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vendredi, 25 janvier 2019

Toulouse. Le scandale de la revente de l’aéroport par un groupe chinois qui empochera une plus-value de 192 millions d’euros

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Auteur : Lionel

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Il y a 4 ans et demi, le ministre de l’économie, un certain Emmanuel Macron, avait décidé de privatiser l’aéroport de Toulouse en vendant l’essentiel de ses parts (49,99 % du capital). Les réticences à l’époque furent nombreuses, mais le ministre, ancien banquier, n’y voyait officiellement que des avantages : entrée d’argent dans les caisses de l’État (celui-ci encaissait 308 millions d’euros dans l’affaire), et le repreneur s’engageait à investir 850 millions d’ici fin 2046, donc pérennité du site. Evidemment, le candide Macron, lors de la vente n’avait mis aucune clause et, au contraire, avait accepté toutes celles que Les chinois exigeaientles . C’est ainsi que la vente fut faite.

Mais rapidement, une fois le contrat signé, les Chinois ont montré d’autres intentions et se sont intéressés à la trésorerie que l’aéroport avait amassée avant leur venue. Ils ont exigé le versement d’un dividende exceptionnel. Heureusement, ils ne contrôlaient que 49,99 % des parts et l’État, qui est toujours propriétaire de 10,01 % du capital, ne les a pas suivis (Emmanuel Macron n’était plus ministre de l’économie), même s’ils ont obtenu de juteux dividendes malgré tout. Dépités, les Chinois veulent maintenant revendre leurs 49,99 % de parts qu’ils détiennent et seraient en négociation avec un repreneur qui s’engagerait à les reprendre pour 500 millions d'euros.

La lâcheté, la naïveté et l’incompétence d’Emmanuel Macron leur permettent de réaliser une belle plus value que la France comblera en augmentant les taxes !

 

Source : contre-info

vendredi, 07 septembre 2018

Agnès Saal ou le nouveau monde selon Macron et Nyssen

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 06 septembre 2018 

Le nouveau monde tant vanté par Emmanuel Macron peine à venir. Les rares ministres à venir de la société civile ont déjà explosé en vol. Nicolas Hulot a été tué par les lobbys et leur baudruche élyséenne tandis qu’une personne comme Laura Flessel a pris la porte pour avoir oublié de déclarer certaines sommes au fisc. Le gouvernement actuel est composé de professionnels de la farce élevés au grain de l’ancien monde. Mais d’autres secteurs continuent d’être vampirisés. Regardons du côté de la culture et d’Agnès Saal… 

Vous vous souvenez d’Agnès Saal ? Ce nom évoque un parfum de scandale pour ceux qui s’en souviennent. Il s’agit de l’ancienne directrice du Centre Pompidou qui avait été prise la main dans le sac pour des notes de taxi d’environ 24 000 euros. Il s’agit aussi de l’ancienne directrice de l’INA qui avait été condamnée par la justice pour environ 24 000 autres euros de frais de taxi. Une personnalité au service de la culture, mais surtout à son propre service avec l’argent des contribuables.

Condamnée et promue : quand l’ancien monde s’impose au nouveau

Un vrai ADN politique pour une Agnès Saal finalement stoppée dans ses délires financiers par une condamnation à trois ans de prison avec sursis et une double amende. Le ministère de la Culture auquel elle était rattachée l’avait suspendue six mois sans solde avant de la réintégrer en qualité de chargée de mission. On voit que malgré la faiblesse de la sanction, elle est bien plus sévère que ce qu’a enduré ce pauvre Alexandre Benalla avant sa médiatisation. Comme quoi l’ancien monde pouvait être plus stricte que le demi-Dieu jupitérien. Un Macron qui n’aime pas sanctionner (Benalla jouait avec le trophée des Bleus trois jours après la finale) et qui se plait même à gratifier les personnes les moins recommandables.

