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samedi, 03 décembre 2016

Le Front national visé par une enquête préliminaire sur le financement de sa campagne aux régionales 2015

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016

La justice s'interroge sur une possible surfacturation des frais de campagne du Front national lors des régionales de 2015.

Marine Le Pen et Axel Loustau, conseiller régional FN d'Ile-de-France, le 23 juin 2015 à Paris.
Marine Le Pen et Axel Loustau, conseiller régional FN d'Ile-de-France, le 23 juin 2015 à Paris. (THOMAS PADILLA / MAXPPP)

Le 9 novembre, la justice a ouvert une enquête préliminaire sur le financement de la campagne du Front national, lors des régionales 2015, selon une information du Monde diffusée vendredi 2 décembre et confirmée à franceinfo. Il s'agit d'une investigation préliminaire pour "escroquerie au préjudice de l'État, abus de biens sociaux et blanchiment de ces délits". L'investigation a été confiée à la brigade financière.

Des enquêtes sur toutes les campagnes du FN depuis 2011

La justice s'intéresse à Presses de France, une société fondée en juillet 2015 et dirigée par le conseiller régional FN d'Ile-de-France, Axel Loustau. Elle a été créée pour remplacer la société Riwal, qui n'avait plus le droit de travailler avec le Front national. Riwal sera jugée comme personne morale dans l'enquête sur le financement par le FN des campagnes de 2012 (les législatives et la présidentielle).

L'entreprise Presses de France a travaillé avec les mêmes sous-traitants que Riwal, qui étaient chargés d'imprimer le matériel électoral pour une partie des candidats du Front national aux régionales 2015. Lors de ces élections, Presses de France a reçu 4,7 millions d'euros de remboursement des frais de campagne de la part de l'État. Selon les enquêteurs, seuls 1,2 million d'euros ont été versés aux imprimeurs. La cellule antiblanchiment du ministère des Finances, Tracfin, qui soupçonne une possible surfacturation des frais de campagne, a alerté la justice fin juillet.

En question, l'affectation des remboursements des frais de campagne 

Les enquêteurs s'interrogent aussi sur un possible enrichissement personnel. En effet, une autre partie de la somme remboursée par l'État, un peu moins d'un million d'euros, a été versée à la Financière Agos, ancienne société d'Axel Loustau, aujourd'hui dirigée par l'un de ses proches.

Un million d'euros de ces remboursements ont également été reversés à la Financière de la Pépinière, qui ne revendique pourtant pas d'activité en lien avec une campagne électorale.

Les financements de toutes les campagnes du FN menées depuis 2011, et l'arrivée de Marine Le Pen à la tête du parti, font donc désormais l'objet d'une enquête.

 

Source : francetvinfo

La Dépêche du Midi, Midi Libre et la Marseillaise, la PQR ultra-subventionnée

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016

Publié par : Jordi Vives 30 novembre 2016

La Dépêche du Midi, Midi Libre et la Marseillaise, la PQR ultra-subventionnée

La Dépêche du Midi, Midi Libre et la Marseillaise, la PQR ultra-subventionnée

30/11/2016 – 18h50 Montpellier (Lengadoc-info.com) – Le montant et la répartition des subventions à la presse française attribuées par l’État pour l’année 2015 a été récemment rendus publics par le ministère de la Culture, l’occasion de faire un petit tour d’horizon de la presse quotidienne régionale (PQR) en Occitanie et de voir les médias qui sont les plus gros consommateurs d’aides publiques.

Les journaux du groupe Baylet à l’avant-garde de la PQR subventionnée

Sans surprise, les titres du groupe la Dépêche du Midi, appartenant à la famille de Jean-Michel Baylet, l’actuel ministre de l’Aménagement du territoire, sont parmi les titres les plus subventionnés en Occitanie. Trois des journaux du groupe font partie des 30 médias les plus subventionnés de France.

La Dépêche du Midi arrive même en huitième position sur 326 dans le classement national. Avec 1 656 518,68 d’euros de subventions pour l’année 2015 avec une diffusion annuelle de 55 561 211 exemplaires, la Dépêche du Midi est le deuxième titre de la PQR française en terme de subventions, derrière Ouest-France.

Avec 609 837,32 d’euros de subventions pour une diffusion annuelle de 43 396 566 exemplaires, le Midi Libre arrive en vingt-septième position.

Il est suivi de près par un autre titre du groupe la Dépêche, Centre Presse Aveyron qui avec 590 092 euros de subventions, arrive en vingt-huitième position. Une subvention considérable pour un titre qui n’est diffusé annuellement qu’à 5 949 333 exemplaires. A titre de comparaison, un exemplaire de la Dépêche du Midi est subventionné à hauteur de 0,03 centime, 0,01 centime pour le Midi Libre mais 0,10 centime pour un exemplaire de Centre Presse Aveyron. Même constat pour La Nouvelle République des Pyrénées qui avec 348 669 d’euros de subventions pour seulement 3 190 701 exemplaires coûte au contribuable 0,11 centime l’unité.

Arrivant en cinquante-troisième position, le Petit Bleu, a touché 248 123 d’euros de l’État en 2015 pour une diffusion de 2 519 924 exemplaires.

Enfin, le « bon élève » du groupe la Dépêche, l’Indépendant, arrive en soixante-douzième position au classement avec « seulement » 140 737 d’euros de subventions pour 18 878 543 d’exemplaires diffusés en 2015, soit un coût de 0,01 centime par exemplaire.

En tout, le groupe la Dépêche a touché en 2015 la modique somme de 3 593 977 d’euros de la part du contribuable.

