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lundi, 29 octobre 2018

Le Premier ministre tchèque : « L’Europe, c’est le village d’Astérix. Nous avons le droit de défendre nos frontières et notre mode de vie »

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2018

Par  le 28/10/2018

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Pour le Premier ministre tchèque Andrej Babis, l’Europe « c’est le village d’Astérix et Obélix » qu’il faut « défendre sur ses frontières naturelles », a-t-il déclaré à propos des migrants, en visitant avec le président français Emmanuel Macron un musée de Prague samedi matin.

« La République tchèque a un des plus petits (taux de) chômage d’Europe », a dit M. Babis, en français. « Tout ceux qui viennent en Tchéquie ont un permis de travail. Il faut faire le même système en Europe », a-t-il dit.

« Moi je dis toujours, c’est comme Astérix et Obélix, le village gaulois. Il faut défendre l’Europe sur ses frontières naturelles », a-t-il lancé après une promenade sur le pont Saint-Charles avec le président français. « Nous sommes prêts à augmenter notre effort de solidarité, nous envoyons des soldats, des policiers, de l’argent et nous allons encore augmenter notre participation », a-t-il dit.

(…) L’OrientLeJour

« Nous avons le droit de défendre nos frontières, notre mode de vie, notre patrimoine et notre culture » affirme le Premier ministre tchèque.

« En 2016, les trafiquants ont gagné 5,7 milliards d’euros en faisant entrer clandestinement en Europe des armes, de la drogue, des cigarettes et des migrants, selon le service de police Europol. Chaque migrant paie entre 2 000 et 5 000 dollars pour atteindre l’Europe. »

« Et c’est dommage que le système de quotas de migrants de la Commission européenne ait divisé l’Europe. »

(…) Express.co.uk

mardi, 12 juin 2018

Nouvelle Route des Balkans : l’Autriche se prépare à fermer sa frontière

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

 

Autriche – Quelques semaines après l’ouverture d’une nouvelle « Route des Balkans » passant par l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie et la Croatie, le ministre autrichien de l’Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), a annoncé l’organisation d’un exercice grandeur nature de fermeture de la frontière austro-slovène à Spielfeld en Styrie.

Cela fait à peine un mois que nous évoquions l’ouverture d’une nouvelle « Route des Balkans » via la Bosnie et cette question commence à s’imposer sur l’agenda politique des pays de la région : le Monténégro envisage de renforcer sa frontière avec l’Albanie sur le modèle hongrois, la police croate a été contrainte d’ouvrir le feu sur une camionnette qui forçait le passage de la frontière croato-bosniaque avec des clandestins à bord et le Parti démocratique slovène (SDS) de Janez Janša – soutenu par Viktor Orbán – est arrivé en tête des législatives slovènes sur un programme de refus des migrants.

Selon des estimations actuelles, environ 80.000 migrants se prépareraient actuellement dans les Balkans à tenter de rallier l’Europe occidentale.

L’Autriche quant à elle n’est pas en reste et prend d’autant plus au sérieux l’évolution de la situation dans les Balkans, que depuis l’automne dernier, la donne politique a changé à Vienne où la nouvelle coalition ÖVP-FPÖ dirigée par le chancelier Sebastian Kurz (ÖVP) se situe sur une ligne semblable à celle de la Hongrie de Viktor Orbán.

En témoigne notamment l’annonce ce vendredi matin, lors d’une conférence de presse convoquée expressément pour cela, par le chancelier Kurz et le vice-chancelier Strache, de la fermeture de sept mosquées extrémistes, de la dissolution d’une association confessionnelle arabe et de l’expulsion d’une soixantaine d’imams qui ne se conformaient pas à la loi autrichienne sur l’Islam (Islamgesetz).

Dès l’annonce donc de cette nouvelle « Route des Balkans », le ministre autrichien de l’Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), avait indiqué que l’Autriche n’hésiterait pas à fermer hermétiquement sa frontière avec la Slovénie si le besoin s’en faisait sentir. En d’autres termes, il est pour le gouvernement autrichien actuel absolument hors de question que les frontières autrichiennes redeviennent la véritable passoire à migrants qu’elles étaient en 2015.

En contact continu avec ses collègues des pays des Balkans, le ministre de l’Intérieur, Herbert Kickl, a donc décidé de préparer ses troupes et ordonné en conséquence la tenue d’un exercice grandeur nature de fermeture hermétique de la frontière austro-slovène le 25 juin prochain à Spielfeld en Styrie, dans le Sud du pays. Cet exercice qui mobilisera un millier de policiers et de soldats, dont l’unité de gardes-frontières « Puma » nouvellement constituée, simulera la prise d’assaut des postes-frontières par des migrants comme cela s’est produit en 2015 à Röszke à la frontière entre la Hongrie et la Serbie.

