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lundi, 03 avril 2017

Viktor Orbán : “l’identité chrétienne de l’UE est menacée par les migrants musulmans”

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

 

Hongrie – Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a déclaré lors du congrès du PPE à Malte que l’Union européenne devrait se défendre contre «l’invasion de migrants musulmans». 

Viktor Orbán a déclaré que l’immigration se révélait être le cheval de Troie du terrorisme, une solution à court terme aux pénuries de main-d’œuvre et une bonne affaire pour les ONG. Mais le politicien de centre-droit a souligné la responsabilité européenne et américaine dans ce qui se passe. “Nous devons réformer la politique étrangère de l’UE et parler franchement, même si cela est s’avère pénible. Nous commettons d’énormes erreurs et nos politiques infructueuses ont entraîné la déstabilisation de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient “.

Viktor Orbán a souligné également que le «langage libéral du politiquement correct n’est pas même capable d’identifier et de comprendre le véritable danger de la migration. Nous centre-européens pensons que si les choses se passent ainsi, il y aura une présence musulmane dominante dans la moitié ouest l’Europe, que notre génération pourrait bien connaître de son vivant“, a-t-il déclaré devant, entre autres, la chancelière allemande pro-clandestins Angela Merkel.

Le premier ministre hongrois a ensuite encouragé ses partenaires du Parti populaire européen, l’eurogroupe du PPE, à ne pas succomber aux pressions idéologiques de la gauche. “Je comprends que la gauche nous met sous pression idéologique. Pour que l’Occident se sente coupable pour les croisades et le colonialisme… mais cette politique de gauche désarme intellectuellement l’Europe contre l’invasion de migrants musulmans“.

Nous, les centre-européens, voulons réformer complètement les politiques de migration. Les frontières doivent être entièrement sous contrôle. Ne croyez pas ceux qui disent que cela est impossible. Nous, les Hongrois, protégeons les frontières de l’Union européenne sur des centaines de kilomètres sans contribution majeure de l’UE et en fait, nous souffrons même des attaques de Bruxelles. Nous sommes la preuve vivante qu’il est possible de se défendre”, a-t-il déclaré.

L’homme fort de Budapest en ensuite accusé les socialistes européens de vouloir faire venir des millions de migrants, de mettre un terme à la subsidiarité et d’augmenter les taxes. Orbán a déclaré que “l’avenir projette une ombre sur le présent” et a averti que l’UE doit changer pour sauvegarder sa compétitivité, ses valeurs familiales et son christianisme. Orbán a ajouté aux auditeurs de la conférence du PPE que “nous sommes le parti populaire, nous ne devrions pas avoir peur d’être appelés populistes”.

Le Premier ministre hongrois a également appelé à une réforme de la Cour des droits de l’Homme. “La Cour des droits de l’Homme doit être réformée de toute urgence, car ses jugements constituent une menace pour la sécurité du peuple européen et une invitation aux migrants“.

Viktor Orbán a rappelé qu’il voulait apporter de l’aide aux personnes qui en ont besoin localement et ne pas importer les problèmes.

Il a également averti que l’influence de l’Europe dans les Balkans et l’Europe de l’Est diminue par rapport à l’influence croissante de la Russie, de la Turquie et des États-Unis. Orbán a appelé à changer cette politique européenne et a déclaré que l’UE devrait donc accélérer les demandes d’adhésion du Monténégro, de la Macédoine et de la Serbie pour garantir la stabilité dans la région.

 

Source : visegradpost

La France inégale : partage social de l’espace français

Nous ouvrons avec ces toutes premières visualisations notre nouvelle rubrique Data. Avec nous cette semaine, Hervé Le Bras, démographe, directeur d’études à l’EHESS et chercheur émérite à Institut National d’Études Démographiques (INED). Aujourd’hui, la répartition des catégories sociales à travers le territoire.

Classes moyennes et supérieures dans les « villes de commandement »

Toutes les données sont en % de la population active (25 à 55 ans), en 2013, date du dernier recensement publié.

Les classes moyennes et supérieures ont investi les métropoles et les grandes villes au point de constituer plus de la moitié de la population active dans certains cas et plus encore dans certains quartiers. Les cadres dominent au cœur des grandes agglomérations, les métropoles ou leurs suivantes immédiates qui possèdent des institutions universitaires et administratives de premier plan. Pour cette raison, on les qualifiait de « villes de commandement » dans les années 1960. Toutes les capitales des 21 anciennes régions figurent dans le groupe de tête auquel seules s’ajoutent Grenoble, Nice, Angers, Tours et des villes de l’Est. Alors que la proportion de cadres y dépasse souvent 20 %, elle chute à moins de 2 % dans de nombreuses zones rurales.

La classe moyenne habite en banlieue

Professions intermédiaires, en % de la population active, 2013.

