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mardi, 13 novembre 2018

AFFLUX DE CLANDESTINS À LA FRONTIÈRE FRANCO-ESPAGNOLE : UN PROBLÈME DE PRISE EN CHARGE POUR LES MÉDIAS

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2018

 Publié le 12 novembre 2018 | Étiquettes : 

CES DERNIERS TEMPS, LES MÉDIAS PARLENT MOINS DES BATEAUX DES PSEUDO O.N.G. QUI CHERCHENT À DÉBARQUER EN EUROPE DES CLANDESTINS VENUS D’AFRIQUE, DONT NOUS VOUS PARLIONS FIN OCTOBRE 2018. LEUR AFFLUX NE TARIT POURTANT PAS, BIEN AU CONTRAIRE. IL S’EST SEULEMENT DÉPORTÉ. ALORS QUE L’ITALIE A PRIS DES MESURES POUR MAITRISER SES FRONTIÈRES, C’EST PAR L’ESPAGNE QUE DE NOMBREUX CLANDESTINS ARRIVENT. NOUS EN AVONS FAIT UNE REVUE DE PRESSE.

LA FRONTIÈRE FRANCO-ESPAGNOLE DÉBORDÉE

Arte nous informe le 11 septembre qu’« en 2018, l’Espagne est devenue la principale porte d’entrée en Europe. Quelque 50 000 personnes migrantes sont arrivées sur les côtes andalouses depuis le début de l’année ». Le Monde du 2 novembre indique qu’« entre l’Espagne et la France, la nouvelle route migratoire prend de l’ampleur ».

Les conséquences de cet afflux sont tangibles dans le sud-ouest de la France, en particulier à Bayonne. La ville accueille ainsi l’équivalent d’un Aquarius par jour : La République des Pyrénées du 24 octobre nous informe que « près de 100 migrants arrivent chaque jour d’Espagne ! ». Cet afflux de clandestins est traité par de nombreux médias sous l’angle humanitaire.

France Bleu indique que « les migrants en transit (sont) accueillis à Bayonne par l'association Diakité », pour « permettre à ces jeunes hommes, à ces jeunes femmes parfois avec enfants de s'abriter, manger, récupérer un peu avant de continuer la route vers le nord de l'Europe ».

Europe 1 nous apprend que « Bayonne (est) la nouvelle halte des migrants venus d'Espagne ». « Associations et élus locaux s’organisent pour les accueillir pendant quelques heures avant leur nouveau départ ». Selon France Info, « les associations demandaient plus de moyens pour accueillir les migrants, elles ont été entendues ». Information confirmée par Infomigrants : « face à l’afflux de migrants, le maire de Bayonne ouvre un accueil d’urgence ».

 

Source : ojim.fr

mercredi, 04 janvier 2017

Migrants : alerte sur le sud-ouest

 Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

frontière espagnole,migrants,sud-ouestLa frontière espagnole ne nous amène pas encore les hordes de migrants, musulmans pour la plupart, que connaît la frontière italienne. La raison en est simple : les enclaves espagnoles de Ceuta et Mellila, en Afrique du Nord, résistent opiniâtrement à l’invasion des Africains qui tentent de les submerger. Ces territoires de l’Europe en Afrique sont sous la pression quotidienne de ces miséreux qui exigent leur part de l’Europe. Depuis 2016, le mouvement s’est encore accéléré et augure mal pour 2017.

Plus de 50 gardes-frontières marocains et espagnols ont été blessés, dimanche, en tentant de défendre une clôture-frontière de l’enclave espagnole de Ceuta, en Afrique du Nord, contre l’assaut d’un millier de migrants africains.
Deux migrants ont réussi à atteindre le sol espagnol. Blessés en tentant d’escalader la clôture de six mètres de haut, ils ont été emmenés à l’hôpital par la police espagnole. Cent autres migrants avaient escaladé la clôture, mais les forces de l’ordre espagnoles avaient réussi à les repousser.

Le mois dernier, plus de 400 migrants avaient réussi à franchir la clôture de Ceuta, à l’occasion d’un des plus grands assauts de ces dernières années. Des centaines de migrants africains subsahariens, qui vivent illégalement au Maroc et lui posent un problème de sécurité redoutable, tentent, chaque année, d’entrer à Ceuta et Melilla, les deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, dans l’espoir d’arriver en Europe.

La plupart des migrants qui tentent de traverser sont interceptés et retournés au Maroc. Ceux qui sont interceptés sur les clôtures sont, soit rapatriés vers le Maroc, soit relâchés. Des milliers d’autres tentent d’atteindre l’Europe en traversant la mer Méditerranée, souvent dans de petites embarcations trop fragiles pour affronter la haute mer. Dimanche également, un navire du service de sauvetage maritime espagnol avait dû secourir 52 migrants qui tentaient d’atteindre la cote sud de l’Espagne dans un de ces trop frêles esquifs.

Ces vagues de migrants, deviennent de plus en plus agressifs dans leur volonté d’investir l’Europe. Décidément, leur action, qui demande la force et la vigueur d’hommes jeunes, ressemble autant à celle d’une armée en marche qu’à l’exode de désespérés fuyant leurs pays ravagés dont nous abreuvent les ONG et les instances dirigeantes de l’Europe. Les appels au Djihad en provenance de l’État Islamique, qui prêchent ce type d’invasion sur l’Europe, confirment de plus en plus cette sombre intuition.

Source : The Associated Press

 

Source : medias-presse.info