La manifestation contre la violence des migrants :
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Publié par Guy Jovelin le 04 février 2018
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Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2018
Dans son adresse aux membres du Service départemental -métropolitain d’Incendie et de Secours, David Kimelfeld leur a souhaité "une année pleine de tendresse, car il en faudra". Un vœu qui tranche radicalement avec les propos tenus à la même occasion par Jean-Yves Sécheresse, Stéphane Bouillon et Christophe Guilloteau. Eux n’ont pas été tendres. Les sapeurs-pompiers ayant participé aux manifestations de ce début de semaine, pour dénoncer les caillassages dont ils sont victimes, en ont pris pour leur grade. Tous ont commencé par rendre hommage aux pompiers victimes d’agressions en interventions. Mais bien vite, les mots se sont faits plus durs. Jean-Yves Sécheresse a ouvert le bal en demandant aux agents en face de lui de ne pas "sombrer dans le populisme et la provocation, comme nous venons de le voir, de certains irresponsables ».
La palme de la tendresse revient pourtant sans conteste à Christophe Guilloteau, président du conseil départemental du Rhône. Aux sapeurs-pompiers décorés se tenant dans la salle, il a déclaré : "vous n’obtiendrez rien de mieux, rien de mieux, en vous comportant comme vous vous êtes comportés hier". Il déplore une manifestation tombée dans "la caricature", des propos auxquels David Kimelfeld "souscrit totalement". Et qui ont fait écho au discours tenu ensuite par Stéphane Bouillon.
Voir un cercueil posé en pleine rue n’a pas plus au préfet du Rhône. "En démocratie, on peut avoir un dialogue dans la sérénité, a-t-il argué. On peut demander des réunions sans enfoncer des portes. Et on peut manifester tout en respectant l’agenda". Stéphane Bouillon fait ici référence au décès de deux sapeurs-pompiers lillérois dans la nuit de samedi à dimanche, lors de l’intervention sur un incendie à Estrée-Blanche. Tout en déplorant cette démonstration de mauvais goût en période de deuil, le préfet du Rhône a assuré comprendre la "colère" des manifestants et celle de leur famille. Avant de leur demander de "relativiser".
Source : lyoncapitale
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Publié par Guy Jovelin le 27 août 2017
Par Chloé Marriault
Mis à jour
Des dizaines de personnes ont répondu samedi à l'appel du collectif des «Femmes de militaires en colère» pour défiler à Paris et dénoncer les mauvaises conditions de travail des soldats.
«Quand mon mari est rentré d'une opération extérieure au Mali et qu'il m'a raconté ses conditions de vie, je n'imaginais pas que cela pouvait être aussi dur et précaire. C'est honteux, ils sont logés dans des conditions déplorables, mal nourris...», se désole Marion*, 26 ans, ruban bleu-blanc-rouge autour du poignet. Aujourd'hui, son compagnon est mobilisé, comme 7500 autres soldats, dans l'opération Sentinelle.
Ce samedi, elle a fait le déplacement de Bretagne pour manifester contre les conditions de travail des militaires. Comme elle, des dizaines de personnes sont descendues dans la rue, boulevard des Invalides, à proximité du ministère des Armée, pour répondre à l'appel du mouvement Femmes de militaires en colère.
» Les femmes de militaires manifestent leur colère à Paris
Ce mouvement, né à la suite de l'annonce de coupes budgétaires de l'armée et de la démission du Général de Villiers, fédère près de 6000 personnes sur Facebook. Parmi elles, Jessica, 32 ans. Elle est venue de l'Aisne pour faire part de son ras-le-bol, alors que son mari, comme tous les militaires, est contraint au devoir de réserve. Sa principale requête: la fin du logiciel Louvois, le dispositif de rémunération des militaires. Trop-perçus à rembourser, soldes non-versées ou avec des mois de retard: ces dysfonctionnements sont pointés depuis des années. «Ce système rend notre quotidien difficile. Il faut sans cesse surveiller les comptes, vérifier qu'il n'y a pas d'erreurs, et le cas échéant, engager des procédures longues et prenantes», déplore-t-elle. Elle dénonce un quotidien marqué par l'incertitude. «Les rémunérations varient d'un mois sur l'autre, on ne sait jamais ce qu'il peut arriver. C'est difficile de se projeter.» Loetitia, co-fondatrice du mouvement, confirme: «Les familles sont à bout. On reçoit de nombreux témoignages. Elles nous racontent qu'elles ont eu des trop-perçus qu'elles n'arrivent pas à rembourser, que le mari n'a pas reçu sa solde intégrale ce mois-ci. Certains pensent à divorcer car ils n'y arrivent plus.»
