l’aura compris, il y pense très fort, soupçonnant sans doute Marine Le Pen de préparer une nouvelle conférence à Wannsee en présence du petit-fils d’Adolf Eichmann. Et que propose l’oiseau comme solution ? Un gouvernement d’union nationale destiné à « mettre entre parenthèses la guerre, désormais fratricide, des républicains ». On n’a pas fini de rire avec des zozos pareils… Citons cependant cette réflexion en forme d’autocritique de Franz-Olivier Giesbert, le patron du Point, qui pointe la responsabilité de la presse et qui constate, le soir de l’élection, que la tentative de diaboliser Le Pen et le FN n’a pas fonctionné : « Je fais partie des connards qui ont diabolisé Le Pen. Vous avez vu le résultat. Il faut en tirer les leçons. »

 

LAMENTABLE BERGOGLIO…

 

Michele de Paolis est ce prêtre cofondateur d’une organisation gay appelée Agedo Foggia. Le 6 mai dernier François, en s’inclinant, a ostensiblement embrassé la main du prêtre ouvertement homosexuel. Auparavant les deux hommes ont concélébré la nouvelle messe. Ce prêtre grand partisan de la cause homosexualiste a offert à Bergoglio son récent livre « Cher Don Michele : questions à un prêtre gênant » dans lequel il récuse l’idée que les “couples” homos n’aient pas de relations sexuelles. Don Michele explique que le successeur de Benoît XVI l’a serré dans ses bras après lui avoir affirmé que « tout est possible », si bien qu’il est sorti en pleurant. C’est mignon tout plein. Don Michele argumente. Il traite d’hypocrites ceux qui déclarent que les homosexuels peuvent tout à fait pratiquer leur religion à condition de ne pas avoir de relations sexuelles. Poète à ses heures, il déclame que « c’est comme si on demandait à une plante de pousser sans qu’elle fleurisse ». Voilà où en est l’église conciliaire…

 

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

vendredi, 30 mai 2014

Rappel : l'équipe de Rivarol à Beauvais jeudi 5 juin !

Publié par Guy Jovelin

Jeudi 5 juin (19h30) à Beauvais, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accueille l'équipe de Rivarol au cours d'un apéritif convivial (PAF : 10 € à régler sur place).

Jérôme Bourbon, André Gandillon et Scipion de Salm seront présents et prendront la parole.

La réservation est obligatoire : thomasjoly60@yahoo.fr ou 06.09.96.44.37

A l'issue de cette réunion, ceux qui le souhaitent pourront dîner avec l'équipe de Rivarol dans un restaurant beauvaisien tout proche.