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mercredi, 27 septembre 2017

« Par Allah, je ne regrette aucun de mes actes », la lettre de Mohammed Mérah à Nicolas Sarkozy

Publié par Guy Jovelin  le 27 septembre 2017

Mohammed Mérah au volant de sa voiture, en plein rodéo.

Une lettre manuscrite, apparemment rédigée par le terroriste Mohammed Mérah, a été révélée par l’hebdomadaire Marianne, vendredi. Une missive adressée à Nicolas Sarkozy, alors président de la République, où l’islamiste justifie ses actes. 

« O vous, les français », c’est en prenant directement ses distances avec la citoyenneté qu’il a obtenu que Mohammed Mérah aurait introduit les quelques mots adressés à Nicolas Sarkozy. Révélé par l’hebdomadaire Marianne, vendredi 22 septembre, ce manuscrit aurait été retrouvé dans un sac laissé à une amie, quelques heures avant le premier assaut du RAID. Si cette lettre avait été écrite après les attentats, c’est surtout au moment où il se sait recherché qu’il aurait rédigé ces quelques lignes gorgées de fautes d’orthographes et de ratures. Il affirme que deux issues s’offrent à lui : la prison avec la tête haute ou la mort avec un grand sourire ».

Dans cette missive, le terroriste revient sur ses motivations et décrit ses crimes comme « le plus beau moment de sa vie ». Voici un extrait :

« O vous, les français, vous nous combattez parce que vous emprisonner nos frères ainsie que nos sœurs, vous interdisait le port du voile et vous faite des caricature sur notre Prophète bien aimer », écrit ainsi le terroriste pour justifier ses attaques qui ont visé des militaires français et des enfants et enseignants de l’école juive Or Hatorah. S’adressant plus loin au président de la République d’alors, Nicolas Sarkozy, l’islamiste promet de nouvelles attaques similaires « avec la permissions d’Allah ».

« Depuis le jour de mes attaques, sa a été le plus beau moment de ma vie, par ALLAH, je ne regrette aucun de mes actes », se réjouit-il par ailleurs dans sa lettre, précisant que n’importe quelle issue serait pour lui une réussite.

Le procès Mérah attendu

Finalement l’enfant des Izards aura été abattu par le Raid le 22 mars 2012, après 32 heures de siège autour de son appartement, où il s’était retranché. On le rappelle, il avait tué un militaire au gymnase de la Cité de l’Hers, le 11 mars 2012, puis tiré sur trois autres soldats à Montauban, le 15, et enfin attaqué une école juive de La Roseraie, tuant 4 personnes, élèves et professeurs compris. Au total, ce sont 7 personnes, dont trois enfants, qui auront perdu la vie du fait des attaques de l’islamiste. Le 2 octobre prochain, son frère, Abdelkader Merah sera jugé dans le cadre de cette affaire. Il est notamment accusé d’avoir participé au vol du scooter ayant permis au terroriste de perpétrer ses attentats. Il ne sera pas seul dans le box des accusés, un autre délinquant de Toulouse sera lui aussi jugé pour avoir fourni un pistolet mitrailleur et un gilet pare-balle à son ami. La question à laquelle tentera de répondre le jury sera de savoir s’ils étaient au courant des intentions de Mérah.
 

Les portables devenus rois de la prison de Seysses

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2017

   

Les portables font désormais la loi dans la prison de Seysses. Bien qu’interdits, les mobiles permettent aux caïds de continuer à gérer leurs affaires illégales et d’exercer un moyen de pression sur d’éventuels rivaux ou témoins. 

La prison de Seysses, au sud de Toulouse, fait de nouveau parler d’elle. Malgré le scandale de la vidéo diffusée sur YouTube en février 2017, où l’on voyait certains de ses détenus exhiber fièrement de la marijuana dans leurs cellules, aucune mesure ne semble avoir été prise pour contrer le va-et-vient incessant des téléphones portables en son sein.