C’est ainsi qu’Agnès Saal a été promue dans la plus grande discrétion en août 2018. Le 3 août, elle a été gradée à un « échelon spécial » d’administrateur général qui lui permet de bénéficier d’un traitement annuel de 74 000 euros. Pour quelle raison ? Mystère ! Sa fine connaissance des taxis parisiens n’a pas aidé, c’est une certitude. Les connexions politique de Saal peut-être un peu plus. Parfaite représentante de l’ancien monde, elle sert désormais le soi-disant nouveau avec sa nomination, le 29 août, au poste de haut fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations au ministère de la Culture. Une nomination un poil moins discret puisque Françoise Nyssen s’auto-congratulait trois jours plus tard pour cette décision surprenante. Quand on vous disait que l’été cachait des décisions iniques…

A l’image d’une politique, rien ne semble devoir arrêter la course d’Agnès Saal. Une éthique bancale, une absence de résultats probants, une condamnation… Rien ne peut la couler avec des amis aussi puissants que Nyssen, Philippe et Macron. Une joyeuse bande de drilles qui font la pluie et le beau temps en dépit de la morale et des promesses de renouveau. Le monde de la culture est vérolé par le politique et quand ce dernier estime qu’ « il n’y a pas de culture française », on comprend mieux pourquoi tout est permis. A chaque jour suffit sa honte. A qui le tour demain ?

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 27 juillet 2018

Comment la Macronie tente de sauver sa peau

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 26 juillet 2018.

Entre le 18 et le 24 juillet, la Macronie est restée sans voix face à la découverte partielle de ses sombres desseins. Hébétés, les zélés serviteurs du président n’ont pu que faire des déclarations précipitées qui se sont montrées fatales pour la crédibilité d’Emmanuel Macron et de son administration. Les positions incohérentes et les déclarations contradictoires se sont multipliées effritant un édifice fait de faux et de poudre de perlimpinpin. Mais depuis mardi soir, le pouvoir tente une défense concertée qui vise à saper toutes les initiatives démocratiques du pays.

Jupiter a parlé et les Français n’ont plus le droit de « s’exciter sur cette affaire ». Cette affaire, c’est celle connue sous le nom de Benalla-Macron. Une affaire d’Etat au parfum de scandale qui n’aurait jamais éclaté sans la diffusion d’images hallucinantes. Un proche de Macron qui fracasse des manifestants ! Le pouvoir l’a clairement protégé, mais face à la pression il a été lâché par le président. Un chef de l’Etat KO debout qui n’a repris la parole que dans la soirée du 24 juillet. Depuis, il se sent pousser des ailes et multiplie les déclarations. Des propos qui évitent soigneusement le fond du problème et qui participent à un vaste plan pour faire croire à l’opinion publique qu’il s’agit d’ « une tempête dans un verre d’eau ».

Tout pour noyer le scandale

La réponse du pouvoir se fait donc dans trois directions différentes. La première vient du président lui-même qui a parlé trois fois en 48 heures sans jamais avoir le moindre contradicteur face à lui. Il prétend qu’il n’y a pas d’affaire Benalla-Macron et se moque du monde en lançant des phrases comme « Je suis fier d’avoir embauché Alexandre Benalla à l’Elysée ». Pourquoi ne pas aller même jusqu’à le réintégrer ? Tout le monde a le droit à une seconde chance ! Le président n’accable pas cet individu et la raison doit être encore bien inavouable.

Benalla entre lui aussi en piste avec une interview dans Le Monde. Pas rancunier, il partage sa peine avec le journal qui a démoli sa triste carrière. Que penser des paroles d’un individu aussi peu fréquentable qui se démêle avec la justice et qui ne doit pas se faire mal voir d’un pouvoir qui peut l’écraser facilement ? Le crédit à apporter ne vaut pas le prix d’une minute d’électricité. Le seul point à évoquer est peut-être le fait que Gérard Collomb est accusé de mensonge (et est donc parjure), mais ça, les Français avaient déjà leur idée sur la question.

Autre moyen de s’extirper de la nasse, le pouvoir compte sur ses troupes à l’Assemblée nationale pour saboter la Commission d’enquête. Sa présidente LREM refuse en bloc toutes les nouvelles demandes d’audition de personnes qui ont pourtant à voir avec ce scandale. Les premières auditions ont été catastrophiques pour le pouvoir alors il faut fermer le banc et donner l’impression que l’opposition entre dans une lutte politicienne et stérile. Avec tous les leviers du pouvoir le plan peut fonctionner, mais il faut aussi s’assurer de remporter la bataille de l’opinion publique.

