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lundi, 24 juillet 2017

Tibo InShape, le youtubeur énorme et sec qui est « fier de son pays »

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2017

 

Pour commencer la semaine, un petit tour sur la « Youtubesphère », où un Toulousain se fait remarquer dernièrement. Lengadoc Info vous présente Tibo Inshape. 

Connaissez-vous Thibaud Delapart ? Non ? Pourtant c’est le youtubeur français qui cartonne aujourd’hui sur la toile sous le pseudo de Tibo Inshape. Avec 3 356 000 abonnés sur Youtube, il est actuellement le cinquième meilleur youtubeur français. Son secret ? La muscu, les petites qui squattent et le riz-dinde… mais aussi le goût de l’effort et un certain attachement à son pays. Découverte…

Tibo InShape, le youtubeur qui va vous faire aimer la muscu

« Daaaamn les gens, j’espère que vous allez bien, c’est Tibo InShape et c’est un plaisir de vous parler aujourd’hui ! » Cette phrase ne vous dit rien ? Alors vous êtes en train de passer à côté de quelque chose, filez sur Youtube pour découvrir immédiatement l’un des meilleurs youtubeurs français.

Thibaud Delapart, alias Tibo Inshape, est un jeune toulousain de 25 ans, qui cartonne depuis plusieurs années désormais sur le net. Cet adepte de la musculation depuis ses 17 ans, s’est fait connaître sur la toile avec ses vidéos sur la muscu sur un ton assez drôle. Des « meules » des « petites » qui squattent au « temple » aux dizaines de boites d’oeufs qui recouvrent les murs de sa chambre et à sa passion pour le pokémon « énorme et sec » Tortank, Tibo InShape est devenu incontournable sur le net.

Le youtubeur aux gros bras a également un gros cœur. Régulièrement, Tibo rencontre et met en avant des personnes qui ont connu ou qui connaissent des accidents, des maladies ayant entraîné un handicap parfois très lourd mais parviennent à s’en sortir grâce à la musculation et à la force de leur volonté.

Un youtubeur qui rend hommage aux militaires, pompiers et gendarmes

Mais très régulièrement Tibo sort de sa chambre et de sa salle de muscu pour participer à des entraînements, souvent extrêmes, de disciplines très variées allant du cross fit à l’airsoft en passant par toutes sortes de sports de combat en compagnie de célébrités telless que Franck Ropers, les frères Pinto ou le toulousain Anthony Réa. Et qui dit entraînement extrême dit forcément entraînement militaire…

C’est ainsi que l’on peut retrouver Tibo s’entraîner avec les marsouins du 21° Régiment d’Infanterie de Marine et les sapeurs-pompier de Paris ou de suivre les gendarmes dans leur quotidien, y compris en intervention.

Dernièrement, le youtubeur était aux côtés des pilotes de l’Armée de l’Air et fait extrêmement rare, il a pu participer au défilé du 14 juillet sur les Champs Élysées… à bord d’un Mirage 2000 ! En ce jour de fête nationale, Tibo InShape se lâche : « Je pense sincèrement qu’il est important d’être fier de son pays et de ses valeurs et que surtout il faut savoir remercier ces hommes et ces femmes qui protègent notre pays chaque jour ». Il ajoute également : « En cette date du 14 juillet il est important d’avoir une pensée pour toutes les victimes de l’attentat de Nice, on pense fort à vous et on ne vous oubliera jamais ! »

 

Source : infos-toulouse

Le Conseil d’Etat autorise des clandestins à squatter des locaux du CHU de Toulouse

Publié par Guy Jovlin le 24 juillet 2017

 

Le Conseil d’Etat vient de s’opposer à l’expulsion de 75 clandestins, qui squattent illégalement depuis un an des locaux appartenant à l’hôpital Purpan de Toulouse. Une décision qui ravit les organisation pour le droit au logement.

C’est un long combat judiciaire entre le collectif Lascrosses et le CHU qui vient toucher à son terme. Le Conseil d’Etat vient de rendre son avis sur la situation de 75 clandestins vivant jusqu’ici illégalement dans des locaux appartenant toujours à l’hôpital Purpan. Et contrairement à la demande du CHU, ces migrants pourront rester le temps qu’ils souhaitent dans ce squat, puisque le Conseil d’Etat s’oppose à leur expulsion.

Logeant depuis le 19 septembre dernier dans le bâtiment Armendaud, des dizaines de bulgares, d’algériens ou de syriens dorment à même le sol dans ce bâtiment désaffecté, possédant tout de même l’eau courante, le chauffage et l’électricité. Sur les 75 personnes, on dénombre 25 enfants, encadrés par le Collectif Lascrosses, une organisation spécialisée dans les réquisitions de bâtiments privés pour loger des sans-abris, pour la plupart étrangers.