1000. C’est le nombre de portables qui sont ainsi saisis chaque année à la maison d’arrêt de Seysses. Des « projeteurs » comme les ont surnommés les gardiens, n’ont qu’à longer la Saudrune et traverser les courts de tennis jouxtant la prison pour jeter les précieux « colis » par dessus son enceinte. La famille ou les proches d’un détenu peuvent ainsi, de jour comme de nuit, lui faire passer de la drogue, de l’alcool, des armes blanches et des portables en seulement quelques dizaines de minutes. A l’intérieur, le manège est maintenant bien rodé : un détenu est choisi pour faire la mule, c’est à dire récupérer discrètement les diverses denrées pendant la promenade et les remettre à celui qui avait passé sa commande via… son téléphone portable personnel. Un portable saisi est ainsi systématiquement et aussitôt remplacé. Nicolas François, secrétaire local du syndicat pénitentiaire des surveillants à Seysses, déplore la situation : « Celui qui purge une peine, s’il a un business dehors, continue de l’exercer avec son téléphone« .
Les portables créent d’une autre part une véritable hiérarchisation carcérale, celui qui en détient devenant un caïd pouvant directement menacer la famille ou les amis d’un co-détenu avec qui il a eu un différent. Vecteur d’une violence toujours plus forte, le portable est au cœur de nombreuses rixes à l’intérieur de la prison : « Au cours du grand week-end du 15 août, un détenu s’est fait casser la machoire parceque son frère doit des comptes à des gars à l’extérieur. Pour lui mettre la pression ils ont fait faire le travail depuis l’intérieur« , raconte le surveillant à La Dépêche. Les tensions qui existaient déjà à cause du trafic de shit se voient de la même manière multipliées par dix : en mars, deux surveillants ont été attaqués. La raison ? Ils venaient tout simplement de faire leur travail en interceptant un portable…

Les gardiens sont les premiers à regretter une telle situation, eux qui ne cessent de réclamer une augmentation de leurs effectifs. En ce moment, des étages de 110 détenus peuvent être surveillés seulement par une seule personne ! Dans une lettre ouverte, datant de cet été et adressée à la garde des Sceaux Nicole  Belloubet, les gardiens font un rapport alarmant quant à leur situation actuelle et soulignent une surpopulation toujours plus inquiétante.

Rappelons que la maison d’arrêt de Seysses compte aujourd’hui pas moins de 1 120 détenus pour seulement 670 places.

L. Fandor

 

Source :infos-toulouse

La France sera-t-elle musulmane dans 40 ans ?

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2017

POSTÉ LE 26 SEPTEMBRE , 2017, 11:56

france,natalité,population musulmaneCharles Gave, un économiste et financier pour qui j’ai de l’estime et de l’amitié depuis très longtemps, a publié voici peu un article très pertinent dans l’un des derniers magazines encore lisibles en France : « Causeur ».

Il y expliquait la situation démographique absolument cataclysmique de l’Europe.

Il notait, en particulier, que le taux de fécondité des femmes européennes non musulmanes se situait présentement à 1,4, alors que celui des femmes musulmanes était nettement au-dessus du double de ce chiffre.

Il procédait à un calcul de ce que cela impliquait pour l’Europe dans vingt ans, lorsque les enfants nés aujourd’hui seraient en âge d’avoir des enfants, et en auraient.

Il soulignait que, si la natalité au sein des populations non musulmanes ne se redressait pas (or, strictement aucun facteur ne permet de penser aujourd’hui que cette natalité va se redresser), et si la natalité au sein des populations musulmanes se maintenait, cela signifierait qu’à une échéance de quarante ans, plusieurs pays européens (la France, l’Allemagne, l’Autriche, l’Espagne, l’Italie, la Belgique, les Pays-Bas…) seraient des pays à population majoritairement musulmane.

Il disait que, dès lors que la France est, d’ores et déjà, le pays qui compte au sein de sa population la plus forte proportion de musulmans (dix pour cent selon les études internationales), le basculement, en France, se ferait encore plus vite.

Charles Gave en tirait des conclusions en matière de culture et de civilisation, mais aussi en matière d’économie, et en déduisait une destruction culturelle, un anéantissement de la civilisation européenne, et une paupérisation généralisée.
Ses analyses me semblent pertinentes.