Sophie, 25 ans, venue d'Alsace, souhaite, elle, que davantage de moyens soient accordés à l'armée. Elle regrette que les familles aient à acheter du matériel avec leurs propres deniers. «L'armée fournit du matériel vieux et obsolète, alors mon mari est obligé de s'équiper lui-même, témoigne-t-elle. Sacs de couchage, treillis, chaussures... Cela représente environ 200 euros par mois.» Si les femmes de militaires ont des griefs multiples, elles ont un point commun: «On se retrouve toutes seules face à des situations que l'on n'arrive plus à gérer», avance Loetitia, avant d'entonner la Marseillaise derrière la bannière «Femmes de militaires en colère, force et honneur».
Par cette manifestation, le collectif entend sensibiliser l'opinion publique mais aussi la sphère politique. «Les militaires mettent leur vie en danger tous les joursmais n'ont pas de reconnaissance, ils ont de moins en moins de moyens, ils sont épuisés. On aimerait qu'on nous propose de se mettre autour de la table pour prendre en considération ce que nos familles vivent au quotidien». Le mouvement donne déjà rendez-vous fin septembre aux épouses de militaires en colère pour un nouveau rassemblement, cette fois-ci en région.
* Le prénom a été changé
Source : lefigaro
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Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2017
Les viticulteurs sont en colère et ils vont l'exprimer ce samedi dans les rues de Narbonne. En effet, des milliers d'entre eux sont attendus pour un rassemblement qui a pour but d’alerter les candidats à l’élection présidentielle. Car, selon eux, agriculture et viticulture sont les grands oubliés de la campagne. Ils vont aussi dénoncer la concurrence déloyale des vignerons espagnols. "Chaque jour la situation se détériore un peu plus, déplore Eric Rouanet, président des viticulteurs de l’Aude. On a donc décidé de jeter une bouteille de vin dans la campagne pour dire aux candidats 'Attention, on a des revendications précises et si personne ne fait rien, après les vendanges, on va droit vers une catastrophe économique'".
"Aujourd'hui, les Espagnols sont capables de produire du vin à 30 euros l'hectolitre. Nous, à ce prix, en six mois, il n'y a plus de viticulture en France, s'emporte-t-il. On est trois fois plus cher! Pourquoi? Parce qu'un ouvrier espagnol vaut sept euros quand, nous, c'est quinze euros". Eric Fongaro, jeune viticulteur âgé de 25 ans, installé dans le Minervois, entre Lézignan et Narbonne, manifeste ce samedi pour exprimer son ras-le-bol: "Nous sommes complètement délaissés, oubliés par nos politiques".
Une situation qui le préoccupe énormément et il se montre donc très pessimiste pour l'avenir: "Tous les jours, on perd beaucoup d'argent. C'est un réel problème". Et, à une centaine de kilomètres de l'Espagne, ce qui inquiète le plus, c'est l'arrivée massive des vins ibériques, comme le souligne, David Farail, 33 ans, viticulteur à Moux: "Les Espagnols vendent leur vin 30 euros l'hectolitre alors que, nous, nous le vendons 70 euros. Ils ont beaucoup moins de charges d'exploitation, ils ne payent pas les taxes foncières et payent leurs ouvriers beaucoup moins chers que nous… C'est de la concurrence déloyale".
Source : rmc.bfmtv
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : élection présidentielle, manifestation, occitanie, vins ibériques, viticulteurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017
Une nouvelle manifestation a eu lieu ce mercredi soir sous l’invitation du site d’extrême Gauche IAATA. Elle n’a rassemblé que quelques dizaines de personnes mais a entraîné la fermeture de la station de métro St Cyprien et une forte mobilisation policière. Le défilé s’est dirigé jusqu’à Arnaud-Bernard, encadré par la BAC et les policiers en tenue.
Les manifestations de soutien à Théo ne prennent toujours pas à Toulouse. Après avoir rassemblé 300 personnes samedi, une nouvelle édition s’est tenue hier soir ne rassemblant qu’une cinquantaine de personnes. A l’appel du site d’extrême gauche IAATA, le rassemblement a débuté timidement à 18 heures dans le quartier Saint-Cyprien, entonnant quelques slogans bien connus : « Flics : violeurs, assassins » ou encore « un flic, une balle, justice sociale ».
Le quartier était bouclé et la station de métro du quartier fermé par crainte de débordements. La préfecture de police a mobilisé plusieurs dizaines de fonctionnaires pour sécuriser les lieux. Certains sont en tenue anti-émeute, d’autres en civils ou en moto. La décision de ne plus desservir la station Saint-Cyprien a été prise par la Préfecture, redoutant « que les manifestants s’engouffrent dans le métro pour se déplacer anarchiquement dans la ville ». Le cortège s’élancera finalement sur les allées Charles de Fitte, rejoignant le centre-ville par le pont des Catalans. Bien entouré par les forces de l’ordre, la manifestation s’est dispersée dans le calme après quelques contrôles d’identité préventifs.
Source : infos-toulouse
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : extrême gauche, iaata, manifestation, police, théo, toulouse | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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