Propriétaire des lieux, l’hôpital avait engagé une procédure d’expulsion devant le Tribunal administratif de Toulouse. Sa requête ayant été rejetée, il avait saisi le Conseil d’Etat qui a rejeté son pourvoi, le 12 juillet dernier.

La décision du Conseil d’Etat satisfait le DAL 31

Le mouvement luttant pour le droit au logement, le DAL 31, qui occupe aussi depuis janvier un autre pavillon du CHU de Toulouse, sur le site de Lagrave, avec 70 personnes, se dit aujourd’hui heureux de cette décision par la voix de son porte-parole, François Piquemal au micro de France 3 Occitanie.  » On est heureux pour le collectif Lascrosses que le Conseil d’Etat ait tranché en sa faveur et ait débouté le CHU qui a pas mal de bâtiments vides. Cette situation n’était pas acceptable. Quand on voit qu’il y a plein de personnes à la rue et qu’il y a 80% de refus au 115 alors que l’Etat et la mairie ont plein de bâtiments vides à leur disposition et qu’ils n’appliquent pas la loi de réquisition. »

Une décision qui pourrait créer un appel d’air pour les squatteurs. Rappelons que depuis deux ans, 931 personnes ont déjà été relogés par les pouvoirs publics à Toulouse, après le démantèlement de grands squats ou camps installés illégalement, pour certains depuis plusieurs années. Le squat des Arènes ou le camp de Ginestous étant les cas les plus marquant. Les occupants expulsés sont pour une grande majorité des personnes originaires de l’Europe de l’Est ou du Maghreb, installées sur le territoire de manière illégale.

 

Source : infos-toulouse

Le député européen José Bové demande à Macron d’ouvrir les frontières pour accueillir les immigrés…

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2017

José Bové, député européen EELV, a lancé un appel au président de la République Emmanuel Macron pour que la France « accepte d’ouvrir ses frontières » aux « réfugiés ».

Samedi, José Bové participait à un rassemblement pro-immigrés à Tende (Alpes-Maritimes) au cours duquel il a réclamé que la France accueille encore plus d’immigrés.

« La France n’assume pas son rôle d’accueil » et le défenseur des droits Jacques Toubon « le dit aussi », a déclaré José Bové au cours d’un rassemblement de soutien à l’association locale Roya Citoyenne, qui vient en aide aux immigrés illégaux arrivant par l’Italie voisine.

Le député européen écologiste souhaite que la France « accepte d’ouvrir ses frontières et accueille un nombre de réfugiés qui corresponde à notre pays » et veut « faire sauter la convention de Dublin », qui tend à forcer les immigrés de déposer leur demande d’asile dans le premier pays qui les accueille.

Question toute simple : combien d’immigrés sont déjà logés chez ce député européen, grassement payé par les contribuables ?

 

Source : medias-presse.info

Au président de l’actuelle République , chef des armées : Monsieur Emmanuel Macron.

 

Au président de l’actuelle République , chef des armées : Monsieur Emmanuel Macron.

Le 14 Juillet 2017.

téléchargement.jpgLettre ouverte d’Alexis Arette , 24 La Carrère .64230 MOMAS
Paysan, combattant volontaire, Chevalier de la Légion d’honneur

Monsieur le Président,

Je viens d’assister sur le petit écran, aux cérémonies commémoratives de notre fête nationale, et je vous ai quelque reconnaissance de la façon parfaite dont elles se sont déroulées, jusqu’au moment ou vous avez pris la parole pour clôturer les cérémonies.

En effet, vous avez cité comme date représentative de ce qu’a voulu le peuple Français, le 14 Juillet 1789. Or ce 14 Juillet 1789 fut un sanglant malentendu attisé par les fausses accusations  portées par des révolutionnaires comme Camille Desmoulins, avec l’appui des bas-fonds, et, selon Marat,  une bande d’émeutiers Allemands. Les défenseurs de la Bastille qui s’étaient rendus sur la promesse de la vie sauve furent égorgés ; 7 prisonniers furent libérés : Quatre faussaires qui attendaient leur jugement, deux qu’il fallut ré-interner, et un incestueux qui avait violé sa sœur. Je ne pense absolument pas Monsieur le Président que vous ayez voulu célébrer cette libération.

Après ces tristes évènements, la sagesse sembla prévaloir, et le 14 Juillet 1790, la fête de la Fédération, parut ouvrir une ère nouvelle, celle d’une monarchie Constitutionnelle. C’est cette date qui fut retenue en 1880, comme notre fête Nationale. Le Symbole fut cependant trahi, et la République ne fut jamais fédérale.