Il rappelait d’ailleurs qu’elles recoupaient celles du grand historien Pierre Chaunu, auteur d’un livre sur le sujet appelé « La peste blanche », paru en 1967, écrit avec Georges Suffert, et dont le sous-titre ne peut que se lire avec tristesse aujourd’hui : « Comment éviter le suicide européen ? »

Charles Gave ajoutait qu’il était sans doute trop tard et que, si un réveil devait avoir lieu en Europe, il devait avoir lieu maintenant.
Je m’attendais à ce que son article soit reçu dans un silence glacé. Ce fut le cas.

Je m’attendais à ce que, si son article rencontrait un écho, cet écho soit négatif et arrogant. Ce fut le cas aussi.

Le journal des gauchistes post-soixante-huitards devenus sep­tuagénaires et des jeunes crétins qui ont pris la suite, « Libération », a publié une réfutation, en utilisant un mot issu de la scatologie langagière devenue commune dans ces milieux, et en qualifiant l’article de Charles Gave de « foireux ».

La réfutation ressemble à une longue dénégation bancale, et repose sur des chiffres officiels très trafiqués, sur des hypothèses d’école pour cancres, sur des circonlocutions suggérant que parler de musulmans est raciste, qu’il ne faut pas confondre ethnie et religion (ce que Charles Gave ne fait aucunement), et sur un aveuglement absolu concernant l’islam.

Charles Gave est, bien sûr, accusé d’être d’extrême droite (l’insulte censée tuer).

Des réfutations telles que celle publiée dans « Libération » auraient pu se trouver publiées ailleurs, dans d’autres journaux et magazines.
Elles font partie du prêt-à-penser qui sert à laver les cerveaux depuis des générations désormais.

Elles montrent qu’il y a toutes les raisons de penser que le réveil espéré par Charles Gave n’aura pas lieu.

Elles montrent aussi que l’expression « suicide européen » utilisée par Pierre Chaunu et Georges Suffert est inexacte.

Ce qui se passe est un assassinat.

Les assassins de la civilisation européenne ont permis l’immigration musulmane, et ont autorisé qu’elle prenne des allures d’invasion.
Ils ont accepté que les musulmans installés en Europe prennent la nationalité de pays européens sans s’intégrer.

Ils se sont aveuglés délibérément sur l’incompatibilité de l’islam avec la civilisation occidentale, et ils ont disséminé l’aveuglement autour d’eux.

Ils continuent.

Ils n’ont cessé de vouloir la destruction de la civilisation occidentale.

Ils sont presque venus à bout de l’Europe. Ils ne discernent même pas que la liberté de parler et de penser dont ils abusent est le fruit de la civilisation occidentale.

Ils me donnent la nausée.

 

Source : les4verites

Belgique : vers un déremboursement de la circoncision rituelle

 Publié par Guy Jovelin le27 septembre 2017

 
 
En Belgique, le comité consultatif de bioéthique s’est penché sur la question de la circoncision rituelle, après l’interpellation d’un médecin bruxellois qui a assimilé cette pratique à l’excision, soit une mutilation génitale interdite par la loi.

Béatrice Toussaint, la présidente du comité, propose que les musulmans et les juifs fassent évoluer la pratique vers un acte purement… symbolique, ceci afin que le rite puisse avoir lieu, « mais sans toucher à l’intégrité de l’enfant et sans poser d’actes chirurgicaux ».

Sans surprise, cette proposition a fait bondir les organisations juives et musulmanes. Pour Jamal Habbachich, imam de la mosquée Atadamoune de Molenbeek, ce nouveau débat témoigne d’un acharnement contre certains rites religieux tels que l’abattage rituel. Une disposition qui aurait peu d’impact sur la communauté juive si on s’en tient aux dires de Yohan Benizri. D’après lui, la circoncision des bébés juifs a rarement lieu à l’hôpital. C’est moins le cas pour les musulmans et l’imam Jamal Habbachich dit redouter que les familles les plus défavorisées en payent le prix.

Source : fdesouche via Saphir News