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mardi, 12 septembre 2017

Il y a plus de naissances en Seine-Saint-Denis qu’à Paris désormais et voilà ce que ça va changer

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

 
 

Les statistiques de l’INSEE montrent que le nombre de naissances est désormais plus important en Seine-Saint-Denis qu’à Paris intra-muros. Comment ont évolué ces naissances au cours de ces dernières années, et comment peut-on l’expliquer ?

Laurent Chalard : Effectivement, la dernière publication de l’INSEE du 30 août 2017, concernant les statistiques sur les naissances en France par département pour l’année 2016, montre que le nombre de naissances en Seine-Saint-Denis est supérieur d’un millier à celui constaté à Paris intra-muros, soit 29 065 naissances contre 28 384. Cela paraît surprenant, au premier abord, car Paris compte 600 000 habitants de plus que la Seine-Saint-Denis, en l’occurrence 2,2 millions d’habitants contre 1,6 million, témoignant d’un taux de natalité sensiblement plus élevé dans le département de banlieue.

Cette situation constitue un fait nouveau, consécutif d’un basculement récent, totalement passé inaperçu parmi les spécialistes, qui a eu lieu en 2014. En effet, jusqu’à cette dernière date, conformément à son poids démographique sensiblement moindre, le nombre de naissances en Seine-Saint-Denis était inférieur à celui de Paris intra-muros. Par exemple, si l’on remonte une vingtaine d’années en arrière, c’est à dire en 1997, alors qu’il y avait 29 744 naissances à Paris, soit un nombre à peu près équivalent à celui de 2016, par contre, il n’y en avait que 22 264 en Seine-Saint-Denis, soit sensiblement moins qu’aujourd’hui.
Comment expliquer ce basculement ? Il est le produit de deux principaux facteurs.

Le premier est la croissance de la population de la Seine-Saint-Denis, bien plus forte que celle de Paris intra-muros, qui contribue mécaniquement à augmenter le nombre de naissances dans ce dernier département, d’autant que les nouveaux arrivants sont issus de l’immigration internationale, ce qui a un impact, nous allons le voir, sur la fécondité. En effet, deuxième facteur explicatif du basculement, il existe des différences importantes de taux de fécondité entre les deux départements. En 2015, ce dernier était de 1,54 enfant par femme à Paris intra-muros alors qu’il était de 2,46 enfants par femme en Seine-Saint-Denis. Le seuil de remplacement des générations se situant à 2,06 enfants par femme en France, ces différences signifient qu’à fécondité égale d’une année sur l’autre, les naissances parisiennes diminuent mécaniquement, alors qu’en Seine-Saint-Denis, elles progressent. La plus forte fécondité de cette dernière est liée à la surreprésentation des familles d’immigrés extra-européens, en particulier originaires des pays les plus féconds de la planète (dont d’Afrique subsaharienne). Cependant, la plus faible fécondité parisienne peut aussi s’expliquer par la surreprésentation à Paris de jeunes femmes étudiantes entre 18 et 25 ans, potentiellement fécondes mais, qui n’ont dans la réalité que des enfants plus tardivement lorsqu’elles ont quitté la capitale, conduisant à baisser artificiellement le taux de fécondité parisien.

(…) Atlantico

Source 2 : fdesouche.

Contre la transparence universelle

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

POSTÉ LE 11 SEPTEMBRE , 2017, 9:06

Cropped-big-brother-is-watching-1984-222x150.pngLe rêve des éminences du Nouvel Ordre Mondial est que toute société et tout individu soient transparents.

C’est-à-dire qu’en permanence, ces oligarques sachent ce que vous faites, ce que vous pensez, où que vous soyez, à n’importe quel moment, et dans n’importe quelle circonstance.

L’une des premières étapes est celle que les banksters mondialistes nous imposent actuellement : l’abandon de la monnaie fiduciaire (les espèces, le cash) et l’adoption exclusive de la monnaie virtuelle sous forme des cartes plastiques.

Ainsi, toute dépense et tout crédit seront facilement traçables.

Les flux financiers sur vos comptes sont déjà captifs des organismes financiers, seuls maîtres de l’opportunité de vos décisions.

Ceci, bien évidemment, au prétexte de combattre les financements des organisations terroristes, les transferts vers les paradis fiscaux ou le blanchiment d’argent.

Mais toutes ces raisons sont fallacieuses, imposées au nom d’une « moralisation » de la société dans son ensemble et sous tous ses aspects.
Tout le monde, il est beau et tout le monde, il doit être gentil !

Au nom de l’égalitarisme et de l’industrie 2.0, plus compétitive, le Régime nous vante les avantages (?) de l’informatique et de la numérisation généralisée.

Sans trop s’étendre sur les pan­nes d’Internet et encore moins sur les conséquences d’un « black-out » électrique qui mettrait notre économie et nos activités quotidiennes hors service, pendant un certain temps.

Inimaginable ? Songez-y et ne vous bercez pas d’illusions, les satellites tournent au-dessus de vos têtes ! Des milliards de données changent de continent en quelques instants.

Tout est numérisé, scanné, informatisé, dans le seul but du contrôle permanent des flux de marchandises, des transferts financiers et des mouvements de population.

