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mercredi, 09 janvier 2019

Ce flic est une racaille à la solde d’un régime d’occupation qui jouit d’inspirer la terreur aux ennemis de ses maîtres

 Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2019

“On se souviendra qu’un soldat — un soldat envoyé en zone de guerre — avait vu sa carrière brisée et sa vie gâchée parce qu’il avait porté un tel foulard. Ici, ce membre des forces de l’ordre est censé être là pour protéger et aider la population civile, mais en portant ce foulard il montre ce qu’il est vraiment : une racaille à la solde d’un régime d’occupation qui jouit d’inspirer la terreur aux ennemis de ses maîtres.”

 

Source : Objectif Défense via ndf

mercredi, 27 juin 2018

Les projets secrets de Daech pour semer la terreur en France

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2018

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Pendant que le ministère de l'Intérieur interpelle des pères de famille qui se préparent visiblement à se défendre, l'Etat islamique se prépare à envoyer des adolescents-soldats ayant grandi en Syrie commettre des attentats en France. Ces "Lionceaux du Califat" ont grandi en Syrie, ont été recrutés par l'Etat islamique et ils seraient au coeur d'un projet secret mené par l'organisation terroriste. Ce projet serait même entré en phase opérationnelle. Les détails font froid dans le dos :

  • Recruter des enfants ayant grandi en Syrie.
  • Attendre qu'ils grandissent pour qu'ils deviennent "méconnaissables", "pour pas qu'il y ait de reconnaissance faciale".
  • Une fois passée l'adolescence, les envoyer en France commettre des attentats.

L'Etat islamique envisagerait aussi de commettre des attaques dans les campagnes françaises.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 15 mai 2018

Toulouse (31) : une bande de « jeunes » de 17 à 22 ans semait la terreur dans le métro, deux femmes ont été agressées sexuellement et tabassées

Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2018

Par  le 14/05/2018

 

Quatre jeunes de 17 à 22 ans ont été interpellés pour attouchements sexuels, violences et vol dans le métro toulousain dans la nuit de vendredi à samedi.

Leur première victime est une jeune femme, croisée dans une rame en direction de Ramonville. L’un des garçons s’en est pris à elle et a tenté des attouchements sexuels. La jeune fille s’est défendue. Mais avec ses copains, il a continué à s’en prendre à elle, ainsi qu’à une autre usagère.

Face à leur refus de se laisser faire, les malfrats leur ont donné des gifles mais aussi des coups de poing. Elles ont fini pas réussir à s’échapper et les agents de la sécurité de Tisséo se sont interposés en attendant l’arrivée de la brigade anticriminalité.

La réactivité des agents Tisséo et de la BAC a permis l’interpellation, peu après 3 heures du matin, à la station de métro de Ramonville-Saint-Agne, des quatre suspects, des garçons âgés de 17 ans, 20 ans et 22 ans dont trois sont déjà très défavorablement connus des services de police. (La Dépêche)

 

20minutes via fdesouche

mardi, 05 décembre 2017

[Reportage] « La Rébellion cachée » devant 200 personnes à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2017

 
    
rébellion cachée toulouse

Daniel Rabourdin, réalisateur de La Rébellion cachée, devant son public de Toulouse

200 personnes ont assisté à la projection de « La Rébellion cachée », à l’église du Christ-Roi de Toulouse, samedi 2 décembre. Un film émouvant sur le sacrifice des Vendéens, martyrisés sous la Terreur par la Révolution Française. 

« Un documentaire d’une qualité rare », c’est ainsi que notre journaliste présent sur place a qualifié le film de Daniel Rabourdin. « La Rébellion cachée » a attiré près de 200 personnes, samedi 2 décembre à Toulouse, soit le double de ce qui était attendu. Une projection qui a été suivie d’un débat entre l’assistance et le réalisateur sur ce docudrame qui se place parmi les fer de lance du cinéma alternatif.