Les classes moyennes, ces « professions intermédiaires » au sens de l’Insee, sont aussi urbaines que les cadres, mais elles sont moins sélectives. Dans les métropoles, elles s’installent en première couronne, car évincées du centre par les classes supérieures. Dans les villes moyennes, elles occupent aussi les quartiers centraux. Si la carte des professions supérieures se réduit aux capitales des régions, celle des classes moyennes coïncide avec les chefs-lieux des départements, à peu d’exceptions près qui correspondent aux hésitations de la carte administrative : Châlons-en-Champagne et Reims, Pau et Bayonne, Moulins et Montluçon, Brest et Quimper par exemple. La concentration est cependant moindre puisque la proportion des professions intermédiaires dans la population active varie seulement du simple au triple quand on remonte du rural profond vers les grandes villes.

Les ouvriers rejetés hors des grandes villes

Proportion d’ouvriers dans la population active, 2013.

Logiquement, puisque les classes moyennes et supérieures sont en ville, les classes populaires vivent à la campagne. C’est particulièrement net pour les ouvriers. Leur proportion augmente avec la distance à la grande agglomération la plus proche. Ils se concentrent ainsi sur les frontières des départements où ils forment parfois plus de 40 % des actifs. Au XIXesiècle, les ouvriers habitaient dans les villes. Au XXe siècle, ils ont été repoussés vers les faubourgs, puis les cités. Aujourd’hui, les voilà rejetés aux marges du territoire. Une autre régularité fascinante à première vue est la quasi-absence des ouvriers au sud d’une ligne Bordeaux-Grenoble. N’y aurait-il aucun ouvrier travaillant à la construction des Airbus ? En fait, ils ont été remplacés par des techniciens ayant une éducation plus poussée et un salaire en conséquence, ce qui les range dans la classe moyenne.

Commerçants : cap au sud

Proportion d’artisans et de commerçants dans la population active, 2013.

Les ouvriers résident au nord, les artisans et les commerçants, au sud. La coupure est particulièrement nette sur la carte. Au sud d’une ligne Genève- La Rochelle, on compte plus de 10 % d’artisans et commerçants tandis qu’au nord, ils tombent à des pourcentages aussi faibles que 3 %. Un long passé explique cette bizarrerie apparente. Au sud de la Loire, les règles d’héritage attribuaient à un seul enfant l’exploitation ou l’atelier des parents. Le Code civil n’a pas mis fin à cette pratique. Pour la conserver, les couples ont souvent réduit leur fécondité jusqu’à l’enfant unique.

Dès lors, l’industrie naissante n’a pu trouver les ouvriers nécessaires. L’artisanat et la petite propriété se sont maintenus. Dans une moindre mesure que les ouvriers, les artisans et les commerçants ont aussi été relégués loin des grandes agglomérations. Une ségrégation territoriale s’est ainsi mise en place : les travailleurs manuels -ouvriers, artisans, agriculteurs – à la campagne, les travailleurs intellectuels -professions intermédiaires, cadres et professions libérales – à la ville.

 

Source : theconversation

A ne pas manquer ce soir, 20h40 sur KTO, « Prêtres sous la Terreur » ou « Quand la France exterminait ses prêtres »

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

 

A dire vrai, le titre exact, que nous aurions évidemment préféré, eût été : « Quand la France révolutionnaire exterminait ses prêtres ». Car pas plus que la Révolution, le peuple français n'a jamais voulu l'assassinat du roi, puis de la reine, et le long et monstrueux infanticide du petit roi Louis XVIII ; ni l'assassinat des prêtres, dont il est ici question ; ni le génocide vendéen...

Mais, enfin, ne boudons pas notre plaisir, car si KTO n'est pas une grande chaîne généraliste (nous parlons ici uniquement en terme d'audience) il est toujours bon que, où que ce soit ; la vérité soit dite et établie sur l'horreur absolue que représenta la sinistre période révolutionnaire.

Elisabeth Caillemer a vu « Prêtres sous la terreur », félicitant KTO qui « apporte sa pierre à l'édifice du politiquement incorrect en diffusant un excellent documentaire consacré à la déportation et au massacre de milliers de prêtres sous la Révolution ».

Factus obediens usque ad mortem (obéissants jusqu'à la mort) : lorsque les terroristes révolutionnaires lancèrent, comme un défi, à la face de la France, de l'Europe et du monde, leur message totalitaire, la France entière se souleva contre eux, lançant le message exactement contraire, celui de la liberté intérieure, face à l'oppression d'un pouvoir sans limite qui, ne se reconnaissant aucune autorité supérieure, se révélait vite mille fois plus tyrannique que les antiques oppressions qu'il prétendait abolir.

L'expression la plus achevée de ce soulèvement se trouva évidemment dans tout le Grand Ouest, mais plus des deux tiers des département nouvellement créés furent en état d'insurrection armée contre l'intrusion de la folie barbare dans le royaume qui fut, jusqu'en 1789, celui de « la douceur de vivre » (Talleyrand). 

