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jeudi, 28 septembre 2017

C’était un 28 septembre : mort de Roger Nimier

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

Auteur : admin4

Le célèbre écrivain, passionné de voitures, se tue au volant de son Aston Martin à l’âge de 37 ans, en compagnie de la romancière Sunsiaré de Larcône, à la hauteur de La Celle-Saint-Cloud, le 28 septembre 1962.

Il était considéré comme le chef de file du mouvement littéraire dit des « Hussards ».

Ce courant, dans les années 1950 et 60, s’opposa aux existentialistes et à la figure de l’intellectuel engagé qu’incarnait Jean-Paul Sartre. Les Hussards se distinguaient d’abord par un style, cinglant. On les caractérisait aussi comme antigaullistes de droite, anticonformistes, refusant les modes et ayant le goût des causes perdues.

Les plus fameux romans de Roger Nimier sont Les épées, Le hussard bleu et Les enfants tristes.

Son ami Antoine Blondin lui consacrera un ouvrage : Monsieur Jadis ou l’école du soir.

 

Source : contre-info

Adhérez au Parti de la France

   

Carl Lang.jpegLe Parti de la France du Président Carl Lang, homme de sagesse ne pratiquant ni la démagogie ni les vociférations à outrance (apanage de certains élus de notre pays), est le seul Parti sur l’échiquier politique français à représenter la droite nationale populaire et sociale.

La droite nationale populaire et sociale cela veut dire aider la France et les Français d'abord et ce dans tous les domaines.

Avec des moyens dérisoires et sans aucun permanent, le PdF fournit gratuitement tracts, affiches et autocollants à ses militants, ce que peu de partis font. C’est pourquoi  nous vous remercions de faire cette simple contribution annuelle qui est la base d'un engagement politique dans un mouvement.

 

Nous avons besoin de vous.

 

Cliquer sur ce lien ci-dessous pour accéder à la page d’adhésion :

http://www.parti-de-la-france.fr/Adherez-_a185.html

 

Guy Jovelin 

Membre du bureau politique du PdF

Délégué Occitanie  (Midi-Pyrénées)

Nouveau coup de rabot contre les familles

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

Les familles restent les vaches à lait d'un gouvernement à l'autre :

Unknown-8"Vigilance pour les parents donnant naissance à partir du 1er avril 2018. L'allocation de base de la Prestation d'accueil du jeune enfant (Paje) sera à partir de cette date alignée sur les montants et les plafonds du Complément familial. Auourd'hui fixé à 184 euros à taux plein, cette allocation versée mensuellement sous conditions de ressources aux parents d'enfants de moins de trois ans sera revue à la baisse de quinze euros. Soit 169 euros, comme le Complément familial, versé aux allocataires modestes ayant au moins trois enfants de plus de trois ans. A taux partiel, la réduction s'élève à 7,50 euros par mois en passant de 92 à 84,50 euros.

L'entourage du ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé mercredi cette information du Figaro. Cet «alignement» s'appliquera «pour les naissances à partir d'avril 2018, le montant ne changera pas pour les parents qui en bénéficient déjà», a-t-on précisé de même source. En 2016, l'allocation de base de la Paje comptait un peu plus d'1,5 million de bénéficiaires à taux plein.

En ce qui concerne les plafonds de ressources, ils passeront pour un enfant, de 30 000 euros à 26 000 euros pour un couple avec un seul revenu d'activité, et de 38 000 à 34 000 euros pour une personne seule ou un couple avec deux revenus d'activité. De ce fait, «des familles vont sortir des critères» d'attribution, a ajouté cette source sans en préciser le nombre. On ignore encore si les bénéficiaires à taux plein basculeront de factodans les allocataires à taux partiel. Le Figaro, qui avance le chiffre de 10% de bénéficiaires en moins, ajoute que cette mesure concernerait également la prime à la naissance (923,08 euros), avec une diminution de 5% des bénéficiaires.

Cet alignement permettra l'économie de près de 70 millions d'euros en 2018 et 500 millions en trois ans, a ajouté l'entourage de la ministre."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

Le président des Hautes-Alpes sonne l’alerte : « Dans notre département, le flux de migrants explose »

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

 

INTERVIEW – Président LR des Hautes-Alpes, Jean-Marie Bernard a fait voter une délibération pour alerter l’État sur les conséquences financières de l’explosion des flux migratoires pour son département.

LE FIGARO. – Comment évolue la situation dans votre département?

Jean-Marie BERNARD. – Ici, le flux de migrants explose! La protection de l’enfance étant une compétence départementale, nous avons la responsabilité des mineurs. Or, d’un rythme de cinquante mineurs étrangers par an, nous sommes rapidement montés à une prise en charge de cinquante mineurs par mois. Et le volume ne cesse d’augmenter. Nous avons vu passer depuis janvier plus de sept cents mineurs ou pseudo-mineurs! Car il est parfois difficile de faire la part des choses entre les mineurs et ceux qui ne le sont pas…
Comment avez-vous procédé?