Vous avez sans doute déjà entendu parler de Cheyenne Carron, la réalisatrice sans cesse méprisée par le CNC. Le milieu alternatif de l’audiovisuel a peut-être trouvé son équivalent dans le genre documentaire. Pendant 1h15, le film retrace toute l’histoire de la contre-révolution, agrémenté de témoignages d’historiens reconnus sur ce sujet comme Stéphane Courtois ou Reynald Sécher. Ce dernier, qui a sincèrement aidé à la réalisation de ce film est d’ailleurs visible dans quelques scènes, en tant que figurant -aux futurs spectateurs de tenter de le retrouver.

La Rébellion cachée méprisée par le CNC

Si Daniel Rabourdin a dû sillonner 84 salles privées ou associatives pour présenter son film dans toutes la France, c’est qu’aucune aide du CNC (Centre National du Cinéma) ne lui a été accordée. « Le CNC décide des films que peuvent voir les Français, c’est de la censure », nous explique le cinéaste. Pourtant pas de perversité, de violence ou autre mention qui justifierai un pareil traitement. « Est-ce que c’est à cause du sujet du film ? Je ne vois que ça comme raison » confie t-il.

Après la polémique ayant entraîné les propos de Patrick Buisson, parlant de la Révolution Française comme « inspiration du terrorisme », Daniel Rabourdin confirme, à travers son récit, l’existence d’une pensée génocidaire et terroriste dans les hautes sphères de la République en 1793. « Ils se sont appelés, eux-même le régime de la Terreur »« La République doit s’excuser, comme Poutine s’est excusé sur les massacres des communistes, comme les Etats-Unis pour les amérindiens… » conclue t-il.

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 07 avril 2017

13 millions d’euros par an pour les 180 « mineurs » étrangers qui sèment la terreur à Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

Par le 06/04/2017  

Officiellement 180 dans l’Hérault, la sécurité publique les estime à trois cents. Dont certains sont en fait majeurs.

Vendredi 31 mars, vers 4 h, un homme s’est fait dérober son portable après avoir été abordé par un groupe de cinq jeunes gens. Une heure et demie plus tard, c’est une jeune femme qui, à son tour, a été dépouillée boulevard Victor-Hugo. Dimanche, vers 0 h 25, deux autres ont subi une tentative de vol rue de la Loge.
Puis, quelques minutes plus tard, une troisième s’est fait déposséder de son sac à l’arrêt de tramway de la Comédie. Le point commun entre ces faits ? À chaque fois, les équipages de police appelés sur les lieux ont interpellé des adolescent(es)s. Des mineurs non accompagnés (ex-mineurs étrangers isolés) dans le jargon administratif.

Des jeunes migrants dont la Direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault (DDSP 34) note une recrudescence ces derniers mois, particulièrement à Montpellier. Parmi ceux-ci, une partie est livrée à elle-même car non chaperonnée par le Département et les différents services et associations idoines. Des arrivées dont certaines ont entraîné une accentuation du nombre de faits délictueux.
Principalement commis en fin de semaine, à des heures avancées ou matinales. Et dont les victimes ne sont bien évidemment pas choisies au hasard.Parce qu’à la limite de la vulnérabilité (victime seule et/ou physiquement démunie, alcoolisée…).
Certains fonctionnaires du commissariat central, confrontés de plein fouet à cette forme de délinquance, n’hésitant désormais plus à parler, hors champ, de « carnage ». Excessif ? Peut-être bien. Mais mâtiné à un sentiment d’insécurité bien réel.
Et dû à l’exaspération croissante d’une partie des policiers affectés aux missions de voie publique. Lesquels procèdent, certains week-ends, jusqu’à douze interpellations pour des actes délictuels identiques. Et sont aussi parfois exaspérés face à la réponse pénale apportée, insuffisante selon eux. Un sentiment contradictoire à celui du parquet.

Le Midi Libre

► Le chiffre : 13. C’est, en millions d’euros par an, la somme consacrée aux mineurs non-accompagnés.Soit un peu moins de dix pour cent du budget dédié à la protection de l’enfance dans l’Hérault (135 M€).

Le Midi Libre