Le président de l’Œuvre française Yvan Benedetti a été officiellement mis en examen pour reconstitution de ligue dissoute.
Depuis plusieurs semaines, le mouvement nationaliste est l’objet de toutes les attentions de la justice « indépendante ». Pendant que ministres et députés escroquent et détournent des milliards, pendant que des enfants de France sont invertis à l’islam et transformés en tueurs, pendant que les patrons voyous plongent dans la misère des millions de Français en délocalisant et en s’octroyant des « retraites chapeaux » et des augmentations scandaleuses, et que les mafias pillent notre pays, la justice s’acharne sur les nationalistes.
Cette mise en examen ne faisait aucun doute et Yvan Benedetti n’a jamais varié face au gouvernement socialiste. Il a maintenu sa position durant cette ultime audition devant la justice aujourd’hui, une audition qui a été « très brève ».
« Je m’en suis tenu à une déclaration de principes […]. L’Œuvre française existe toujours, car ce n’est pas à un gouvernement qui a deux ans d’existence de prononcer l’interdiction d’un mouvement qui existe depuis 1968 » a-t-il rappelé.
Manuel Valls avait utilisé la mort d’un jeune gauchiste à la fin du printemps 2013 pour dissoudre deux mouvements nationalistes sans le moindre lien avec ce fait divers, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes (JN). Le fondateur des JN, Alexandre Gabriac, pourrait également être mis en examen pour le même motif.