L’idéal pour les maîtres du monde serait qu’un implant soit greffé dans le corps de chaque individu afin, par exemple, de retrouver rapidement un enfant disparu – mais aussi afin de savoir, en temps réel, où se trouvent les « mal-pensants ». Le top du top !

On nous vante les avantages de la robotisation généralisée, mais sans s’attarder sur les millions de personnes inaptes et sans qualification qui seront exclues du « meilleur des mondes », nouveau « lumpenprolétariat » du XXIe siècle.

Bientôt, les robots s’installeront dans votre salon.

Les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) sont les instruments du mondialisme à visage inhumain.

Le summum de ce scénario imaginé, analysé, planifié – et qui nous sera imposé par les laquais de la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI) –, sera atteint lorsque les citoyens-esclaves auront accepté, non seulement le clonage biologique humain, mais encore le contrôle absolu de leur vie privée (« on n’a rien à cacher, nous ») et la dévotion totale à Big Brother, entité œuvrant au bonheur planétaire accessible à tous, sans distinction de race, de religion ou de classe sociale.

La plénitude d’une sérénité absolue ! Le big data déterminera ce que vous devrez être.

Mais ce sera sans moi, rebelle et révolutionnaire dans l’âme, car allergique à toute forme de servitude ou de transparence.

 

Source : les4verites

Banalisation du racisme anti-blanc dans le discours médiatique

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

Publié le 11 septembre 2017 Auteur par Pierrot

discours médiatique,racisme anti-blanc,saint-martin

Dans ce reportage du groupe Radio France après le passage du cyclone Irma, les journalistes s’en prennent aux touristes blancs de Saint-Martin parce qu’ils ont pu partir de l’île. L’ethno-masochisme et maintenant le racisme anti-blanc se sont installés sans résistance dans le discours médiatique.

 

Source : contre-info

DEI EZ-ZOR LIBEREE PAR L’ARMEE SYRIENNE

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

lundi 11 septembre 2017par Michel Dantan

armée syrienne,dei ez-zor,russes,usaLes manœuvres d’obstructions des forces de la coalition emmenées par les USA pour retarder la libération de la ville de Dei ez- Zor par l’armée syrienne (1), se sont avérées inutiles et n’auront au bout du compte réussis qu’à prolonger le martyre de ses habitants soumis à un blocus inhumain qui pendant deux ans les aura privé d’eau, de nourriture et de médicaments. Leur cauchemar a pris fin depuis hier après que les troupes de Bachar el Assad aient fait leur jonction avec les forces armées de la garnison de l’aéroport de la ville encerclée et soumis à d’incessants assauts de Daech depuis 2014. L’heure est aujourd’hui au ravitaillement organisé par les russes et à la sécurisation des quartiers de la ville d’où les djihadistes ont été chassé. La victoire remportée par l’armée syrienne obtenue grâce au concours de l’aviation russe est la troisième parmi celles obtenues depuis le début de l’année démontrant si besoin était que les troupes fidèles au régime malgré les pertes subies au cours de trois années de combats incessants n’a cessé de se renforcer et finalement gagner à travers le pays la reconnaissance de couches toujours plus importantes de la population. Car il faut bien le reconnaître, la reconquête n’a été rendue possible que parce que les syriens loin de rallier en masse les groupes de l’opposition qui se reconnaissent dans l’idéologie de l’islamisme radical dont Daech représente la figure de proue, se sont au contraire tournés vers le patriotisme, le seul bien commun qu’il leur restait encore à défendre pour na pas laisser leur pays entraîné vers la descente aux enfers qui lui semblait promis. Car au bout du chemin il ya la paix, sans doute le bien le plus précieux auquel aspire aujourd’hui une large majorité de syriens, et qui grâce aux sacrifices de leur armée et de ses alliés leur paraît enfin à portée de main. De surcroît le projet américain de morceler leur pays pour en faire un pion au service de leurs intérêts sur l’échiquier moyen oriental a pris du plomb dans l’aile, de même que celui de créer un Kurdistan autonome à leur botte pour renforcer à l’avenir le contrôle qu’ils aimeraient bien pouvoir exercer sur les ressources énergétiques de la région ainsi que sur l’axe stratégique de la future route de la soie, n’est pas non plus en bonne voie. Dans ce contexte la Russie fait à nouveau la démonstration qu’elle seule venait au secours des populations martyres en acheminant par convois entiers l’aide humanitaire dont elles ont besoin. Un engagement humanitaire qui lui vaut le respect du monde arabe, tandis que la France enchaînée au char des USA et de leur jeu trouble sinon criminel dans cette partie du monde y perd chaque jour un peu plus de son prestige et de son influence. 
(1). Le 17 septembre 2016, l’aviation américaine bombarde les soldats syriens à Dei ez-Zor, permettant aux djihadistes de repasser à l’offensive.

 

Source : national-hebdo

Un grand saut dans le passé

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2017

Aujourd'hui, grâce aux camarades CGT, nous allons faire un grand saut dans le passé et redécouvrir le doux parfum de l'idéal collectiviste.