Alors, comme par enchantement, on voit fleurir sur tous les sites et articles qui traitent de ce scandale un nombre démesuré de commentaires qui font mine de s’agacer de la médiatisation de Benalla et de son ami trahi : Emmanuel Macron. Des commentaires qui sentent le fake quand bien même le pouvoir fait croire qu’il est parti en croisade contre ce genre de manipulations. Macron veut un pourrissement de la situation et croit pouvoir entraîner vers le fond tout un pays. La résistance doit se faire à tous les niveaux pour que Macron reste dans l’impasse de ses mensonges.

 

Source : 24heuresactu

lundi, 16 octobre 2017

Scandale politique à Hollywood : Harvey Weinstein, ou les contradictions de la révolution sexuelle, et suite…

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

 harvey-weinstein

Les dizaines de femmes témoignant de la frénésie sexuelle du producteur Harvey Weinstein sèment une petite révolution à Hollywood. Le scandale révèle les contradictions d’un système qui prétend régenter la morale politique, comme l’ont rappelé ses récentes campagnes anti-Trump.

[…]

Aujourd’hui, plus de vingt femmes, connues ou inconnues, ont déclenché un scandale quiva  faire bruire Hollywood, elles l’accusent de harcèlement, d’atteinte sexuelle, d’agression sexuelle et même, pour quatre d’entre elles à ce jour, de viol. Deux enquêtes ont été ouvertes.

[…]

Première constatation, l’immense majorité de ces dames se plaignent qu’Harvey Weinstein ait essayé de les embrasser, généralement dans sa chambre, avant qu’elles ne se dégagent. [...] Quand on sait ce qui arrive tous les jours dans les banlieues, dans les lycées, on se prend à penser qu’il faut être joliment culottée pour faire tout un scandale à propos de ce geste. C’est à mon sens une véritable insulte à toutes les vraies, et anonymes, victimes de viols et d’agressions sexuelles.

[…]

Autre contradiction, non moins forte, ces vedettes féminines font commerce de l’image de leur corps, et l’industrie de Hollywood a fait la promotion du désir sans frein, « libéré » des contraintes dites selon le moment bourgeoises ou chrétiennes. Cette révolution antifamiliale a objectivement promu la femme objet, et stars et starlettes y ont consciemment contribué.

[…]

En attendant de prouver que ses « victimes » n’aient pas été consentantes, Hollywood, qui comme toutes les vieilles putains a des pruderies dignes de l’Armée du salut, monte à son propos une campagne visant à imposer le sexuellement correct pensé par les associations féministes.

[…]

Article complet : reinformation.tv

PS. On apprend simultanément  qu'un autre grand  "pig", Harry Flint, roi du porno aux USA promet  1 million de dollars  à ceux qui pourraient fournir  des renseignements susceptibles de faire démissionner le Président des USA Donald Trump.

Les pornographes et autres désaxés sexuels voudraient-ils également prendre le pouvoir politique ?

Lien vers l'article, ici

 

lesobservateurs

jeudi, 11 juin 2015

Scandale du match de Berlin : Valls se baladait avec ses enfants

Publié par Guy Jovelin 

 

Bien loin des mensonges de François Hollande, qui a inventé, pour protéger son premier ministre, une « réunion » entre Manuel Valls et l’UEFA, c’est bien pour son plaisir personnel que ce dernier s’est rendu, aux frais du contribuable, à Berlin samedi. Les médias ont révélé qu’en plus du nombreux personnel dont il s’était entouré, il s’était fait accompagner par ses deux enfants.

Pour quelques heures d’amusement, Manuel Valls et les siens ont volé plusieurs milliers d’euros aux Français, dont 14.000 pour le seul fonctionnement du jet républicain.

Source : https://sitejeunenation.wordpress.com/2015/06/10/461-jour...