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dimanche, 15 octobre 2017

Jean-Sébastien Ferjou voit une convergence des luttes France Insoumise / islamistes contre les symboles chrétiens

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2017

Eric Martin

 images.jpg« A la limite, je peux comprendre la logique politique qu’il y a pour la France Insoumise à refuser le drapeau européen à l’Assemblée Nationale, parce qu’ils sont souverainistes. Mais là, on a franchi un cran supplémentaire. Maintenant, c’est parce que le drapeau serait l’incarnation de symboles religieux à cause des 12 étoiles qui sont censées être un chiffre biblique. Admettons même qu’il y ait une inspiration religieuse, dans ce cas-là on va débaptiser la Gare Saint-Lazare, le Mont Saint-Michel, et puis d’ailleurs il n’a qu’à plus s’appeler Jean-Luc parce que Jean et Luc étaient soit apôtre soit auteur des Evangiles. Bref, c’est une logique qui est sans fin. Mais surtout, ce qui me trouble, c’est que soit c’est délibéré et donc ça va dans le sens de la complaisance vis-à-vis de l’islamisme, soit c’est de l’aveuglement et ils ne se rendent pas compte à quel point ils se rendent les idiots utiles de certaines stratégies parce que, comme par hasard, c’est exactement la stratégie poursuivie par les grandes organisation islamiques internationales qui ont ces revendications-là. Ca a été le cas en Italie, on l’a vu, il y a eu des polémiques sur le retrait des crucifix dans un certain nombre de bâtiments, qui commençaient justement par les organisations islamiques en disant que c’était “une rupture entre les citoyens” et qui derrière était accompagnées par l’extrême gauche. Que ce soit une convergence des luttes qui se trouvent un intérêt commun à un moment donné ou qui ne se rendent pas compte des choses, de toute façon je trouve ça grave parce qu’il y a une stratégie sur laquelle il faut ouvrir les yeux. Le mot “Islamophobie” a été inventé par ces organisations justement pour générer la confusion entre la critique de l’Islam et le racisme qui s’appliquerait à des gens de confession musulmane (…) Je pense qu’il faut savoir dire STOP à cette complaisance et à ces itinéraires croisés. Et, malheureusement, Jean-Luc Mélenchon est de plus en plus aspiré par son électorat. Je pense pas que ce soit ce que lui pense fondamentalement, mais de plus en plus, il est aspiré par son électorat parce que la France Insoumise a été élue avec les voix de quartiers où effectivement il y a des populations qui sont dans une revendication islamique ou islamiste. »
 
 

 

 

Source : ndf via LCI, vendredi 13 octobre 2017, 17h48

jeudi, 28 juillet 2016

Finis les discours et les crises émotionnelles. Place aux actes.

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2016

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Bernard Plouvier

Depuis 2013, on dénombre plus de deux cents églises et cimetières de France où les symboles chrétiens ont été profanés, en sus de rares synagogues et de quelques temples huguenots (mais certains semblent ne remarquer que ceux-là, à la manière de l’arbre qui cache la forêt).

Il aura fallu l’égorgement d’un prêtre quasi-nonagénaire par deux racailles musulmanes pour que notre distingué Premier ministre semble entrapercevoir – de très loin – l’ombre d’une possibilité de guerre de religions. Le slogan : « Valls démission » n’est, hélas, d’aucune utilité, puisque personne à la direction de l’État n’est capable de faire quoi que ce soit pour protéger la Nation française.

Ce n’est en effet pas de Cazeneuve, le si efficace ministre de l’Intérieur qu’il faut attendre quoi que ce soit, en dehors d’un rictus haineux et de discours… dirigés contre une « extrême-droite » aux intentions fantasmées. Pour l’heure, il se dit nauséeux, après avoir été attaqué, en raison de l’incompétence flagrante de ses nombreuses polices depuis la fin de l’An 2014 (car les attentats n’ont pas débuté en 2015).

Quant à gras Président, il se contente de balader sa suffisante insuffisante un peu partout… et continuera de le faire tant que l’État aura les moyens de subventionner ses voyages intercontinentaux. Il promène sa silhouette bedonnante et son masque de (très mauvais) tragédien) sur les lieux de France que l’immigration-invasion musulmane a transformés en sites de carnage et où officient les pleureuses et autres hystériques, qui n’ont même plus besoin des caméras de la TV puisqu’un simple téléphone portable suffit à immortaliser leur sensiblerie.

Ce n’est pas sur ces pantins de la globalo-mondialisation que la Nation doit compter. Il ne faudrait pas oublier que le 31 mai 1968, alors que de Gaulle était en fuite à Baden-Baden, c’est la Nation – et elle seule – qui a rétabli l’ordre en sortant massivement dans les rues, organisant d’énormes cortèges pour signifier aux canailles gauchistes la fin de la chienlit qui ridiculisait notre pays.

D’énormes manifestations populaires n’auraient qu’un faible intérêt de nos jours, puisque nous en sommes arrivés à un état de guérilla permanente, par l’effet d’une guerre des races et des religions.

Puisque l’État a démontré sa totale inefficacité dans la prévention des nouveaux attentats et sa nullité dans l’encadrement policier de la Fête Nationale, les citoyens doivent s’organiser en milices populaires d’autoprotection. On se moque des ukases des pantins ministériels : ils sont incapables de protéger la Nation. De ce fait, la Nation doit se protéger elle-même.