La Marseillaise en faillite malgré d’importantes subventions

Le journal communiste La Marseillaise connait depuis quelques temps d’importantes difficultés financières. Déjà en cessation de paiement en 2014, le quotidien avait sauvé son titre en 2015 en licenciant quatre-vingt dix personnes et en étant racheté par les Editions des Fédérées, dirigées par Pierre Dharréville, secrétaire départemental du Parti communiste des Bouches du Rhône. Mais cela n’aura pas suffit. Le mercredi 23 novembre 2016, le journal a annoncé qu’il déposait le bilan et attendait un placement en redressement judiciaire.

Dans un communiqué, Pierre Dharréville écrivait que « Nous n’imaginons pas, dans ce moment d’affaiblissement de la République, qu’on laisse La Marseillaise seule face à ses problèmes ». Pourtant, le journal communiste est loin d’être seul, bien au contraire ! En effet, l’Etat semble très généreux vis-à-vis de ce média au point de lui attribuer 693 992 euros de subventions en 2015. Un chiffre considérable qui place La Marseillaise en vingt-quatrième position sur 326 dans ce classement des subventions.

Photos : DR

 

Source : lengadoc-info

Nîmes. Des tracts de l’extrême gauche en langue arabe

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016

Jordi Vives 2 décembre 2016

Nîmes. Des tracts de l’extrême gauche en langue arabe

Nîmes. Des tracts de l’extrême gauche en langue arabe

02/12/2016 – 19h10 Nîmes (Lengadoc-info.com) – A Nîmes aura lieu ce samedi 3 décembre une manifestation organisée par plusieurs mouvements d’extrême-gauche contre le chômage et la précarité. Cette « grande marche contre le chômage et la précarité » est une manifestation traditionnelle qui a lieu chaque année à la veille des fêtes de Noël. Cette année elle est organisée par la Confédération Nationale du Travail 30, Solidaires 30, l’Union Locale de la CGT Nîmes, la Confédération des Groupes Anarchiste 30, le NPA 30, les Jeunesses Communistes Nîmes, Nuit debout Nîmes, le Collectif Féministe d’Action et de Mobilisation et Alternative Libertaire 30.

Cette année, les organisateurs semblent viser un public particulier. En effet, des tracts ont été distribués dans les rues de Nîmes pour appeler la population à se joindre au cortège, des tracts rédigés en français et… en arabe.

 A noter que sur le site internet de la CNT du Gard, le tract n’a été publié que dans sa version « française ».

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Une manifestation à Nîmes contre la précarité et le chômage… mais pour l’immigration

Sur ce tract diffusé par les organisateurs, on peut lire :

« Craignant que notre colère ne se retourne contre eux, le gouvernement et les médias organisent un racisme d’état en stigmatisant les populations d’origines étrangères pourtant les plus touchées par la précarité, cherchant ainsi à créer des divisions en attisant la haine raciste »

Et si sur les huit revendications des organisateurs sept concernent le chômage et la précarité, la huitième revendication réclame, elle, la régularisation de tous les sans-papiers.

Ce discours est loin d’être une première au sein de l’extrême gauche française. A Nîmes, ces mouvements cherchent à rallier à leur cause la communauté musulmane. Ainsi en 2015, le Front de Gauche avait présenté aux élections départementales à Nîmes, un candidat,Hichame Abderrezak, qui était à l’époque porte-parole d’une mosquée connue pour avoir été fréquentée par des jihadistes. 

Photos : DR

 

Source : lengadoc-info

Paris : les cadenas du Pont des Arts vendus au profit des migrants

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016

Par le 03/12/2016

Un an et demi après avoir été retirés, les souvenirs des amoureux de Paris seront mis en vente en janvier 2017 au Crédit Municipal de Paris. Tous les bénéfices seront reversés au profit des associations qui viennent au secours des migrants.

Le Figaro

Airbus, Axa, Ing, Caterpillar, Marks & Spencer : le mondialisme passe et l’emploi trépasse…

Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2016 

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Pieter Kerstens

Et cela n’en finit plus ! Semaines après semaines, les usines ferment et les sociétés baissent le rideau. Douwe Egberts, MS Mode, Crelan, KBC, ajoutent leurs plans de restructuration aux licenciements collectifs ou aux mises à la retraite anticipée. Décidément, l’image de « plus d’Europe, encore plus d’Europe » chère à Jacques Delors, Manuel Baroso et Jean-Claude Juncker se trouve pour le moins très dégradée.

Souvenons-nous : en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé. Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante des patrons de l’automobile ou de grandes sociétés, lors de décisions économicos-financières.

N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etat ou de gouvernement, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, Kohl, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies, éclate au nez et à la figure des peuples européens depuis que la Crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) n’est que l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix…dont le résultat est le chômage en Europe ! Et ne parlons pas du CETA en cours de signature, ni du TAFTA toujours en négociation.

Cela fait des années que les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 40 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment, notre avenir et celui de nos enfants (et petits-enfants) sera loin d’être rose. Au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales », de « solidarité » et du « vivr’ensemble » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.

Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations » et des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et les socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont cependant, et ont toujours eu, la faculté d’imposer à temps des mesures drastiques et certes impopulaires, mais indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.

Il n’est pas encore trop tard pour tenir un langage de vérité, ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe.

En effet peut-on refuser maintenant, au point où on en est, la rigueur pour favoriser un laisser-aller illusoire ?

En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » Ceux qui rêvent de prendre le Pouvoir dans le futur (en Autriche, en Hollande ou en France) feraient bien d’en tenir compte pour assainir les finances publiques !

 

Source : synthesenationale