Il est vrai que le fête  de la Fédération ne put contrer le travail des sectes , et ce fut, avec les guerres de religion, l’épisode le plus honteux de notre histoire que l’instauration de la terreur sous l’égide de la déesse Raison : Ce fut donc le génocide de la Vendée, avec les premiers fours crématoires, la persécution anti-Catholique, la guillotine pour les suspects,  et le  pillage de l’Europe par les soldats de l’an II,  avant que la révolution bottée de Napoléon n’inaugure de plus vastes charniers.

Je pense Monsieur le Président que vous devriez reconnaître votre erreur de datation, et ne point laisser penser que les atrocités de 1789, furent dans l’esprit de ce qui fut tenté lors de la fête de la Fédération. Peut-être même est-ce de cette dernière que vous devriez vous inspirer.

Permettez-moi d’ajouter une remarque à la liberté dont j’ai usé pour vous reprendre. J’ai appartenu, et aux postes les plus exposés, à cette armée Coloniale, suspecte d’avoir soutenu cette colonisation dont vous avez dit tout le mal que vous pensiez à Monsieur Boutéflika, qui en pense autant, au point qu’il a trouvé juste de faire crever les filles pied-noires dans ses bordels, après avoir dépecés et les avoir émasculés  un certain nombre de nos soldats prisonniers. J’ai totalement désapprouvé vos propos. Il est vrai que vous êtes le chef des armées, donc maître de la stratégie républicaine, mais en tant qu’amateur assez éclairé de la chose, je pense avoir un mot à dire : L’un de mes petits- Fils à qui j’ai pu, en tant qu’ancien, remettre la fourragère à St Maixent, 60 ans après y avoir reçu la mienne, n’a pas renouvelé son engagement, après avoir vécu le désarroi d’une armée, dont la crapule socialiste avait entrepris le démantèlement. Ce n’est pas nouveau. La gauche Française n’a jamais aimé nos soldats. C’est Clémenceau qui,  lors des révoltes des « Poilus » en 1917, proposait d’en fusiller un sur 10 ! Pour l’exemple !

De même, lors de la guerre d’Indochine, mes camarades parachutistes du 5e Bataillon, durent  se faire effectuer à leurs frais les cartouchières correspondantes aux chargeurs de leurs armes, celles livrées étant des vieilleries conçues pour d’autre dimensions. Il fallut attendre le général de Lattre pour mettre de l’ordre. Mais le général avait les pleins pouvoirs. C’est vous aujourd’hui qui les détenez. Et vous en usez vis-à vis de notre armée de la façon qui convient le plus à nos ennemis !

C’est-à-dire Monsieur le Président que je partage entièrement la position du Général de Villiers, en fonction de cette solidarité qui unit les hommes décidés à mettre leur peau au service de la patrie.

C’est immédiatement que vous devriez rogner sur les dépenses festives de la République,  rabattre les émoluments de vos députés, de vos hauts fonctionnaires, supprimer les honteuses faveurs et les prébendes sectaires du gouvernement précédent,  et ramener le tout au niveau nécessaire  pour donner au budget de  notre armée les moyens de sa mission.

Sinon ?

Et bien Monsieur le Président cela me rappelle une opération dans les monts du Tonkin, ou un chef de bataillon imbécile nous avait engagés, dans une gorge qui me rappelait le val de Roncevaux. Légitimement inquiet de ce qui pouvait survenir du haut des pitons, je demandai son avis à l’adjoint au chef de section,  mon camarade Rafaldi qui avait déjà une longue expérience : « Franchement, qu’en pensez-vous Rafaldi ? ». Il tourna vers moi un visage tragique, et fut précis : « Je pense que nous allons nous faire couper les couilles ! »

Nous sûmes le lendemain, que les bataillons Viets qui tenaient les hauteurs avaient reçu l’ordre de se réserver pour l’attaque générale du Jour suivant. Ce qui ne fut pas triste.

Je crains, Monsieur le président, que nos soldats n’ayant pas les moyens de leur mission, soient exposés au pire quand les ennemis le décideront. Et je crains qu’après nos soldats, comme nous en a averti le massacre de Nice, ce ne soit la population civile qui paie les frais de notre gabegie. Je crains encore que dans le désastre économique qui se prépare pour l’Algérie,  nous ne puissions résister au déferlement de millions de jeunes Algériens sur notre sol. Car la guerre, et la guerre de défense immédiate, monsieur le Président, ne se fait pas avec de l’humanisme en bouche, mais avec en main de bonnes armes !

Au cas où votre majorité faiblirait devant les sacrifices nécessaires, il vous sera facile de la remplacer !  Tant d’aspirants attendent au portillon : Mais vous ne remplacerez pas une armée découragée. Les gens qui acceptent de risquer leur vie ne courent pas les rues.

Vous ayant dit ce que j’ai cru devoir vous dire  en qualité de vétéran désireux d’épargner le pire à ses jeunes camarades et a la nation, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à mes meilleurs souhaits pour l’exercice de vos hautes fonctions.

Alexis Arette.