« Je veux être préparé pour le cas où tout en espérant que cela ne sera produira pas, » a déclaré à ce sujet M. Kickl qui a convié ses collègues des Balkans à assister à cet exercice de défense active de la frontière.

 

Source : visegradpost

mercredi, 14 mars 2018

La présidence autrichienne de l’UE veut fermer les frontières

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2018

Publié le 

L’Autriche prendra la présidence du Conseil de l’UE en juillet après les six mois de présidence bulgare. Le chancelier Sebastian Kurz, qui préside la coalition ÖVP-FPÖ, a annoncé vendredi en conférence de presse les priorités de la présidence autrichienne. Parmi ces priorités, il y aura la lutte contre l’immigration illégale. Kurz souhaite que l’on cesse de parler de relocalisation des demandeurs d’asile à l’intérieur de l’UE et que l’on empêche l’arrivée de nouvelles vagues d’immigrants ! Pour cela, Kurz a indiqué qu’il ne suffisait pas de protéger les frontières mais qu’il fallait renvoyer les immigrants illégaux en Afrique après leur sauvetage en mer, et non pas chercher à les relocaliser vers des pays qui n’en veulent pas.

Une option pourrait être d’étendre le mandat de l’agence européenne de surveillance des frontières Frontex, mais cela dépendra des négociations entre pays européens, y compris lors du sommet sur l’immigration et la sécurité prévu pour le 20 septembre.

Parmi les autres priorités de la présidence autrichienne, il y a aussi l’adhésion à l’UE des pays des Balkans occidentaux, et notamment de la Serbie et du Monténégro.

Ces priorités de la présidence autrichienne de l’UE confirment le rapprochement de l’Autriche avec le Groupe de Visegrád (V4). Un rapprochement amorcé sous le gouvernement précédent avec la fermeture, début 2016, de la route des Balkans aux immigrants clandestins par un effort coordonné de l’Autriche et du V4. Mais depuis la formation d’un gouvernement de coalition des droites sous la houlette de Sebastian Kurz, ce rapprochement s’est accentué, et quand le jeune chancelier autrichien a reçu le Hongrois Viktor Orbán fin janvier, les deux hommes étaient sur la même ligne en ce qui concerne la gestion de l’immigration. L’élargissement de l’UE vers les Balkans occidentaux est aussi un sujet important pour les capitales du V4.

Il faut donc s’attendre à des tensions entre la présidence autrichienne du Conseil de l’UE et la Commission européenne favorable à la politique des frontières ouvertes. Le commissaire grec aux affaires intérieures Dimitris Avramópoulos est intervenu lundi devant le Conseil de l’UE pour mettre en garde le futur gouvernement italien contre un changement de politique en matière d’immigration. « Nous comptons beaucoup sur la contribution italienne et sur le soutien de l’Italie à notre stratégie commune en matière d’immigration », a-t-il indiqué, avant de vanter la politique migratoire du gouvernement Gentiloni, alors que la route de la Méditerranée centrale, passant par l’Italie, semble justement retrouver une certaine popularité chez les candidats à l’émigration illégale vers l’Europe (5 247 arrivées en janvier-février, contre 2 653 en Grèce et 2 306 en Espagne).

Le 6 mars 2017, le même Avramópoulos déclarait à Genève que « les Vingt-Sept auront besoin à l’avenir de six millions d’immigrés ». En décembre 2017, il se fendait d’un article sur le site Politico pour expliquer que les immigrants arrivés illégalement en Europe étaient là pour rester et que nous devions nous y adapter.

La présidence autrichienne de l’UE nous promet donc une intensification du conflit dans l’UE entre les partisans du grand remplacement et les patriotes. Dans un entretien à la télévision hongroise mis en ligne sur le profil Facebook du Visegrád Post, le président du Parlement hongrois a expliqué à ce propos : « Nous avons en face de nous des idiots. »

Olivier Bault

 

Source : present

vendredi, 29 septembre 2017

Murs et frontières

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2017

envahisseur,frontières,mursIl est de bon ton de critiquer l’idée de fermer le territoire français (et européen) aux masses d’allochtones qui s’invitent chez nous. Je reconnais pour commencer qu’il est vain de comparer strictement le fonctionnement d’un pays et celui d’un particulier mais tout de même osons une projection.

Vous vivez dans une ville, possédez une maison pour l’achat de laquelle vous avez usé de l’héritage légué par vos parents. Votre vie familiale est harmonieuse, votre maison vivante par la grâce de quelques voisins et amis invités le week end ou à l’occasion des vacances à partager un bon repas sur la terrasse qui bien sûr ne saurait se terminer sans le « pousse café » et le cigare. Bref un petit paradis qui vous appartient, et qui justifie les efforts déployés le reste du temps pour en assumer les charges et en jouir pleinement. 