Divers musulmans - le calife autoproclamé de Mossoul ; les nombreux imams et ulémas gueulant leur haine de l’infidèle dans des dizaines de mosquées de France tous les vendredis soirs - ont montré aux hyènes de banlieues qui était l’ennemi : le Français de souche européenne. Tous les déchets intellectuels et sociaux d’une immigration mal éduquée, sous-douée, refusant l’effort scolaire et professionnel, ont parfaitement compris le message.

Daech peut à bon droit revendiquer les attentats commis en France (ou en Allemagne), alors même que les nervis de l’État Islamique n’ont rien organisé, étant eux-mêmes totalement dépassés par les événements : ils ont montré le chemin de la haine meurtrière. Et partout, dans le Dâr al-Harb (soit, tout pays non dirigé par la loi coranique : c’est la définition du Domaine de la guerre sainte), les psychopathes et sociopathes tuent au nom d’allah, avec la bénédiction du calife.

Même quand ils ont à peine lu quelques sourates du coran, les dingos de banlieue peuvent légitimement se recommander de l’enseignement des imams et du calife de haine, quand ils tuent à l’aveugle. La récupération des électrons libres du djihadisme par Daech est de ce fait logique et légitime.

Le corollaire est simple. Puisqu’il n’existe aucun moyen de prévoir qui, parmi la foule des musulmans présents sur le sol européen, va « se radicaliser » (c’est-à-dire obéir aux neuf sourates qui ordonnent la pratique du Djihâd à tout musulman en bonne santé), c’est l’expulsion intégrale des musulmans d’Europe qu’il faut envisager.

Aux USA, juste après la Civil War (la guerre de sécession), l’on a employé l’Armée pour protéger les colons de la furie d’Indiens qui ne voulaient pas d’agriculteurs sur leurs terres de chasse. Ces résidus d’un paléolithique anachronique furent exterminés en grande partie, et les survivants parqués dans des réserves. Lors de cette ultime période des guerres indiennes, le général Philipp Sheridan avait lancé un slogan : « Un bon Indien est un Indien mort ».

Nous autres Français, héritiers de deux millénaires et demi d’une illustre civilisation, ne voulons pas en arriver à cette extrémité barbare, même si nos merveilleux islamistes-envahisseurs semblent vouloir appliquer un slogan identique : « L’infidèle ne mérite que la mort ».

Pour éviter que l’actuelle boucherie islamique qui ravage la France ne dégénère en guerre civile, rappelant, par son côté sordide, les tueries des années 1792-1794, puis les horreurs de la Libération-Épuration de 1944-47, il est indispensable de débuter au plus tôt le Grand Retour. Et pour l’heure, il importe de protéger les Français de souche européenne de l’immonde barbarie musulmane. L’autoprotection est un devoir quand l’État est en faillite.    

 

Source : synthesenationale

mercredi, 20 juillet 2016

Les fans d’Erdogan s’en prennent aux symboles chrétiens

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2016

 

christianophobie-turquieClimat de christianophobie dans la Turquie du sultan Erdogan.

Dans l’atmosphère de tension, de purges féroces et de règlements de compte qui règne en Turquie, après le coup d’État manqué, certains fans d’Erdogan s’en prennent aux symboles chrétiens. Et pas à n’importe lesquels : l’église de Sainte-Marie de Trébisonde où fut tué le 5 février 2006 le père Andrea Santoro et l’église protestante de Malatya, en Anatolie, où, le 18 avril 2007, furent égorgés trois chrétiens évangéliques, les Turcs Necati Aydin et Ugur Yuksel ainsi que l’Allemand Tilmann Geske.

Le putsch a laissé libre cours à la fureur d’islamistes fidèles du régime qui multiplient les exactions. Cette fois-ci ce ne sont que des dommages matériels mais ce sont des signaux clairs d’intimidation envers les minorités religieuses chrétiennes dans une Turquie minée par l’islamisme radical.

C’est la chaîne turque Sat7Turk, qui représente la voix la plus significative des chrétiens au Moyen-Orient, qui en a donné l’information sur son site internet. Information relayée par Mondo e Missione, la revue de l’Institut Pontifical des Missions :

« Les deux épisodes auraient eu lieu samedi soir, durant les manifestations en soutien à Erdogan. Selon ce qui est reporté par le site de Sat7Turk, à Malatya des pierres ont été jetées contre les fenêtres de l’église, les réduisant en miettes. A Trébisonde, en revanche, là où les manifestations en faveur de l’AKP ont été particulièrement importantes, une dizaine de personnes se serait dirigée vers l’église qui fut celle de Don Santoro, et ont essayé d’en forcer l’accès. Sans pouvoir y entrer (…)

Dans les deux cas, ce furent des dommages légers à des édifices vides à ce moment-là. Mais le caractère d’intimidation est évident : par le choix des lieux et par le fait qu’il ne s’agit pas d’épisodes solitaires. Par exemple, aussi dans les zones habitées par les Alawites, minorité très significative en Turquie, ces dernières heures ont été signalées des violences commises par la foule descendue dans la rue pour soutenir Erdogan.

Il faut ajouter que ces dernières semaines était parvenu un nouveau signal préoccupant en relation avec la tuerie de Malatya : comme le raconte l’agence Fides dans un article le dernier accusé détenu pour avoir participé à l’assassinat a été, lui-aussi, remis en liberté, pendant que le procès continue à durer indéfiniment (…)

Dans cette atmosphère préoccupante aujourd’hui, quelqu’un en Turquie semble se sentir à nouveau en droit d’avoir dans le collimateur les chrétiens. Ou tout au moins de les avertir qu’ils sont de toute façon dans le collimateur. »

Francesco de Villasmundo



Source : http://www.medias-presse.info/