Il a fallu gérer l’urgence, car nous devons évaluer ces mineurs, réaliser des enquêtes sociales. J’ai dû faire réquisitionner des hôtels, des centres d’hébergement associatifs pour les loger, recruter des travailleurs sociaux supplémentaires. À la fin de l’année, le département aura versé 2,5 millions d’euros pour tout traiter, quand d’ordinaire nous dépensions seulement 100.000 euros. Je suis obligé de faire des coupes sombres partout dans les budgets, de reporter des travaux importants. C’est une charge colossale pour un département de 140.000 habitants. L’aide sociale à l’enfance n’a pas été inventée pour absorber les afflux migratoires.

Et combien vous doit l’État en principe?

Il devrait, sur ces 2,5 millions annuels, me rembourser de 1 million à 1,2 million d’euros. En France, l’ensemble des départements a déjà engagé 1 milliard d’euros pour l’accueil de ces mineurs non accompagnés. Le gouvernement a promis de faire des efforts pour nous aider. Qu’il concrétise ses promesses. Songez qu’en plus de ces dépenses exceptionnelles, dans les Hautes-Alpes, nous sommes obligés de nous endetter pour payer le revenu de solidarité active (RSA) que l’État devrait payer! C’est 500.000 euros de plus que l’on nous demande, pour une mission qui n’est pas la nôtre. Si j’additionne tout ce que l’État nous doit, ce sont de 17 à 20 millions d’euros qui nous manquent en fin d’année. En dix ans, la facture impayée atteint ici 120 millions d’euros!

Le Figaro

 

Islamo-Gauchisme-Douce France : Mélenchon et la tentation de la violence

Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2017

PAR  LE 

Mélenchon et la tentation de la violence

By Eric Verhaegheeric-verhaeghe.entreprise.news septembre 24, 2017

 
 

On a bien tort de sous-estimer Mélenchon. Depuis des années, ses petits copains socialistes l’ont pris pour un vulgaire démagogue. Après des années de haine et d’incertitudes, il a fini par leur mettre des centaines de milliers de voix dans la vue. Il est comme ça le Chavez de l’Essonne: il tonitrue, il se fait moquer, mais les moqueries le renforcent, et à la fin ses oraisons tribuniciennes lui ouvrent la voix.

Les erreurs les plus fréquentes commises sur Mélenchon

Sur Mélenchon, on ne compte plus les lieux communs erronés qui circulent.

Le premier d’entre eux est de croire qu’il n’est pas révolutionnaire. Son recours répété à la rue le montre. Certes, Mélenchon n’appelle pas aux armes. Mais les siens ne manquent pas une occasion de faire l’éloge de la violence et ne cachent pas leurs intentions d’en finir avec une économie fondée sur l’entreprise privée.

Si on ne peut parler, avec Mélenchon, de bolchevisme ouvert, on peut en revanche voir en lui un marxiste-léniniste convaincu. C’est indécodable pour tous ceux qui ont oublié ce que voulait dire la dictature du prolétariat, mais Mélenchon cherche effectivement à réunir les conditions d’un basculement proche de celui de 1917.

Dans cet ordre d’idées, on arrêtera donc d’oublier la fascination de la France Insoumise pour la violence politique. Les pudeurs du mouvement dans la dénonciation de ce qui se passe au Vénézuéla le montre à tous ceux qui acceptent d’ouvrir les yeux.

On arrêtera aussi de répéter à l’envi que le charisme de Mélenchon ne se traduit jamais dans les urnes. Tôt ou tard, à force de ne pas être prise au sérieux par ses adversaires, la France Insoumise gagnera au moins une majorité relative qui lui permettra d’être incontournable, comme le NSDAP le fut en Allemagne, ou comme les communistes le furent en république tchèque en 1948.

Le retour de la dictature du prolétariat

Pour le reste, on a là aussi bien tort de ne pas prendre au sérieux les paroles et les programmes de Jean-Luc Mélenchon. L’intéressé ne cache pas sa fascination pour Lénine. Ses propositions convergent globalement pour fortement administrer l’économie française.

Tout le monde connaît les conséquences de ces mesures. Même sans une révolution brutale, une majorité insoumise à l’Assemblée nationale conduirait à des ruptures majeures dans notre organisation sociale au profit d’une collectivisation et d’une répression étatique liberticide.

Dans la pratique, ses appels répétés à la rue constituent déjà une ligne rouge que la démocratie ne devrait pas admettre. Reste à savoir quelle sera la capacité politique des adversaires de Mélenchon à réagir à cette stratégie dangereuse.

http://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/09/24/melencho...

 

Source : leblogalupus