A ce soulèvement massif et quasi général de la très grande majorité du peuple français, la Révolution répondit par la seule chose qu'elle connaissait vraiment : la Terreur !

1064058210.jpg« Juillet 1790, - reprend Elisabeth Caillemer -l'Assemblée constituante adopte la Constitution civile du clergé... Rome où la Révolution, il faut choisir ». La majorité des ecclésiastiques refuse de prêter serment : on les appelle « réfractaires ». Le régime qui commence sa prétendue devise par « Liberté » commence par interdire aux gens leur liberté intérieure ! Les prêtres « réfractaires » (appelés aussi « insermentés ») sont pourchassés par les républicains, dont le troisième mot de la devise est - rappelons-le- « Fraternité » ! « A Paris - dit Elisabeth Caillemer - 180 prêtres retenus captifs dans le couvent Saint-Joseph des Carmes sont massacrés. Le documentaire nous emmène aussi dans l'Ouest de la France, berceau de la résistance contre-révolutionnaire. Là-bas, la folie meurtrière des sans-culottes se déchaîne. Fusillades à Angers, noyades à Nantes, emprisonnements à Rochefort. Exposés de manière chronologique et didactique, ces faits terrifiants témoignent surtout de la haine anticléricale et de la violence inouïe de la république naissante, dont les méthodes n'ont rien à envier à celles de Daech. »

Eh ! oui : n'en déplaise à nos modernes Mélenchon ou Hamon, qui ne cessent d'en appeler aux mânes des grands ancêtres, ceux-ci comptent en fait parmi les pires criminels de toute l'histoire de l’Humanité ; ils sont la matrice d'où sortiront tous les monstres et toutes les horreurs du XXème siècle : Staline, Hitler, Mao Zedong, Pol Pot, Ho Chi Minh, Ceaucescu, Castro, la Stasi et la Securitate, le Goulag et le Lao Gai... 

Rappelons, par ailleurs, que les nazis n'ont rien inventé, et que le monstrueux massacre d'Oradour sur Glane a eu son précédent, en Vendée, aux Lucs sur Boulogne, en 1794, soit 150 ans auparavant * ! 

Toute occasion de faire la lumière sur ces monstrueux évènements est bonne à prendre, et la vérité doit être dite, à temps et à contretemps, afin de faire cesser le Mémoricide, deuxième crime que la République idéologique ajoute à son premier - le génocide vendéen - puisqu'elle refuse toujours, plus de deux siècles après, de dire la vérité sur la Terreur et le massacre des Français sur laquelle elle s'est construite, et sur laquelle notre actuel Système, qui reconnaît en elle ses fondements, repose également.

 

Source : lafautearousseau

L’ancien maire de Londres dans la tourmente pour avoir parlé de collaboration entre le nazisme et le sionisme

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

Royaume-Uni – Au cours d’une audience disciplinaire au sein du parti travailliste, Ken Livingstone, ancien maire de Londres et membre du parti travailliste, a réaffirmé jeudi qu’Adolf Hitler était favorable au sionisme et qu’il y avait une « vraie collaboration » entre les nazis et les sionistes allemands avant la Seconde Guerre mondiale.

L’ancien maire de Londres avait déjà déclaré l’an dernier qu’Hitler avait encouragé les juifs d’Allemagne à s’installer en Palestine, « avant qu’il ne devienne fou et qu’il ne finisse par tuer 6 millions de juifs ».

« Quand le mouvement sioniste a demandé au gouvernement nazi s’il pouvait interdire aux rabbins juifs de faire leurs sermons en yiddish et ordonner qu’ils les fassent en hébreu, [Hitler] a accepté ».

Jeudi dernier, Ken Livingstone était convoqué à une audience disciplinaire du parti travailliste pour décider son éventuel renvoi du parti, en raison de ses opinions sur les liens entre Hitler et le sionisme, qui ont déjà conduit l’an dernier à sa suspension du parti travailliste par le chef du parti Jeremy Corbyn.

Ken Livingstone a déclaré que « lorsque, en juillet 1937, de nombreux nazis de haut rang se sont réunis pour cesser d’envoyer des Juifs en Palestine parce qu’ils pourraient créer un état juif, une directive d’Hitler est arrivée en pleine réunion qui disait ‘non, nous continuerons cette politique’ ». « Toutes les personnes qui étudient l’histoire savent tout cela, c’est vrai », a poursuivi l’ancien maire de Londres.

Livingstone avait été suspendu du parti travailliste à la suite d’une interview à la BBC datant d’avril 2016 dans laquelle il avait déclaré : « rappelons-nous quand Hitler a remporté son élection en 1932, sa politique de l’époque était que les Juifs devraient être déplacés vers Israël. Il soutenait le sionisme ».

« Toute suggestion affirmant que mon intention était d’établir une équivalence entre le nazisme et le sionisme est entièrement fausse », a ensuite précisé Ken Livingstone.

 

Source : medias-presse.info