Avez-vous suffisamment confiance dans le comportement de tous ceux d’alentours pour ne pas fermer la porte lorsque vous partez ? Dit autrement, ne craignez-vous pas que le premier malandrin venu, constatant que la porte n’est pas verrouillée, en profite pour s’installer, dormir dans votre lit, se nourrir de vos victuailles conservées dans votre frigo ? Imaginons dans un premier cas qu’après ses frasques il se retire : c’est un vandale ou un malappris. Dans un deuxième cas, imaginons qu’il vous contraigne à partager : c’est un envahisseur.

L’envahisseur n’est pas différent du « migrant ». A ceci près que généralement les citoyens se liguent contre l’envahisseur. Ici le « migrant » a toutes les excuses. Qu’attendre de lui ? Rien. Il est une victime et vous un pauvre con.

C’est à cause de ce genre de parallèle qu’on nous dit que la comparaison entre un pays et un particulier n’est pas valable. Il y aurait une légitime protection du foyer mais un espace extérieur non privatif, qui n’appartiendrait donc pas au peuple qui l’a aménagé, dans le cas de la France, à quelques exceptions prêt on pourra même dire magnifié.

Soit, mais alors que penser de l’usage patrimonial de notre état qui est restreint à la jouissance de particuliers dont le seul mérite est d’avoir été élu ? Pourquoi ne pas partager plus constamment qu’avec les seules journées du patrimoine ? Ne sont-ce pas les biens nationaux décrétés sous la Révolution ? Ces gens là ne se sont ils pas faits les parangons du partage ?

Un autre sujet où le parallèle particulier-état n’est pas admis est celui de la dette. Aucun particulier ne peut s’endetter (licitement) au-delà d’un tiers de ses revenus. Comment expliquer que la dette du seul état français se chiffre à 2 200 milliards d’euros (100 % du PIB) alors même que ses « revenus » ne sont que les recettes fiscales acquises sur ce PIB ? Je comprends certes qu’il puisse être nécessaire de se surinvestir à un instant T pour financer une infrastructure très coûteuse, le fonctionnement général de l’état pendant une disette, ou la guerre face à un risque d’occupation étrangère. Mais comment justifie-t-on un endettement de cette proportion ?

La réponse est simple : ce n’est pas moi, c’est l’autre ! A chaque élection on continue l’irresponsabilité passée mais on s’acquitte de la dette en en rejetant l’origine au prédécesseur.

Je voudrais alors proposer quelques pistes pour chercher une solution. D’abord utiliser au maximum les ressorts du financement « participatif ». Si chacun épargne et en fait profiter le voisin, il est possible de sortir de la spirale du prêt à usure, tout en renforçant les liens entre nous. Le Peuple dixit Jean-Yves Le GALLOU citant Ernest RENAN : « c’est avoir fait de grandes choses ensemble et vouloir en faire encore voilà les conditions essentielles pour être un peuple ». Faisons déjà les petites choses du quotidien. Deuxièmement la restauration de l’autorité ne pourra se faire que si nous, les autochtones, témoignons d’une parfaite exemplarité en matière de vie sociale, de respect des voisins, de moralité. Exit les faillis qui abaissent la représentation française par leurs frasques répétées. Enfin le village gaulois. Les celtes considéraient qu’un chef ne régnait que sur le territoire sur lequel se posait son regard. Que des communautés de franco-français, francophiles et franco-féconds se peuplent de leurs semblables comme le furent les villages jusqu’à ce que le désastreux exode rural fasse mourir la France profonde.

Rédigé par Marc-Antoine Hennet

Le parti de la France du Gers

lundi, 24 juillet 2017

Le député européen José Bové demande à Macron d’ouvrir les frontières pour accueillir les immigrés…

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2017

José Bové, député européen EELV, a lancé un appel au président de la République Emmanuel Macron pour que la France « accepte d’ouvrir ses frontières » aux « réfugiés ».

Samedi, José Bové participait à un rassemblement pro-immigrés à Tende (Alpes-Maritimes) au cours duquel il a réclamé que la France accueille encore plus d’immigrés.

« La France n’assume pas son rôle d’accueil » et le défenseur des droits Jacques Toubon « le dit aussi », a déclaré José Bové au cours d’un rassemblement de soutien à l’association locale Roya Citoyenne, qui vient en aide aux immigrés illégaux arrivant par l’Italie voisine.

Le député européen écologiste souhaite que la France « accepte d’ouvrir ses frontières et accueille un nombre de réfugiés qui corresponde à notre pays » et veut « faire sauter la convention de Dublin », qui tend à forcer les immigrés de déposer leur demande d’asile dans le premier pays qui les accueille.

Question toute simple : combien d’immigrés sont déjà logés chez ce député européen, grassement payé par les contribuables ?

 

Source : medias-presse.info